Cette fois ça y est, je me suis fait pincer… Mes jambes sont devenues de la guimauve, mon cœur bat la chamade et je sens le feu monter aux joues… En arrivant dans le bureau du Directeur mes yeux sont tombés sur l’écran d’ordinateur et dès cet instant j’ai tout compris. Cette invitation à venir le voir ce n’était certainement pas pour faire la causette. Non certainement pas puisque les images qui défilent sur cet écran sont le résultat de plusieurs heures de recherche sur internet. Elles ont en commun d’être toutes orientées sur le SM. Aussi, je m’interroge : que font-elles là ?
Le Directeur se lève, contourne le bureau, il se poste devant moi et : » Diane, ferme la porte je t’en prie. » dit-il doucement à sa secrétaire que je n’avais pas remarqué à mon arrivé puisqu’elle se trouvait adossait au mur près de la porte. Il ne faut pas être devin pour deviner que je vais me prendre une soufflante. Pourtant, je décide de ne pas leur laisser le temps de réagir, et je tente de dédramatiser la découverte. » Je vois que vous êtes tombé sur des fichiers à scandales » dis-je avec un sourire de connivence. Mais pour toute réponse le Directeur m’envoie une gifle qui me fait tituber par effet de surprise. Quelques secondes s’échappent, le temps que je me remette de cette » effet de surprise « .
» Ces fichiers, Diane les a découverts alors qu’elle cherchait ce matin le fichier comptable dans votre ordinateur. Elle m’a donc aussitôt rapporté sa découverte. » expliqua t-il.
» Sans compter la correspondance douteuse qu’il entretien avec les obsédés sexuels de la planète » lance la secrétaire.
» C’est pour passer le temps le midi pendant la pose » bredouillais-je.
Le Directeur retourna derrière son bureau s’asseoir, me montra la direction de la porte en ajoutant que je recevrais une convocation par recommandé pour me signifier ma sanction…
…Les balais d’essuies glace raclent le pare-brise avec la précision d’un métronome, je roule sous la pluie vers mon domicile. Perdu dans mes pensés, je vois à peine les voitures que je croise. Il faut que j’annonce à ma femme que je vais être convoqué pour une connerie, j’ai tellement honte que je ne sais plus si je dois dire la vérité…
…Finalement tout s’est bien passé avec mon épouse. Pour elle, il n’y a pas de doute tous les hommes en font autant et il veut simplement me faire peur pour que cette manie cesse avant que je ne sois plus efficace dans mon travail. Aussitôt, je changeais de sujet afin d’oublier cette malheureuse journée. Il a tout de même fallu quelques jours avant que cette convocation n’arrive. C’est ma femme qui l’a remise dans les mains avec cependant un air maussade que je ne comprenais pas puisqu’elle ne semblait pas fâchée quelques jours avant. J’étais donc convoqué demain matin à mon arrivé. Une nouvelle comme celle là, ne vous aide pas à trouver le sommeil aussi j’ai du me faire v******e pour me lever le matin de la convocation. Mais l’essentiel pour le coup était d’arriver à l’heure…. Mission accomplie… C’est Diane qui m’accueilli à l’entrée du bureau.
» Allons-y, plus vite se sera fait mieux se sera. » dit-elle
» Bonjour monsieur le Directeur ! « lançais-je.
J’espérais bien que leur montrer que j’étais sans rancune adoucirais le climat de nos relations. Il ne répondit pas se contentant de me toiser. Il était debout devant son bureau sur lequel il s’assied à présent.
» Vous me décevez beaucoup » commença t-il,
» J’avais confiance en vous et dans votre professionnalisme et vous gâchez tout. «
» Voyons ce n’est pas si grave monsieur le Directeur… » soupirais-je
» Au contraire, je ne veux pas que ce comportement contamine tout le service. Alors je ne vois qu’une seule solution, VOUS _ VI _ REZ. » aboya t-il.
Là tout mon monde s’effondre… Je suis abasourdi par ce que je viens d’entendre. » Mais heureusement que Diane vous apprécie tout de même un peu car il y a quand même une échappatoire pour que vous conserviez votre poste et que l’on oublie cette faute de conduite. «
Je me retourne car j’entends Diane verrouiller la porte du bureau. Elle revient jusqu’au bureau et pivote l’écran de l’ordinateur vers moi.
» Sais-tu faire pareil ? » me demanda t-elle.
» Non, vous plaisantez ? » répondis-je avec le réflexe de détourner les yeux de l’image de cet homme qui en suce un autre.
» Mais si tu sais » dit-elle alors que je relevais la tête juste pour la voir sortir le sexe de la braguette du Directeur toujours appuyait au bureau.
Il ne bandait qu’à moitié et paraissait déjà bien gros ! Diane s’approcha et avant que je puisse esquiver, elle m’att**** par une oreille et m’oblige à fléchir les genoux pour m’agenouiller devant le sexe de mon Directeur.
» Allez, maintenant tu vas le sucer et nous oublierons cet écart de conduite. » dit-elle.
