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massage en famille

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Il y a parfois des situations bien particulières qui vous font tourner la tête. Voici ce qui m’est arrivé il y a maintenant un peu plus de deux ans et qui se continue aujourd’hui.
Mes parents ont divorcé en 1999. C’est mon père qui nous élève mon frère et moi. Mon père a divorcé de ma mère et est partie avec un autre gars à l’étranger, ce qui fait que nous ne la voyons jamais. Mon père ne se plaint pas, il travaille dans la direction financière d’un groupe d’audit et tout se passe très bien. Je n’ai jamais vu mes parents se déchirer même pendant le divorce. Aujourd’hui, leurs rapports sont, je pense, relativement amicaux pour le bien de tous.
Mon frère et moi étions étudiants quand l’histoire qui suit a commencé. J’approchais mes 20 ans, j’étais à l’université et mon frère avait 18 ans, il était en Terminale. J’ai vite compris qu’après le divorce de mes parents, il fallait que nous, les enfants, fassions notre part de «boulot». L’adaptation à cette nouvelle vie a pris quelques temps, je me souviens que mon père qui a toujours été un peu autoritaire n’était pas toujours très content de nos conduites.
J’aimais mon père et mon frère. C’était de beaux hommes bruns foncés, ouverts et souriants. Je voulais toujours leur faire plaisir et faisait tout pour avoir l’air du fils «parfait». Je crois que je me suis rendu compte à l’adolescence que je les désirais tous les deux, sans jamais oser me l’avouer. Alors, pour penser à autre chose, j’ai eu quelques autres relations avec des mecs à partir de mes 18 ans. Des relations assez courtes et assez frustrantes: aucun d’eux ne m’apportaient réellement ce que je recherchais. Puisqu’en classe tout se passait bien pour moi, je profitais de mes moments «creux» pour faire les courses, enlever les poubelles et même parfois faire le repas du soir. Mon père était aux anges et me complimentait, j’aimais lorsqu’il était content, ça le rendait encore plus beau.
On avait tous les trois une grande complicité. Mon frère et moi avions nos amis respectifs mais nous habitions un appartement assez loin du centre-ville et on ne sortait somme toute que rarement. Lorsqu’on allait au cinéma ou faire du shopping nous aimions être ensemble, on rigolait d’un rien et c’était très plaisant.
Et puis le sexe a pris de plus en plus de importance pour moi. Je n’en parlais bien entendu, ni à mon père ni à mon frère. J’ai étendu sans que cela se remarque mes «petits services». Je me suis mis à faire la lessive de plus en plus régulièrement. En fait, ça me permettait de prendre le linge dans le panier de le trier et de le mettre dans la machine. Au début mon père me disait que c’était un très bonne initiative et peu à peu j’en étais devenu responsable et je le faisais de façon naturelle sans que personne ne le remarque.
Il m’arrivait souvent lorsque mon père ou mon frère était dans la salle de bain de dire: «Je fais une lessive avez vous des affaires à me donner?» et presque à chaque fois, la porte s’ouvrait discrètement et ils me donnaient leur T-shirt, leurs chaussettes ou leur boxer. C’était pour moi un jeu et un grand plaisir. Je prenais alors leur caleçon encore chaud et le respirais discrètement avant de le mettre dans la machine. Sans qu’aucun d’entre eux ne s’en aperçoivent, je connaissais leur intimité, leur sous-vêtements, et cela m’excitait beaucoup. Le soir dans mon lit, je me faisais plaisir en pensant à eux deux d’une façon bien différente.
