Robin nous a rejoint directement à la chambre d’hôtel, ou nous avons fait connaissance. Un grand black cuivré, souriant, au crane lisse comme tout le corps, ce que je découvrirais à peine plus tard, tout à fait gentleman bien élevé. Lui me connaissait déjà par JF, il avait eu le temps de murir son désir. Il cherchait une maîtresse et JF lui a proposé sa femme.
Faire l’amour devant le mari, c’était une première qu’il a eu envie de vivre. Les présentations, les bises, et déjà les compliments. « Votre mari m’avait montré des photos mais réellement vous êtes plus que charmante ». Il a continué sur le même ton le temps de quelques bulles accompagnées des chocolats qu’il avait apportés en plus d’un joli bouquet.
Faire connaissance, se séduire, le temps d’apprécier l’un et l’autre le choix proposé par JF, l’ordonnateur de cette soirée libertine.
Il me plait et je sais que c’est réciproque, cela se ressent en peu de temps et JF déjà me jette un regard de connivence, il sait que la soirée sera délicieusement coquine.
Dès que JF s’éloigne discrètement au fond de la suite, Robin se rapproche de moi tout en restant attentif à la présence de mon mari, il mesure ses gestes. Il me prend la main en m’offrant de mordre un chocolat, et glisse un baiser dans ma nuque, un frisson léger me parcours le corps. L’autre morceau de chocolat et nouveau baiser dans le cou, une main sur mon genou glisse vers ma cuisse, à peine. Il lance un sourire que je rends en inclinant le visage, nos regards se croisent, il m’embrasse, on s’enlace. Tout en déposant ses lèvres sur mes épaules il me déshabille lentement, délicatement.
Nous sommes face à nos envies. Son parfum me plait suave et sauvage. Bel homme à mon goût. Il défait un par un chaque bouton du chemisier et continue ses baisers sur mes épaules, mes bras ou mes mains. Ne rencontrant aucune réprobation dans l’attitude de JF dissimulé dans la pénombre de la suite, Robin s’enhardie définitivement.
Quand il dégrafe le soutient gorge, il s’arrête, contemple, et me félicite pour ma poitrine ronde et douce. Il en fait le tour d’une main, l’autre sur mon épaule avant que son visage se penche et qu’il embrasse chaque sein et entre les deux en enfonçant son visage. Sa peau est douce, il est délicat avec mes tétons tout comme j’aime. Puis il se relève et m’embrasse à pleine bouche après un sourire radieux.
Je défais les boutons de sa chemise et pose mes mains sur ses muscles et sa peau lisse et ferme. Ensuite il m’allonge plus haut sur le lit, retire la jupe avant la culotte, mes chaussures étaient déjà au sol. Nue face à lui, couchée sur le dos, il m’observe et me complimente, « que vous êtes belle Muriel », et faisant mine de se tourner vers JF mais en me regardant droit dans les yeux « vous ne m’avez pas menti ou plutôt si un peu, Muriel est plus attirante encore en naturel ».
Je me redresse pour défaire la ceinture de son pantalon, que je glisse au sol. Je lui laisse le soin de se défaire des chaussettes et des chaussures et je me charge finalement du boxer. C’est une sorte de satisfaction de découvrir le dessin du sexe bandé simplement par les premiers contacts tout juste un baiser et des regards. Je suis impressionnée par la dimension qui se dessine. Je fais glisser l’élastique en prenant soin de ne coincer ni déformer le membre gonflé, tendu… Mon fantasme à portée de main,… de bouche… Il reste debout, moi assise. Je m’occupe de son plaisir.
Progressivement je me détends et je sens que Robin apprécie, il souffle plus fort et entame une sorte de va et vient prudent. Il fait attention à ne rien brusquer, à ne pas m’effrayer et surtout à ne pas s’imposer….il me laisse le temps d’accepter et de prendre confiance en lui.
