Histoire empruntée sur le net (auteur Patrik)
Souvent, j’avais confié à Diane, ma femme, que j’aurais beaucoup aimé la voir folâtrer un beau jour avec un autre homme. Mais comme presque tout le monde le sait (sauf les gros naïfs ou les mythos) : entre dire et faire, il y a une marge, une grosse marge…
— Ohlala, t’as de ces idées bizarres, mon petit pervers de Pierre !
Avait-elle répondu la dernière fois en secouant la tête. Puis la conversation avait dévié sur autre chose. Au moins, elle ne m’avait pas fait la tête, contrairement à l’expérience malheureuse qu’un de nos amis a eue avec sa légitime ; elle lui en a voulu pendant presque un mois, avec ce que ça comporte de lits à part !
Même si nous ne sommes mariés que depuis cinq ans, j’ai rencontré ma femme durant la première année de collège, en même temps que Christian. Nous avions bien sympathisé tous les trois, mais jamais à cette époque, je n’aurais alors imaginé épouser Diane quinze ans plus tard. La vie est faite parfois d’étranges circonstances…
Ce soir, ma belle Diane est en mini-jupe, chemisier avec soutien-gorge pigeonnant, string et bas autofixants, un bel ensemble qui met en valeur ses jambes, sa magnifique silhouette de jeune femme et sa délicate poitrine. Bref, de quoi mater allègrement pour le plaisir des yeux ! Et au grand désespoir des mains qui ne peuvent pas toujours s’égarer ! Enfin, pas trop… Par contre, contrairement à moi, notre ami commun, Christian, n’est pas censé savoir comment elle est vêtue sous sa mini-jupe !
Durant l’apéritif que nous prenons dans le salon près du billard américain, je remarque sans problème et avec amusement que Christian est très souvent en train de loucher sur le haut des cuisses de ma femme qui est assise juste en face de lui, bien dans l’axe. Hasard ou volonté délibérée de la part de ma moitié ? Je ne saurais le dire… J’ai appris avec le temps que les femmes ne choisissent pas toujours la ligne droite et que leur mentalité est plutôt faite de courbes et de circonvolutions comme leur agréable corps !
Toujours est-il que je suppose que notre invité doit pouvoir entr’apercevoir le haut de ses bas, ses cuisses et peut-être même son string. Mais rien ne se passe, aucune allusion, et je reconnais que je ne lui ai pas non plus tendu la perche. J’aurais peut-être dû… Par contre, je constate avec un certain étonnement que ma femme ne boit pas que du jus de fruit ! Mais je ne dis rien, néanmoins un tantinet intrigué. Puis nous passons au dîner tout en continuant notre conversation.
Juste après l’entrée, je rejoins ma femme à la cuisine pour lui donner un coup de main et aussi parce que j’avais une petite idée en tête :
— Au fait, ma chérie, tu… tu pourrais enlever ton string ?
— Mon string ? Pourquoi donc ?
— Parce que ça me plairait bien…
Elle ne répond rien mais n’en pense pas moins. Toujours est-il qu’elle s’exécute et qu’elle accroche carrément son string à la poignée de porte du meuble qui surplombe l’évier ! Je suis ravi qu’elle l’ait fait ! Je me penche sur elle pour déposer un furtif baiser sur ses lèvres :
— Merci, ma chérie !
— Pas de quoi, petit pervers !
À prime vue, elle est ravie que ça me plaise tant que ça. Je reviens dans la salle à manger le premier, faisant au passage un discret clin d’œil à Christian. Il me regarde intrigué, puis semble comprendre. Quand Diane arrive à son tour, plat en main, il s’exclame :
— Ah une belle entrée en matière !
Ayant fait un grand geste pour accompagner sa phrase à double sens, Christian laisse tomber malencontreusement sa serviette qu’il ramasse aussitôt. Vu le petit sourire qu’il affiche à présent, je pense qu’il a pu apprécier le minou épilé de ma femme. J’en ai confirmation par divers sous-entendus lorsqu’à chaque fois, Diane s’absente… Et aussi par sa subite maladresse à faire tomber ses couverts ou sa serviette sous la table ou à relacer ses chaussures !
Après le dessert, nous prenons le café au salon. Ma femme, qui est indubitablement détendue par l’alcool, nous annonce placidement qu’un de ses bas file :
— Ah, et merde ! Y a un accroc !
— Ah bon ?