Un soir, avant le mettre le linge dans la machine, j’ai eu l’idée de prendre un produit détachant à déposer sur les tâches des différents vêtements avant de les laver. Thibaut, mon frère, m’avait donné son boxer et il avait des traces blanchâtres que je regardais avec un peu d’insistance. Je voulais mettre du détachant sur l’entrejambe lorsque mon père est arrivé derrière moi. À ce moment là, mon père d’une voix naturelle m’a dit: «Oh ne t’inquiète pas, ton frère a dû être excité, ces traces sont des traces de sperme mais ça part bien au lavage. Inutile de mettre du détachant, ça abîme le linge.» Et sans rien dire de plus, il a quitté la pièce pour continuer à faire à manger. Ses paroles m’ont résonné pendant des jours et des jours. C’est à cette période que j’ai augmenté très significativement mes masturbations nocturnes. Cela ne le dérangeait pas que Thibaut tache ses caleçons avec son sperme, mais cela voulait aussi dire qu’il faisait sans doute la même chose, lui aussi… Comme je le disais plus haut, je ne faisais, malgré tout, pas toutes les lessives et il arrivait à mon père et à mon frère d’en faire aussi.
Environ une semaine après cet épisode, c’était un samedi matin, mon père et mon frère ont entrepris de défaire les lits pour laver les draps. Alors que je remettais des joints sur les robinets du lavabo de la salle de bain, mon père me pensait dehors. J’ai entendu mon frère dans la chambre d’à côté dire à mon père en enlevant mes draps:
— Regarde papa, Patrick a laissé un mouchoir en boule au fond de son lit, c’est dégoûtant.
— Mais non, arrête Thibaut! lui a répondu mon père. C’est le mouchoir dans lequel il se masturbe. Prend-le, il faut le laver aussi.
— Il n’empêche que c’est dégoûtant! a repris Thibaut. Il est tout humide, il aurait pu mieux le cacher.
— Mais mon fils, ton frère est un homme normalement constitué, il doit se masturber plusieurs fois par jour, comme toi je suppose. C’est bien qu’il utilise un mouchoir, ça évite de tacher les draps.
Thibaut a pouffé de dire, et a dit à mon père:
— J’aimerai bien le voir.
— Petit vicieux, ça t’excite n’est-ce pas? lui a souri mon père. Tu as raison, il doit avoir un bel engin. En tout cas, il semble très actif.
— C’est dommage qu’il soit mon frère…
— Tu es incorrigible, tu raisonnes comme une petite salope…
— Ça te choque papa?
— Mais non, ça m’amuse, a répondu mon père.
Et puis Ils ont changé de conversation. Je me suis fais tout petit et j’ai attendu plusieurs minutes avant je sortir sans bruit de la salle de bain pour aller à la porte de la cuisine et faire semblant de rentrer dans l’appartement. Je pense qu’à ce moment-là, eux n’ont rien remarqué. Ainsi mon père et mon frère parlaient de mecs comme si de rien n’était? Jamais je ne me serais douté qu’ils partageaient tous les deux ce désir pour les hommes, le même que celui qui m’habitait.
Le lendemain de cet épisode, nous étions dans nos chambres respectives en train de rêvasser et moi de me caresser, lorsque nous avons entendu mon père crier. Nous avons accouru, il était presque plié en deux. Mon père nous voyant un peu affolé nous a dit calmement:
— Ne vous inquiétez pas, je pense que notre sortie de cet après-midi est un peu compromise. Ça n’est pas grave mais je viens de faire un faux mouvement et je me suis coincé le dos.
Thibaut et moi ne sachions que faire. Mon père nous a dit qu’il devait se reposer et que demain, lundi, il appellerait le médecin. Le voyant souffrir, Thibaut lui a dit:
— Où as-tu mal? Si tu veux, on va te masser.
— C’est une bonne idée, a répondu mon père.
Il s’est assis avec un peu de mal sur un pouf et Thibaut a commencé à lui masser le dos au travers de ses vêtements. Mon père lui a dit: «Oh oui, je crois que c’est ce qu’il faut faire!» Thibaut a tout de suite répondu:
— Je crois que oui mais je ne sais pas du tout comment faire… Patrick? Essaye, toi, je vais aller chercher de l’huile de massage.
— Mais je sais pas trop non plus, ai-je répliqué.
Et mon père m’a dit:
— Essaie, on ne sait jamais. Tu es peut-être plus doué.
