— Jean-Mi, vas-tu au mariage ?
— Oui, et toi ?
Nous étions en milieu de semaine et celle qui m’appelait, c’était Armelle, une amie d’enfance avec qui j’avais beaucoup et bien joué autrefois.
— Je ne manque le mariage des copains sous aucun prétexte ! Peux-tu passer me prendre en voiture ? Nous irons ensemble.
La joie d’un voyage en compagnie de cette fille si sympa – pardon, jeune femme – fut tout de suite mêlée chez moi à une sorte d’étourdissement. Elle était grande et belle fille, les cheveux noirs et fins, mignonne comme un cœur… et drôlement bien foutue !
Nous fîmes route le lendemain. Je trouvai un camping presque complet et dressai la tente. Le terrain était bien agencé et chacun des emplacements était au moins à dix mètres des autres. Pendant que j’enfilai les mâts de piquet, je regardai Armelle du coin de l’œil, elle semblait gênée. Je tentai de la rassurer :
— Nous avons bien dormi ensemble quand nous étions petits. Cela nous rappellera de bons souvenirs.
Elle se mit à rire et désigna ses seins. Malicieusement, elle répondit :
— J’ai changé. Mais il ne faut pas que ça nous empêche de rire.
Et elle me jeta son verre d’eau à la figure. Éberlué, dégoulinant, je me précipitai vers elle et l’empoignai comme autrefois, entamant l’une de ces brèves joutes entre garçon et fille dont nous étions coutumiers. Mais le petit garçon était devenu jeune homme, la petite fille était à présent une jeune femme. Ce que je touchais de façon fugace tandis que nous roulions sur l’herbe en luttant, c’était bel et bien de troublantes rondeurs.
Après un dîner frugal, Armelle partit se laver au bâtiment toilette, une grande serviette à la main. Je pris le parti de me coucher sans attendre Armelle, pour éviter la gêne du déshabillage au moment de se glisser sous les draps. J’écoutais les voix des campeurs et n’arrivais pas à m’endormir, sans doute en raison de la chaleur accablante. Enfin, la porte de la tente s’ouvrit, livrant passage à ma belle amie qui me demanda de fermai les yeux. J’obéis. Lorsque je les rouvris, elle était couchée sur le côté, un drap sur elle. L’obscurité descendait, mais je parvins à voir la nudité de ses épaules. Ses formes étaient perceptibles sous le drap : visiblement, elle s’était couchée nue. Elle me souhaita bonne nuit. L’orage éclata et la pluie se mit à tomber, tambourinant sur la toile avec v******e. J’écoutai et bientôt en fus persuadé : Armelle ne dormait pas. Son souffle n’était pas calme et régulier comme celui d’une personne endormie.
Couché sur le dos, je restais totalement immobile, guettant le moindre bruit venant de son côté. J’entendais la respiration d’Armelle entre les bruits mats des grosses gouttes de pluie. Elle était irrégulière, spasmodique. Elle laissa échapper un profond soupir. Je tournai furtivement la tête vers elle. Elle n’avait pas bougé. Elle était sur le côté, me tournant le dos. Le drap moulait étroitement son corps, ses hanches minces, la rondeur de ses fesses, ses jambes serrées l’une contre l’autre. Elle ne bougeait pratiquement pas. Je descendis le regard sur ses fesses rondes qu’on devinait facilement sous le tissu. Seul un des globes touchait vraiment le drap, il remuait très lentement, au rythme de sa respiration contenue. J’étais fasciné par ce que je voyais. Le plaisir discret d’Armelle se manifestait par son souffle irrégulier. Le désir m’envahit. Je ne pouvais pas détacher mon regard des fesses d’Armelle. J’imaginais son doigt au cœur de son intimité, passant et repassant. N’en pouvant plus, je glissai la main vers mon sexe et me touchai. J’étais dur.
