Sarah et Hervé, mariés depuis peu, décide d’aller faire un tour à la plage. Hervé rejoint sa jeune et belle épouse à la salle de bains, ou elle est en train de se préparer. Il profite de sa nudité intégrale, pour promener ses mains sur les parties intime de son magnifique corps.
-Arrêtes de me caresser, salaud, ma petite chatte va être toute mouillée. Je vais avoir envie de me le faire mettre après. En plus, on n’a pas le temps de faire un câlin.
-Bon ça va, reconnait Hervé… Ah, au fait, je ne t’ai pas dit. Tu connais mon copain Mario, je l’ai rencontré ce matin, je lui ai demandé de venir la plage avec nous. Il est d’accord.
-Quoi, reprend Sarah, ce connard. Tu sas très bien que je ne peux pas le piffrer. Je t’avertis, je me mets sur ma serviette et je dors.
-Ne le prends pas comme ça, il te tiendra compagnie pendant que j’irai à mon cours de voile.
Mario est un italien d’une trentaine d’années, très séduisant, dragueur au possible. D’ailleurs, il a souvent essayé de se taper Sarah, mais sans succès. A chaque fois, elle l’a violemment repoussé.
-Je te jure qu’un jour, je te baiserais, avait promis Mario.
Comme prévu, le trio se rend à la plage. Il s’installe dans un coin discret, à l’abri des regards.
Allongé près de Sarah, la tête appuyée sur un coude, Mario contemple le corps splendide de la jeune femme, qui s’est profondément assoupie. Hervé aussi dort comme un bébé.
La voix est libre.
Sarah dort, une jambe légèrement repliée, ce qui provoque l’ouverture du paréo. Mario aperçoit une cuisse largement découverte, laissant entrevoir l’entre jambes.
Mario hésite, par peur de se faire surprendre, puis lentement, ouvre le paréo, tire sur la cuisse, pour l’écarter d’avantage. Il s’aperçoit que Sarah porte un mini maillot sous le mince vêtement.
Pris pour pris, Mario prend le risque d’aller plus loin. Il sort son I phone pour filmer ce qui va suivre.
Il écarte la fine ficelle, caresse la fente humide de la jeune femme, qui est parfaitement épilée, ce qui facilite l’approche. Il arrive jusqu’au clitoris, qu’il parvient à décalotté. Il le doigte lentement pour ne pas la réveiller. C’est du chirurgical.
Mario est surpris d’entendre un léger gémissement sortir de la bouche de la jeune femme, toujours assoupie. Rassuré, il poursuit sa vicieuse caresse.
Cette fois, le corps frémit, réagit, se cambre légèrement. Sarah ouvre la bouche. Toujours endormie, elle atteint l’orgasme.
« Oh Hervé, murmure-t-elle, tu es fou…qu’est- ce- que tu me fais salaud, tu me fais jouir »
Sarah est en plein rêve érotique. Mario s’arrête, laisse la jeune femme jouir sous ses doigts.
Mario remarque le bras de Sarah, posée le long de sa jambe. Mario en profite pour sortir sa bite, et la place sur la main ouverte de la jeune femme.
Toujours prise dans son rêve, Sarah referme sa main sur la bite en érection, la décalotte. Elle entame de lent va et vient sur la colonne de chair. Elle ne se pas rend compte de ce qu’elle fait. Mieux, en voyant la façon dont elle caresse le gland décalotté, on dirait qu’elle prend plaisir à exciter l’énorme bite de l’homme qu’elle hait par dessus tout.
Mario sent la sève monter en lui. Suite à son fulgurant orgasme, Sarah a gardé la bouche légèrement ouverte.
Tant pis, Mario prend le risque. Il retire sa queue de la main de Sarah, et remonte sur la serviette.
Il place sa bite contre les lèvres de Sarah. Dans un réflexe, celle-ci, rêvant certainement qu’elle suçait son mari, ouvre la bouche, et aspire la bite.
Mario n’y tient plus. Il se vide copieusement les couilles dans la gorge de la jeune femme.
Il se retire juste au moment ou elle se réveille. Elle ouvre grand les yeux, referme sa bouche.
Le pire, c’est qu’Hervé se réveille aussi.