Le temps de s’allonger l’un contre l’autre arrive et j’aime sa manière de m’enlacer, de me caresser et de glisser son sexe contre mon ventre, entre mes cuisses ou sur mes seins. J’ai l’impression de ne rien peser entre ses bras tellement il me tourne, me soulève avec facilité pour embrasser chaque parcelle de mon corps. Ses mains sont partout à la fois douces et discrètement curieuses.
Cette auscultation produit un effet sensible sur son membre qui durcit et se rigidifie encore en se redressant contre son ventre. Je cède à mon envie de le gouter, de le sucer et contempler la fente du gland qui va s’ouvrir sur le fluide lubrifiant. Je masturbe, suce, goute et observe, tout en m’excitant de mon propre pouvoir sur mon amant. Je pense déjà aux sensations qui m’attendent à la pénétration…je sais les effets si particuliers de ce membre associés a cet amant attentif. Je lui plais et, à cet instant, cet homme là est amoureux de sa maîtresse, de la femme qu’il reçoit en cadeau, il veut montrer qu’il a envie de moi, il veut me faire jouir, il veut que mon mari sache qu’il apprécie d’avoir été choisi et qu’il va être attentif a mes plaisirs, fier de sa virilité arrogante.
Robin est vraiment un beau fantasme, la silhouette, la peau, le comportement et le sexe robuste. Je m’abandonne volontiers, j’ai envie d’être à lui, envie de partager nos excitations sans retenue. Je sais, je ressens les regards de JF, il me voit toute disponible, toute heureuse et réjouie d’être l’amante de ce bel étalon.
On se complète à merveille, nos envies se rejoignent, nos excitations se partagent totalement. Alors on roule, on s’embrasse, je le suce, il visite ma fente de sa bouche, l’ouvre de ses doigts et bientôt il me pénètrera.
Je suis trempée d’excitation, je lui tends mon sexe pour qu’il boive ma mouille abondante. Qu’elle excitation de sentir sa langue me lécher puis l’entendre ensuite déglutir, boire, alors que ses lèvres pincent mon clito. Je le serre et enfonce sa tête entre mes cuisses ouvertes sur ma fente offerte ou j’arrache les draps ou m’agrippe au matelas en criant, en gémissant, en couinant mes extases. Cuisses ouvertes, jambes relevées en totale impudeur, je veux ce mâle en moi.
Je veux montrer combien je suis comblée par Robin, que JF me voit fondre et me donner. Je me donne en effet, mon bassin se soulève, se balance pour aller au devant des envies de mon amant, mes seins se tendent durs à ses regards, à ses mains, ou ma croupe s’offre, sexe ouvert.
Robin sait me combler et me fait vivre plusieurs orgasmes tremblant sans me laisser respirer, juste du bout de ses doigts et de sa langue.
Malgré tout, un instant, j’ai besoin de souffler un peu ….et mon visage sur son ventre je regarde, j’observe, je me délecte de son membre imposant. Mon fantasme toujours exacerbé par la taille que je vais recevoir tout à l’heure…JF se caresse en regardant ma bouche déformée par la grosse queue que je suce et masturbe. Quelle excitation que ce regard échangé ! Notre amour pervers en résumé.
Perversité totale entre tous en effet, je suce un autre devant mon mari et tous on s’excite de ce jeu, Robin aussi perçoit ce sentiment étrange de se laisser faire devant le mari de celle qu’il va prendre.
On attend encore le moment de la pénétration, ce moment si particulier quand même ou je deviens la proie offerte, ce moment de l’abandon définitif, ce moment ou l’amant devient maître.
Je le veux, je veux être prise, il le sait, le ressent, dans mes tremblement, mes mouvements sans équivoque. Je fini par demander « viens, viens, entre ! »
Alors je m’offre, sur le dos, jambes ouvertes, lui se dresse au dessus de moi, approche son gros dard tout gonflé, tout raide d’envie. Il regarde ma foune ouverte, je me saisi de son membre pour le guider, et doucement, toutes nos émotions concentrées au même endroit, on regarde le membre qui entre, qui s’infiltre, glisse et s’englouti.