Je me demande bien quand cela a pu arriver ! Par contre, ce que je sais, c’est qu’il n’est pas habituel de l’entendre jurer de la sorte. Pour prouver ses dires, elle remonte assez haut sur son ventre sa mini-jupe, au ras du bonbon comme on dit, puis elle tend la jambe pour bien nous faire voir la chose. Christian peut admirer en partie l’abricot bien lisse qui s’offre à ses yeux, tandis qu’il s’agenouille sur le bas en question, ayant à présent le bon angle de vue. Décidément, Christian ne perd pas le nord !
— Ah non, Diane, ce n’est pas un accroc…
— Ah bon ? C’est quoi alors ?
— Juste un peu de sauce, on dirait…
Et mouillant ses doigts, il caresse la cuisse de ma femme afin d’ôter la tache. Et il met un certain temps à ôter cette fameuse tache, il y va même de bon cœur dans le tripotage. Amusée, Diane glousse faiblement. Puis Christian se relève, un sourire radieux aux lèvres.
À notre grande surprise à nous les hommes, Diane laisse sa mini-jupe bien remontée et nous sert ainsi le café, affublée de sa mini-riquiqui jupette ! Ceci fait, elle s’assied à côté de notre invité qui ne tente rien, malgré le spectacle qu’il a sous les yeux. L’atmosphère est indubitablement électrique.
Afin de briser le silence, je propose, de l’air le plus détaché que je peux :
— On se fait un billard ?
— Bonne idée, Pierre !
J’ai l’immense plaisir d’avoir un billard à demeure, près du canapé. Une sacrée occasion suite au décès du père d’un copain, copain qui manquait de place chez lui et dont la femme ne voulait pas de ce nid à poussière (dixit). J’aime y jouer, ma femme aussi, ça nous détend. L’objet en question trône royalement au bout de notre vaste salle à manger-salon.
Queue (celle en bois) en main, Christian demande le premier :
— On intéresse la partie ?
— C’est-à-dire ?
— Avec un gage, par exemple, le perdant enlève l’habit choisi par le gagnant…
Un peu absente, ma femme ne dit rien, elle nous laisse manifestement dire. Je regarde Christian, il me répond par un sourire et une expression du style : advienne que pourra. Et nous avons commencé une première partie.
Avec pareil enjeu, nous les hommes, nous nous appliquons du mieux que nous pouvons ! Par contre, Diane fait quelques bourdes, sans doute liées au fait qu’elle n’est pas restée trop sobre. Bien que le soupçon qu’elle le fasse parfois exprès m’effleure de temps en temps. À la fin de la première partie, ayant gagné, je demande à ma femme :
— Comme tu as perdu et que j’ai gagné, enlève ta mini-jupe, s’il te plaît…
— C’est pas du jeu ! Z’êtes deux hommes contre une faible femme !
Bien qu’intimidée, elle s’exécute. Elle est franchement magnifique, son chemisier qui retombe un peu sur ses cuisses ne cache pas grand-chose, et ce, pour notre plus grand plaisir. C’est fou ce que nous tournons autour du billard afin de pouvoir contempler, soit une belle paire de fesses, ou parfois un entrejambe tout lisse, sans parler de l’effet très érotique de ses jambes gainées de bas noirs ! C’est une très belle partie de billard, assurément !
À la fin de cette partie assez animée, ayant gagné, Christian demande à ma femme :
— Tu as perdu, Diane… Retire ton chemisier, s’il te plaît !
— Pfff ! C’est pas drôle !
Néanmoins, obéissante, elle le retire quand même, apparaissant uniquement vêtue de ses bas et de son soutien-gorge pigeonnant ! Très beau spectacle qui risque de nous faire perdre notre concentration ! Pour ma part, quelque chose est nettement au garde-à-vous dans mon pantalon, et à prime vue, il en est de même chez Christian !
Nous décidons de boire un petit quelque chose. Pour ma part, j’en ai grand besoin avec le spectacle que nous offre Diane. Elle s’assied négligemment dans le canapé, Christian se fait un plaisir de s’asseoir juste à côté. Il ne perd pas de temps !
Je distribue les verres, puis je m’assieds sur le rebord du fauteuil de droite, tandis que Christian complimente de façon détournée ma femme sur sa plastique, comme il dit. Il fait dans l’allusion déviée, ce qui semble gentiment soft, mais je reconnais que, finalement, il y va quand même de bon cœur avec ses sous-entendus ! Quand j’y songe, c’est nettement plus efficace que du simple rentre-dedans…
À mon autre grande surprise, elle ne dit rien quand notre ami commence à avoir la main baladeuse sur son genou puis sa cuisse. À moitié avachie dans le canapé, elle se laisse même aller jusqu’à écarter légèrement les jambes, comme pour lui faciliter l’accès pour plus haut.
