C’est chez ma belle-soeur, qui se prénomme Corinne, que cette histoire a débuté …
C’était un dimanche, en été, lors d’une traditionnelle réunion de famille, comme il en existe partout en cette saison de l’année.
…
Nous sommes attablés sur la terrasse, chacun discutant avec son voisin et y allant de ses idées …
La politique, le dérèglement climatique, le travail … Rien de bien transcendant !
Je réponds par un » oui « , par un » non « , un » certainement » …
Je suis présent sans vraiment l’être.
A dire vrai, je m’ennuie un peu.
Heureusement que ma belle-soeur est là ! Elle est comme un deuxième soleil qui illumine ma journée.
Elle est pétillante, drôle, spontanée et a de la répartie ; elle ne parle jamais pour ne rien dire.
Elle est entière !
Corinne n’est pas un canon de beauté correspondant aux tabloïds que l’on essaye de nous imposer, mais je lui trouve beaucoup de charme ;
sa chevelure brune un peu ébouriffée, ses yeux couleur noisette rieurs et malicieux, son petit nez discret, sa bouche finement dessinée …
Son visage est marqué par de jolies rides soulignant ses 50 printemps, qu’elle porte et assume admirablement.
Je la trouve vraiment ravissante !
Je l’observe s’agiter en bonne maîtresse de maison qu’elle est.
Tout à l’heure, elle sait pencher en avant dans la cuisine ;
la courbe de ses fesses ferait mourir de jalousie tout un contingent de gamines de 20 ans !
Elle finit par s’asseoir et se mêler aux conversations …
Progressivement, mon regard sur elle se métamorphose en contemplation.
Mes yeux se perdent sur ses épaules dénudées, son décolleté, ses jambes interminables, ses pieds …
Il est rare qu’une femme ait de jolis pieds ; les siens sont d’une rare beauté …
Sous son chemisier, je peux deviner ses tétons pointer.
Corinne a de petits seins. Je suis infirmier et jadis, elle m’avait confié en être complexée.
Elle souhaitait que je lui conseille un chirurgien plasticien …
Finalement elle a abandonné ce projet et tant mieux !
Moi j’aime les petits seins et les siens sont en parfaite harmonie avec sa gracieuse silhouette !
Crescendo, je sens mon désir monter, je me surprends même à bander.
Je suis gêné, éhonté, ayant l’impression de la mater. Je décide de m’isoler afin de recouvrer un peu de lucidité.
Souhaitant me rafraîchir le visage, je monte à l’étage et me dirige vers la salle de bains.
Je m’asperge d’eau fraîche puis, me retournant pour saisir une serviette, je bute sur un panier dans lequel se trouve du linge porté.
Au beau milieu de ce fouillis vestimentaire, je peux entrevoir une dentelle qui ne laisse pas de place au doute.
Pris d’une pulsion aussi soudaine qu’irraisonnée, je plonge une main dans le contenu de mon impromptue découverte.
Là, sous mes doigts, l’intimité de ma belle-soeur : plusieurs shorties et autres tangas … C’est une lingerie de qualité, délicate et raffinée.
Sans réfléchir, je saisis une de ces culottes affriolantes et la porte à mon visage …
Quel parfum !!! L’odeur est forte ; je m’enivre de ses effluves indécentes.
Toute l’intimité de cette femme est présente sur ces quelques centimètres carrés.
Je ferme les yeux quand soudain la porte s’ouvre ! Je me retrouve nez à nez avec Corinne !
Je me liquéfie ! Je m’attends à une esclandre et à être viré manu militari sans avoir touché au dessert !
Au mieux, et je préfèrerais, une gifle doublée de quelques propos injurieux me remettant à ma place.
Au lieu de cela, rien ne se passe … En tout cas, pas ce à quoi je m’attendais.
Corinne ne dit rien. Elle ne me quitte pas des yeux et me sourit.
Elle prend appui contre le chambranle de la porte, croise ses jambes et tout en mordillant le bout de son index, elle se met à dandiner des épaules.
Je la trouve terriblement séduisante et un tantinet aguicheuse.
Elle me dit : » Je ne sais pas pourquoi mais … Je suis flattée. «
A ses mots je ne sais quoi répondre. Inutile de dire que je suis désolé, ce serait complétement puéril.
Elle reprend : » Tu peux la garder. Passe me voir cette semaine en matinée ; je serai seule à la maison. «
Cela confirme ce que je pensais ; elle va toujours droit au but.
Enfin elle termine par : » Je te laisse. Continue. Ce soir, celle que je porte sera encore plus odorante et surtout bien plus humide.
Je vais penser fort à toi. «
Puis elle disparaît en refermant la porte derrière elle.
Je suis stupéfait ! Moi qui imaginais ma belle-soeur » sage « , très classique en amour et de surcroît un peu coincée sexuellement … J’en reste coi !
La journée se termine comme elle avait commencé, à ceci près que Corinne ne cesse de me lancer des regards discrets plein de complicité.
