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[Virg03] Vacances d’été ma première fois avan

[Virg03] Vacances d’été ma première fois avan



Après cette quasi nuit blanche que nous venions de passer le dimanche soir était encore plus déprimant que d’habitude, j’avais encore en mémoire les souvenirs de la soirée et la frustration de notre première amourette à l’arrière de la voiture. Demain je devais me lever tôt pour le premier jour de mon job d’été. J’avais trouvé un job qui devait être plutôt cool dans une administration pour faire de l’accueil et du standard téléphonique. J’avais du mal à réaliser que j’avais enfin un petit copain, ça ne changeait rien fondamentalement mais enfin je ne me sentirais plus gêné quand les filles parlerons de mecs. J’en avais un peu marre d’entendre mes copines avec leur ton condescendant « Ouais tu verras Virg quand t’aura un mec, blablabla ». J’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil cette nuit-là encore pleine de souvenir de Julien et stressé pour mon premier jour, j’ai tenté machinalement de me masturber mais je n’arrivais pas vraiment à me faire plaisir.

Lundi matin, j’ai eu beaucoup de mal à me lever mais je suis quand même arrivé au boulot à l’heure et je découvrais mes fonctions. Rien d’extraordinaire mais en même temps c’était aussi beaucoup moins crevant que les autres boulots que j’avais pu faire les étés précédents. J’avais évidement hâte de revoir Julien et j’avais tout le plaisir de pouvoir lui envoyer des messages pendant la journée. Cependant j’étais encore entrain de passer le permis et lui aussi, lui avait un scooter mais plus d’argent pour l’essence donc nous avons dû attendre le week-end pour nous revoir. Julien travaillait avec ses parents et le samedi ils avaient besoin de lui donc on a attendu le samedi soir pour se revoir, cependant je ne souhaitais pas qu’il rencontre mes parents donc je voulais éviter que l’on se voit chez moi. Je suis donc allé chez lui pour la deuxième fois mais cette fois-ci seule. Après la soirée de folie qu’on avait passé la dernière fois je n’en attendais pas moins de cette deuxième soirée. Je m’étais préparé tout l’aprèm, coiffeur, maquillage, soutif et string noir assorti, petit jean bien moulant et débardeur.

Je suis arrivé chez lui à 18 h comme prévu, nous avons mangé avec ses parents et son grand-frère Mathias qui était revenu de l’université pour l’été. Nous avons principalement discuté de l’université qui était la même où Julien et moi irions l’année prochaine. Dans l’ensemble le dîner c’est bien passé ses parents sont très sympa mais je n’étais quand même pas très à l’aise et j’avais hâte qu’on se retrouve seulement tous les deux. Prétextant me faire visiter la maison, Julien et moi nous sommes éclipsé après le repas et nous sommes allés nous balader dehors dans le pré attenant à la maison. Les parents de Julien possédait une ancienne ferme dans ce petit village, il restait une vieille grange que les parents louait à un agriculteur du coin et quelques autres petites bâtisses en plus de la dépendance qu’ils avaient aménagée en chambre et salle de jeu pour leurs enfants. Comme nous nous baladions pendant que Julien me racontait un peu ses souvenirs d’enfances ici et là, j’attendais qu’il m’embrasse ou au moins qu’il me prenne dans ses bras. Depuis que j’étais arrivé nous nous comportions timidement l’un envers l’autre comme si nous n’étions pas en couple. Moi non plus je n’osais pas d’ailleurs quand je suis arrivé je lui ai fait la bise pour lui dire bonjour, devant ses parents je n’aurais pas osé lui faire un bisou. L’ambiance est restée gênante mais je faisais mine d’être à l’aise, les sujets de discussions était un peu forcé mais je mettais tout mon cœur à faire des efforts pour entretenir la discussion avoir l’air enthousiaste dès qu’il me proposait quelque chose. Nous avons joué au billard quelque temps avec son frère dans la salle de jeu à côté de leur chambre, j’étais super nulle comparée à eux mais ça à nous permis de balancer quelques blagues salaces peu inspirées qui ont eu l’avantage de détendre l’atmosphère. Ensuite nous avons laissé Mathias pour aller regarder un film moi et Julien dans leur chambre. Leur chambre était une grande