Je n’arrêtais pas de regarder ses fesses. Elle les remuait plus ouvertement maintenant, ne parvenant plus vraiment à taire ses soupirs. Je l’imaginais caressant son intimité du bout du doigt. Elle se touchait peut-être aussi les seins car son bras remuait doucement au même rythme. Je n’avais jamais vu ses seins adultes, mais tout à l’heure, quand elle était partie se doucher, les bouts pointaient sous son maillot. C’était moi qui étais gêné. Curieusement, je voulais demeurer immobile, pour la laisser tranquille, et en même temps je voulais bouger pour lui montrer que je savais ce qu’elle faisait et qu’elle n’avait pas à en être inquiète. Finalement, je me tournai complètement sur le côté pour l’observer. Elle dut m’entendre car mon matelas pneumatique fit un bruit de caoutchouc sous mes gestes brusques. Mon mouvement avait mis ma main entre nous deux, à la hauteur de ses fesses qu’elle agitait et que je dévorais des yeux. J’en devinais presque la chaleur. Mon cœur s’affolait, imaginant ce que j’allais oser entreprendre. Je déplaçai lentement la main en direction de ses fesses qui tremblaient à présent en rythme. Armelle retenait péniblement ses soupirs. Tout à coup, elle tourna la tête et nos regards se croisèrent. Elle sanglotait presque et me dit presque en pleurant :
— Je n’en peux plus, je n’en peux plus…
Gauchement, je lui caressai les cheveux. Elle sembla soulagée, mais très vite, son bras reprit la direction de son entrejambe pour recommencer le mouvement. J’approchai ma main au maximum sans oser la toucher vraiment. Je sentais presque, à travers le drap, la chaleur de sa peau. J’étais si proche qu’elle ne pouvait plus ignorer la présence de mes doigts qui la frôlaient à présent. Je m’aperçus qu’elle reculait imperceptiblement vers moi, tout en continuant à retenir son plaisir. Son épaule était agitée d’un mouvement parfaitement régulier, elle continuait à se caresser, c‘était sûr. Une fesse était à présent au contact de ma main. À travers le tissu, j’en sentais la masse ferme et pleine. J’en fus étourdi au point de vouloir tout arrêter. Prudemment, je remontai les doigts vers le haut de ses rondeurs. Mais je sentais Armelle s’appuyer de plus en plus fort contre ma main. Presque pliée en deux, elle tendait les fesses vers moi, et ses soupirs se faisaient chaotiques. J’appuyai moi aussi plus franchement. Elle avait écarté les jambes. À travers le drap, j’immisçai finalement le dos de mes doigts repliés entre ses fesses. Armelle ondulait lascivement, je voyais son épaule s’agiter de plus en plus vite et vis une goutte de sueur y perler. Puis elle sortit un bras et je compris qu’elle tirait le drap pour se découvrir.
J’hésitais sur la conduite à tenir. Lentement, Armelle tourna à nouveau la tête vers moi. Ses yeux étincelaient et je lui souris. Elle finit par prendre le drap pour le retirer complètement. Ses jambes apparurent, puis ses cuisses. Pour la première fois, je voyais ses seins étalés sur son buste étroit, ses mamelons et ses deux boutons saillants. Elle reprit sa position en me tournant le dos. Dans la clarté de la tente, ses fesses étaient blanches. Au milieu se dessinait l’ombre de son sillon. À nouveau, elle recula sa croupe pour entrer en contact avec ma main. J’avais réuni l’index et le majeur et ils s’enfonçaient presque dans son sillon. Elle laissa échapper un petit couinement. Armelle remuait à présent ouvertement ses reins contre mes doigts réunis. Elle recula encore un peu vers moi, et je sentis deux de mes doigts s’enfoncer dans une ouverture chaude et onctueuse. Elle se mit à donner de minuscules coups de reins contre mes deux doigts. Je sentis son vagin qui se contractait, j’imaginais ses chairs ouvertes, ses sensations. Je ne me contentai bientôt plus de tendre les doigts, je les fis aller et venir. Je voyais Armelle se tordre, l’entendais retenir son plaisir.