J’ai imité Thibaut mais la position n’était pas très confortable. Quand Thibaut est revenu avec l’huile, il m’a dit:
— Je vais lui enlever son T-shirt et tu pourras masser la nuque et le haut du dos avec l’huile.
Mon père s’est laissé faire et en deux temps trois mouvements, mon père s’est retrouvé torse nu devant moi et je lui ai massé le cou et le dos qu’il avait large et musclé. C’était la première fois que je le voyais ainsi. Il était beau et la situation m’excitait au plus haut point mais à aucun moment, je n’aurais voulu rompre le charme. Mon père me félicitait et je m’appliquais; je n’aurais voulu pour rien au monde arrêter. Mon père n’arrêtait pas de dire «Oh, oh que ça fait du bien!» Je ne me souviens plus combien de temps je l’ai massé de la sorte, c’est Thibaut que m’a sorti de ma torpeur en disant que nous regarder faire, ça devenait lassant. J’ai donc arrêté, mon père était relaxé mais il hésitait de faire des mouvements. Thibaut et moi l’avons aidé à s’asseoir sur le divan. Il est resté torse nu une bonne partie du dimanche après-midi et je ne me lassais pas d’admirer son torse musclé et légèrement poilu. Finalement en fin de soirée il alla mieux. Et puis il m’a dit:
— Dis donc Patrick, tu masses drôlement bien. C’est très bon, tu devrais me masser de temps en temps comme cela, ça me ferait plaisir.
— Pourquoi pas? ai-je dis.
J’étais en réalité très content de cette opportunité qui m’apporterait la possibilité de le toucher à nouveau.
Le lendemain soir, lundi donc, après une journée de travail pour mon père et de classe pour mon frère et moi, nous avons dîné rapidement tous les trois. Après le repas, j’ai dit à mon père:
— Veux-tu que je te masse?
— Oh oui, ça serait une bonne idée, a renchérit Thibaut. Ça te fera du bien.
— Vous êtes très gentils les enfants. D’accord, j’ai encore un peu mal d’hier mais ça va. Cependant ça me relaxerait après cette journée de travail.
Thibaut est allé chercher l’huile de massage. En revenant, mon père s’était assis sur le tabouret. Il a demandé à Thibaut de s’asseoir sur une chaise en face de lui, et là mon père m’a dit:
— Allez Patrick, masse-moi tout le dos, je vais m’appuyer la tête sur l’épaule de Thibaut.
Ils se mirent en position, je me suis assis sur une chaise derrière mon père et commençai à le masser par dessus son marcel. Je n’osais rien dire mais je n’avais pas les mêmes sensations que la veille. C’est Thibaut qui a alors pris les devants et dit:
— Je ne suis pas allé chercher l’huile pour rien! Il faut enlever ton marcel papa.
— Très bien, enlève-le moi, dit-il.
Ils se redressèrent et Thibaut lui retira lentement, pour ne pas lui faire faire de faux mouvements, son marcel. La tête de mon père dans le creux de l’épaule de Thibaut, il se sentait bien et j’ai recommencé les massages. Je l’ai massé ainsi avec beaucoup de plaisir pendant très longtemps. C’est Thibaut qui craqua le premier et dit:
— Bon! Je crois que si ça continue, papa va s’endormir, il faut arrêter.
Thibaut redressa papa qui protesta:
— Oh non, c’était très bon.
— Je recommencerai ce week-end, dis-je.
— D’accord mon grand, m’a dit mon père qui pour l’occasion se redressa se retourna et pour me faire une grosse bise.
En agissant ainsi, il s’était retourné et je constatai avec stupeur qu’il avait une grosse bosse qui déformait l’entrejambe de son pantalon. Je restai boucha bée et regardai intensément cette proéminence tendue fièrement vers moi. Il me regarda en souriant et me dit:
— Eh bien Patrick, remets-toi, tu n’as jamais vu un autre mec bander?
— Non! ai-je répondu sans pouvoir dire aucun autre mot.