pièce sous les toits séparé en deux par une partie de la charpente et les meubles qui formait un mur artificiel. Du côté de l’entrée se trouvait la partie de la chambre dédiée à Mathias et de l’autre côté légèrement plus petit la partie dédié à Julien. Nous nous sommes blotti assis en travers du lit face à l’écran d’ordinateur. Enfin Julien a passé son bras derrière moi sur mes épaules, au bout de quelques minutes je sentais que j’étais plutôt mal installé, assise dans le lit, le dos contre le mur avec juste un oreiller en bas du dos et les jambes tendues en avant sur lit, dans mon jean moulant qui me serait terriblement, mais je n’osais pas bouger puisque nous étions enfin collé et enlacé j’avais peur qu’il retire son bras pensant que ce n’était pas approprié. J’ai mis ma tête sur son épaule et j’ai laissé tomber ma main sur sa cuisse. Je le sentais tendu, mon oreille en partie posé sur son pectoral me laissait entendre les battements de son cœur. Je m’étais permise d’enlever discrètement le bouton de mon jean pour me sentir plus à l’aise et nous commencions à avoir sérieusement chaud sous les draps. J’avais très envie de lui dire ou bien tout simplement d’enlever mon pantalon et je me suis imaginé le dire et le faire des centaines de fois sans réussir à bouger d’un iota. J’ai finalement trouvé la solution, j’ai demandé à Julien s’il pouvait me prêter un grand tshirt à lui pour me faire un pyjama. Il a accepté et j’en ai profité pour me changer devant lui, l’air de rien mais en espérant qu’il me regarde, je suis sorti de sous les draps, dos à lui j’ai ouvert son placard, j’ai retiré mon débardeur et enfilé l’un de ses tshirt, puis j’ai retiré mon jean en prenant soin de bien me pencher en avant jambes tendues espérant qu’il remarque bien mes fesses mises en valeur par un string choisi exprès pour lui. Cette technique m’avait été transmise pas Nathalie et j’étais toute excité d’imaginer enfin réaliser l’un de ses conseils. Je suis ensuite retourné me blottir à côté de lui mais un peu plus affalé dans le lit et sans me recouvrir de couvertures. Alors que nous étions restés silencieux depuis le début du film, j’osais avec un énorme effort lancer la discussion :
– Alors ça me va bien ton tshirt ?
– Oui, tu es très belle comme ça
Il hésita un peu :
– Et t’as de superbes jambes Virginie
Je ri un peu et bougeai un peu mes jambes en les frottant l’une contre l’autre tout en les collant aux siennes encore sous les draps. À partir de là, il s’est enfin senti capable de m’embrasser. J’avais sûrement bien réussi mon coup car il a directement glissé une main sous le tshirt pour me peloter les seins un peu trop brutalement mais je le laissais faire tellement heureuse d’enfin me sentir dans ses bras. Peu à peu on glissait pour se retrouver allongé sur le côté face à face dans les bras l’un de l’autre. Il continuait de me peloter les seins tout en essayant de me retirer mon soutif sans succès. Moi j’accédais à tout son corps avec mes mains pendant que je lui retirais sa chemise découvrant son torse imberbe un peu rond, je le caressais partout jusqu’à ce qu’une de mes mains s’attarde sur son entre-jambe et que je frotte doucement son pénis à travers son pantalon. Sentant son désir monter je dégrafais son bouton de pantalon et tentai de plonger ma main dans son caleçon mais il eut un mouvement de recul des hanches qui eu pour effet de faire ressortir ma main aussitôt. Je me contentai de continuer de le caresser à travers les habits. Nous étions toujours entrain de nous embrasser depuis plusieurs minutes, je le sentais maladroitement se débattre avec l’agrafe tout en me caressant le dos jusqu’à ce que je le pousse sur le dos et me mette à califourchon sur lui pour retirer mon tshirt et mon soutif. Enfin il pouvait prendre mes seins nus à pleines mains, il s’est redressé pour me sucer les tétons et enfouir son visage dans mes seins pendant qu’il glissait sa main de plus en plus bas vers mes fesses qu’il s’est mis à malaxer un peu maladroitement. J’aimai ce qu’il me faisait mais nous sommes resté comme ça longtemps je ne savais pas trop comment enchaîner et j’espérais qu’il me guide, lui continuait d’enfouir sa tête dans ma poitrine en suçant et bavant de plus en plus sur