» Non vous ne pouvez pas faire ça, je peux porter plainte… » marmonnais-je en tentant de retenir la main qui me tire l’oreille. La garce si je ne la retenais pas elle m’arrachera l’oreille, la douleur est insupportable. Je suis contraint de coller mes lèvres au gland de ce connard.
» Ouvre la gueule » dit-il comme à un chien. » Tu as une bouche de salope, aller suce et suce bien. «
Son sexe avait grossi, il me forçait les lèvres, je cédais et sa queue m’emplit la bouche. Elle avait un goût salé et elle se mit à aller et venir doucement sur ma langue.
» Aller suce ou elle te décolle l’oreille » dit-il
» Oui comme ça, vas-y utilise ta langue, montre-nous à quel point tu es un pervers » poursuivit-elle.
Je n’avais plus le choix, je m’appliquais donc à sucer, lécher cette bite pourvue que cette douleur qui m’irradie l’oreille cesse. Mon Directeur donnait de petits coups de hanche qui m’envoyait de plus en plus loin son sexe dans ma bouche. J’eus un haut le cœur lorsque celle-ci buta dans le fond de ma gorge et un mouvement de recule vite rompu par la secrétaire qui d’une main ferme appuya ma tête contre le bas ventre de l’homme qui m’utilisait. Il marmonnait, gémissait de plaisir puis soudain je sentit un liquide glaireux m’envahir la bouche et éclabousser le fond de ma gorge. Je ne pouvais m’empêcher de tousser, la secrétaire agrippa mes cheveux pour me tirer le visage en arrière ce qui me permis de me libérer de la queue du Directeur qui finissait de répandre son jus de couille sur mon visage. Je me dépêchais d’avaler afin de rapidement reprendre une bonne bouffée d’air. La secrétaire profita de cet instant de répit pour me projeter à terre.
» Ce petit salop est peut être un pervers, il n’est pas forcément un bon suceur » lança le Directeur à la secrétaire, puis ajouta : » Je compte sur toi pour lui apprendre à mieux se servir de sa bouche et de sa langue. «
Elle me lança un paquet de mouchoir en papier et sur un ton sec me dit de me débarbouiller le visage et de me dépêcher de retrouver une apparence convenable pour filer rapidement jusqu’à mon bureau et commencer enfin ma journée. Je ne me faisais pas prier, bien trop pressé de quitter ce bureau où je venais de donner un spectacle peu reluisant de ma personne. Le reste de la journée se passa sans que je ne revoie les deux complices de ma déchéance. Heureusement car, je me sentais vraiment déprimé et anéanti par cet épisode le plus embarrassant de ma vie. Ce soir là, mon épouse a bien senti que quelque chose n’allait pas mais le mis sur le compte de la mauvaise humeur. Elle s’imaginait simplement que je n’étais pas très heureux de m’être fait brimer par la direction et que dans les prochains jours tout redeviendra comme avant. Moi je savais que désormais plus rien ne serait comme avant, je m’étais laissé avilir pour ne pas perdre mon travail comme si je n’avais pas le choix. Cette nuit là, vous comprendrai que je n’ai pas facilement trouvé le sommeil, mais je me décidais tout de même à démissionner demain. Je ne pouvais pas m’enfoncer dans un tel dérapage et ma femme comprendra bien que je ne puisse plus retrouver la même motivation à travailler pour une entreprise qui sait que je fais de son informatique pendant la pose le midi…
… Ce matin, j’ai quitté ma femme après lui avoir expliqué que je ne pouvais plus continuer à travailler pour mon patron. En tout cas plus après les évènements de ces derniers jours. Elle ne sait rien bien sûr de ce rôle dégradant que j’ai tenu la veille. Elle n’est pas ravie de cette décision mais je crois que je suis capable de retrouver très vite du travail. A mon arrivé dans l’entreprise, je décrochais le combiné du téléphone de mon bureau et composais le numéro du Directeur pour lui demander un entretien que je pus obtenir de suite. C’est donc d’un pas décidé que je me dirige vers ce bureau qui fût hier encore le théâtre de mon humiliation…
La porte du bureau est ouverte, je frappe avant d’entrer.
» Allez-y » me répond t-il sans me voir.
» Monsieur, je viens vous remettre ma démission en main propre » lui dis-je en déposant ma lettre sur son bureau.
Ses yeux couleur bleu acier se lèvent enfin vers moi, ils me transpercent comme les pointes acérées d’une flèche. D’un geste sa main att**** une bande vidéo rangée près de son bureau et la dépose a coté de ma démission.
» C’est une décision qui vous appartiens, je l’accepte après les cochonneries dont j’étais témoin hier mais réfléchissez bien… Ce n’est pas facile de trouver un bon emploi aussi bien payé que le vôtre et puis votre épouse ne serez pas très heureuse de découvrir votre prestation d’hier sur cette cassette… «
Prestement, je me saisis de cette cassette comme s’il pouvait s’agir du seul exemplaire, qu’une fois en sa possession, je ne risquais plus rien. Mais je savais à son rire sadique, qu’il devait y avoir une copie à l’abri.
» Vous savez, je n’envie pas votre position. Je crois que vous aller reprendre votre lettre de démission et reprendre votre travail » me dit-il doucement comme s’il s’agissait de me convaincre par hypnose.
