La semaine dernière, j’ai été contacté par mon lycée pour savoir ce que j’étais devenu, où j’en étais dans mes études pour venir parler à des jeunes élèves de secondes pour leur donner des idées ou répondre à la question. Vu que le métier de régisseur est peu répandu, ils m’ont demandé de venir, j’ai accepté.
Je me suis donc préparé pour ce mercredi, à faire mon pitch et tous et toutes. J’arrive au lycée à 10 heures avec un brin de nostalgie, je me revoyais en train de monter les marches menant au bâtiment, cinq ans auparavant.
Mon ancien CPE m’accueille et m’amène dans une salle de cours alors que tous les lycéens sont dans la cour de récréation
Et ce fut une énorme surprise à l’ouverture de la porte, il s’agissait de mon ancienne prof de français en première ! Ce fut elle qui m’a donné gout à la lecture et qui m’a poussé à écrire, à faire des efforts avec l’orthographe mais surtout à aimer la langue française. Il faut dire qu’elle a de beaux arguments… Elle doit avoir dans les environs de 33 – 35 Ans et déjà il y a cinq ans, elle était une femme naturellement sexy. Un visage rond entouré de longs cheveux noirs, des yeux bleus assez froids mais son sourire chaleureux complété ce visage resté gravé dans ma tête, elle n’avait pas changé !
Pour le reste de son corps, elle a toujours ses hanches assez larges et elle a peut-être même pris quelques kilos mais elle a plutôt bien proportionné dès que nos yeux se portent sur sa grosse poitrine. Une magnifique paire de seins qui doit toujours faire fantasmer les lycéens de sa classe.
Elle avait un chemisier rose moulant assez bien sa poitrine, un blazer noir accompagné une jupe serrée noire fendue avec des collants noirs… Le genre sérieux.
C’était évidemment mon cas !
Elle me tendit la main.
– Je suis ravi de te revoir, Nicolas.
-M… Merci.
La CPE referme la porte et ainsi nous laisse seuls. Je me sens retourner en arrière, impressionner comme le petit lycéen que j’étais.
– Alors comme ça tu travailles sur des tournages, ça doit être palpitant comme vie
– Heu… oui, oui. On rencontre pas mal de monde.
La sonnerie résonne dans le bahut, avec le même son horrible.
-Tu vas pouvoir me parler de tout ça en même temps qu’aux élèves.
Je remarque qu’elle a un regard sur moi différent de celui d’il y a cinq ans.
Je me tiens debout sur l’estrade seul, alors que les élèves remplissent la salle en me dévisageant, certains rigolent. Ma prof (appelons la Mme Théron) s’assoit sur une table au fond de la classe pour me regarde également.
À ce moment, je me sentais un peu seul face à tous ses élèves silencieux et surtout le regard azur de mon ancienne prof.
L’horrible impression de passer une interrogation orale mais cette fois, je connaissais mon sujet. C’est d’ailleurs en disant cela que je commence, histoire de détendre l’atmosphère. Puis je commence à blablater sur ce que je fais mais pendant mon récit, je lançais des regards à ma prof. Sa tête penchée et ses yeux me dévorant de la tête au pied, je me suis mis à me poser des questions. À plusieurs reprises, elle décroisa et recroisa ses jambes où j’essayais un peu de voir en dessous de sa robe… Comme avant, une sorte de tradition.
Et elle me prit un peu la main dans le sac, au vu de son sourire amusé…
Les deux heures passèrent très vite, et on se retrouva à nouveau seul à seul. Elle ouvrit la bouche en première.
– Je suis vraiment content de voir que tu as vaincu ta timitidé, tu as l’air beaucoup plus sur de toi
Flatté par ce compliment, je lui réponds
– C’est grâce à vous quand même, vous étiez ma prof préférée.
– Je te remercie, tu étais aussi mon préféré.
-Ha bon ? Ça ne se voyait pas vraiment sur mon carnet.
-Tu étais mon chouchou mais pas mon meilleur élève, petite nuance.
Son petit clin d’oeil fut très excitant, son image de prof s’effaçait peu à peu dans ma tête. Et c’est d’ailleurs à ce moment que mes yeux se posèrent sur sa poitrine inconsciemment… Et elle me remarqua !
– Je crois me souvenir que tu les as toujours aimés, non ?!
Mon visage se liquéfia.
– De quoi ?
Ses joues rugissent malgré son petit sourire. Elle baisse les yeux et pose ses mains sur ses mains pour les soulever légèrement.
– Je te parle de mes seins ! Déjà, y a cinq ans, tu les matais sans retenue.
Je me sentais piégé et totalement bouche bée.
– C’est bon, tu n’es plus un bébé, fais pas ton pudique !
J’avale ma salive
– Non c’est sur mais ça me fait quand même bizarre et je suis surpris…
– Hoooo c’est mignon, tu penses encore que les profs n’ont pas de désir, de pulsions.
– Si si, sinon on fantasmerait pas sur vous.
– Je le sais bien, ça se voit tellement, tu n’étais pas discret mais ça me plaisait.