mes tétons pendant que ses mains pétrissait de plus en plus fort mes fesses, les écartant l’une de l’autre puis les pressant très fort ensemble en les remontant, j’avais vraiment l’impression qu’il jouait avec elles comme de la pâte à modeler. Quand j’essayais de me baisser pour pouvoir l’embrasser et accéder à son entre-jambe pour lui retirer son pantalon, il me remontait les fesses plaquant mon pubis contre son torse. Ensuite ses mains s’introduisait de plus en plus dans ma raie des fesses le long de mon string, il faisait des aller-retours de haut en bas, je ne me sentais pas très à l’aise de le sentir passer en insistant de plus en plus fort contre mon anus seulement protégé par le tissu tout fin du string mais je le sentais se rapprocher de plus en plus à chaque voyage de mon vagin. Quand il atteignit enfin mon vagin humide il remontait ses doigts trempé que je sentais mouiller tout le long de ma raie des fesses. Comme il me tenait fermement je le laissais continuer mais je souhaitais vraiment qu’on se déshabille pour de bon. Alors qu’il continuait son mouvement, mon string n’étant plus qu’une serpillière trempée et désagréable je lui proposais de me l’enlever, et je tentais de guider son bras pour amener sa main plus proche de mon clito. Cependant il ne comprit pas bien le message et décala mon string pour enfoncer facilement son doigt dans mon vagin complètement ouvert. C’était la première fois que quelqu’un pénétrait ici et ça n’était pas spécialement agréable. Il tenta tout de suite d’y mettre un deuxième doigt plus difficilement je le laissais rentrer doucement. Satisfait de son insertion il se retira et me décala pour ne plus être sous moi. Il me guida pour que je me mette à quatre pattes dans le sens du lit lui se leva hors du lit à côté de moi et positionna sa main droite sur mes fesses glissant comme avant le long de mon string jusqu’à réintroduire ses doigts en moi. Avec sa main gauche il me caressait les seins, puis appuyait sur mon dos de manière à ce que je sois complètement cambré. Dans sa position debout, son pantalon ouvert commençait à tomber et je voyais la bosse bien évidente dans son caleçon. Je le voyais très concentré, les yeux rivés sur mon cul, précautionneusement entrain de me doigter faisant remonter toujours plus de mouille sur ma raie de fesses se penchant de temps à autre pour m’embrasser mais sans jamais retirer sa main droite. J’étais son jouet et il agitait sa main droite de plus en plus fort avec ses doigts dans mon vagin quand il y allait un peu trop fort je me raidissais un peu pour le faire ressortir mais il appuyait systématiquement sur mon dos de son autre main pour me cambrer le dos à nouveau. Je ressentais de l’excitation dans cette position mais je ne me sentais pas du tout sur le point de jouir et je commençais à trouver la situation gênante au bout de quelques minutes. J’essayais de lui caresser le pénis d’une main mais dans ma position à quatre pattes l’équilibre n’était pas évident. Au fur et à mesure Julien s’était décalé de plus en plus vers mon visage jusqu’à ce qu’il se tourne dos à moi pour enlever son caleçon et enfin monter sur le lit. Il était debout, au-dessus de moi toujours à quatre pattes, une jambe de chaque côté de moi penché en avant et sa main droite était toujours entrain de pénétrer mon vagin et sa main gauche posé sur mon dos. C’était vraiment bizarre comme position, ses fesses au-dessus de ma tête, il s’excitait de plus en plus dans mon vagin et je commençais et gémir un peu car je sentais qu’il avait retiré sa main gauche de mon dos pour commencer à se branler. Peu de temps après il me dit de ne pas bouger, il allait chercher une capote, l’enfila et se positionna derrière moi pour s’insérer en moi. Je ne bougeais pas d’un poil et je sentais le bout de sa queue glisser un peu partout contre ma chatte. J’étais complètement mouillé et ouverte mais je le sentais pousser maladroitement avec sa queue, parfois il se rapprochait dangereusement de mon cul et puis se ravisait. Il continuait de me caresser et de m’introduire des doigts et finalement il revient dans sa position bizarre debout au-dessus de moi. Quand il m’adressa la parole je me rendais compte que nous ne nous étions pas parlé