Alors que j’allais franchir la porte de son bureau, il m’averti que j’aurais bientôt des nouvelles consignes de travail. La journée se passa comme si de rien n’était. Une fois monté dans la voiture pour retourner à la maison, je me souvint que je possédais une cassette vidéo particulière qu’il me fallait absolument dissimuler. Sur l’instant, je n’ai rien trouvé de mieux que le compartiment où se trouve la roue de secours soit dessous le tapi de la malle arrière. Une fois rentré, il me fallais expliquer à mon épouse que je ne démissionnais plus. Elle me trouva quelque peu perturbé et entrepris de me détendre en m’invitant dans notre chambre a coucher. » Allonges-toi mon chéri, tu as besoin de te détendre un peu «
Je m’assois sur le bord du matelas pour défaire mes chaussures quand brusquement, elle me bascule sur le lit pour se jeter sur ma ceinture et la déboucler. Je tente de me redresser pour l’embrasser mais elle me repousse et descend ma fermeture éclair. Sa main caresse puis masse mes couilles et ma bite à travers mon slip. Elle me tient par les sentiments cette fois, je me laisse donc aller à sa caresse qui ne tarde pas à raidir mon membre. Une tâche apparaît sur mon slip, du liquide s’échappe du méat. Une odeur de mâle, d’excitation se répand dans la pièce. Ma femme se frotte le visage contre ma queue qu’elle mordille à travers le tissu. Sa main glisse dans mon slip pour extirper son jouet de son emballage.
» Elle est déjà bien dure chéri, je te fais beaucoup d’effet je vois «
» Attends de l’avoir dans la bouche, ma chérie, elle va encore prendre du volume. Alors suce-moi bien ma petite salope ! «
» Tu l’aimes ta petite salope hein ! «
» Oui surtout quand elle ouvre la bouche pour me pomper plutôt que de parler » Aussitôt, elle enfourne ma pine dans sa petite gueule. D’abord le gland qu’elle suçote doucement calmement puis elle avance de plus en plus loin mon membre vers sa gorge. Toujours calmement pour bien s’habituer à l’intrusion de ce cylindre de chair qui risque de lui provoquer des hauts le cœur.
» Hum ! C’est bien… Continue ma petite pute… » Je commence à gémir et elle, accélère progressivement le rythme. Ses lèvres viennent presque jusqu’à mon pubis. C’est une très bonne suceuse, elle est presque capable de prendre mes 16 cm. Je sens mon gland buter au fond de sa gorge. Maintenant, elle m’att**** les couilles, les malaxent avec fermeté. Ma respiration s’accélère.
» Ah ! Oui, je jouis, je jouis. Ah oui saaaaalopeeee ! ! ! ! «
Trois ou quatre longs jets de foutre explosent dans sa gorge. Surprise, elle hoquette, tousse, dégage ma bite et essuies d’un revers de main le foutre qui s’écoule de sa bouche.
» Salop, tu aurais pu me prévenir ? ? ? » s’énerve t-elle
» Excuse-moi mais j’essayais de me contrôler pourtant «
Elle remonte vers moi et dans un baiser langoureux, nous partageons les restes de mon éjaculation. Vraiment je l’aime beaucoup.
Pas loin de deux semaines se sont écoulées depuis ces évènements mais rien ne semblait devoir changer dans mes activités professionnelles. Je dirais même que le Directeur ou Diane quand il m’arrivait de les côtoyer, semblait me porter un regard indifférent. J’aurais presque oublié cet épisode malheureux si ce matin Diane ne m’avait pas fait demander à son bureau.
» Monsieur le Directeur m’a demandé de vous remettre ceci. » elle me tendis une grande enveloppe que j’ouvris prestement comme pour faire preuve d’assurance. Et pendant que je découvris une pochette avec un billet d’avion et une lettre d’invitation à un séminaire, Diane m’expliquais que je devais prévenir mon épouse que je devrais m’absenter durant deux semaines pour un séminaire en Australie. Un voyage bien entendu factice, que ces différentes pièces que j’avais entre les mains étaient destinées à justifier aisément mon absence auprès de ma femme.
» Je ne comprends pas… Si je ne vais pas en Australie où vais-je exactement pendant deux semaines ? » lui demandais-je.
» Tu viens avec nous, dans une école où tu iras de temps à autre pour apprendre tes nouvelles fonctions « .
Je me souviens alors que le Directeur m’avait prévenu que j’aurais de nouvelles fonctions, mes lesquelles ?
» Tu nous attendras sur le parking de l’entreprise samedi matin à 9 h 00 précise, maintenant retournes travailler ! » me dit-elle d’un ton sec. …
Samedi matin, il n’est plus très loin de 9 h 00. Mon épouse a décidé de m’accompagner histoire de reprendre la voiture pour ne pas la laisser sur un parking avec le risque de ce la faire faucher. Une BMW de couleur foncée approche doucement, je reconnais le Directeur au volant. Elle s’arrête à coté de nous. J’embrasse une dernière fois mon épouse pas très ravie de me voir partir deux semaines. Pour elle, je n’ai rien perdu de la confiance qu’ils ont dans mon travail et finalement ce séminaire est plutôt rassurant quant à mon avenir professionnel. J’installe mes valises dans le coffre de la BMW que le Directeur à ouvert après avoir salué aimablement mon épouse.