Ponctuellement, sous la table, je sens son pied caresser le bas de ma jambe ; ça me fait bander, j’ai l’impression que ma verge va exploser.
La belle s’est transformée en redoutable prédatrice. C’est elle qui dirige le » jeu » !
Je n’ai qu’une envie : lui sauter dessus et lui faire l’amour, pire, la baiser !
Tentant de rester impassible aux yeux des autres, ce qu’elle, maîtrise tout à fait, je subi ce supplice de Tantale pour le reste de la journée …
Aux questions qui me sont posées, mes » oui, non, certainement » se résument à des » hummhumm « .
Au moment du départ, au beau milieu de l’assemblée, Corinne dépose sur mes joues des baisers prononcés.
Profitant de cette accolade, elle plaque sa main contre ma queue et d’un ton cordial me dit : » À très bientôt « .
Au lendemain de mon aventure psycho-érotico familiale, je me réveille avec une gaule d’enfer !
Il est tôt et je suis seul chez moi.
Je sors de mon lit, les yeux encore embrumés d’une nuit agitée, parasitée par les culottes d’une brune enflammée.
Je descends me préparer un café et m’installe au salon. J’envoie un petit message à ma femme ; le traditionnel : » bonne journée bisous je t aime à ce soir » et obtiens un copier/coller en guise de réponse.
Ceci étant fait, je commence à me poser un tas de questions. Ma belle-sœur, Corinne, peut se vanter de m’avoir mis le cerveau à l’envers. Que dois-je et que vais-je faire ? Partagé entre la moralité et son contraire, mais aussi le contraire de la raison … Tout se confond !
Mon téléphone va rapidement balayer mon indécision …
Sur l’écran apparaît : » Message Port Corinne «
Je lis : » Bonjour Bien dormi ? Tu m’as manqué hier soir ,-) «
Je réponds : » Je n’ai pensé qu’à toi ,-) » me remémorant ma nuit ainsi que cette phénoménale érection matinale.
En retour je reçois : » Envie de traîner au lit … avec toi ! «
Mes doigts pianotent tout en tremblant : » A vite … Très vite ! «
Le passage à la douche est scrupuleux et le protocole qui l’accompagne, appliqué. J’ai rendez-vous avec une Dame.
J’avale les quelques kilomètres qui me séparent de la belle. Mes pensées sont occupées par des culottes souillées, des pieds invasifs et des mains baladeuses.
Arrivé sur le pas de sa porte, l’écran de mon téléphone m’indique la démarche à suivre …
» Entre c’est ouvert ,-) «
A l’intérieur tout est calme, contrairement à moi. Mon cœur bat la chamade, mes mains tremblent, je me sens fébrile … Un nouveau message me fait sortir de ma torpeur …
» Cadeau ! Un petit bout de moi … «
Je balaie du regard le hall d’entrée et aperçois un peu haut plus sur l’escalier, un petit sachet hermétiquement fermé. Je gravis les marches, et rapidement, devine de quoi il s’agit.
Dans le sachet, se trouve une petite culotte brodée de jolies dentelles. J’ouvre le contenant de ce précieux trésor en prenant soin d’y plonger mon appendice nasale. Mon odorat est à son paroxysme.
Je connais cette odeur et peut même lui assigner un prénom : CORINNE !
Tout est là, l’essence de son intimité, son parfum de Femme, les effluves de sa chatte ! L’arôme est gourmand et terriblement indécent !
J’extrais du sachet cette délicate lingerie. Corinne a vraiment dû passer une bonne soirée ! L’entre-jambe est impudiquement taché de nombreuses coulées de cyprine. L’image de ma belle-sœur en train de se masturber tout en me dédicaçant ses pensées, me trouble et me fait bander !
nouveau message : » Impatiente de toi ! «
Je reprends mon ascension pour me retrouver devant la porte de la chambre conjugale qui, bientôt, deviendra adultérine. Sans frapper, je franchis cette dernière frontière qui me sépare de Corinne … Enfin je la retrouve ! Les quelques heures qui nous ont séparés, m’ont semblé durer une éternité.
Du bout de son index, la jolie brune, me signe d’entrer. Sans sourciller, j’obéis à cette plaisante injonction.
La belle est allongée sur son lit, tel un joyau au sein de son écrin. Les fines bretelles de son vaporeux déshabillé, suffisent à habiller ses délicates épaules dénudées. Comme une invitation au plaisir, Corinne écarte les jambes tout en me disant : » Spécialement pour toi « . En guise de cache sexe, elle a revêtu un sublime slip italien entièrement transparent. Le duvet noir de sa chatte tranche avec la blancheur immaculée du délicat voilage.
D’une voix sensuelle, Corinne me somme : » Déshabille toi «
En disant cela, elle ôte son négligé de soie. Ses petits seins sont à croquer. Ses tétons sont proéminents et très tendus ; leur couleur est d’un joli brun foncé.Elle a le ventre plat, un bassin étroit, de fines hanches … Le corps de cette femme de 48 ans est d’une Rare Beauté !