— Eh bien, reprends ton souffle mon garçon, si tu me masses régulièrement il faudra t’y habituer. Tu sais, c’est normal qu’un contact aussi intime fasse de l’effet à n’importe qui.
Il a ensuite ramassé son marcel et il est resté quelques courtes minutes dans cette position exhibitionniste puis il a remis son marcel et est sorti de la chambre, tranquillement. J’étais sans voix. Je me suis mis à bander comme un taureau. J’étais rouge et je suis allé prendre une douche pour me calmer.
Le lendemain, ce fut encore plus troublant. Après le repas que j’avais préparé, mon père s’est levé, et à dit à Thibaut d’aller chercher l’huile pour une séance de massage. Pendant que je débarrassais la table, mon père a enlevé sa chemise, Thibault me tendit l’huile. Eux se mirent en position et je recommençai à masser le dos de mon père en insistant aussi sur ses flancs et le bas de son dos, espérant parvenir à descendre de plus en plus bas. Mais mon père sans méchanceté me dit:
— Allez Patrick! Masse-moi bien mais n’en profite pas.
Après la séance, mon père s’est redressé, comme la veille, torse nu et visiblement bandé et est allé dans la salle de bain pour prendre une douche. Il m’a demandé de prendre son boxer pour le mettre dans la machine. Je l’ai observé bien sûr, mais je ne l’ai vu que de dos: ses fesses étaient fermes et recouvertes d’un fin duvet. Après sa douche, il apparut en caleçon large et dit à Thibaut:
— Tu sais les massages, ça fait un bien fou! Tu devrais essayer demain soir.
Le même scénario c’est reproduit le mercredi soir. Après le repas, mon père m’a dit:
— Ce soir, c’est Thibaut que tu devrais masser.
— Si il veut, ai-je répondu.
— Bien sûr! a crié Thibaut qui était dans la salle de bain.
Il s’est mis dans la même position que mon père la veille en inversant les rôles. Mon père lui a enlevé son T-shirt et une fois contre son épaule, mon père m’a dit de le masser aussi bien que je l’avais fait pour lui. Je ne me suis pas fait prier et je l’ai massé avec beaucoup de plaisir; j’ai même dit:
— Oh! Il a la peau aussi douce que la tienne.
De la même manière, j’ai essayé de la masser parfois sur le bas du dos pour avoir la joie d’être en contact avec le dessus de ses fesses. Mon père me voyait faire mais il ne disait rien. Puis, me voyant insister de plus en plus, il a fini par dire:
— Bon, je crois que ça va suffir. C’est bon Thibaut?
— Oh oui, a-t-il dit. C’est très bon.
— Patrick recommencera mais ça suffit pour ce soir, sinon ça risque de mal finir.
— Pourquoi? Thibaut a-t-il demandé.
— Pour rien, a répondu mon père. Mais ton frère risque de devenir moins efficace, il pourrait penser à autre chose.
— Mais non! ai-je protesté.
— Mais si, regarde: tu es tout rouge.
Je n’ai rien dit de plus, je me suis reculé et Thibaut s’est levé. J’attendais ce moment avec beaucoup d’impatience. Mon père l’a pris par le bras et l’a retourné vers moi en disant:
— Tiens Patrick, pour ta récompense regarde: lui aussi il est en érection.
Je suis resté sans voix. Thibaut n’a rien dit, il m’a simplement souri.
— Allez Thib’, assez pour ce soir, va passer un tee shirt.
J’étais un peu tétanisé. Je suis allé m’asseoir dans le canapé sans rien dire. Mon père m’a rejoint et s’est adressé à Thibaut:
— J’ai mis de l’eau à chauffer pour une tisane. Veux-tu apporter les tasses, les soucoupes et le sucre?
Thibaut s’est exécuté mais en arrivant près de la table de salon, il a un peu perdu d’équilibre et une des tasses lui a échappé et s’est cassée. Je pensais cet incident sans importance mais mon père lui a dit:
— Bon sang Thibaut! Je tenais beaucoup à ce service, il était à votre mère! Vraiment, tu aurais pu faire attention. Que tu es maladroit! Ça me met en colère! Tu sais, la prochaine fois, ça ne se passera pas comme ça.