Son image de prof s’efface totalement, et mes yeux se portent à nouveau sur ses beaux seins moulés et surtout pointés vers moi avec ses mains.
– Donc si je comprends, j’étais ton fantasme à une époque ?
– Ca fait bizarre de le dire mais oui.
– C’est très agréable à savoir, tu veux savoir mon fantasme depuis longtemps ?
Elle n’attend pas ma réponse
– Celui de me faire prendre dans ma salle de cours.
Ses seins appuyaient sur mon torse, ses mains m’avaient pris la tête pour la maintenir et c’est presque naturellement après avoir dit ça que mes mains se posèrent sur ses fesses…
Alors que mes mains commençaient à lui palper le postérieur, elle m’embrassa dans le cou, le mordillant. Quand j’étais au lycée, elle était un peu plus grande mais maintenant nous faisons la même taille. Je sens sa respiration s’accélérer et sa poitrine s’écraser contre mon torse tandis que mon sexe commençait à durcir rapidement.
Je la repousse après quelques secondes et lui pose la question.
-Et dites-moi, pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ?
Elle semble étonnée par mes questions, elle s’assoit sur une table en croisant les jambes à la Basic Insticnt et retire son blaser.
-Pourle maintenant, c’est simple. Il est 12h30 donc il n’y a personne dans les couloirs et j’ai les clés de cette salle jusqu’à 14h30 donc on peut s’enfermer et ne pas être dérangé. Pourquoi toi ? Pour être franche, je suis très en manque et je ne sais pas pourquoi mais tu m’as énormément excité. Et puis je n’ai pas le droit avec un élève mais un ancien élève… Rien ne peut m’en empêcher.
Elle se leva et se dirigea vers la porte qu’elle ouvrit.
– Soit tu sors maintenant, soit tu restes et on réalise tous les deux nos fantasmes.
J’avoue que sur le coup, j’étais très perturbé par la détermination de Mme Theron et sa volonté. Je la dévisageai et elle me fixait comme lorsqu’elle interroge ses élèves.
– Pour tous les élèves qui fantasment sur vous, je ne peux pas refuser. Je reste !
Elle sourit et ferme la porte à clé avant de revenir vers son bureau où je me tenais. Elle déboutonna son chemisier et la laissa tomber à terre, dévoilant son soutien-gorge en dentelle blanche et ses rondeurs de femme. Alors qu’elle monta sur l’estrade, elle ouvra sa jupe en la laissa glisser le long de ses jambes montrant sa sortie assortit à son haut. Je n’en revenais pas, mon ancien fantasme de prof en sous-vêtement dans sa salle, prête à faire l’amour avec moi et je pense que je devais faire une drôle de tête, car elle me dit d’une voix provocante.
– Va falloir que tu oublies la prof stricte et sage pour la femme en manque que je suis, qui veut se faire baiser pare un jeune.
D’un coup, je repris confiance en moi.
– Pour l’instant, vous ne faites que m’allumer, et si on commençait les choses sérieuses ?
J’ouvris mon jean et baissa mon boxer pour lui montrer directement l’objet de son désir. À son tour, elle eut une seconde d’hésitation avant de s’avancer encore pour supprimer les derniers centimètres. De sa main, elle effleura ma verge avant de commencer à me branler doucement en fermant ses doigts. Elle la regardait avec désir, se mordant la lèvre.
– Combien de temps que vous n’ayez pas sucé ?
– Le week-end dernier.
– Et vous êtes déjà en manque ?!
– Eh oui…
Elle posa ses lèvres sur mon gland, ce qui me provoqua un frisson et un gémit. Ses lèvres si douces se mirent à glisser le long de ma queue tendue. Elle fit glisser sa langue jusqu’à mes bourses qu’elle lâcha également avant de la faire remonter pour mieux avaler mon gland. Mes mains sur sa tête appuyèrent légèrement pour lui faire comprendre d’avaler mon sexe. Elle lâcha mon sexe de sa main pour me caresser les fesses et avancer ma queue dans sa gorge. Sa bouche allait de plus en plus vite, mes mains de temps en temps appuyaient d’un coup pour enfoncer mon gland bien au fond mais sans jamais parvenir à l’enfoncer entièrement.
Elle commençait à gémir aussi de son côté et son regard avait changé. Maintenant, elle semblait intimidée et ses joues rougissement. Je regardai autour de moi… Cette salle de cours où j’étudiais il y a cinq ans, où je fantasmais sur ma chaise et maintenant, je penche la tête et je vois Mme Theron en train de baver et d’avaler ma queue sans retenue. Je relâchai l’étreinte de mes mains, elle recula sa tête, un fil de sperme partait de mon gland à sa bouche. Elle était à genoux, la tête à quelques centimètres de mon sexe, me donnant des petits coups de langues… Quel plaisir ! Quelle revanche sur le petit lycéen puceau que j’étais…
Alors que Mme Théron était à genoux devant moi, tenant dans sa main ma verge et donnant de petits coups de langue dessus, la faisant tourner sur mon gland. Je me penchai pour dégrafer son soutien-gorge, j’eus un peu de mal, car à trois agrafes c’est plutôt rare. Ses seins étaient vraiment gros et plutôt fermes et elle n’opposa aucune résistance. Il dirigea mon sexe vers ses seins pour le frotter à ses tetons, elle empoigna chacun de ses seins et y plaça mon sexe entre… Une douce paire de seins enveloppait mon sexe et se mit à me branler. Jamais une branlette espagnole n’a été aussi agréable, lorsque mon gland en ressortait, c’était pour entrer en contact avec sa langue.