depuis le début de l’acte : « Attends Virginie tu peux me faire un petit plaisir pour m’aider un peu ». Je n’ai même pas eu le temps de répondre puisque j’avais compris ce qu’il voulait car pendant qu’il disait ses mots il s’était reculé, avais baissé son bassin et positionner sa queue en face de mon visage. Il a doucement rapproché son gland de mes lèvres et je voyais enfin correctement son pénis pour la première fois. Il avait retiré la capote et semblait peu bander. Il se tenait jambes fléchies devant moi penché en avant dans une position peu confortable pour lui mais j’étais décidé à ne pas laisser passer cette occasion. Comme il ne bandait pas vraiment je pouvais avaler son pénis entièrement sans problème, je malaxais un peu ses testicules qui pendaient devant moi et leur donnait quelques petits coups de langue. Quand son pénis à commencé à raidir dans ma bouche il s’est mis à donner des coups de hanches qui avaient tendance à le faire allez de plus en plus profond dans ma bouche, c’était maintenant lui qui pénétrait ma bouche tandis que je ne bougeais plus. Avec sa main droite il avait de plus en plus de mal à atteindre mon vagin et je commençais à le sentir s’appesantir sur mon anus. Il avait décalé mon string et faisait des petits ronds avec son doigt posé sur mon anus, sans le pénétrer il appuyait fermement dessus. Entre ça et sa queue qui faisait des aller-retours dans ma bouche je sentais une excitation très malsaine monter en moi et alors que je commençais à gémir, il déchargea sans prévenir un jet de sperme qui viens percuter le fond de ma gorge, et me provoqua une quinte de toux incontrôlable expulsant tout le contenu de ma bouche sur Julien et sur le lit. Je n’arrivais plus à m’arrêter de tousser et je fonçais à la salle de bain de peur de vomir. Heureusement la salle de bain était accessible sans passer par la salle de jeux où était Mathias. J’ai fini par me calmer en buvant un peu d’eau et Julien m’a rejoint. J’étais entrain de retirer l’eye-liner qui ne ressemblait plus a rien. Il s’était rhabillé et semblait très gêné, il m’avait gentiment rapporté mes habits mais comme j’étais encore d’humeur coquine je lui ai dit que je resterai en string pour lui. On est retourné dans sa chambre et on s’est couché l’un contre l’autre dans un tendre câlin. J’ai essayé de dédramatiser la situation et de le rassurer mais il ne semblait plus motivé pour le sexe et nous avons commencé à nous endormir en cuillère lui derrière moi. Il faisait super chaud dans sa chambre, je me réveillais souvent repoussant les draps quand je l’ai senti derrière moi frotter subrepticement son pénis entre ma raie des fesses, je le laissais faire puis pour lui indiquer mon approbation je commençais à bouger les fesses. Je l’ai ensuite senti enfiler une capote et sans un mot décaler mon string pousser sa queue contre mon anus. Il n’arrivait pas rentrer et je n’avais pas vraiment envie qu’il le fasse mais j’aimais bien cette sensation et je commençais à écarter les jambes pour me masturber. Je n’avais pas joui encore et j’avais bien décidé d’y arriver ce coup-ci. À force d’essayer de me pénétrer il finit par trouver l’entrée de mon vagin et s’enfonça dedans d’un coup. Je continuais de m’astiquer le clito pendant qu’il commençait à s’agiter, ses aller-retours étaient trop rapide et peu efficace mais à force de me stimuler le clitoris j’ai senti monter l’orgasme et j’ai commencé à gémir, il s’est alors enfoncé entièrement et a joui au fond de moi, j’ai continué de me stimuler me sentant près de l’orgasme, mais son râle lourd et son souffle chaud ainsi que sont corps brûlant épuisé et transpirant venant se coller contre moi ont eu raison de mon excitation. Il s’est rendormi