Un long cri, sa tête qui s’enfonce dans son oreiller. Son corps secoué de spasmes. Un autre cri plus sourd, puis un autre encore, une succession inouïe. Sa jouissance partait de son ventre uni à ma main et s’étendait à tout son corps, à son torse qui se tordait, successivement arqué puis courbé, à ses mains agrippées au sac de couchage, à ses pieds qui battaient convulsivement les habits près de l’entrée de la tente. Stupéfait, émerveillé, je regardais mon amie d’enfance jouir de tout son être. Elle s’apaisait peu à peu à présent, ses yeux étaient clos. J’esquissai un mouvement pour retirer ma main.
— Reste encore un peu, murmura-t-elle.
Mes doigts sentirent quelques dernières convulsions. Bientôt, elle se retira d’elle-même et, en quelques mouvements souples, se coula contre moi. L’odeur chaude de son corps nu m’emplissait les narines, ses cheveux chatouillaient presque mes épaules. Elle posa la main sur mon torse.
— Qu’est-ce que tu fais ? lui chuchotai-je.
— Rien, me répondit-elle sur le même ton.
Nous étions couchés sur le côté, face à face, mon visage près du sien. Je voyais de très près ses seins parfaits, leurs bouts sombres, ses grands cheveux sur ses épaules ; plus bas, je devinais sa toison entre les cuisses, ses larges cuisses blanches à présent calmes. Nos respirations se mêlaient. Je sentais son haleine, l’odeur de sa bouche, celle de son savon. Elle tendit une main tremblante mon torse. Mon sang bruissait sourdement, mais je ne fis pas un mouvement. Lorsqu’Armelle étendit le bras pour me caresser le ventre, un gigantesque frisson me parcourut. Je sentis mon sexe durcir comme jamais et regardai les tétons d’Armelle sortis, gros comme ceux d’une femme mûre. Nous nous rapprochions de plus en plus, comme attirées par un aimant. Armelle me touchait tendrement. Je me laissais faire en silence, les yeux clos. Elle glissa lentement la main dans mon dos pour l’arrondir sur mon omoplate. Je sentis qu’elle m’attirait encore un peu plus contre elle. Elle prit mon sexe à pleine main. Cette fois mon torse touchait presque ses seins. Je sentais parfois un de ses bouts durcis effleurer ma peau. Chacun de ces contacts lui arrachait un halètement d’excitation, différents des gémissements de jouissance entendus tout à l’heure. Ses doigts tremblaient un peu. Armelle me regarda droit dans les yeux. Lentement, elle tournait la main. Elle me souffla :
— T’as déjà touché une fille ?
— Oui.
Je me mis à rire nerveusement, et elle m’imita. Nos souffles s’accéléraient. Nous nous étions encore rapprochés l’un de l’autre. J’ondulai un peu du buste, malgré moi. Les mains d’Armelle étaient d’une incroyable douceur. Elle s’appliquait à les passer sur mon ventre dans de lents cercles lascifs.
— Elle est dure, me confia finalement Armelle au creux de l’oreille.
— Ça te plaît ?
— Oui.
Chaque mouvement de ses mains sur moi me faisait délicieusement frissonner. Armelle s’approcha de mon oreille.
— Tu veux ?
— Euh, je…
— Laisse-toi faire.