— Ne t’énerve pas papa, tu vois bien que je ne l’ai pas fait exprès. C’est le massage qui m’a rendu un peu mou. Et puis qu’est-ce que tu veux dire par «ça ne se passera pas comme ça la prochaine fois»… Tu vas me taper?
— Oui, par exemple!
— Ben ça alors! Et pourquoi pas une fessée tant que t’y es? Comme lorsqu’on était petit.
— Oui c’est ça, une fessée! La prochaine fois fais attention… Ça m’ennuie vraiment, je tenais à ce service.
Thibaut, un peu vexé, a déposé les autres tasses et est parti dans sa chambre en bougonnant. Je me suis levé et j’ai ramassé les morceaux tout en essayant de calmer mon père. Il m’a répété que Thibaut était assez étourdi et que parfois, une petite correction lui ferait du bien.
— Écoute papa, arrête avec ça, tu gâches tout. Regarde comme on est bien tous les trois ici.
— Oui tu as raison Patrick, je me suis emporté, c’est idiot.
Sur ce, il se leva et alla vers la chambre de Thibaut. Il frappa à sa porte et entra. J’ai compris qu’il s’excusait et quelques minutes après, je les ai entendu rire, j’étais rassuré. Mon père a un caractère assez autoritaire qui resurgit parfois sans crier garde. C’est dans cette atmosphère un peu plus relaxe que nous avons continué la semaine.
Samedi matin, je me suis levé assez tôt comme souvent le week-end. Après m’être rasé, avoir pris une douche rapide et m’être lavé les dents, sans vraiment prêter attention à ma tenue, j’avais enfilé un boxer noir (c’est très moulant) et j’avais mis un tee-shirt. Je préparais comme souvent le petit déjeuner. Ni mon père ni mon frère n’était encore levé. L’odeur du café et des tartines grillées a fait lever mon père en premier. il est directement venu dans la cuisine.
Il avait revêtu, lui aussi, un simple marcel assez moulant et un caleçon large. Quand je l’ai vu, j’étais encore plus troublé qu’auparavant. On voyait ses muscles saillir sous le tissus de son marcel et je ressentais encore sa peau chaude sous mes mains. Mon sang n’a fait qu’un tour et j’ai commencé à avoir une érection. Il s’est approché de moi en me disant que j’étais vraiment mignon et en me complimentant sur l’initiative que j’avais prise ce matin. Et me faisant la bise, sans que je ne puisse m’y attendre, il m’a mis directement sa main droite sur le sexe en pinçant légèrement mon membre en érection que j’avais du mal à contenir et m’a dit sans ménagement:
— Eh bien Patrick, c’est ton père qui te fait cet effet-là ou c’est ton érection du matin?
J’étais littéralement tétanisé! J’ai bredouillé:
— J’ché pas, un peu les deux.
Il a relâché sa main et est allé s’asseoir à la table de la cuisine.
— Viens prendre ton café et manger, ça te calmera un peu.
Je ne savais plus contenir mon érection. Ma verge dépassait presque mon boxeur. J’ai versé le café et je me suis assis. Mon père s’est levé plusieurs fois de table, chaque fois le contre-jour de la fenêtre mettait ses formes en valeurs. Je le regardais avec insistance.
— Arrête de me regarder comme ça, tes yeux vont tomber.
