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Porte ouverte au cocufiage

Porte ouverte au cocufiage



Auteur : Hotwife

Ça y est, nous y sommes ! Dans l’antre du vice. Depuis le temps que mon mari y songeait. Une broîte échangiste. J’ai le cœur qui palpite fort. Je suis là pour lui faire plaisir et simplement pour voir. Mais je l’ai prévenu ; qu’il ne compte pas sur moi pour faire quoi que ce soit. Voir comment ça se passe, d’accord, mais je n’ai nulle intention de me prêter à des jeux de sexe.

Une hôtesse charmante nous accueille chaleureusement. Elle nous décrit son club. Parle des diverses activités qui s’y pratiquent. Mais je ne l’entends pas réellement. Mes yeux vont de la piste de danse au bar. Moi qui avais cru m’être habillée sexy avec ma mini à mi-cuisses et mon chemisier décolleté je me sens soudainement ridicule. Je dois paraître collet monté. Ici les femmes portent des jupes ras-la-foufoune et des hauts transparents.

L’hôtesse nous dirige vers le bar pour nous offrir une boisson de bienvenue. Elle précise :

— Ici c’est un lieu de respect. Personne ne vous forcera !

Ce qui me rassure grandement.

Je n’ai pas l’habitude de boire, mais je sens qu’il me faut ingurgiter quelque chose de fort. Essayer de me libérer de mon anxiété. À la grande surprise de mon mari, je commande un whisky. Et je le bois presque d’un trait. Ça m’a fait l’effet d’un feu intérieur et en même temps ça me rassérène.

Sur la piste les corps enlacés se frottent les uns aux autres. Audacieusement les hommes tripotent le cul de leurs compagnes, retroussant même leurs bouts d’étoffes et dévoilant par-ci par-là un bout de fesse, un joufflu rebondi.

Les femmes quant à elle n’étaient pas en reste. L’une d’elles, effrontément, branlait même son compagnon au vu de tout le monde.

Un jeune couple de nos âges nous observait depuis un moment déjà. L’homme me fixait intensément. Visiblement, je lui plaisais. Ils se sont présentés : Marie et Yann. Des habitués du lieu. Ils se sont proposés pour nous guider. Je les voyais venir. La jeune femme était aussi peu vêtue que possible pour le plaisir des yeux de mon mari. Le coquin se serait bien laissé faire.

J’ai coupé court en entraînant mon époux vers la piste de danse. J’avais besoin de le sentir contre moi. De me serrer contre lui. Malgré mes réticences l’ambiance du lieu me rendait toute chose. Humide et fondante.

Mon chéri m’a serrée dans ses bras et sa virilité dressée s’est frottée contre mon ventre. Ça me faisait du bien de ressentir son désir pour moi. J’avais une envie folle d’être prise. Je crois que s’il me l’avait demandé je me serais laissée faire là, en public, enivrée par l’atmosphère du lieu. D’ailleurs lui-même se permettait quelques audaces.

Il me tripotait comme il ne l’aurait jamais fait autrement. Il malaxait mes siens effrontément et de sa main gauche, il avait retroussé ma jupe et caressait mes fesses ouvertement. Qu’une partie aussi intime de mon anatomie puisse être ainsi exposée m’émoustillait. Je me découvris un penchant exhibe. Ma fente était en feu. Des frissons me parcouraient de partout. Je flageolais sur les jambes en regagnant notre table.

— Tu n’as pas soif ? a demandé mon époux.
— J’allais te le dire.
— Un whisky, chiche ?
— Chiche.

J’avais encore besoin d’un remontant je le sentais. Il a été commander nos boissons au bar et j’en ai profité pour me rendre aux toilettes. J’avais besoin de me rafraîchir.

À mon retour et à ma grande surprise, il y avait un homme installé à notre table en conversation avec mon mari. À mon arrivée, très courtoisement, il s’est levé pour me saluer et s’excuser. Toutes les tables étaient complètement occupées et seule la nôtre…

Il avait obtenu l’autorisation de mon mari, mais si cela me gênait… Il devait avoir la mi-trentaine, grand, brun, et pas mal du tout.

Dans l’état d’excitation où j’étais, la présence d’un mâle n’était pas pour me déplaire.

Il s’appelait Alain, sa femme et lui fréquentaient le milieu libertin depuis six ans déjà.

Pour mettre fin à toute équivoque, j’ai précisé que nous étions là pour voir comment ça se passe !

