Aujourd’hui c’est jeudi, dispensé de sport à cause d’une légère entorse à la cheville que je me suis faite au foot, je rentre des cours à 15h au lieu de 17h. A peine rentré, j’aperçois une paire de basket au pied de l’escalier. Je continue d’avancer dans la maison, je dépose mes affaires de cours. Un manteau est en vrac dans le canapé. Je ne reconnais pas ces affaires. Il y a quelqu’un dans la maison.. Mes interrogations sont vite confirmées quand j’entends des bruits à l’étage. Je reconnais la voix de Claire (ma demi-sœur), enfin je reconnais ses gémissements. Je distingue aussi un bruit régulier qui tambourine dans le plancher, en bas. J’imagine qu’elle n’est pas seule, qu’elle se fait baiser. Mon sexe réagit instantanément en durcissant. Je suis curieux et je décide d’aller voir. J’enlève mes chaussures pour être plus discret dans l’escalier. Arrivé sur le palier, les sons proviennent bien de sa chambre qui est entre ouverte. Je l’aperçois à peine : son visage sur l’oreiller, son dos cambré. Je n’en vois pas plus. Trop excité, je décide de pousser un peu plus la porte. Je vois enfin toute la scène. Elle est à quatre pattes, un mec les mains sur ses hanches, la tient fermement et les assène de grands coups de queue. Il est un peu chétif, du même âge que nous a priori. Son visage affiche une certaine satisfaction. Inconsciemment, je déboutonne mon jeans et commence à me branler, debout sur le seuil de la porte. Voir Claire se faire démonter me rappelle la fois où c’était elle qui me baisait. Ma main glisse le long de ma queue en pleine érection.
Soudain elle tourne la tête sur son oreiller, et nos regards se croisent ! Gêné je tente me cacher et rougit immédiatement. Claire sourit :
– Entres petit pervers, n’ais pas peur tu m’as déjà vu à poils.
– euh…ok
Le mec s’arrête net, surpris tout autant que moi.
– Je t’ai pas dit de t’arrêter toi! Continue de me baiser, petite bite, lance-t-elle de façon dénigrante.
Le pauvre gars recommence ses mouvements, avec des regards suspicieux dans ma direction.
– Enleves ton pantalon et approche. Montre moi ta grosse queue, dit-elle d’une voix douce qui tranche avec la façon dont elle venait tout juste de lui parler.
J’enlève tout, mon sexe bien dur se dresse fièrement. Je me dirige vers Claire qui se redresse, en appui sur ses coudes. Dès que je suis assez près, sa main souspèse mes couilles, « elles ont l’air bien pleines ». Elle les tirent vers elle, je suis forcé de me rapprocher du lit, ma queue est presque collée à son visage. Elle a l’air ravi, et sa main commence maintenant à la caresser. Son corps remue au rythme des coups de l’autre mec et elle est légèrement déséquilibrée à chaques fois. Sans dire un mot, elle se retourne rapidement pour être sur le dos, écartant ses jambes à la façon d’un grand écran de gymnaste. Il recommence à la prendre, et elle recommence à me branler. Ses yeux sont fixés sur ma queue qu’elle tient fermement en main. Elle se met à sucer un de ses doigts et finit par tourner sa tête vers moi tout en tirant maintenant mon sexe. Sa langue passe délicatement sur mon gland, joue avec, titille au niveau du frein. Je frémis à chaque caresse, avant qu’elle le gobe. Je ressens la chaleur de sa bouche, sa tête commence à aller et venir, en aspirant ma queue. C’est ma première fellation, mais je trouve qu’elle me suce magnifiquement bien.
Elle sort ma queue de sa bouche :
– T’as toujours pas jouit ! lui reproche-t-elle, et moi non plus!
– Mais ça aller venir avant que…
Elle l’interrompt :
– Il va prendre ta place, il sait me faire jouir lui, dit-elle en me regardant avec son sourire.
Penaud, le mec s’arrête et sort sa verge de ma demi-soeur. Effectivement son sexe est plus petit que le mien.
– Branles toi en regardant si tu veux, sinon tu peux partir.
Le gars reste dans la chambre, sur le côté. Il enlève le préservatif et commence à s’astiquer.
Claire toujours sur le dos, les jambes grandes ouvertes me supplie presque : « Vas-y, baise moi.. ». J’arrive entre ses cuisses, sa chatte est grande ouverte et trempée, la gars l’avait déjà bien dilatée malgré sa « petite bite ». Je réalise que je n’ai pas de capote et regarde Claire :
– Mais je n’ai pas…
– Pour toi, pas la peine. Je veux tout sentir..