J’étais aux bords de l’orgasme mais je ne voulais pas éjaculer temps que je ne l’avais pas pénétré, je reculai et elle se releva. Elle s’essuya le bord de la bouche puis fit glisser ses mains le long de ses hanches, passant sous sa sortie puis le descendit en se penchant en avant. Quand elle se redressa, je vis enfin l’objet de mes fantasmes de lycéen et l’objet de mon excitation. Son pubis était orné d’un petit ticket de métro parfaitement taillé, entièrement nu dans sa salle de cours. Elle posa ses fesses sur la table du premier rang qui est collé à l’estrade et posa également un pied dessus, ouvrant ses jambes, me dévoilant toute son intimité… Des petites lèvres rosées, gonflées de plaisir et surtout déjà très humides.
Je m’approche d’elle, le sexe tendu et gonflé au maximum. Je le prends en main et le fais glisser entre ses lèvres, caressant son petit bouton. Je pouvais sentir la chaleur de sa mouille contre ma verge.
Je me baissai d’un coup et sortit ma langue, à sa grande surprise au vu du petit cri qu’elle poussa. Je me mis sans retenue à lécher son intimité à grand coup de langue en y collant complètement ma bouche. Je la bouffais littéralement la chatte, cinq ans de fantasme refoulé se déchainaient sur elle pour son plus grand plaisir. Elle s’est allongée sur la table, la tête en arrière, le bassin relevé et les jambes grandes écartées pour m’offrir une position optimale. Ses mains dans mes cheveux m’invitèrent à accélérer encore et encore.Elle soulevait son bassin de plus en plus, poussant de petits gémissements.
Je me releva et replaça ma verge entre ses lèvres, elle ruisselait de cyprine et je n’eut aucun mal à m’y enfoncer d’une traite, ses ongles s’enfonçaient dans sa propre poitrine au fur et à mesure que mon sexe pilonnait le fond de son sexe…
Elle était donc assise sur le bord de la table d’un de ses élèves, les jambes bien écartées. Mon sexe se trouvait au fond du sien, elle brulait de plaisir. Je commençai lentement à faire des mouvements de va-et-vient, faisant glisser mon sexe dans le sien. À chaque coup, elle se cambrait, faisant varier l’angle de pénétration. Sa chatte de femme était aussi humide et agréable qu’une minette de 20 ans mais en plus, je sentais qu’elle contractait ses muscles pour bien serrer son vagin sur ma verge. C’était un vrai délice.
Elle m’ordonna d’y aller un peu plus fort, je m’exécutai. Je faisais entièrement sortir mon gland pour m’y enfoncer d’un grand coup. J’appuyais sur ses cuisses pour bien ouvrir son sexe, et m’enfoncer bien en elle.
Après de longues minutes, on échangea… Je m’allongeai sur la table et elle se mit sur moi mais pas en me chevauchant, mais en gardant appui sur ses pieds. De sa main, elle dressa ma queue et descendit son bassin dessus. Ses lèvres s’écartent et je vis mon sexe disparaitre en elle. Melle Théron se mit à se soulever et à descendre sur ma verge, s’empalant sur mon corps. Sa respiration était très rapide, et elle poussait de temps en temps de petits couinements réguliers. Si quelqu’un passe dans le couloir nul doute que l’on nous entendait.
Ses seins bondissaient également au même rythme, cette vision de cette femme s’empalant sur ma verge, je ne tardai pas à avoir du mal à me retenir…
Elle du le ressentir, car elle enfonça ma queue bien au fond d’un coup sec, ce qui provoqua mon éjaculation. Sa belle chatte se contractait au même rythme que ma verge.
Après de longues secondes, elle se releva, un fil de sperme coula de son corps, sur la table… Le silence régnait dans la salle de cours, chacun de son côté silencieux. Le visage de ma prof était rouge, surement un peu honteux d’avoir réalisé son fantasme et d’avoir été pris dans sa salle de cours où elle donnera son cours demain.
Elle se racla la gorge avant de dire d’une petite voix très différente de celle du professeur.
-Bon, je crois que c’est l’heure de rendre la salle.
Elle referma sa jupe sans son short… Nue sous sa jupe, je me demande si elle fait cours sans rien en dessous parfois.
On sortit de la salle de cours, personne dans le couloir, apparemment personne ne nous a entendus. Elle referma la salle de cours, parfumé par l’odeur bestiale du sexe.
-Je dois aller dans la salle des profs, je te laisse ici. Ce fut un réel plaisir de te revoir.
Elle me tendit la main. Toute proximité est donc belle et bien finie.
-Le plaisir fut partagé. À bientôt peut-être.
C’est ainsi que je quittai mon ancien lycée avec un tout nouveau souvenir très agréable.
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