À ma grande surprise, il a applaudi : c’était une sage précaution. Il avait toujours recommandé à de jeunes couples de procéder ainsi. Pour certains, ce mode de vie renforçait les liens, mais pour d’autres c’était l’éclatement de leur union. Il nous encourageait à agir prudemment. Nous avons continué à deviser légèrement un bout de temps. L’ambiance dans la salle de danse devenait de plus en plus torride. Une femme, la cinquantaine, se faisait lécher par une jeune blonde et manifestait son plaisir bruyamment. On voyait le sexe rigide d’un homme coulisser profondément dans la gorge d’une coquine.

Mon mari a demandé :

— Et vous êtes venu seul ce soir ?

Il a rigolé.

— Non, mais ma femme est à l’étage, sûrement bien occupée !
— Moi, je préfère danser et voir les couples parader avant des jeux plus chauds.

Il s’est tourné vers mon chéri :

— D’ailleurs si vous le permettez, j’aimerais bien inviter à danser votre femme.
— Pour ma part, je n’y vois pas d’inconvénient , a répondu mon mari.

Pourquoi ne pas me dégourdir les jambes.

— Avec plaisir, ai-je répondu.

Mais en réalité je me méfiais grandement de lui. Pour sûr, il allait vouloir abuser de la situation. Je pense qu’il ne se jouait dans ce club (et pour cause) pratiquement que des slows. Et mon partenaire s’est révélé être un excellent cavalier. Il m’a prise fermement dans ses bras, mais s’est montré dans un premier temps très respectueux.

Certes, je sentais mes seins légèrement écrasés contre sa poitrine musclée, mais en même temps mes tétons s’électrisaient. Il aurait bien voulu que je me laisse aller contre son ventre. Mais je résistais. Au détour d’un pas de danse, je ressentis l’état de sa virilité. Mais je faisais en sorte de le tenir à distance.

Près de nous, une femme plus très jeune, les seins nus se faisait téter goulûment par son partenaire sans cesser de danser. Deux autres quasiment nues s’embrassaient passionnément. Une autre évoluait prise en sandwich entre deux hommes. De me trouver entre les bras de ce quasi-inconnu dans ce lieu de débauche et sous les yeux de mon mari, m’affolait.

J’avais les sens en feu. J’étais partagée entre l’envie de me laisser aller et ma morale de femme honnête. Ses mains baladeuses, insensiblement, se portaient de mon dos à mes fesses. Une force intérieure me poussait à me cambrer davantage sous la caresse, de la solliciter même.

La tête me tournait. Je ne devais absolument pas céder. Voilà qu’il avait glissé sa main entre nos ventres et qu’il s’apprêtait à extirper son sexe ! Le salaud ! Par chance pour moi, un slow ne dure que quelques minutes. La musique venait juste de cesser. Avec brusquerie, je me suis détachée de lui.

Un petit remerciement glacé et je l’ai laissé en plan pour rejoindre mon mari. J’étais rouge de confusion et de colère. La scène n’avait pas dû échapper à mon époux car un petit sourire flottait sur ses lèvres. Il avait l’air de s’être amusé de ma mésaventure.

Il m’a accueillie d’un :

— Oh ! c’était chaud ! Quel collé serré !
— C’est tout ce que tu trouves à me dire ! Il m’a quasiment violée.
— Tu exagères ! Il se frottait tout au plus.
— Il avait presque sorti son sexe !
— Tu ne t’attendais pas quelque chose comme ça en acceptant de danser avec lui dans un lieu pareil ?
— Eh bien non !
— Tu es drôlement naïve, ma chérie.
— Sans doute, ai-je répondu, agacée.

Il a vu que j’étais énervée, il m’a attirée vers lui pour me rassurer et m’a embrassée.

— Viens, allons voir comment ça se passe là-haut. C’est beaucoup plus chaud selon l’hôtesse.

Je lui en voulais encore. Je continuais à bouder.

— Non, vas-y tout seul. Tu me raconteras après. D’ailleurs il y a assez de spectacle ici !

Et de fait, après s’être frottés sur la piste de danse, les couples s’adonnaient à des jeux de plus en plus poussés. Çà et là, de belles femmes déambulaient entièrement nues. Une dame proche de la cinquantaine masturbait un jeune homme sous les yeux de son compagnon. Un excentrique complètement à poil faisait tournoyer sa bite pour amuser la compagnie.

— Tu es certaine ? a insisté mon mari.
— Oui, tu me diras après comment c’est là haut.

Il m’a laissée comme à regret. J’ai constaté que mon verre était vide. En temps normal, je ne bois jamais, mais je sentais qu’un autre whisky m’aurait fait le plus grand bien.

J’en ai commandé un autre au bar et j’ai repris mon observatoire bien décidée à profiter du spectacle qui, au fil des minutes, devenait torride.