Le silence règne à bord de la voiture, depuis que je suis monté, il n’a pas prononcé un mot. Il ne doit y avoir guère plus de 5 ou 6 kilomètres parcourus quant la voiture s’arrête sur le bord de la route.
» Descends et grimpe dans le coffre sans poser de questions ! » m’ordonne t-il d’un très sec. Je n’ai pas envie de discuter et comme il ne semble y avoir personne sur cette route, je m’empresse de descendre et de faire ce qu’il me dit avant qu’une voiture n’arrive et que l’on remarque ce petit manège.
Le trajet semble long, je commence à avoir très chaud, je transpire. Au bout d’un long moment l’air me manque, j’étouffe… Je somnole…
D’abord un rayon de lumière, puis une sensation d’air frais me firent revenir à moi. Je n’eu pas le temps de me remettre complètement de ce voyage que je sentis deux mains me saisir par les aisselles. On me retira du coffre de la voiture en m’élevant dans les airs. En l’espace d’une seconde une espèce de sac en ce qui ressemble à du latex m’enveloppa la tête et une piqûre transperça l’épiderme de mon bras.
Je n’ai plus trop la notion du temps, il me semble avoir dormis des heures mais je ne sais trop combien de temps à vrai dire. J’essais de bouger mais je suis comme paralysé, je découvre que je suis allongé sur le dos, les jambes écartelées au maximum, maintenues dans des étriers. Les bras sont étirés au dessus de ma tête mais je ne peux pas voir ce qui les maintiens joints car je porte encore cette cagoule pleine d’humidité dû à ma respiration. J’entends des voix…
» Il revient à lui » dit une voix féminine
Une autre voix féminine répond :
» Très bien nous allons lui expliquer ce que nous allons faire et nous pourrons commencer le programme. «
» Je vérifie une dernière fois le matériel pendant ce temps «
» Maintenant que tu es revenu à toi, je vais t’expliquer ce qui t’attends ici durant deux semaines. Tes propriétaires t-on amenés ici pour subir un premier traitement de choque qui t’obligera à accepter ta nouvelle condition d’esclave. En deux semaines seulement tu auras tellement souffert que tu accepteras de te soumettre à n’importe quelles ordres de tes maîtres «
J’avoue que je commence à paniquer. La posture dans laquelle je me trouve, ce sentiment de séquestration… J’ai peur d’être tombé dans un coupe gorge et je regrette déjà beaucoup de m’être laissé faire par mon directeur et sa secrétaire.
» Nous allons commencer par t’introduire dans l’anus un tube creux de 3 cm, une sorte de stimulateur électrique destiné à te faire déféquer sur ordre, à t’élargir un peu plus l’anus et à y faire pénétrer lors de tes punitions une substance irritante quand tu ne seras pas obéissant. «
Son explication une fois terminée, je senti une douleur assez vive dans l’anus, on venait de m’ouvrir le cul à l’aide d’un spéculum anal, je senti qu’on me glissait quelque chose dedans. Le tube sans aucun doute. Ce n’était plus douloureux une fois qu’on laissa mon cul se refermer sur le tube mais un sentiment de gêne pris la relève. Sentir mon cul ouvert, je ne pouvais pas m’empêcher de bander.
» Ton érection est normale, tu as tout de même 15 cm de tube dans ton fion de tapette. C’est pourquoi nous allons te branler la queue pour qu’elle retrouve sa taille normale et puisse ainsi trouver sa place dans une petite cage qui t’interdira ensuite toute nouvelle érection. »
Sur ce, elle prit ma queue dans sa main pour le décalotter. Ces ongles me griffaient légèrement le gland, me titiller le méat. Son autre main me caressait et m’étirait les couilles. Je bandais très fort. Il faut dire que j’étais dans une position assez obscène devant deux femmes. La cagoule m’empêchait de voir mais mon esprit pouvait imaginer mon corps, les jambes écarter offrant mon anus ouvert devant elles et une queue bien érigée. Sa main me branlait et progressivement augmentait le rythme de la masturbation. Et soudain, je n’ais pas pu résister, j’ai éclaboussé mes ravisseuses de plusieurs jets copieux de mon jus de mâle.
» Regarde ce cochon en mets partout, on va lui faire nettoyer tout à l’heure. » dit l’une d’elle.
» Allez ! Assez joué ! On enferme de suite sa petite bite dans cette cage en cuir souple qu’on va bien serrer. Tu vas voir, à la moindre érection tu vas te tordre de douleur. C’est normal, ton rôle n’est pas de jouir avec ta bite mais avec ton cul petit con. «
S’en était trop, je me mis à ruer dans mes liens et à hurler qu’on me laisse partir, que ça ne m’amusait plus, que je porterai plainte. Mais en vain, j’étais solidement attaché. Et pour toute réponse à ma révolte, je reçu un coup violent sur la tête qui arrêta nette ma crise d’hystérie. On dézipa ma cagoule mais sans l’enlever on passa à l’intérieur un bâillon muni d’une boule qui trouva sa place dans ma bouche dès que l’on me pinça le nez à travers du latex.