Je ne porte plus sur moi que mon modeste boxer, ce dernier trahissant mon excitation. Le regard de la belle se fige à cet endroit, et toujours sur la même intonation, elle me souffle : » Enlève le doucement ….. très doucement « . Lentement, je fais glisser le sous-vêtement, laissant peu à peu apparaître ma verge. Elle est » énorme « . Soudain, n’étant plus retenue par rien, ma queue se redresse fièrement.
Corinne ne la quitte pas des yeux et reprend : » A nouveau, je suis flattée ! » … » Viens ! «
Je m’agenouille face à elle.
Je m’empare de ses chevilles saillantes qui achève le dessin parfait de ses longues jambes. Sur l’une d’elle, je dépose de légers baisers tout en progressant sur le dessus de pied pied. Ses petits petons sont fins, étroits. Ils sont taillés, sculptés, anguleux. Mes doigts perçoivent leur ossature frêle et fragile. Leur couleur laiteuse associée au vernis rouge dont ils sont parés, offre un rendu du plus bel effet.
Corinne paraît surprise mais se laisse faire …
Ma langue se plaque sur son talon, et très lentement, parcoure sa voute plantaire. Au point culminant, elle s’enlace entre chacun de ses orteils, que je ne manque pas de mettre en bouche. Je les suce, les mordille, les aspire … En réponse à ce massage tiède et humide, la belle s’exprime :
» Waouh … j’adoooore ! C’est la première fois qu’un homme prend soin de mes pieds. Ça me fait de l’effet ! Ma culotte est déjà toute mouillée ! «
Tout en se caressant les seins, Corinne s’offre à moi. Ses cuisses s’ouvrent largement et d’une voix pressante la belle me dit : » Mange moi … Bouffe ma chatte ! «
L’oie blanche devient féline, et j’aime ça !
Mes mains se glissent entre ses hanches et l’élastique de son slip. Je le fait coulisser le long de ses jambes interminables. Sa fente m’apparaît, impatiente, gourmande, offerte !!!
J’adore sa chatte brune et touffue ! C’est un sexe de Femme, originel, charnel, à la maturité assumée et tellement doux au toucher ! Mesdames ne succombaient pas au dictat du minou lisse, rasé, imberbe, sans aucun attrait.
Mon visage s’immisce entre ses cuisses. Corinne est déjà trempée de désir.
Je m’abreuve de son nectar divin,
respire l’essence de son intimité,
je m’enivre de son parfum de Femme,
je sens l’odeur de sa chatte !
Ma langue s’applique à bien lisser ses petites lèvres et converge vers son clitoris. L’extrémité de mon appendice lingual,le titille, le suce, le fait tournoyer, tout en le recouvrant de mes lèvres pour l’aspirer tout entier. Dans le même temps, j’introduis deux doigts dans le vagin de la belle. De mes phalanges perverses, je la visite, la fouille, l’explore …
Corinne laisse filer des : » ouuuuuh ! aaaaaah oui ! continue ! «
Corinne se déhanche, ses fesses chaloupent. Son sexe dégouline de plaisir. Ses gémissements deviennent des cris ! Ma langue s’affole, mes mains sont incontrôlables … !
Soudain tout se fige ! Ma partenaire m’enserre entre ses cuisses tel un étau ! Tout son corps se raidit, traduisant l’intensité du frisson qui la traverse !
Elle me lance un regard profond et ordonne : » Baise moi ! «
Doucement je la pénètre jusqu’à la garde de ma … puis tout aussi lentement, je me retire. Je m’invite à nouveau dans son vagin et entame un lent va vient. Je sens ses mains sur mes fesses et ses ongles s’enfoncer dans ma chair. Ses jambes s’enroulent autour de moi tandis que ses pieds se croisent dans le bas de mon dos. Je sens sa croupe offerte et prête pour cet ultime assaut.
Je cale mon visage dans le creux de son cou et lui susurre des mots doux.
Je ne vois pas son visage mais je devine son sourire …
A l’unisson, nos bassins se rencontrent. Nous sommes tous deux, superlativement excités ! Je bande comme un cerf, bestial et primaire. Quant à Corinne, elle est à présent inondée !
La belle prononce les mots libérateurs : » ouuuuh … ah ouiiiii … Tu vas me faire jouir ! «
Mes coups de reins redoublent d’intensité. Nous perdons pieds et sommes désorientés.
Corinne m’invite : » Viens mon amour … Ouiiiiii VIENS ! «
Dans un dernier râle et un ultime cri, nos muscles convulsent et notre esprit vacille. Notre orgasme partagé est intensément intense et immodérément exacerbé !
…
Puis les corps se relâchent, épuisés,exténués, harassés !
…
Au creux de mon oreille, Corinne me susurre : » C’était délicieux, tu baises comme un Dieu «
Au creux de la sienne, je lui murmure : » Je n’ai aucun mérite, c’est toi qui m’inspire «
Je contemple son visage : » Qu’est-ce que tu es jolie ! «
Corinne affiche un sourire timide : » Merci «
Nous sommes loin, si loin, de tout et de tous !
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