Cracher serai dangereux, attirerai l’attention. Elle est dans l’obligation d’avaler l’épaisse semence du bel italien… Celui-ci arrête discrètement son I phone.
-Bon, ce n’est pas le tout, dit Hervé, mais c’est l’heure de mon cours, je vous laisse. Soyez sage.
Quand Hervé s’est éloigné, Sarah rentre dans une rage folle.
-Enfoiré, murmure-t-elle en rangeant son paréo, qu’est- ce- tu m’as fait. Tu as éjaculé dans ma bouche. T’es qu’un gros pourri. J’ai été obligé d’avaler pour qu’Hervé ne s’aperçoive de rien.
-Chut ma chérie, dit calmement Mario…tu ne sais pas ce que tu vas faire, tu vas aller gentiment dans la pinède, te mettre toute nue, et m’attendre.
-Quoi, gronde-t-elle, tu peux te l’accrocher. Tu te prends pour qui. Vas te faire foutre connard.
-Mais si tu vas y aller, poursuit Mario sur de lui. Regarde le message que j’ai envoyé sur ton portable Si tu ne fais pas ce que je te dis, Hervé aussi va le recevoir.
-Salopard, dit Sarah en voyant la vidéo…et tu te dis le meilleur copain d’Hervé, alors que tu n’as qu’une idée, baiser sa femme.
Sarah se prend la tête entre ses mains. Elle se rend compte qu’elle n’a pas le choix. D’une démarche mal assurée, elle se dirige dans un coin retiré de la pinède.
Quand Mario rejoint la jeune femme, celle-ci est allongée sur le dos, entièrement nue. Le bel italien quitte son maillot, libère une superbe queue qui ne laisse pas le regard de Sarah indifférent.
Il tombe à genoux à côté d’elle.
Ses mains parcourent le corps de Sarah, caresse la magnifique poitrine. L’autre main se dirige entre les jambes serrées. Mario insiste et parvient à se frayer un passage. Lentement, Sarah écarte ses jambes. Le bel italien en profite pour gratter la chatte humide de la jeune épouse.
Cette dernière commence à se raidir.
-Je savais que t’aimais ça, sourit Mario.
-Tu me répugnes, répond durement Sarah.
Mais le corps de Sarah commence à la trahir. Les hanches ondulent sous les caresses de plus en plus précises. Le clitoris de la grosseur d’une bille, est extrait de sa capuche, prêt à être exploiter. Mario enfonce sa tête entre les cuisses maintenant ouverte de Sarah. La langue lèche les lèvres intimes, aspire le petit bouton, les doigts pénètrent la chatte, l’a branlent doucement.
-Hou…pas ça, salaud…je t’en supplie…ah…ah…tu me paralyses…hou…arrêtes ça…ah…
La jeune femme est rattrapée par le désir, d’autant qu’elle ne peut retirer son regard de cette bite d’au moins dix huit centimètres qui la nargue à force de passer devant son visage.
-Tu vois que tu aimes, fait remarquer Mario.
-Je suis une femme…et tu sais ce qu’aimes les femmes…enfoiré…
Ni tenant plus, Sarah happe l’énorme queue avec a bouche, et l‘avale. Elle se met à tailler une pipe à l’homme qu’elle hait le plus, mais décide de se soumettre, de se donner à lui.
-Salaud…oh putain, comme tu me bouffes…c’est bon ce que tu me fais…vas-y, fais moi jouir…
-Tu ne regrettes plus d’avoir céder à mes avances, demande Mario.
-Le seul regret que j’ai, poursuit-elle, c’est de ne pas les avoir acceptées avant. Je veux me ratt****r. Hervé passe son permis bateaux demain, je suis libre tout le matin. Passes me voir.
-Hum, vilaine, dit Mario, et on va faire quoi ?
-Je veux que tu me prennes dans toutes les positions.
-Hum, la coquine, je peux te montrer un échantillon si tu veux.
Sarah accepte la proposition de Mario. Elle se fait prendre comme une chienne, atteint l’orgasme pour la troisième fois de l’après-midi.
Ils se donnent un sulfureux baiser, puis, comme si de rien n’était, ils rejoignent leurs serviette, juste au moment ou Hervé revient de son cours.
-Alors, dit-il, j’espère que vous avez été sage.
Mario et Sarah se regarde en souriant, se projetant déjà au lendemain.
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