» Va falloir que tu apprennes à la boucler dans un premier temps, alors on va t’administrer ta première punition… «
Elle prit une burette contenant se fameux liquide irritant, elle visa dans le creux du tube et un liquide jailli dans mon cul. Ce ne fut pas long avant que je commence à sentir un léger échauffement d’abord puis une terrible démangeaison ensuite. Je transpirai, je suffoquait, c’était comme si on me gratter les parois internes de l’anus, j’avais l’impression de cloquer, de saigner. Je tirai comme je pouvais sur mes liens pour me libérer les mains et me débarrasser de cette douleur mais j’étais solidement attaché.
Quelques heures plus tard…
La douleur s’estompe. Je suis emmené dans une salle entièrement carrelée, des tuyaux parsèmes le sol, on m’attache les poignées à une chaîne qui descend du plafond. La cagoule m’a été retiré avant de rentrer, je suis donc entièrement nu.
» Il est temps de passer à la douche, ici tu devras toujours être dans un état de propreté absolue » dit l’une de geôlière.
Aussitôt, les deux dominas saisirent les lances et les allumèrent. Les jets puissants me pétrissaient les chairs. Le pire c’est quand elles dirigeaient les jets sur mon sexe et mes couilles. Encore heureux que je porte une coquille de chasteté, elle atténue leur effet. Elles coupèrent les lances et l’une d’elle se dirigea vers moi avec un chariot sur lequel j’apercevais une petit tuyau enroulé autour d’une étrange machine.
» Tu dois être aussi propre dedans que dehors et je crois que ton cul à besoin d’un nettoyage en profondeur. «
Je fis un pas en arrière comme pour m’écarter de cette folle mais en vain. Mes bras s’étiraient vers le haut et soudainement le sol se dérobait. J’étais élevé dans les airs par l’autre domina. Je ne pouvais plus échapper à cet humiliant nettoyage anal.
» Regarde, ce tuyau est relié à une pompe laquelle une fois mise en marche remplira ton cul et tes intestins d’eau. L’autre extrémité du tuyau est pourvu d’un embout que l’on va fixer au tube fiché dans ton cul. Une fois que l’eau aura inondé tes intestins, j’enlèverais le tuyau mais je laisserai l’embout qui empêchera ton cul de se vider. » Elle se pencha, brancha mon cul à la machine avec ce tuyau qu’elle tenait. Elle pressa un bouton et je senti un liquide m’envahir. C’était tiède et agréable. Mais la sensation » agréable » céda très vite à une gêne et la gêne fut remplacée par une sensation affreuse… Comme si je gonflait, j’avais envie de me vider les intestins mais malgrés mes efforts pour expulser ce tube en le poussant comme un étron, elle le tenait fermement enfoncé. Elle débrancha ensuite le tuyau, puis elles quittèrent la pièce après l’avoir plongé dans l’obscurité. Pour la première fois depuis mon arrivé, j’étais seul.
Le temps passe, il me semble que cela fait près d’une heure que j’attends que l’on vienne me libérer les intestins. Quand la lumière des néons revient enfin je suis aveuglé et le temps que mes yeux s’habituent à la clarté, je ne vois pas la domina défaire l’embout du tube toujours fiché entre mes fesses. Je sens que je me vide et je peux entendre le bruit obscène du liquide frapper le sol. Mes pieds retrouvent le sol tandis qu’une lance se remet à cracher des litres d’eau dans ma direction, pour me rincer et pour rincer le sol de mes souillures. Le calme revient, on détache la chaîne qui me retenait au plafond et on m’attira dans une autre pièce attenante à celle-ci.
» Maintenant tu vas revêtir ton uniforme de travail » On me tendis une combinaison noire en tissu léger
» Enfiles ça, La journée se sera ton seul vêtement. Comme la maison est grande, tu veilleras à son entretien. Au programme d’aujourd’hui : lessive, repassage, nettoyage des sols, vaisselle et préparation du dîner. S’il te reste un peu de temps, tu t’occuperas de l’entretien du jardin. Afin que tu perdes un peu de poids et que tu transformes ta graisse en muscle tu feras un peu de fitness le matin. Le soir après le dîner vers 21 h 00 et pour le reste de la nuit, tu recevras ton éducation sexuelle. «
Ma première journée, se passa rapidement. Je ne pouvais pas en dire au temps de ma nuit.
Après avoir débarassé la table de mes maîtresses, on me fit mettre nu, on installa alors autour de mon cou une minerve en cuir épais très rigide. Une laisse fut fixée et l’on m’enmena dans la salle où l’on m’avait précédemment ammené.
Docilement, je me suis laissé agenouiller, mes mains furent menottées dans le dos et les menottes reliées à d’autres que l’on installa à mes chevilles.