Il s’est levé une dernière fois pour aller chercher le sucrier dans une armoire. Au moment où il a levé les bras pour l’att****r, son marcel s’est relevé: on voyait la fine toison du haut de son pubis et je pouvais constater un renflement au niveau du caleçon, malgré qu’il soit large. Je bandais comme un taureau et j’étais tétanisé. Quand il est revenu à la table, j’étais encore médusé je ne savais ni quoi dire ni quoi faire. Je bandais! Au moment où mon père s’est rassis, mon frère Thibaut est arrivé. On aurait dit qu’ils s’étaient donné le mot: Thibaut était aussi en caleçon large, avec un T-shirt trop court. Mon père l’a vite remarqué aussi car il n’arrêtait pas de lui donner des ordres: « Thibaut rapporte un verre », « va chercher un couteau ». Je bandais de plus belle à le voir quand mon père a dit en me regardant:
— Joli spectacle n’est-ce pas? Thibaut, après le petit déjeuner, il va falloir aller s’habiller sinon ton frère va avoir une syncope ou il va éjaculer dans nos bols.
— Pourquoi? Mets-toi debout frangin!
Comme un automate, sans réfléchir, je me mets debout et là c’est Thibaut qui me met la main sur le sexe en pinçant:
— Mais t’as vu papa comme il est énorme?
— Oui mon grand, il est bien monté ton frère, il tient ça de la famille, n’est-ce pas? lui repondit mon père avec un clin d’œil.
— Mais c’est de vos fautes, vous vous baladez presque à poil devant moi.
— Ben, on est chez nous et c’est samedi! On a le droit d’être cool le matin non? Allez, calme-toi, rassieds-toi et finissons de manger, a repris mon père.
Pendant le reste du petit déjeuner, je n’ai eu de cesse de regarder leurs muscles saillants. Il faut dire qu’ils faisaient tout pour m’exciter en dévoilant les parties de leur corps les plus excitantes. C’était la première fois que j’avais une érection aussi forte. Je savais qu’ils étaient de mèche pour m’exciter et je restai à table. La situation était vraiment extraordinaire. Je voulais la déguster jusqu’à la fin. Une fois le petit déjeuner terminé, je me suis levé pour débarrasser la table; j’étais toujours en érection. Mon père et mon frère se sont regardés:
— Thibaut, t’as vu? a dit papa. Il n’a pas débandé de tout le petit déjeuner.
— Oui, il a une sacrée santé mais c’est normal à son âge. Allez, allons nous habiller.
Je suis resté sur ma faim, ils se sont habillés et moi aussi et nous sommes allés faire quelques courses. Il y avait une vraie complicité entre nous et nous rigolions de tout ce qui se passait autour de nous.
Il était environ 13h quand nous sommes rentrés. J’ai préparé le repas vite fait, mon père et mon frère sont passés à table. Après le repas, mon frère s’est levé un peu brusquement et a accroché la nappe, envoyant par terre une assiette à dessert. Mon père en rigolant lui a dit:
— Eh bien mon fils, on fait encore des bêtises?
Nous nous sommes mis à rire tous les trois mais mon père a dit:
— Eh bien Thibaut, comme promis, tu as le droit à la fessée je crois?
Et en joignant le geste à la parole, il a pris Thibaut par l’avant-bras et l’a amené près de lui; il ne se défendait pas. Mon père a dégagé sa chaise de la table et s’est mis presque en face de moi. Thibaut ne bougeait pas, il continuait de se laisser faire:
— Maintenant Thibaut, mets ton ventre sur mes genoux, je vais te donner une fessée.
— D’accord mais pas cul nu!
— Mais si Thibaut, tu auras une fessée comme lorsque tu étais petit, cul nu et devant ton frère.
— Ah non pas ça!
— Si, si! a affirmé mon père.
Et là il l’a fait se pencher et Thibaut, déséquilibré, est venu choir sur ses genoux. Là mon père, les yeux pleins de malice, a pris son temps. Il a tout d’abord descendu le short de Thibaut pour bien lui dégager son petit cul; il avait un boxer noir.
— Oh mais c’est très joli tout cela, n’est-ce pas Patrick?
— Oh oui, il a un joli petit cul pour un mec.
— C’est vrai, regarde! en disant cela mon père massa doucement les fesses de Thibaut. Mais j’ai dit cul nu: allez Patrick! Viens enlever le boxer de ton frère.
— Mais non, pas lui! Je ne veux pas, a dit Thibaut.
— Tais-toi, c’est moi qui commande.