comme ça toujours sans un mot contre moi, et moi je suis resté éveillé, frustré et très mal à l’aise. Soudain je me suis rappelé que nous étions au milieu de la nuit, que son frère devait dormi dans la chambre juste à côté et je me suis senti hyper-gêné, j’étais persuadé qu’il nous avait entendus. Et puis j’ai senti la soif me tenailler mais pas d’eau à proximité et mes habits étaient restés dans la salle de bain. J’hésitais à y aller, j’essayais d’oublier la soif puis j’envisageais de réveiller Julien pour lui demander de me dépanner mais j’avais vraiment pas envie de passer pour la fille qui réveille son copain pour un verre d’eau. J’ai trouvé la chemise de Julien par terre et je l’ai enfilé en commençant à me diriger dans le noir vers la sorti de la chambre qui passait par la partie occupé par Mathias. J’avançais à pas de loup et tentais d’apercevoir si son frère était dans son lit. J’ai découvert son corps nu allongé sur le dos, pénis dressé et apparemment stimulé par sa main. Mince j’étais bloqué je ne pouvais pas passer devant lui dans ses conditions, derrière moi Julien dormais toujours sur le côté et devant Mathias se masturbait discrètement dans la pénombre de sa chambre. J’avais maintenant la certitude qu’il avait dû nous entendre pendant la nuit. Je suis resté planté là quelques minutes qui m’ont paru une éternité, je guettais le sommeil de Julien et observais son frère quand il s’est levé gardant sa main active sur son membre et se dirigeant vers la sortie. J’hésitais à me diriger vers la sortie si Mathias allait à la salle de bain je le croiserai forcément, et même si je commençais à me faire quelques films dans ma tête qui avait bien besoin de fantasmer, j’étais totalement pétrifié à l’idée de réellement me faire aborder par le frère de Julien. Je me suis approché discrètement de la sortie, j’ai descendu les escaliers pour accéder au couloir de l’entrée donnant sur la salle de bain dont je ne voyais sortir aucune lumière mais en face la salle de jeu projetais la lumière qui semblait provenir d’un écran. J’ai d’abord été boire un coup vite fait au lavabo, avant que la curiosité ne l’emporte, et j’ai jeté un coup d’œil rapide à la salle de jeu, plongé dans la pénombre, seulement illuminée par l’écran de l’ordinateur qui projetais sa lumière sur le corps nu de Mathias. Je le voyais de profil, affalé sur la chaise, jambes largement écartées entrain de s’astiquer vigoureusement, casque sur les oreilles je l’entendais chuchoter sans pouvoir discerner ce qu’il disait ou ce qu’il regardait. Je me sentais sale poisseuse mais chaude comme la braise et je m’imaginais aller vers lui et tout ce qui s’ensuivrait, par moment mon fantasme achevait presque de vaincre ma timidité mais aussitôt mon cœur battait à tout rompre et je me ravisais. Soudain j’entendis des bruits de pas au premier, sûrement Julien qui se levait, je me précipitais dans les escaliers pour remonter dans la chambre, complètement flippé que Julien découvre mon espionnage pervers, je ripais sur les marches et m’écroulais de tout mon long dans les escaliers dans un boucan de tous les diables. J’entendis le crissement de la chaise dans la salle de jeu et totalement paniqué me précipitais vers la chambre ou je percutais Julien qui en sortait :
– Wow ça va Virginie, qu’est ce qui se passe, tu t’es pas fait mal ?
– Non c’est bon ça va, j’avais soif
– Ah oui moi aussi je vais chercher une bouteille d’eau
Totalement paniqué qu’il voit ce que j’avais vu je répondais
– Attends j’ai soif d’autre chose maintenant
Je m’accroupis devant lui sorti son pénis flasque de son caleçon et le gobai d’un coup. Il se laissa faire le temps de quelques aller-retour, puis reculait doucement vers sa chambre tout en guidant ma tête pour que je reste collé à son bas-ventre, il murmurait :
– Ah putain Virginie t’es géniale, ma chemise te va bien, c’est elle qui te fait de l’effet comme ça ?
Sortant sa queue de ma bouche :
– Oui Julien j’ai encore très envie de toi
Prenant doucement ma tête il me rentrait à nouveau sa queue qui commençait à durcir
– Ah oui Virginie tu me plais énormément, tu es magnifique comme ça en string, j’adore voir ton magnifique cul bouger.
S’asseyant sur le lit pendant que je continuai ma fellation, il commençait un long monologue à voix basse :
– Va y descends doucement le plus loin que tu peux c’est bon.
Il commençait à bander dur et j’arrivai à peine à engloutir tout son pénis.
– Ouais t’y es quasiment reste en bas comme ça au max que tu peux
Je restai statique avec sa queue enfoncée au plus profond, je sentais toute la salive remplir de plus en plus ma bouche. J’en laissai couler un maximum sur ses boules.
– Regarde-moi Virginie, je te trouve magnifique, tu me fais tellement de bien, c’est génial.