Elle s’assit brusquement à côté de moi, se pencha sur moi, et tandis que ses cheveux noirs et légers se répandaient sur mon buste, je sentis sa bouche chaude et humide donner de petits baisers. Je remontai une main dans ses longs cheveux, les peignai longuement tandis qu’elle m’embrassait passionnément sur le visage, dans le cou. Je caressais son dos et elle se laissait faire en haletant d’excitation. Armelle baisait à présent mon torse avec passion, puis descendait vers mon ventre. J’emprisonnais ses épaules dans ma paume, les pétrissais, en la regardant faire. Je sentis le poids humide de ses lèvres s’arrondir sur mon sexe, jouer avec le bout. Ses dents le mordillaient. C’était encore meilleur que je pouvais le rêver. Je dus me mordre les lèvres pour ne pas gémir trop fort : Armelle était en train de prendre mon sexe en bouche. Elle se révélait habile. Je sentis sa langue moelleuse faire de lents passages. J’avais la bouche grande ouverte et des rafales de soupirs. Nous étions moites de transpiration. J’avais posé une main sur une de ses cuisses pour la pétrir largement. J’arrivais encore à masquer la puissance de mon plaisir. Je finis par glisser lentement une main sous un de ses seins. Elle étouffa une exclamation en me sentant la toucher à cet endroit, mais elle ne cessa pas de me lécher. Avec une indicible émotion, j’écartai les doigts pour prendre son sein lourd. Il était chaud, bien plus ferme que je le supposais. Ma gorge était serrée par l’émotion.
J’avais fini par atteindre un de ses tétons, le flattai un peu. Armelle ondulait en permanence, je la sentais creuser le dos pour mieux offrir son sein à mes doigts. Sans un mot, le regard fixé dans le mien, Armelle me prit par le poignet pour me faire lever. Le plus silencieusement possible, j’obéis à cet ordre. Nous étions maintenant à genoux. Puis elle se retourna et me tourna le dos, se coulant contre moi. Son corps contre le mien dégageait une chaleur extraordinaire. Ses fesses frottaient mon bas-ventre, mon torse s’écrasait sur ses omoplates. Je sentais tout d’elle, son parfum, l’odeur de ses cheveux. Il régnait dans la tente une lourde senteur. Ma verge se glissa au creux de ses fesses et effectua un premier va-et-vient, facilité par la sueur qui ruisselait de son dos. Armelle renversa légèrement la tête vers moi, dans le creux de mon épaule.
— Jean-Mi…, susurra-t-elle.
— Quoi ? fis-je, encore plus bas.
— Tu veux bien me caresser le bout des seins ?
— Si tu veux… mais…
Mon cœur battait violemment. Je sentis qu’elle prenait mes deux poignets dans ses doigts, pour attirer mes mains sur ses seins.
— Touche-les me fit-elle, tremblante.
Je posai les doigts sur les mamelons.
— Oh, c’est bon ! dit-elle en haletant.
Le couinement du matelas pneumatique accompagnait nos mouvements rythmés. Je chatouillais légèrement ses pointes. Elles durcissaient encore. Armelle poussait les fesses contre mon ventre, ses soupirs me bouleversaient. Elle prit mes doigts et me montra comment les bouger en cadence contre ses tétons, à la fois fermement et délicatement.
— Vas-y comme ça, soufflait-elle entre les dents serrées. C’est trop bon !
Elle renversa la tête en arrière pour m’embrasser passionnément sur les lèvres. Elle bavait presque, sortait la langue. Je remuais les doigts sur ses tétons, les roulais en rythme.
— C’est si bon, murmura Armelle à mon oreille.
Je ne la reconnaissais plus. Ce n’était plus la timide Armelle de mon enfance, mais une femme dévorée de désir… Quant à moi, je me lâchais complètement. Je n’avais jamais ressenti autant d’excitation, et rien ne me retenait plus. Mon sexe ondulait dans le sillon de ses fesses, allait parfois jusqu’à l’entrée de la grotte brûlante dans laquelle mes doigts, tout à l’heure, avait si bien travaillé. Elle m’embrassait à présent comme une folle, à demi retournée vers moi, en appuyant ses lèvres sur les miennes.
— Oh Jean-Mi, bredouillait-elle, qu’est-ce que c’est bon !
Elle finit par sortir la langue pour me lécher la bouche. Sa salive était salée.
— Tu sens comme mes seins sont durs ?