Je me suis approché et agenouillé et je lui ai retiré son boxer en le prenant par les côtés et l’ai descendu jusqu’au cheville.
— Oh que c’est beau! ai-je dit.
— Mais vous n’êtes vraiment que de gros vicieux! a protesté Thibaut.
— Tais-toi! lui a dit mon père en fessant de deux claques son petit cul.
— Aïe!
Moi j’étais fasciné et je regardais mon père. Il a plongé ses yeux dans les miens et a continué à lui donner trois fessées. Les fesses de Thibaut commençaient à rougir. Thibaut protestait de plus belle.
— Tes fesses sont presque aussi rouges que les joues de ton frère! a dit mon père.
— Je n’aime pas cela du tout! a répondu Thibaut. Surtout devant Patrick.
— Mais si mon chéri, tu aimes cela! D’ailleurs, tu bandes bien dur contre ma cuisse et ton pré-sperme transperce mon pantalon.
Et là, mon père qui avait son bras droit autour du petit cul de Thibaut, a arrêté de le fesser et a passé sans hésitation sa main gauche entre les cuisses de Thibaut à la recherche de son sexe. Il a alors présenté sa main devant mes yeux, elle était effectivement luisante.
— Alors Patrick, il ne mouille pas ton frère?
— Oh oui! ai-je dis.
— Allez, mets-toi debout mon chéri et montre ta bite dressée à ton frère.
Thibaut n’a pas protesté plus longtemps. Il s’est redressée et notre père m’a pris une main et me l’a conduite directement sur la bite fièrement bandée de Thibaut. Il m’a pris un doigt et l’a fait caresser le bout de son gland pour que je sente bien qu’il était mouillé.
— Allez les enfants, sur le canapé.
J’avais une trique d’enfer. Thibaut s’est assis à côté de moi, mon père s’est agenouillé entre nous. D’une main, il a fini d’enlever le reste des vêtements de Thibaut et de l’autre, il a ouvert ma braguette et a sorti mon sexe de mon boxer. Celui-ci était au garde-à-vous et mon père m’a complimenté. Ainsi positionné, mon père nous a caressé tous les deux, d’abord doucement. Puis, il a lâché ma queue et a continué à caresser Thibaut. Il le branlait bien et de temps en temps, allait caresser son petit trou entre ses fesses.
J’étais fasciné, je ne voyais pas vraiment son cul mais je le devinais et cela m’excitait encore plus.
— Qu’est-ce qu’il est ouvert! C’est incroyable! a dit mon père.
— Oh que c’est bon, répétait sans cesse Thibaut.
— Caresse-toi les couilles et la queue pendant que je te doigte si tu veux. Et toi Patrick, relève lui son t-shirt et pince lui les tétons, il adore ça.
— Ah c’est bon! a crié Thibaut qui se masturbait comme un malade.
J’étais hyper excité, la situation était au-delà de toutes mes espérances. Thibaut a joui très rapidement et n’arrêtait de crier son extase. Mon père a peu à peu retiré ses doigts et a dit:
— À Patrick maintenant. Thibaut, redresse-toi, ouvre sa chemise et caresse lui ses tétons comme il te l’a fait.
Pendant ce temps, mon père m’a pris le sexe dans sa main droite en faisait des mouvements de va-et-vient puis les bourses dans sa main gauche. J’ai éjaculé en quelques secondes, mon sperme s’est répandu sur ses cheveux, son visage et son singlet; il ne s’est pas essuyé. J’étais épuisé.
— Eh bien, ma petite séance de fessées vous a bien excité on dirait! a fini par dire mon père pendant que nous reprenions nos esprits. Vous êtes très vicieux tous les deux, a-t-il ajouté. Comme j’aime avoir deux petits mâles aussi chauds à la maison!
— En tout cas, j’ai super aimé, a répondu Thibaut.
— Moi aussi! Je n’ai jamais joui autant, ai-je ajouté.
— Maintenant à toi papa! s’est esclaffé Thibaut.