Il a continué comme ça à me parler quelque temps en faisant de tout petit mouvement dans ma bouche qui avalait déjà tout ce qu’elle pouvait mais je sentais sa queue ramollir un peu et il poussait doucement ma tête jusqu’en bas tout en me regardant dans les yeux :
– Ooooh oui ça y est tu y es Virginie, c’est génial
Je commençais à me sentir mal à l’aise de le regarder en face comme ça à écouter ses commentaires pendant que je luttais pour expulser tout ce liquide qui débordait abondamment de ma bouche. Je voulais qu’il jouisse et qu’on en finisse mais chaque fois qu’il commençait à bander plus dur il arrêtait ses mouvements et tenait ma tête immobile quelques instants, histoire de se reprendre comme il me disait :
– Attends Virginie, j’aimerais que tu te touches pour qu’on jouisse ensemble. Dit moi quand tu y es.
Je commençais à me toucher le clitoris tout en continuant ma fellation, mais accroupi comme j’étais je commençais à fatiguer des cuisses et j’avais la mâchoire qui s’ankylosait, j’ai donc fait semblant de gémir avec sa queue dans ma bouche, et lui ait fait oui de la tête quand il me demanda si j’étais entrain de jouir. Ce coup-ci je l’ai à peine senti jouir, ce qui m’a évité de tousser. Ma bouche enfin libre je sentais craquer mes os, j’étais puante de transpiration et un peu mal à l’aise de regarder à nouveau Julien dans les yeux. Après s’être affalé en arrière dans le lit, consommant pleinement son orgasme, Julien se releva pour finalement aller chercher de l’eau. J’espérais que son frère ne serait plus entrain de se branler en bas mais comme il n’était pas encore revenu dans la chambre je tentais de retenir Julien encore un peu lui demandant de me rendre le plaisir que je lui avais procuré. Un peu étonné Julien me balança :
– Mais tu viens de jouir à l’instant, tu peux recommencer ?
– Oui s’il te plaît, j’ai été gentille
– Ah oui ça c’est clair tu es ma chérie je ne peux rien te refuser maintenant.
C’était la première fois qu’on m’appelait « ma chérie » ça ne m’a pas beaucoup plus dans ce contexte.
– Allonge-toi confortablement
Je me suis allongé sur le dos pendant qu’il me retirait sa chemise que j’avais gardée. Il a commencé par me masser rapidement puis s’est rapidement intéressé à mes seins, je me sentais hyper sale et j’avais du mal à apprécier ses caresses. Il était assis à genoux à côté de moi ses mains parcourait tout mon corps et sa bouche m’embrassait un peu partout. Je voyais son pénis rabougri gluant humide coincé entre ses cuisses, qu’il touchait par moment sans conviction. Je fermais les yeux pour me concentrer sur ses caresses uniquement et je repensais à Thomas. J’essayais de guider sa tête vers mon entre-jambe mais il ne semblait pas vouloir y aller. Enfin il retira mon string, leva mes deux jambes en l’air et introduit ses doigts dans mon vagin, je guidais son autre main sur mon clitoris qu’il massait maladroitement :
– Comme ça c’est bien ?
– …
– Ah ouais là c’est bien, hein, je sens que tu mouilles plus quand je fais ça.
– Hmm Hmm, je répondais bouche fermé espérant qu’il se taise
– Ouais je vois si j’enfonce plus de doigt aussi tu kiffes ? Là comme ça, je fais des ronds t’aime ?
– …
Quand il me parlait ça me sortait complètement de l’excitation que j’avais pu commencer à ressentir.
– Et pars là aussi tu kiffes bien ? Pendant qu’il commençait à glisser son pouce sur mon anus.
– Attends, je préférerais un cunnilingus
– Ouais chaipa je préfère avec les doigts tu vas voir je vais bien te faire jouir, ma chérie
Encore ce « ma chérie » ça commençait à m’énerver et puis fallait qu’il se taise. Heureusement à ce moment son frère était entrain de revenir dans la chambre, j’espérais qu’ainsi il se taise et me fasse jouir en silence. Mais finalement il s’est allongé à côté de moi continuant à me doigter, il me parlait dans l’oreille et pendant de longues minutes a continué de me pétrir maladroitement la chatte. Je gardais les yeux fermé et tentais de me concentrer sur mes propres fantasmes. J’étais toujours allongé sur le dos, j’avais laissé retomber mes jambes écartées, lui s’était agenouillé à côté de moi, une main dans mon entre-jambe et l’autre entrain de se branler au-dessus de mes seins. La vision de Julien astiquant son pénis tout mou et dégoulinant était un vrai anti-sexe. Voulant en finir je pris sa main qui me masturbait et l’utilisait comme un outil. Plongé dans mon imagination, j’ai finalement réussi à me faire un peu jouir. Julien a tenté de rapprocher son pénis tout mou de ma bouche mais je lui ai juste fait un bisou dessus :
– Tu m’as assez usé la mâchoire pour ce soir Julien, j’en peux plus.