Mon petit cri tête renversée, je le reçois en moi. Que c’est bon ! que c’est bon ! J’aime cette sensation d’abandon, la puissance du mâle, être dilatée, remplie et jouir des frottements, des mouvements de ses cuisses sur les miennes, de ses boules sur mes fesses et de nos regards qui ne se quittent pas. Il me baise comme je savais, comme j’espérais, toute entière à cet amant aimant. Il me veut du bien, veut me donner tous les plaisirs. Il scrute mes réactions, mes soupirs, mes gémissements, mes cris, les mouvements de mon visage, de mes cuisses et de mon ventre à l’intérieur ou son sexe s’enfonce ou recule. C’est bon et je dois l’affirmer la dimension du sexe y est aussi pour quelque chose.
On prend tout le temps des plaisirs, on déguste, on se plait, on profite, on calme, on reprend plus ardant, sans mot, juste mes vibrations, mes souffles, mes soupirs, mes frissons pour le guider. Je souffle en rythme comme une petite chienne quand il m’astique et me lime. Puis il me fait jouir, il le sait par mes petits cris et les mouvements internes de mon vagin. « Continue encore !» Je ne veux pas qu’il arrête pour autant, j’en veux encore. Alors il me donne, plaqué au fond de mon ventre, son membre me bourre et maintenant me défonce avec vigueur. Excitée davantage impossible !
Que c’est bon le sexe ! Que c’est fou la tête à l’envers ! Je suis à prendre toute entière, je suis à lui comme une folle excitée. Ma foune suce, absorbe, aspire, sa grosse bite. Nos sueurs coulent, ma mouille se répand sur nos cuisses, nos ventres claquent à ses mouvements…et là je le sens venir. Je m’agrippe a Robin, tremblante, en sueur et mouillée, je l’encourage « viens, viens, viens ! »
Il se couche de tout son poids sur moi, passe ses bras sous mon dos, mes fesses dans ses mains. Il se crispe, se tend, se raidi totalement. Il écrase mon clito, mes cuisses, mes seins et le fond de mon vagin. Il enfonce un doigt dans mon anus et son visage dans mon cou, il râle et là on explose ! Accouplés !
Mains et pieds à la retourne, tétanisée sous le mâle, je jouis de son éjaculation. Ses spasmes de spermes tapissent mon ventre et le chauffe. Un éclair fulgurant dans la tête, perte instantanée de conscience…ai-je crié ? Je ne sais plus, je ne respirais plus…partie, disjonctée, anéantie.
Je tremblais convulsivement, m’a raconté JF plus tard. Le drap trempé de mouille, oui j’ai poussé un cri de folle qu’il ne me connaissait pas…
Robin me repose sur le lit en se dégageant de mon antre, je lui souris dans nos mouvements, comme au ralenti. Je ne sais plus ou je suis, tout est blanc, souffle profond…
Je reviens à la vie après cette extase formidable ! Impudeur de l’inconscience, je reste jambes écartées, sexe à l’orifice ouvert et luisant. Je sens s’écouler le trop plein de semence blanche. Bras relevés au dessus du visage, je regarde hébétée les deux hommes penchés sur moi.
Quel orgasme ! Quel orgasme…. !
On pourrait en mourir ?…..je n’y suis pas prête mais quelle belle fin si elle arrive dans 100 ans…sourire.
Quelques bulles pour me ressusciter. JF embrasse mes mains et Robin plus loin se rassure, je ne suis pas morte ! Lui non plus n’avait jamais vécu une telle onde de choc…
JF fait servir un buffet léger. La femme de chambre pas troublée pour un sous, retape le lit, change les serviettes et nous salue en sortant. M’envie-elle, me plaint-elle, ou bien elle s’en fiche…une autre histoire…
Plus tard je gouterais encore un peu de cet amant étonnant, trop envie de lui. Je suis insatiable ! Rire.