L’une de mes tortionnaires profita de cette préparation pour m’expliquer ce qui allait m’attendre : « Nous allons t’obliger à apprendre à sucer une queue, comme sucer fera parti des nouvelles fonctions que ton patron va t’attribuer, tu vas commencer cette nuit. D’abord sur un sexe factice en latex, il est infatigable. De plus, il est percé de manière à laisser suinter du sperme chevalin qui est contenu dans un bidon de 2 litres. Tu apprendras donc à aimer cette substance et à en avaler une grosse quantité. Pendant ce temps, nous te mettrons également ce plug anal, un petit diamètre pour commencer, ainsi nous allons transformer petit à petit ton cul en petite chatte accueillante. »
La nuit fut assez longue, il se passa plusieurs heures durant lesquelles, je suçais et lorsque mal m’en prenais de m’arrêter, je recevais un coup de pied dans les fesses. Le goût du sperme est écoeurant à la longue et mon coeur s’est levé plus d’une fois, ma bouche devint pateuse du sperme qui avait du mal à s’écouler jusqu’au fond de ma gorge. Quant le bidon fut vidé dans mon ventre, on me détacha pour m’installer sur la table gynécologique, retirer le plug et replacer le tube d’évacuation anale que l’on m’obligeait à porter depuis mon arrivé. Je pus enfin aller me coucher dans ma cellule.
Les jours passaient et j’arrivais enfin à la fin de mon séminaire. Je retournais dans le coffre de la voiture pour revivre le trajet en sens inverse. Quand la voiture s’immobilisa, je savais que s’était pour moi le moment de sortir du coffre et de revêtir mes vêtements et de retourner à une vie normale ou presque : car pendant six jour on avait forcé mon anus à rester ouvert et j’avais encore la sensation de l’être. Nous roulions maintenant vers la société et mon patron m’expliqua ce qui m’attendait maintenant : « Chaque matin, vous passerez voir Diane ma secrétaire, elle vous ordonnera de vous dévetir, elle vous préparera pour la journée puis vous retournerez à votre bureau travailler. Chaque fois que Diane ou moi même vous appellerons vous viendrez vous mettre à coté de notre bureau à genoux. En attendant votre nouvelle rentrée qui a lieu lundi, je vous souhaite un bon week-end et vous rend à votre épouse ».
Mon épouse m’attendait sur le parking de la société pour me ramener chez nous. Comme je n’étais pas bavard, elle me posa mille questions auxquelles je répondais par des banalités pour la décourager d’aller plus loin.
Lundi
Comme convenu en arrivant le matin, je me rends dans le bureau de Diane qui me demande aussitôt de fermer la porte.
« Tu sais ce que tu as à faire alors dépêche toi » m’ordonne t-elle aussitôt. Je comprends qu’il vaut mieux éviter les banalités et d’obtempérer sans rien dire. Tandis que j’enlève mes vêtements, elle sort d’une armoire un attaché-case qu’elle ouvre. Je suis en slip devant son bureau et mes yeux s’écarquillent en voyant Diane préparer une grosse seringue.
« Ne crains rien » me dit-elle avec une surprenante douceur, « ce n’est pas destiné à te faire du mal, au contraire. Termine plutôt de te déshabiller ».
Je descends mon slip sur mes chevilles et m’en débarasse sur le tas de vêtement que j’ai formé. J’aperçois qu’elle fixe un petit tube en plastique à la sortie de la seringue puis att****r un tube de gel lubrifiant pour en vider le contenu dans la seringue. « Penches-toi sur le bureau que je prépare ton cul. Tu vois chaque jour, je vais t’injecter une grosse quantité de gel lubrifiant dans ce conduit anale qui dès aujourd’hui doit devenir une chatte accueillante toujours moite, comme une salope que tu deviens tu dois toujours être trempé de la chatte » disant cela, elle injecta tout le contenu de la seringue dans mon anus, « Bien sûr, pour que tu ne salisses pas tes vêtements, tu placera cette serviette périodique dans le fond de ton slip », elle me tendit la serviette alors que je me redressais, « Ca absorbera, le gel mais aussi le sperme qui va certainement s’écouler la journée. Maintenant, rhabilles-toi et retourne travailler ». Elle n’a pas du me le répéter deux fois.
Plus le temps passait, plus je goûtais à l’inconfort de ma protection qui collait à mes fesses. Je devais certainement laisser échaper un peu de gel lubrifiant et je craignais de tacher mon pantalon. Soudain, le téléphone retentit, je décrochais.
« Allez la pute, » entendis-je Diane me dire « le patron à les couilles pleines, il a besoin de toi pour les vider ». Tremblant sur mes jambes, j’arrivais dans le bureau du patron. Diane referma la porte à clé derrière moi pour que nous ne soyons pas dérangé. « Approche ! » ordonna t-il « Nous allons voir si ton éducation c’est bien passait la semaine dernière. Tu vas donc t’agenouiller et sucer ça » Il sorti son sexe de son pantalon et le décalotta, il était déjà bien rigide et luisait de sécrétions. « Diane passe lui un doigt entre les fesses et vérifie qu’il mouille bien du cul ! » dit-il.
