Permettez- moi de me présenter.
Je suis Nathalie. J’ai 45 ans, un peu ronde, avec de gros seins qui n’ont plus la tenue de leurs 20 ans.
Tout ce que j’avais vu sur le web à propos de la soumission, le bsm, etc m’excitait beaucoup, c’est pour ça que j’ai pris ce pseudo : Nathalie–soumise.
J’ai eu rapidement un contact avec un homme, 62 ans. Mon pseudo l’avait séduit. Le chat a été court. Il avait l’art de vous ensorceler…
Je me suis rendu chez lui deux jours après. Il n’avait rien demandé de particulier, ni fait allusion à la suite, mais j’étais quand même je pense, un peu habillée provoc : Robe au-dessus du genou, manches courtes et, non pas un décolleté qui m’aurait obligé à porter un soutien-gorge, mais le haut bien échancrée. Le chauffeur de taxi a bien aimé je pense.
Jour 1
Devant la porte, j’hésite. Les petits chatouillis dans le bas ventre me disent t’appuyer sur la sonnette, une voie dans ma tête me dit de partir en courant. Je n’ai pas le choix car la porte s’ouvre et, tout sourire, Jean dit : Entre-donc Nathalie, je t’attendais…
C’est vrai, il m’attendait. Je me retrouve dans un petit studio sympa : petit coin cuisine, un placard et une porte qui doit donner sur une salle d’eau. Comme ameublement, un clic-clac, un pouf, une table basse. Vraiment sommaire ; même étudiante, j’avais mieux !
Jean me présente le dos de sa main pour m’inviter. La mienne se pose dessus sans que je m’en rende compte… Je t’en prie, assieds-toi là… et je me retrouve sur le pouf, en face de Jean assis sur le canapé avec entre nous une bouteille de champagne dans un seau à glace et quelques bricoles appétissantes. Il sert, et nous levons un toast à notre rencontre… Je me demande vraiment ce que je fais là ! Après une demi-heure de discussion mondaine, la bouteille de champagne finie, je le regarde en m’interrogeant. Je me rends alors compte que moi dans le pouf et lui dans le canapé, il me domine depuis mon arrivée ! Une puissante vague de chaleur envahi mes entrailles et ma chatte se trempe instantanément. Son regard se pose dans l’échancrure de ma robe qui, depuis sa position, lui laisse voir mes seins. Puis, ses yeux se tournent vers mes cuisses… Assise sur le pouf comme je suis, il a une vue imprenable !
Il se lève nonchalamment, prend la bouteille vide et se dirige vers le coin cuisine. La tête dans son petit frigo, il me dit : Tu sais, si tu veux qu’on se revoie, je préfère que tu ne portes pas de culotte alors enlève-là. Comme un automate, j’obéi sans même me lever du pouf. Il pose une bouteille de champagne sur la table, juste à côté de ma culotte. Il me regarde, regarde la culotte, la prend entre deux doigts et me la met sous le nez. L’odeur de ma cyprine augmente mon excitation.
Je vois que tu es bien excitée, alors tu vas me faire plaisir : j’adore tes gros seins qui pendouillent. Prise en levrette à quatre pattes, ils doivent se balancer comme des cloches. Montre-moi.
Hypnotisée, et il faut dire aussi un peu enivrée, je me retrouve nue à quatre pattes devant un inconnu. Vas-y, bouge ! Et je bouge, et là, pour la première fois, je prends conscience du mouvement de mes seins, je découvre…Souvent j’ai été prise en levrette, jamais je n’avais ressenti ça.
Jean me regarde m’agiter, puis s’agenouille à côté de moi. Il s’amuse à claquer mes seins et mes fesses en cadence en disant : je crois qu’on va bien s’amuser tous les deux. Je suis au bord de l’orgasme, je sens qu’il le sait et me maintient exprès à cette limite. Jean se lève et fouille dans son placard. Moi, je continue à m’agiter comme si on me prenait violemment. Sous mes yeux tout à coup, une grosse queue. J’ai envie de l’avaler avant même de m’apercevoir que c’est un gode. J’entends juste : tu la veux dans la chatte ou dans le cul ?
Ou vous voulez.