– Juste un peu, ça sera pas loin je suis au bord
Il continuait de s’astiquer au bord de mes lèvres closes.
– Ouvre juste un peu s’il te plaît c’est vraiment trop bon, ma chérie
Je faisais non de la tête :
– Ça va c’est bon je suis crevé, laisse-moi dormir maintenant
J’avais peut-être été un peu sèche mais ce dernier ma chérie m’avait énervé et puis il commençait vraiment à me saouler. Je me suis tourné sur le côté mais j’ai continué de le sentir dans le lit entrain de se masturber comme un lapin.

Malheureusement je n’arrivais pas à dormir, la chaleur était insupportable et je ne pensais qu’à prendre une douche. Quand Julien eu fini de s’astiquer à fond comme un lapin le lit était redevenu calme. Je guettais l’heure et dès 7 h du mat, je me levais pour aller prendre une longue douche. Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas levé aussi tôt un dimanche de mon plein gré. Je me suis baladé dehors en attendant que tout le monde se lève, ses parents m’ont accueilli pour le petit dej, ils étaient très sympa mais je n’avais qu’une hâte c’était de rentrer. C’est eux qui devait me ramener chez moi, mais je ne pouvais pas leur demander ça tant que leur fils n’était pas levé. Je n’avais pas encore pris ma décision est ce que je devais rompre avec Julien ? On était ensemble depuis seulement une semaine et puis j’étais tellement heureuse d’avoir enfin un petit copain. Mais je me rendais compte que Julien ne m’attirait plus du tout physiquement. Mathias nous a rejoints au petit dej puis nous sommes allé jouer à la console en attendant Julien dans la salle de jeu. Son frère n’avait pas l’air gêné avec moi mais je repensais à ce que je l’avais vu faire cette nuit dans cette même pièce. Il n’était pas très beau de visage mais il avait un corps svelte et musclé à l’inverse de Julien plus rondouillard mais mignon de visage. Alors qu’on discutait de tout et de rien il me balance :
– Et donc ça fait longtemps que t’es avec mon frère ?
Un peu confuse car jusqu’à présent je n’avais pas été présenté comme la petite copine de Julien mais juste comme une copine :
– Non on n’est pas ensemble, répondais-je machinalement avant de me reprendre :
– Euh nan, je veux dire ça fait pas longtemps qu’on est ensemble
Il souriait un peu sûrement amusé de m’avoir mise dans une position embarrassante, je ne pensais qu’à cette nuit et j’étais maintenant convaincue qu’il avait dû tout entendre parfaitement avant qu’il ne rétorque en baillant :
– Ouuuaaaaaa, désolé j’ai eu du mal à dormir cette nuit, je me suis relevé plusieurs fois à cause de la chaleur et du bruit, toi aussi non t’a pas l’air trop fatigué pourtant ?
J’étais statufié, j’étais sûr qu’il faisait allusion à moi et Julien mais je me demandais s’il m’avait vue descendre à la salle de bain. Je restai à fixer l’écran concentré à fond sur le jeu sans répondre. Je devais être rouge comme une pivoine, mon cœur battait à deux cents à l’heure, j’avais envie de disparaître, me retrouver toute seule chez moi dans mon lit. Heureusement il n’a pas insisté, nous avons fini par parler d’autre chose et peu avant midi Julien c’est levé et nous a rejoint. Nous avons tous mangé ensemble le midi et ses parents m’ont raccompagné chez moi.

Je n’ai pas répondu à Julien le dimanche soir quand il m’a envoyé plein de message par tchat pour savoir quand on allait se revoir. J’attendais d’aller voir Nathalie pour lui raconter, et qu’elle m’aide à prendre la décision de quitter ou rester avec Julien. J’ai vu Nathalie dans la semaine et j’ai pris la décision de repousser notre prochain rendez-vous avec Julien prétextant que je ne serais pas disponible ce week-end. C’est donc deux semaines après notre première nuit que nous nous sommes revu.

À suivre.

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