À deux tables de la mienne, une quadragénaire se faisait prendre en levrette sous les encouragements triviaux de son mari cependant qu’un autre homme emplissait sa bouche de son sexe épais.

Un attroupement de voyeurs s’était formé autour d’eux, certains même se masturbant.

Je m’étais contenue jusque-là, mais soudain un besoin irrépressible de me toucher m’envahit. Après tout, pourquoi ne pas ajouter ma part au spectacle.

J’ai retroussé ma jupe et j’ai glissé deux doigts sous le fond de ma culotte. J’étais toute humide et une onde de plaisir m’a submergée à l’effleurement de mon bouton. Je devenais fondante sous des sensations nouvelles pour moi. Pourquoi ne pas m’exhiber moi aussi ?

J’ai soulevé les fesses et j’ai, avec un tremblement, fait descendre mon slip doucement le long de mes jambes. De m’être exposée ainsi à la vue de tout le monde me procurait des sensations inconnues. Le compas de mes jambes largement écarté, j’ai fourré deux doigts dans ma foufoune en feu Je geignais maintenant sans aucune pudeur. Allais-je être la mire de quelque obsédé ? Allait-on venir admirer de plus près mes lèvres engorgées de sang ?

J’ai bu une longue rasade de mon whisky. Personne ne semblait m’avoir remarquée. Seul un souffle d’air frais effleurait délicieusement mon minou exposé. Soudain une voix familière s’est fait entendre. Celle de mon cavalier, un brin moqueur. Il était face à moi presque nu, vêtu seulement d’un caleçon moulant et reluquant sans vergogne mon intimité ouvertement exposée. Prestement, j’ai baissé ma jupe sur mes cuisses, rouge de honte et de colère.

— Mais pourquoi cacher un si charmant trésor ? Il n’y a pas de mal à se faire plaisir me dit-il.

Je n’ai pas répondu, décidée à l’ignorer.

— Le spectacle dans la salle est excitant, n’est-ce pas ?

Silence de ma part.

— Vous pouvez continuer à vous caresser, vous savez.

Toujours muette !

— Ça ne vous dérange pas si je me masturbe près de vous ? Le spectacle devant nous et votre présence m’affolent.
— Vous êtes libre de faire comme il vous semble.

Du coin de l’œil, j’ai vu qu’il avait baissé son caleçon et que sa main allait et venait sur son sexe tendu. Un beau spécimen de mâle. Tout en muscles avec une merveilleuse bite longue, épaisse et rigide.

Mon cœur s’est mis à battre plus fort. Un trouble exquis a envahi mon corps. Je désirais l’ignorer, mais une attraction irrésistible me poussait à fixer la tige dressée. D’autant qu’insensiblement, il s’était rapproché de moi. Comme j’étais assise et qu’il demeurait debout, son membre se situait pratiquement à la hauteur de mon visage. Une trentaine de centimètres le séparait de mes lèvres tant il s’était rapproché. Il a ordonné :

— Suce-moi !

J’ai fait mine de ne pas entendre, tout en détournant ma tête. C’est alors que j’ai remarqué qu’une jeune femme nous observait. Nos regards se sont croisés. Elle m’a souri puis a passé sa langue sur ses lèvres comme pour me dire ; Lèche-la.

Le gland congestionné du coquin effleurait presque mes lèvres. Il me tentait, le salaud.

Mes yeux de sont portés vers ma conseillère improvisée et j’ai distinctement lu comme une injection : >i>Suce-la.

Finies les fermes résolutions ! Je me suis penchée et je l’ai prise en bouche. Elle était bonne ! Longue, épaisse, rigide. Elle avait un bon goût de mâle. Elle emplissait bien ma gorge. Avant mon mariage j’en avais goûté quelques-unes, mais celle-là me semblait particulièrement agréable.

Je l’avalai, la léchai, la mordillai, me l’enfournai jusqu’à la garde, les yeux clos pour mieux en apprécier le velouté. Il geignait, je haletais. Il l’enfonçait au plus profond de mon palais jusqu’à m’étouffer. Je ne m’en plaignais pas. C’est un plaisir tout cérébral que d’être forcée ainsi, baisée par la bouche.

D’une main adroite, il a ouvert mon chemisier, extirpé mes seins. Sa main était douce en les malaxant et il triturait mes tétons d’une manière experte. Inconsciemment j’avais écarté mes cuisses davantage.

— Remonte ta jupe et branle-toi, ordonna-t-il à nouveau.

J’ai obéi.

— Plus haut, que je voie ta chatte.