— Non non, ça va, a répondu mon père.
— Oh que si. Il n’y a pas de raison.
Thibaut a pris notre père par le bras, l’a remonté sur le canapé à côté de lui. Pendant ce temps, je me suis levé. Thibaut a calé papa contre lui et de ses deux mains a enlevé son marcel. Il tendait son corps excité, c’était une vision paradisiaque et je reprenais peu à peu ma vigueur. Il a commencé à jouer avec ses tétons et à caresser son torse musclé. Mon père ne disait plus rien, seuls sortaient de sa bouche des râles de plaisir. Thibaut me regarda dans les yeux et me dit:
— Qu’attends-tu? Tu vois bien qu’il ne demande que tes mains.
Je me suis alors mis à genoux, j’étais fasciné. J’ai tout d’abord enlevé doucement son short en caressant les jambes de mon père et peu à peu, ses cuisses. J’ai fait apparaître son caleçon. Le spectacle était extraordinaire. Doucement je me suis mis à caresser son énorme bite dressée au travers de son caleçon. Ses râles étaient de plus en plus forts. Je le lui ai alors retiré; il m’a aidé en avançant son bassin. J’avais pour la première fois son sexe à quelques centimètres de mes yeux.
Je l’ai caressé avec mes doigts, puis avec ma main toute entière: je l’ai pris dans mon poing et ai commencé des mouvements de haut en bas, tout en caressant ses cuisses de l’autre main… Je n’arrivais plus à savoir comment je pouvais mieux profiter du spectacle. Alors, j’ai avancé ma bouche et j’ai embrassé son sexe. J’ai pointé ma langue sur son gland pour l’agacer et quand il n’en put plus, j’ai embouché toute la longueur de sa bite. Il avait écarté les cuisses, je gouttais sa sève j’étais au paradis, Thibaut lui maintenait ses tétons en érection. Mon père n’a pas résisté, il jouit dans de longs râles et j’avais retrouvé une très fière érection. Je me suis reculé et j’aurais aimé le prendre. Thibaut m’y incitait d’un regard entendu. Mon père nous a dit:
— Patrick, je pense qu’il est grand temps de t’occuper de ton frère, regarde comme il bande. Et je crois savoir que ce petit pédé adore se faire enculer… Alors tu sais ce qu’il te reste à faire? Et après tu pourras peut-être me prendre aussi. Ta belle bite doit être faite pour la sodomie.
Ravi du compliment et de la perspective de posséder mes deux hommes, je me suis couché sur Thibaut. Me frottant à son corps chaud, sa bite dressée contre ma hampe, et descendant au fur et à mesure vers ses fesses… Sous la direction de mon père qui ne voulait pas que je blesse mon cher frère, je lui ai lubrifié l’anus avec la langue. Il gémissait et tortillait son petit cul sous mon anulingus et bientôt, n’y tenant plus, mon gland s’est retrouvé en position devant son trou mouillé. Je suis entré d’un seul coup, lentement. D’abord le gland, puis le reste de ma tige autour de laquelle son trou se serrait délicieusement. Thibaut gémissait et râlait d’extase. Effectivement c’est un petit passif qui s’assume: il adore se faire prendre et il en redemande encore et encore!
— Mets-toi à quatre pattes Thibaut. Tu vas voir, les sensations sont encore plus grandes et plus profondes, dit mon père.
Sitôt dit, sitôt fait et c’est en levrette que je me défoulais dans le cul de mon frère et que je finis par jouir à grands jets pendant qu’il inondait le canapé.
Mon père s’est redressé, moi aussi et Thibaut s’est levé. Papa nous a embrassé sur la bouche rapidement l’un et l’autre et à dit:
— Bon, Thibaut va prendre une douche; Patrick ira après et moi ensuite.
J’étais toujours en érection. Thibaut s’est dirigé vers la salle de bain et mon père m’a dit:
— J’espère qu’il te reste encore de la force, parce que votre spectacle m’a donné terriblement envie de me faire prendre par ta belle bite…

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