Christian hésite. Néanmoins sa main s’aventure de plus en plus loin sur les cuisses offertes. Lentement, doucement, posément. Parfois, le bout de ses doigts frôle l’abricot soyeux. Puis il s’enhardit, caressant furtivement à présent la chatte de ma femme qui se laisse faire. Soudain, elle laisse même échapper un petit soupir.
— Ah zut ! s’exclame Diane, à notre grande surprise.
Elle se lèche puis sort du salon à toute vitesse. Christian et moi, nous nous regardons. Puis ayant reconnu un bruit de porte, je tranquillise mon ami :
— Rien de grave, elle est partie aux toilettes.
— Ouf, tu me rassures ! Je suis demandé si… enfin…
Je ne réponds rien, je viens me placer derrière Christian. Diane revient peu après. Elle se plante au milieu du salon, nous faisant bien admirer tout son corps de la tête aux pieds, puis elle lance :
— Ça fait du bien d’aller au petit coin !
Me penchant sur mon ami, je lui demande à voix basse :
— Dernière partie ?
— Oui, dernière partie !
Alors nous nous regroupons autour du billard, Christian ne pouvant pas s’empêcher au passage de caresser voluptueusement les fesses nues et appétissantes de ma femme qui se laisse visiblement faire avec une certaine satisfaction !
Durant cette dernière partie, ma femme minaude carrément devant les deux mâles en rut que nous sommes, elle s’enhardit même à embrasser furtivement notre invité sur la bouche devant moi. Inutile de dire que je bande d’une façon indescriptible ! À la fin du jeu, Diane est à présent toute nue, fesses et seins à l’air, sauf ses jambes encore gainées de bas. Ça fait peut-être un peu pute mais c’est terriblement excitant de la voir habillée de la sorte ! L’air de rien, comme elle ne peut plus rien enlever (sauf ses bas, mais je préfère qu’elle les garde), je lui propose de faire une gâterie à notre invité qui vient de gagner la partie…
— D’accord, petit vicieux, mais avec de la lumière très tamisée…
— Pas de souci, je m’en occupe tout de suite !
J’allume la lampe de salon, puis je coupe la lumière centrale. Osera-t-elle ? Oui, car elle jette un coussin au sol pour s’agenouiller ensuite dessus ! Avec un naturel désarmant, elle extirpe la verge bien tendue de notre hôte, et sans chichi, elle l’enrobe de ses lèvres. Inutile de préciser que Christian est aux anges !
Moi, je n’en peux plus, tant je suis excité de voir ma belle salope de femme en train de pomper un autre homme que moi. Attisé à mort, je me positionne derrière elle, et sans la prévenir, je commence à me frotter contre elle, puis à la pénétrer doucement. Elle me laisse faire, alors j’entre complètement en elle. Une fois au chaud en elle, je commence à la pistonner sans préambule. Au fur et à mesure, j’accélère la cadence, je ne freine pas le rythme et, totalement exacerbé par la situation, je me mets à jouir trop rapidement.
Ayant ôté la queue qu’elle suce suavement depuis quelques minutes, se tournant vers moi, ma femme râle :
— Regardez-moi ce bonhomme qui ne sait même pas se retenir ! Un vrai lapin !
— Avec une belle garce comme toi, c’est pas facile de rester zen !
— Ben voyons ! Christian, tu veux bien prendre la place de mon pressé de mari ?
Celui-ci répond aussitôt :
— Avec joie !
Ça me surprend que ma femme invite carrément notre hôte à prendre ma place. Elle, pourtant si réservée habituellement, n’hésite plus à prendre des directives.
Christian ne se fait pas prier, et à peine est-il positionné derrière elle qu’il la pénètre sans difficulté. Il faut dire que je lui ai préparé la place ! Il commence doucement puis accélère petit à petit. Il s’agrippe à ses hanches, fermement, possessivement. Ses coups de butoir sont de plus en plus forts, puissants. Frémissante, Diane gémit terriblement :
— Oh oui ! Oh oui !
— Tu aimes ça, n’est-ce pas ?
— Oh oui que j’aime ça !
— Eh bien, n’hésite pas, laisse-toi aller, jouis ! Moi, je vais me faire un plaisir de juter sur tes fesses pour t’en mettre partout !