Jean se met derrière moi, le gode en main, et le présente à l’entrée de ma chatte, mais il ne fait rien de plus. C’est moi qui m’empale et m’agite encore. L’orgasme viens quasi instantanément.
Je suis anéantie de plaisir. J’émerge de cet état proche du c*** pour voir que Jean a sorti sa queue. Belle et grosse, en semi-érection. J’ai une envie folle de la prendre dans ma bouche.
Non ! tu ne suce pas ; ta bouche n’est qu’un endroit où je me vide. Ouvre !
Je ne sais comment je me retrouve allongée parterre la tête sur le pouf, Jean debout sa grosse queue à la main. Ouvre ! Tétanisée, j’essaye… Jean sort alors une espèce de bouche énorme avec une sangle. Sans ménagement, je me retrouve avec ça en guise de bouche : un trou avec des grosses lèvres rouges. Alors, en me fixant dans les yeux, Jean se masturbe lentement jusqu’à ce qu’il vienne se vider en de longs jets dans ma bouche en râlant doucement.
« Aujourd’hui, je m’occupe de cet orifice, les autres plus tard. »
Je jouis encore une fois en sentant son sperme couler dans ma gorge. Je me lève, en titubant, plus abasourdie par le plaisir que par l’alcool. Jean me montre la porte de la salle d’eau, j’ai toujours cette espèce de bâillon qui maintient ma bouche ouverte qui m’empêche de parler, je sens le sperme qui dégouline de ma bouche et ma mouille qui, j’en suis sûre, doit gouter sur le sol.
Lave-toi avant de partir ! Je me mets dans la minuscule cabine de douche. Mets-toi à genou !
Je m’exécute. Jean ressort sa queue. Me regarde droit dans les yeux. Le champagne, c’est diurétique… et il commence à pisser. Sur mes seins d’abord, puis le jet va vers ma bouche ouverte. Je lève la tête pour mieux recevoir sa pisse. Je ne suis plus qu’un trou béant. Le bouillonnement dans ma bouche me procure encore un orgasme, orgasme tellement violent que je pisse aussi et, chose que je n’aurai jamais crue, le fait de pisser me procure un orgasme de plus !
On se retrouve maintenant dans le salon. Je suis de nouveau présentable. Il reste du champagne que nous finissons gentiment.
« Je crois que nous pouvons nous amuser beaucoup tous les deux, mais je veux te dicter les règles :
Tu feras tout ce que je te dis, mais à tout moment tu pourras dire non. Jamais je ne t’obligerai. Nous jouons. Par contre, il n’y aura pas de retour en arrière. Si tu dis non, c’est à jamais. »
J’acquiesce d’un mouvement de tête, puis comme Jean me regarde avec insistance, je dis : j’ai compris. C’est d’accord. Je comprends qu’il est temps de partir. Je me lève et prend ma culotte qui traine encore sur la table basse pour la fourrer dans mon sac. « Tu n’en aura plus besoin tu sais ».
Je la ressors aussitôt. Jean revient du coin cuisine, une corbeille à la main… Adieu culotte.
« Tu vas mettre ça. » Jean me tend une petite boite rose. A l’intérieur, des boules de geisha ( je connais, mais jamais essayé)
Tu devras les porter tous les jours. Debout devant lui, j’introduis les boules dans mon vagin. Trempée comme je suis, elles glissent sans peine. Je fais quelques pas. Jean souris.
« Le mouvement des boules dans ta chatte va te maintenir dans un état de légère excitation toute la journée, et, comme tu ne portes pas de culotte, tu seras toujours dans l’angoisse qu’elles sortent de ta chatte et tombent sur le sol au milieu des passants. Il est temps de partir »
Jean ouvre la porte. Je passe devant lui et lui dépose une bise sur la joue. Il me flatte la croupe.
« La prochaine fois, on ira chez moi, j’habite à la campagne, ici, ce n’est qu’un petit pied à terre ».
Je me retrouve dans la rue. Ça grouille de monde. Je ne sais plus quelle heure il est. Tout à coup, je comprends alors ce que m’a dit Jean : L’angoisse de perdre les boules me tétanise, je n’ose pas bouger. Je fini par avancer, les muscles de mon vagin contractés. Le va et viens des boules est agréable… Je vais marcher un peu avant de trouver un taxi je crois….
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