Diane déboucla ma ceinture et descendit à mi-cuisses mon pantalon et mon slip, elle glissa son majeur le long de ma raie et tandis que je commençais à sucer le gland de mon patron, elle se mit à fouiller ma chatte comme elle disait pour vérifier son état de lubrification. Le sexe de mon patron se mit à gonfler d’avantage dans ma bouche, je le mouillais abondament de ma salive et je l’aspirais très fort, je ne me serais jamais imaginé que je prendrais autant de plaisir à sucer un sexe d’homme, la première fois je trouvais ça répugnant mais là je me sentais devenir salope. Est-ce parce que Diane me triturait l’anus ? Je crois que je commençais à apprécier tout simplement ma condition de soumis.
« Son cul et bien gras mais il est encore trop étroit pour vous recevoir, je pense qu’il faudra le travailler durant quelques jours. » disait Diane. « Bien, cette semaine, il va se contenter de me sucer et d’avaler mon sperme et toi Diane tu vas lui acheter un plug de gros diamètre et t’occuper de lui distendre la gaine anale, je veux que ce petit mâle finisse par avoir un cul fait pour recevoir des kilomètres de bites »
Quelques instants plus tard, il m’éclaboussait le visage de son foutre gluant qu’il m’odonnait de racler avec mes doigts pour les lécher.
Quelques temps plus tard, je reçu la visite de Diane à la maison. J’étais bien obligé de la laisser entrer puisque de ma docilité envers mon employeur dépendez le maintien de mon emploi et de mon revenu à la fin du mois. Elle entra donc et se dirigea directement dans le salon, je la suivait en silence. Elle se retourna pour me faire face et m’ordonna sur un ton autoritaire de me mettre à genoux.
« Désormais puisque ta femme n’est plus là, je vais la remplacer. Pas du tout de la même façon puisqu’en quelque sorte c’est toi qui sera la femme, moi je serais disons ton éducatrice. Le but étant de faire de toi une parfaite esclave. Je parle de toi au féminin car dans la tête du patron tu seras une parfaite soumise que si tu subis quelques petits changements. » m’expliqua t-elle.
Aussitôt dit, elle débuta mon éducation et durant plusieurs jours, je fus obliger d’endurer toutes sortes de choses et surtout sa cravache pour me faire obéir. Ainsi, je devais être toujours nu, ne porter qu’un sert taille bien serré et des chaussures à très hauts talons avec lesquelles j’avais beaucoup de mal à marcher. Cet accoutrement me disait-elle, était destiné à modifier un peu mon corps. Je n’étais pas gros mais elle voulait le rendre plus efféminé. Mes journées, je les passaient à faire le ménage à apprendre la cuisine, à faire la lessive et le repassage. Les deux premiers jours, il ne me déplaisait pas de jouer la soubrette travesti mais après je commençais un peu à me poser des questions sur la durée de ce que je prenais pour un jeu. Il me semblait à présent que ça devenait un peu trop sérieux. quoiqu’après tout ce qui est déjà arrivé, je dois bien admettre que j’étais descendu bien bas.
« Maîtresse, combien de temps va encore durer cette scéance ? » lui demandais-je. Une gifle me fut donnée pour seule réponse. « Viens que je te mette un bâillon boule dans ta sale gueule pour t’empêcher de parler ! » ordonna t-elle. Le reste de la semaine s’écoula lentement trop lentement. Mais c’était peut être ce qu’il y avait de mieux car le week end que j’allais vivre allait être un vrai cauchemard.
Je fus réveillé le matin de bonheur, il devait être à peu près 4 h 00. Pour explication, Diane me précisa juste que l’on allait opérer ma transformation. Et aussitôt, le bâillon retrouva sa place entre mes dents. Deux hommes entrèrent soudain dans ma chambre et me lancèrent une série de gifles au travers du visage ça m’avait presque assomé. C’est donc à moitié conscient que je me rendis compte que l’on m’entravait les poignées et les chevilles avec des menottes et que l’on me passait autour du cou un large collier. On fixait à ce collier une courte chaîne qui fut relié à mes chevilles, m’obligeant ainsi à garder une position recroquevillée. Je fus soulevé et transporté dans la cuisine où l’on me déposa sur la table. J’y étais agenouillé, le dos arcqué. D’autres chaînes furent apportées et installées pour m’immobiliser entièrement sur cette table. Je ne pouvais plus faire le moindre mouvement et comme j’avais les fesses bien en l’air, on enfonça tout de go un plug dans mon petit trou sans me préparer avec un lubrifiant comme à l’accoutumé.
« En bonne femelle que tu vas devenir, nous allons remédier à ton manque de féminité. Par exemple cette petite chose qui pendouille entre tes cuisses, nous allons la piercer pour y faire passer un anneau à partir duquel une petite chaîne rejoindra un autre anneau qui lui est fixé à ton plug. De cette façon, ton sexe sera coincé entre cuisses en permanence t’obligeant même à t’assoire pour pisser. » expliqua Diane.
Je remuais dans mes chaînes mais je ne pouvais échapper à cette torture tribal. Heureusement pour moi, ils injectèrent un produit dans mon sexe et derrière mes couilles et la zone fut complètement isensibilisée au moment ou l’un des deux hommes approcha avec une pince un peu particulière, il dégagea mon gland et quelques secondes plus tard un anneau était installé au bout de mon sexe traversant mon gland de part et d’autre.