Sa main prenait mon sexe par le dessous, flattaient les couilles.
— Tu sens ma main ? me fit-elle.
— Oui.
Elle se retourna face à moi. Nous étions maintenant à genoux, face à face. Elle attira ma tête contre son buste.
— Suce-moi les seins, m’ordonna-elle à mi-voix.
J’avais posé la tête contre sa poitrine. Ses tétons étaient à quelques centimètres de ma bouche. Je me penchai doucement pour passer la langue sur une de ses pointes et elle ne put retenir un râle de plaisir.
— Qu’est-ce que c’est bon !
Sous ma langue, je sentais le goût de son sein. Je l’aspirai entre les lèvres, ce qui fit à nouveau gémir Armelle. Elle se laissait faire, haletait, m’offrait ses globes aux pointes déployées.
— Oh Jean-Mi, gémit-elle, je n’en peux plus…
J’étouffai un profond soupir en plaquant la bouche dans sa poitrine maintenant toute baveuse de ma salive. Sous nos mouvements, le matelas faisait d’épouvantables couinements. Nous ne pourrions plus contenir nos cris plus longtemps. Ma tête tournait, c’était insupportable. Armelle s’écroula soudain sur le matelas pneumatique.
— Lèche-moi, s’il te plait ! murmura-t-elle d’une voix perdue.
Elle creusait le ventre en haletant d’une voix rauque, écartait les cuisses, s’exhibait. J’eus à peine le temps de voir sa toison, la tranchée brune au milieu, brillante. Elle attira ma tête entre ses cuisses ouvertes et j’y posai la bouche. Ses poils s’écrasaient sur mes lèvres, me chatouillaient le nez. J’avais la bouche sur sa vulve ! Le cœur battant, je commençais mon exploration érotique. Armelle haletait, le ventre creusé. Je léchai les bords ruisselants. Le goût était fort mais agréable.
— Oh ! s’exclama Armelle en appuyant encore plus violemment ma tête entre ses cuisses.
Elle remuait puissamment des hanches tout en hoquetant de plaisir, était au bord de la jouissance. Elle avait enserré ma tête dans ses mains, pour la faire aller et venir à sa convenance. Je léchais tout ce que je pouvais, sa fente odorante, l’excroissance en haut, toute érigée et n’eus qu’à pointer la langue au creux de son intimité pour qu’elle pousse un long feulement.
— Ça vient ! s’exclama-elle.
Un fleuve odorant coulait sur mon menton, elle maintenait fortement ma tête contre son intimité.
— Ça vient ! cria à nouveau Armelle.
Je tendis largement la langue, le nez en elle.
— Oh oui ! hurla Armelle en écrasant ma tête entre ses cuisses.
Quelques secondes passèrent, un temps infini. Épuisés, nous ruisselions de sueur. Je ne m’aperçus qu’à ce moment-là que la pluie avait diminué d’intensité, sans doute depuis longtemps. Je relevai la tête et nos yeux se croisèrent. Puis elle regarda mon ventre. Elle posa sa main vers ma tige et commença à bouger ses doigts, les faisant glisser sur la peau soyeuse. Elle tournait autour puis serrait tout doucement sa main sur ma hampe. Elle me jetait des coups d’œil rapides, remarquant que mon ventre semblait vibrer. Puis elle prit ma queue à mi-longueur et commença à faire glisser sa main en penchant la tête. Je sentais en moi comme un feu et l’annonce de mon propre plaisir. Haletant, j’eus juste le temps de lui dire :
— Je vais jouir !