J’ai obtempéré. Les seins à l’air, ma foufoune dégoulinante offerte à la vue de tout le monde, la bouche pleine d’un gros sexe.

Je me sentais délicieusement salope. Mes doigts s’activaient sans la moindre gêne, frénétiquement, dans ma fente en ébullition. Et quand ses doigts ont replacé les miens, ça a été l’explosion. Une onde de plaisir intense m’a secouée comme un déchirement.

J’ai conscience d’avoir crié mon orgasme fulgurant. D’avoir même perdu conscience quelques instants. Il avait pris ma tête à deux mains et me baisait la bouche frénétiquement. Son gland s’enfonçait du plus profond qu’il pouvait. Je pressentais l’imminence de sa jouissance et j’appréciais le goût âcre et suave de son liquide séminal.

Il a joui fort en un long cri rauque. Il a déversé son jus d’homme épais et goûteux en longs jets saccadés. Je l’ai perçu comme une gratification. Une partie du sperme perlait à la commissure de mes lèvres. J’ai porté mon regard vers la jeune femme qui m’avait encouragée à sucer. Elle me souriait amicalement et a pointé son pouce vers le haut comme pour me signifier « Bravo ! »

Mon partenaire, quant à lui, s’était éclipsé sans le moindre remerciement. Je ne m’en formalisais point. Il m’avait utilisée pour son plaisir égoïste de mâle et cela me convenait. Le sentiment de m’être comportée comme une salope me remplissait de fierté.

Mon époux n’était toujours pas redescendu fort heureusement. J’ai vidé mon fond de whisky puis me suis rendue aux toilettes. Le besoin de me soulager, de laver mes mains et ma bouche urgeait. En un mot, de me rafraîchir pour reprendre mes esprits. Quand j’ai rejoint la salle, mon mari semblait m’avoir cherchée.

— Où étais-tu, me demanda-t-il ?
— J’avais envie de faire pipi.
— Tu ne t’es pas ennuyée. ?
— C’est très hot ici.
— Rien à voir avec ce qu’il se passe là-haut.
— Alors, allons-y, dis-je, pressée de quitter le lieu compromettant de mes exploits.

Tout heureux de me trouver si disposée, mon chéri m’a prise dans ses bras. À ma grande confusion, il a pris ma bouche sans que j’aie eu le temps de réagir. Il fouillait de sa langue celle qui avait léché un gros sexe, qui avait été chargée d’un sperme épais. J’étais à la fois effarée et amusée. Je l’ai suivi en me déhanchant comme la femme nouvelle que j’étais devenue. J’éprouvais le besoin d’extérioriser ma féminité exacerbée.

L’étage du dessus se composait d’une suite de petites salles. La plupart étaient d’accès libre leurs portes grandes ouvertes à l’invite de chacun. J’avais eu envie de les visiter toutes, mais mon mari avait une autre priorité en tête. Je devinai que ce qu’il avait vu l’avait fortement excité.

— Allons plutôt voir la pièce des gang-bangs, me dit-il.
— Des quoi ?
— Gang-bangs. Une salle où les filles se font prendre par plusieurs gars !
— Elles les choisissent ?
— Non, elles prennent tout ce qui vient.

Comment était-ce possible ? J’étais curieuse de voir ça.

— Tu vois le groupe au fond devant la salle ? Ceux sont les voyeurs, joignons-les.
— La plupart étaient des hommes majoritairement nus, le sexe en main, visiblement inspirés par le spectacle.

Au milieu de la pièce se trouvaient deux coquines en tenue d’Ève, l’une blanche, la quarantaine tassée et une autre métissée plus jeune, sculpturale, entourées d’hommes le sexe à la main. L’une et l’autre se faisaient prendre en levrette. Visiblement, chacun de ces types attendait son tour. Par moments, elles agrippaient une bite et se l’enfournait dans la gorge.

Ça geignait, ça haletait bruyamment.

Mon mari, manifestement, était bien tenté. Il avait le souffle court et l’œil brillant ce qui, chez lui, est signe d’extrême excitation. Je lui ai soufflé :

— Pourquoi ne te mêles-tu pas à eux ?
— Tu es sérieuse ?
— J’ai envie de te voir avec l’une d’elles.
— Tu ne seras pas jalouse ?
— Pas du tout !

Comme nous faisions partie de ces rares qui étaient encore vêtus, je lui ai chuchoté à l’oreille :

— Déshabille-toi, laisse tes vêtements dans le coin, je les surveillerai, et va te mêler aux autres.

Il semblait incrédule.

— Tu es certaine que tu ne seras pas jalouse ?