Tous deux allongés sur le côté, Robin, dans mon dos, me prend. JF nourri sa libido au spectacle érotique que joue sa femme faisant l’amour avec l’amant qu’il lui a choisi. Le gros gourdin de Robin enfonce et écarte mon orifice de femelle, ses boulles glissent sur ma cuisse, mon visage grimace mes jouissances, mes seins l’un après l’autre enveloppés et écrasés par la main de mon amant ardant, l’autre main passée sous mon corps serre ma hanche ou titille mon clito et l’entrée encombrée de mon sexe. Tous deux épilés, les sexes qui s’emboitent confèrent une autre dimension érotique, plus enivrante, plus fascinante.
J’aime particulièrement cette position ou l’amant me chauffe tout le dos de son corps, et dispose de ses mains devant. Il est crispé, lui aussi, sous l’excitation de nos peaux en contact total, nos corps joints, jambes mélangées et les plaisirs intenses qu’on se donne. Je prends aussi les boulles de Robin que je tapote et la base de son sexe que je caresse. Coquine, friponne, malicieuse, espiègle, j’excite mon amant…Il m’embrasse dans le cou, souffle dans ma nuque, pendant que je souris à JF, perversité à son comble. L’un me réjouit, l’autre mate et s’excite.
JF observe nos deux visages et vit avec nous les sensations de plaisirs qui naissent de nos sexes fusionnés. Tout mon corps vibre des jouissances de mon amant et des échanges de regards et de sourires pervers avec mon mari. Robin aussi est excité par la présence de JF qui le regarde prendre sa femme. Il me bourre, me fourre avec minutie par de grands coups de reins sonores et ses mains me plaquent contre lui.
Il faut se lâcher ! Robin me prend. ! On jouit, on grogne encore. Intense et brutal, son feu me transperce, son jus tapisse mon vagin.
Robin se retire délicatement en m’embrassant langoureusement, je savoure ce coït en lui offrant ma bouche, deux vrais amants, je caresse doucement ses fesses rebondies.
Il est temps de me tourner vers JF, mon mari Je reste offerte, allongée sur le dos, cuisses encore ouvertes, appuyée sur mes coudes, il se penche sur moi.
Il a gardé intact l’énergie de son désir pour me prendre à la suite…
Notre accouplement pervers de couple libertin je le veux aussi. Robin comprend et s’éclipse vers la salle de bain.
A cet instant je suis profondément perverse, aguicheuse, vraie salope.
Je veux mon mari à la suite, sans attendre. Je veux que mon corps passe d’un sexe à un autre sexe.
Je m’offre à mon mari, prise l’instant précédent par Robin.
Mon antre va se remplir d’un autre jus.
JF plonge en moi, mon sexe dilaté et ensemencé reçoit le sien tout raide…Il coulisse dans mes liquides, mouille et sperme, avec des sons pornographiques qui nous transcendent.
Je le veux lui, si, là, maintenant ! Mon cœur bat toujours fort, mon souffle à peine calmé, pourtant je suis prête à le recevoir, à être baisée encore, être prise sans attendre.
Recevoir un autre sexe tout dur sans briser le rythme des désirs, des excitations. Je suis excessive, désireuse d’être palpée et transpercée encore, continuer le même plaisir, les mêmes excitations, les mêmes mouvements érotiques.
Sur le grill, à point donc, on n’attend pas. Il me fait jouir, mon excitation déjà au sommet ! Que j’aime comme il m’aime et me baise profond tant je suis ouverte, épanouie, chaude!
Je lui donne mes larmes de bonheur au moment fatidique…
Baisée, satisfaite et amoureuse de son homme, voilà la femme que je suis dans cette petite mort…je m’endors dans ses bras.
Ajouter un commentaire