« Ne t’inquiète pas pour ton hygiène, je veillerai personnellement à te désinfecter durant les quinze prochains jours. A présent, nous allons te faire tes premières injections d’hormones pour donner d’ici quelques mois une belle petite poitrine à notre petite femelle. Mais avant, nous allons éponger tout ce sang. » Expliqua Diane.
Un peu plus tard dans la matinée, je fus attaché en croix sur mon lit dans ma chambre, afin que je ne puisse pas me toucher et faciliter ainsi la guérison de ma mutilation. Le plus gênant pour moi, était la présence trop longue de ce plug dans mon cul qui donnait envie en permanence d’aller me vider au toilette. J’en avais l’anus irrité, ça me brûlait et bientôt, je ne pensais plus qu’à lui. Lorsque Diane revînt le soir, j’étais complètement défait. La chambre sentait l’urine et la merde dont j’avais maculé le matelas. Mais, elle ne dit rien, nettoya tout et désinfecta tout. En plus de ces désagrémént les injections destinées à endormir mes organes génitaux ne faisaient plus effet et une douleur lancinante s’en ressentait.
Quelques jours plus tard, je retrouvais un peu plus de civilité, j’étais autorisé à être détaché cinq fois par jours pour faire mes besoins, la douleur s’estompée mais on me prodiguais quotidiennement d’autres injections : d’hormones.
La prochaine étape concernait ma pilosité, pas très abondante mais superflu pour la futur salope que je représentait à leurs yeux. Il fut donc décidé de me débarrasser définitivement de mes poils. « On laissera uniquement tes cheveux que tu dois laisser pousser. Ca nous évitera l’installation précaire d’une péruque. » me dit Diane. Ces hommes de mains m’attrapèrent et m’immobilisèrent en croix sur le lit d’abord sur le dos puis sur le ventre pour une épilation à l’aide d’un appareil électrique. Je me sentais nu comme un nouveau né. Elle prit le temps, de me masser avec une huile destinée à m’assouplir la peau. Quant ses mains passèrent sur ma poitrine, elle m’expliququa qu’il faudra un peu de temps pour que je développe une petite poitrine mais que pour la rendre plus proéminente, on m’installera ensuite des implants. A ces paroles, je m’affolais et remuais dans tous les sens. Je protestais, hurlais.
« Tais-toi salope ! Désormais c’est ce que tu vas devenir que tu le veuilles ou non, on va te transformer en femelle. J’ai bien dit « Femelle » pas une Femme car ta vie sera voué à donner du plaisir avec ta bouche et avec ton cul. En dehors de ça tu feras nos corvées » Dit-elle.
« Dailleurs en parlant de ta bouche, tu vas l’ouvrir car j’ai envie de pisser… Et tâche de bien tout avaler sinon tu seras puni. » ajouta t-elle. Sur ces mots, elle s’installa à califourchon sur mon visage, et se mit à me pincer le nez jusqu’à ce que j’ouvre la bouche. D’abord doucement et à petites giclées elle se mit à me pisser dans ma bouche puis elle finit par se laisser aller. Quelle odeur et quel goût, je toussais, m’étranglais et son urine débordait de ma bouche. Ma tête nageait dans une flaque d’urine qui s’était formé sur le matelas.
« Petit con, tu as vu dans quel état tu as mis ton lit ? Attends moi ici ! » attends -moi ici facile à dire, je suis attaché, je ne risque pas d’aller loin. Elle revint peut de temps après avec dans les mains un fouet muni de petites chaines très fine en guise de lanières. Elle remarqua l’air affolé qu’affichait mon visage. « Il va falloir qu’on t’apprenne à accepter tout ce que l’on te demandera… Il en va de ta survie… » ces derniers mots avaient presque stoppés mon coeur. Son regard me fit comprendre qu’elle ne plaisantait pas. Le fouet se leva dans les airs et elle l’abatit de toutes ses forces sur mes cuisses. J’ai hurlé à m’en déchirer les cordes vocales. « Si je te dis d’avaler ma pisse tu avales ! si je te dis de bouffer ta merde, tu le fais. Compris ? » Le fouet me frappa de nouveau aussi fort que la première fois. Nouveau hurlement de douleur. Elle leva de nouveau le bras… « Compris ? ». « Oui » répondis-je.
Physiquement et psychologiquement épuisé, je me mis à pleurer durant plusieurs heures. Dès lors lorsqu’elle venait me voir, elle me terrorisait toujours. Chaque jours qui passait, elle m’insultait, me giflait. Je ne sais plus en combien de temps, je suis arrivé à me resaisir et lui demander son indulgence en échange de quoi je ferais tout ce qu’on me dirait de faire mais elle accepta avec un sourire.
« C’est bien, tu reviens à de meilleures dispositions. Je vais te détacher de ton lit, te passer un collier et nous allons te passer à la douche ». Elle m’enmena au jardin où elle déroula un tuyau d’arrosage puis elle lança le jet d’eau froide dans ma direction. « Tu seras une belle petite femelle toute propre, ensuite on va quitter cette baraque et nous irons dans cette maison que tu connais déjà pour y être déjà allé en séminaire »
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