— Oh oui !
Et elle tend aussitôt ses fesses pour qu’il la pistonne sans relâche. Après une courte cavalcade effrénée, Diane jouit dans de grands cris, tandis qu’il continue son va-et-vient infernal !
Alors que ma femme est agitée de spasmes, il se retire. Puis à son tour, il se laisse aller sur la croupe incendiaire ma femme, lui barbouillant les fesses de sperme. Tout ceci m’a terriblement excité, et bien sûr, je suis à nouveau en forme, prêt à repartir vers la félicité. Nous échangeons alors nos places, lui fatigué, moi à nouveau d’attaque. Quelle étrange sensation que d’aller s’enfouir là où un autre homme vient de ressortir !
— T’es un petit vicieux !
— Avec une salope de ton envergure, faut être à la hauteur !
Et bien agrippé à ses hanches, je lui explique qui possède le manche ! Ma libertine de Diane est dans un état totalement second. En sueur, les cheveux collés, elle halète bruyamment. Chaque fois que l’un de nous jouit, l’autre prend impudiquement sa place. Et cerise sur le gâteau, ma femme offre la plupart du temps à celui qui s’enlève un nettoyage en règle !
Nous l’avons prise à tour de rôle au moins deux, trois ou quatre autres fois chacun, je ne me souviens plus, tant j’étais épuisé, l’esprit hagard, des étoiles devant les yeux. Christian git dans un coin, Diane est avachie, repue, dégoulinante de sueur et de sperme !
Il y a des moments où on se dit que, maintenant, on peut mourir heureux. Je crois que je suis en train de vivre un tel moment ! À la seule grosse différence que je souhaite recommencer encore et encore ! Il y a certaines portes ouvertes qui donnent une magnifique vue sur de nouveaux paysages enchanteurs qui donnent l’envie irrépressible de les découvrir !
Toutes les bonnes choses ont une fin. Christian souhaite repartir chez lui. Fatigué, vanné, il nous demande avant de franchir le seuil :
— Promettez-moi qu’on remettra ça dans peu de temps !
— Pas de souci, plutôt deux fois qu’une !
— Tu veux dire trois fois ?
Nous rions de bon cœur ! Je le raccompagne chez lui et nous discutons pendant le trajet. Il a été très surpris de découvrir ma femme si chaude en privé car il se l’imaginait plutôt timide. Moi aussi…
Arrivé devant chez lui, restant au volant, je le laisse descendre, je vois bien qu’il n’a qu’une seule envie : dormir ! J’aimerais bien faire la même chose que lui, car je suis épuisé, mais il me faut rentrer ! De retour à la maison, Diane me saute carrément dessus :
— Quelle soirée, mon amour ! T’es content de ta petite cochonne de femme ?
— Tu as largement dépassé mes espoirs les plus fous !
— Tant mieux, tant mieux ! Au moins, tu as été agréablement surpris !
— Ah ça, ma chérie, tu peux le dire !
Je l’enlace, la serrant contre moi, tout en continuant mon propos :
— En tout cas, c’est quand tu veux, où tu veux !
— T’es un petit profiteur, toi !
— T’es une adorable garce, toi !
— Ah oui ? Tu ne crois pas si bien dire !
Puis se laissant glisser vers le bas, elle échappe à mes bras. Arrivée à bonne hauteur, elle déboutonne ma braguette, puis sans plus de chichi, elle engloutit mon sexe déjà raide. Avec assurance, elle le fait coulisser de plus en plus profondément dans sa bouche, puis lentement au fond de sa gorge. S’appliquant comme elle le peut et résistant à un réflexe de déglutition, elle m’offre une admirable gorge profonde, à laquelle je ne résiste pas : je me laisse complètement aller, me déversant directement dans son œsophage.
— Oh oui, quelle bonne salope tu fais !
Je ne peux décrire ce que je ressens, mais c’est divin ! Je plane par-dessus les nuages sans avoir besoin de substance illicite. C’est un admirable cadeau qu’elle me fait avec cette gorge profonde !
Puis elle retire ma tige amollie, me fait quelques léchouilles tandis que je redescends doucement sur terre. Toujours agenouillée devant moi, elle lève la tête, me regardant droit dans les yeux. Puis d’une voie vicieuse, elle susurre :
— Tu vois tout ce que je peux accepter pour te faire plaisir ? Pour que cette soirée reste inoubliable ?
Il est clair que je ne peux la contredire…
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