Je l’ai attiré vers moi et je l’ai embrassé.

— Ça me ferait plaisir ! Vas-y, fais-toi sucer !

Et d’une tape sur le dos je l’ai enjoint à y aller. Mon pauvre chéri, il s’est maladroitement déshabillé, puis tout gauche, la bite à la main il a rejoint le groupe amalgamé autour des deux gourmandes.

On devinait bien qu’il n’était pas un habitué de ce genre de pratiques. Il a regardé vers moi en manque de confiance alors, d’un sourire, je l’ai encouragé. Pour ne plus le gêner, d’un pas de côté je me suis dérobée à sa vue. Je pouvais voir sans être vue.

Bon sang tous ses hommes nus, leurs sexes dressés m’affolaient. Tous divergents de tailles et de formes. Et puis, la capacité des deux gourmandes me surprenait. En aurais-je été capable ? Ça geignait, ça haletait et de ma position je percevais le frottement des chairs les unes contre les autres. Mon corps entier n’était que sensations exacerbées.

C’est dans cet état de tension extrême qu’il m’a semblé ressentir une main effleurer mes fesses. Je suis restée saisie. Puis de nouveau la pression s’est accentuée jusqu’à épouser leurs contours. J’aurais pu me dérober, mais une onde de plaisir m’a submergée. Dans l’état où j’étais, j’avais besoin de cette caresse. Je me suis même cambrée pour l’apprécier davantage presque contre mon gré. En un tour de main je me suis trouvée retroussée, culotte baissée au milieu de tous ses voyeurs. Quelqu’un a empoigné mes seins.

J’ai écarté mes cuisses pour faciliter l’accès de mon minou à des doigts fureteurs. J’étais dégoulinante de mouille, le cul nu au milieu de tous ces voyeurs. Mon bouton s’était durci comme une petite bite.

De mon observatoire je voyais mon malheureux époux tenter de se placer, sans succès apparemment, cependant que je me faisais tripoter. Une bouche s’est immiscée entre mes fesses. Une langue s’est mise à humecter délicieusement ma rondelle. On me palpait ouvertement. Mes seins, mon ventre mes trous étaient explorés de toutes parts. Quelqu’un a pris ma tête à deux mains et l’a guidée vers sa queue bandée. Pour la seconde fois cette nuit j’ai embouché un gland turgescent, goulûment, avec délice, je l’ai parcouru de ma langue avide. À l’image des deux dévergondées vers lesquelles les espoirs de mon mari tendaient, je m’abandonnais à des sensations insoupçonnées. Je me sentais salope et fière à la fois. Je donnais du plaisir et en étais récompensée au centuple. Une voix a soufflé à mon oreille.

— Courbe-toi un peu plus, je vais te baiser.

J’ai pris peur.

— Pas sans préservatif !
— N’aie crainte, nous sommes toujours couverts ici !

Il m’a prise par les hanches, m’a ajustée et j’ai senti sa tige dure écarter les lèvres gonflées de ma fente et s’insinuer sans la moindre résistance dans ma vulve enflammée.

C’était la première fois qu’un homme autre que mon époux me prenait depuis notre mariage. C’était délicieusement pervers, avec beaucoup de mal je restreignais mes gémissements. Il me pénétrait sans ménagement cependant que je sentais une montée inéluctable de mon plaisir. Un orgasme intense m’a submergée. Mon corps entier a été pris de convulsions. Mes jambes se sont dérobées et je me serais affalée si les multiples mains qui me palpaient ne m’avaient soutenue. Durant un moment, j’ai presque perdu conscience. J’avais bien perçu fugacement que mon amant avait joui lui aussi aussitôt remplacé, que ma bouche emplie de sperme était à nouveau envahie d’un sexe conséquent.

Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai été abusée ni celui de mes jouissances.

Mes seuls instants de lucidité, je les passais à observer mon conjoint. Le malheureux, il avait essayé en vain de s’imposer. Dû au manque de pratique sûrement, et à ce côté timoré qu’il a dans la vie.

Pour ma part, vidée de toutes forces, une fois abandonnée comme une moins que rien, j’ai à nouveau été me nettoyer de toutes mes souillures. Il se rhabillait quand je l’ai rejoint. Feignant l’ignorance, j’ai fait :

— Et alors ?
— Rien.
— Mon pauvre chéri ! Tu dois être drôlement déçu alors.
— Un peu. Mais après tout nous n’étions venus que pour voir !

Je me suis collée contre lui et il a goûté ma langue il y a si peu gorgée de sperme.

— Oui mon amour, seulement pour voir !

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