À l’époque j’avais 21 ans, jeune étudiant fêtard à Montpellier. Je louais un petit studio pas très loin de l’université, situé dans une perpendiculaire d’une des rues principales de la ville. Qui dit rue principale, dit prostitution de nuit. Très vite les « professionnelles » sur mon chemin ont su que je n’étais que le pauvre étudiant fêtard, très bien élevé et poli, du quartier. Chaque nuit, lorsque je rentrais de beuverie, je saluais tout le monde sur mon passage (femmes, travestis, transsexuelles, etc.) d’un simple mais agréable et sincère « Bonsoir », parfois je donnais du feu, parfois une clope. Ils m’ont vu rentrer dans biens des états…
Bref, avec les potes de fac on sortait tous les soirs de semaine et on se reposait les jours de week-end.
Un fameux mardi soir, on était tous fatigués. Vers onze heures et demi la plupart ont décidé de rentrer. Damien et moi allions boire un dernier verre dans un bar qui est sur notre chemin du retour (il habite à quelques rues de chez moi). On y arrive, et pendant que mon pote commande les boissons, j’aperçois deux superbes latinas jouant seules au billard. Je demande à Damien de commander deux verres de plus et de me rejoindre auprès des deux bombes.
Il s’avère qu’Alejandra et Émilie sont d’origine brésilienne et venues rendre visite à une cousine à elle, étudiante également. Heureusement elles parlent un peu espagnol et pendant que nous jouons Émilie Damien contre Alejandra Moi, je flirte à mort avec ma coéquipière.
Au bout d’un moment Damien dit vouloir rentrer chez lui, tout comme Émilie, qui propose de tous nous ramener avec sa voiture. Je demande à Alejandra si elle veut boire un dernier verre chez moi, ce qu’elle accepte avec plaisir. Tout le long du trajet Alejandra et moi nous embrassons goulûment sur la banquette arrière. On ne capte même pas le dépôt de Damien quand Émilie s’arrête juste devant mon entrée et nous dit de sortir.
Ma porte d’entrée à peine fermée, on se jette dans les bras l’un de l’autre et nos lèvres puis nos langues se rejoignent. Je n’ai pas fait le clic-clac avant de partir, donc quand Alejandra me pousse en arrière, j’atterris avec les quatre fers en l’air sur mon lit.
Agenouillée entre mes jambes elle approche sa tete au niveau de ma bite et commence à la lécher au travers de mon jean pendant que de ses mains elle défait ma ceinture et finalement me libère de mon pantalon ainsi que de mon caleçon.
Elle engouffre alors ma bite à moitié bandée totalement dans sa bouche. Alors que mon gland heurte le fond de sa gorge, elle s’immobilise un moment avant de laisser ma queue coulisser en arrière entre ses lèvres.
Tout en me suçant, sa langue lèche /titille mon gland/ma bite sur toute sa longueur.
Je bande dur au moment où ma douce Alejandra décide d’avaler mon sex en entier. Mon gland passe sa gorge et elle fait de petits va-et-vients de tout son long… je réalise que pour la première fois, mon sex bandé à fond est/je suis cerné par le plaisir, enrobé de sensations nouvelles exquises. Englouti totalement, je reçois du bonheur de la part de ses lèvres, sa langue, sa gorge, sa luette, son épiglotte et de son pharynx!!!! Elle me baise avec sa gorge, quel bonheur!!!!!!
Elle ressort mon penis et décide de le lécher, le sucer, le pomper, l’astiquer, puis pareil avec mes boules et…elle finit par poser sa langue sur mon anus. Tout en me masturbant délicatement elle dévore littéralement mon œillet et soudain je libère une grande quantité de liquide pré-séminal.
Alejandra me reprend alors entièrement dans sa bouche. Avec ses lèvres elle monte et descend le long de ma tige et de son doigt elle caresse mon trou circulairement.
Je n’en peux plus et ma belle brésilienne le sent!!!! D’un coup rapide elle relève la tête, me regarde droit dans les yeux, et en plaçant ma main derrière son crâne elle me dit: « vas-y chéri, jouit au fond de ma gorge, s’il-te-plaît chéri », puis me ravale entièrement. Mon gland va et vient dans son pharynx. C’est là, quand je saisis ses cheveux, sors ma bite de sa bouche pour la laisser inspirer puis lui renfonce d’ un bon coup que tout se passe extrêmement (trop) vite !
Et oui, c’est au moment où j’avance un peu mon bassin pour le deuxième coup de rein, qu’elle m’enfonce soudainement un doigt (c’etait Deux en fait comme j’ai appris par la suite) au fond de l’anus et provoque ainsi mon ejaculation. Jamais je n’ai jouit de telle manière auparavant. Mon sperme se déverse en elle. Mes couilles se vident entièrement en de longs et nombreux jets tout au fond de sa gorge, tapissant son œsophage et remplissant son estomac.
J’étais aux anges !!!! Alejandra aspirait et léchait toujours mon sex en quête de la moindre goutte de sperme à avaler. Je luis fis signe de venir à ma hauteur et me mis à lui rouler un long patin bien baveux.
On se prend dans les bras, on s’embrasse et décide que si je veux lui rendre la pareille avant de m’endormir profondément, il faut vraiment que ce soit tout de suite… mais au moment même où je débute, Alejandra m’arrête. Elle ne se sent pas propre et n’a pas envie d’une douche à cette heure-ci. Donc si ça ne m’ennuie pas, on peut maintenant juste dormir… Vous pensez bien que j’étais ravi!!
Je suis réveillé par la sensation agréable qu’Alejandra me procure à nouveau avec sa bouche. Je lui fais signe de venir en 69 mais elle m’ignore et continue à me gober, me sucer divinement bien. Je ne tarde donc pas à jouir et
comme hier, ma belle n’en perd pas une goutte. Elle me suce jusqu’à ce que je débande entièrement et puis elle se met debout (elle s’était déjà rhabillée et maquillée avant cette deuxième pipe du siècle) et demande si je la raccompagne jusqu’à la porte…
Je me lève et totalement nu lui donne un baiser sur la bouche en passant devant elle. Je lui demande si tout va bien, si j’ai fait quelque chose de mal ? Si elle regrette ? Pourquoi elle souhaite partir aussi vite ? Elle ouvre le verrou, baisse la poignée et juste avant de tirer la porte vers elle, Alejandra se penche vers moi et me susurre en français avec un fort accent portugais: «toua gentil Philippe. Damien aussi gentil mais pas autant poli comme toua. Hier dans voiture, Damien endormir et pas dire à Émilie où son adresse. Toua aussi pas dire ton adresse à Émilie. Mais nous savoir les adresses de toi et Damien. Nous faire la prostitution et voir vous rentrer la nuit parfois. Et maintenant pas toi avoir peur ou penser du mauvais, pero tou dois savoir et que je veux te dire pour que toi le savoir: yé suis una transsexual, una trans, yé suis une transsexuelle de Brazil ».
Je n’en revenais pas! Avant même que je puisse dire un mot, Alejandra ouvrit la porte et la tira derrière elle en partant.
Je résumais donc: meuf splendide, au corps de rêve, exactement sur la même longueur d’onde que moi, qui embrasse merveilleusement bien et fait les meilleures pipes du monde de toute ma vie = transsexuelle et pas meuf!
Le soir même je suis sorti devant chez moi et ai poliment demandé aux professionnels présents si et où Alejandra travaillait ce soir…mais tous me répondirent la même chose: elle est repartie au Brésil cet après-midi.
Je venais d’avoir mon premier contact sexuel avec une transsexuelle.
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