Elle se rapprocha. Un flot blanc jaillit et gicla sur ses cheveux, sur sa joue. Au premier jet, elle lâcha mon sexe. De longs jets de semence jaillissaient, encore et encore, des filets de sperme coulaient sur ses doigts. Je regardais son corps nu, son visage : ils étaient couverts de traînées blanchâtres qui s’écoulaient doucement. Je la sentais terriblement excitée. Épuisés, nous nous étions couchés et je lui caressais le visage. La voir ainsi, ses cheveux et sa joue couverts de mon sperme m’avait fait bander de nouveau. Elle s’allongea sur son matelas. Je l’entendais gémir à nouveau, doucement, et j’imaginais sa vulve frémissante. Lentement, ma main reprit la caresse, s’attardant sur ses seins, descendant sur son ventre. Je longeais ses cuisses longues et fines jusqu’à ses genoux, remontais sur leur face intérieure, évitant au dernier moment la fente tant convoitée. Ses seins m’accueillirent de nouveau. Je l’entendais gémir de plus en plus fortement, la vis ouvrir les jambes. Je regardais sa fente s’ouvrir et se refermer en même temps que sa mouille s’en échappait. J’avais devant moi cette jeune femme magnifique. Ma queue me faisait terriblement mal. Elle demanda :
— Combien de fois peux-tu éjaculer ?
Je bredouillai. Puis elle dit sans attendre la suite :
— Prends-moi vite, n’attendons pas.
Elle me fit coucher, s’assit sur mon ventre et ajouta :
— Surtout ne bouge pas, s’il te plaît.
Elle posa ses jambes sur mes cuisses, les écarta autour de mes hanches et présenta son ventre au-dessus de mon sexe luisant. Puis elle le prit à pleines mains, recula légèrement et offrit son entrée à ma verge. J’avais la meilleure vue possible pour voir ma queue la pénétrer doucement. Elle commença alors à descendre lentement. Je voyais sa fente s’ouvrir délicatement autour de mon gland, sentais la chaleur de son vagin qui invitait ma tige à pousser plus avant. Son ventre descendait, obligeant sa fente à s’ouvrir de plus en plus pour accepter mon gland. J’entendais Armelle haleter. On y était, le bout de ma verge était enfin entré dans sa chair, bien droit. Armelle lâcha alors la tige qui resta plantée comme elle l’était à l’entrée du vagin. Elle me demanda :
— Tu aimes ?
Je hochai doucement la tête :
— Et maintenant ?
En disant ces mots, elle se laissa tomber d’un seul coup sur toute la longueur de mon sexe en criant, la tête renversée. Elle se mit alors à monter et à descendre sur ma tige. Je coulissais en elle, sentais son vagin se contracter autour de mon sexe de plus en plus rapidement. Sa chatte ruisselait sur mon membre et mon entrejambe. Armelle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Elle faisait entrer et sortir ma tige de plus en plus vite, puis ralentissait. Elle la ressortait presque entièrement, ne gardant en elle que le bout. Puis elle recommençait à descendre en laissant échapper des soupirs de bonheur. Je sentais ses contractions intimes à chacune de mes pénétrations, cognais au fond de sa grotte. Mais j’en voulais plus. Je me retirai d’elle et lui dis :
— Armelle, mets-toi à genoux.
Je la vis rapidement se positionner, sa croupe tendue vers moi. Je me glissai derrière elle, appuyai mon gland à l’entrée et la pénétrai irrésistiblement. Elle s’écroula, la tête sur l’oreiller, pendant que je la besognais de plus en plus fort. Je sentais mes couilles battre sur son clitoris. Sa main les rejoignit et les pétrirent presque douloureusement. Elle me dit distinctement :
— Vas-y, jouis en moi.
Je sentis mon sperme monter. Profondément enfoncé, je maintenais sa croupe contre mon ventre et les convulsions de mon sexe rejoignirent les siennes, me vidant en elle en longues secousses. Mes cuisses tremblaient. Je n’en pouvais plus, j’étais vidé. Épuisé, je me retirai et m’écroulai sur le matelas. Armelle fit de même. Je sentis le sommeil venir et la regardai une dernière fois, nos corps couverts de nos sueurs mélangées, le sien couvert de mon sperme.
Le lendemain, la pluie avait cessé. Le voyage continua comme si de rien n’était …
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