Je m’agenouille entre ses cuisses, et oriente ma queue. Elle ne rentre pas si aisément, comme lors de notre première fois. Elle m’aide, sa main glisse mon gland sur sa vulve trempée afin de le lubrifier. Elle en profite pour tapoter sur son clitoris avec. Des « hmmm » sortent de sa bouche. Puis elle essaie à nouveau de m’introduire en elle, avec succès :
– Ooooh… c’est bon, gémit elle, en lâchant ma queue. Sa façon de me parler est bien plus douce que d’habitude. La sensation que je ressens est incomparable avec la fois où j’avais une capote : je sens son vagin s’ouvrir sur mon gland, ainsi que sa chaleur. J’avance doucement en elle, reculant après chaque centimètre enfoncé de plus. Je ne vais pas tenir longtemps, avec toutes ces nouvelles sensations. Ça y est je suis entièrement en elle, elle la sentit aussi. Son bassin commence à onduler, j’ai l’impression qu’elle me branle avec son vagin. Il contracte mon gland, le fait bouger contre ses parois. Selon les endroits où il est, elle gémit plus ou moins. Je ne peux m’empêcher de la saisir par ses cuisses si douces, et commencer mes va et vient. Je cambre mon bassin afin que chacun de mes mouvements aillent au plus profond. Je m’écrase ainsi sur son clitoris. Elle a les yeux fermés, quasiment dans un état second quand j’accélère le rythme. Ma queue allant et venant maintenant très facilement grâce à la quantité de mouille qu’elle libère. Ses mains s’appuient sur le mur pour bien recevoir mes grands coups de queue.
– Accélères, s’il te plaît, je sens que ça vient..
Étonné par la rapidité de son extase, je m’applique.
– Tu aimes ça, sentir ma grosse queue te défoncer ? osais-je cruement.
– Oh oui, j’aime ça, ouiii…ouiiiiii… aaaah, hurle t elle. Son corps se raidissant violemment, un liquide se met à couler abondamment par saccades au même rythme que les spasmes intenses qui parcourent son corps. Le bas de mon ventre en est arrosé ainsi que mes couilles, qui font un clapotis à chaque contact sur son cul. Je comprends qu’elle a éjaculé. Je continue à la bourrer, mon orgasme arrive aussi. Après quelques coups, je colle son bassin sur moi pour éjaculer au plus profond de son vagin qui ralentit ses contractions. A la première giclée, un râle sort de ma bouche, elle gémit de plus belle en agrippant mes fesses pour ne pas que je puisse partir. Les autres sacades de sperme finissent toutes bien en elle. Je m’écroule sur elle, tous mes muscles sont fébriles après cela. Elle pose un bisou délicat sur ma joue et me glisse à l’oreille : « c’était génial, merci ».
Elle réalise que l’autre mec est toujours, en train de se branler. Elle me pousse sur le côté du lit, ma queue sortant de son vagin.
– Toujours pas éjaculé? Soit tu pars soit tu me lèches et tu pourras m’ejaculer dessus, lui proposa t elle.
Un peu désappointé, il alla entre ses cuisses, et obéit. J’étais gêné pour lui, mon sperme allait couler pendant qu’il la léchait. Lui n’avait pas l’air embêter par cela, il a la main sur sa queue et s’astique bien fort pendant que je vois sa tête entre les jambes de Claire. Elle pose ses mains sur mes joues, m’embrasse langoureusement. Nos lèvres unies pendant un moment, nos langues s’entremêlent.. Jusqu’à ce qu’elle se sépare de moi, son corps se cambre à nouveau.
– Ouiii, ouiii… Hmmm.. Continue encore…
Le mec releve sa tête et caresse le clito de Claire frénétiquement avec ses doigts pendant qu’elle jouit une nouvelle fois. Il approche sa queue, la frotte à l’entrée du vagin et éjacule sur son ventre. Elle passe immédiatement sa main dessus et étale le foutre sur elle, il continue de secouer sa queue jusqu’à la dernière goutte.
– Hmm pas si mal, tu m’as donné un peu de plaisir quand même, lance-t-elle en le regardant, mais avec ta langue pas avec ta petite bite !
Puis elle se tourne vers moi pour me dire :
« C’est ta queue la meilleure.. »
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