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VU SUR LE NET: L’asservissement De Laure EP8

VU SUR LE NET: L’asservissement De Laure EP8



L’asservissement De Laure

Episode 8: Grandeurs Et Déchéances

Par Master Freeze

Au bout de quelques semaines de pareils traitements, Laure faisait peine à voir. Elle avait perdu l’assurance hautaine qui faisait sa réputation. Constamment sur la défensive, elle bafouillait chaque fois qu’on lui adressait la parole, et paraissait terriblement mal à l’aise avec ceux qu’elle prenait de haut dans le passé. Après ce qui c’était passer dans les vestiaires du gymnase, Laure devint rapidement la brebis galeuse de sa classe, et même du lycée entier. Les adolescents sont prompts à mépriser ce qu’ils portaient aux nues auparavant, et sa passivité face aux brimades et l’attitude servile que lui imposait Orane achevèrent de détruire sa glorieuse réputation. Il était devenu si facile pour sa Maîtresse de la ridiculisée en public, que presque tous les autres élèves s’y mirent également. A l’inverse, la jeune Asiatique rayonnait littéralement, et était de toutes les fêtes. En un mois, elle était devenue le nouveau centre d’attention du Lycée. Mais Laure acceptait cette nouvelle situation. Elle jouissait même terriblement de son esclavage clandestin. Tout concourait à l’exciter : les ordres humiliants, l’index qu’Orane, exprès, agitait devant elle sous le regard des autres élèves, au risque de la trahir. Et bien sur les séances en dehors du Lycée. Ce qu’Orane appelait son  » dressage « …

Ainsi, un week-end, les parents de Laure s’absentèrent, et Orane lui fit part de son attention de passer la nuit chez elle. Laure tressaillit à l’idée de servir Mademoiselle sous son propre toit, mais elle ne put que céder une fois plus à ses exigences. Les parents de Laure partirent le samedi matin chez ses grands-parents, en Moselle, et une heure plus tard, Orane sonna au portail. Laure se précipita dehors ouvrir le portail afin de ne pas faire attendre son impatiente Maîtresse. Celle-ci lui avait imposé depuis peu quelques nouveaux accessoires à la tenue de soubrette qu’elle devait porter pour la servir. Elle portait une paire de bottines basses en cuir, dont les talons mesuraient au moins 10 cm de haut, qui l’obligeait à trottiner maladroitement sur l’allée de gravier. Elle avait également des bas à larges résilles noires retenus par un porte-jarretelles rose. Et bien entendu, elle avait toujours son minuscule tablier et sa coiffe de bonniche. En dehors de ça, elle était intégralement nue. Heureusement, la cour était entourée par une haie de troènes, et le haut portail la protégeait des regards. Laure ouvrit la porte en faisant une large révérence :

– Votre esclave est honorée de pouvoir vous servir, Mademoiselle

Orane l’avait dressé à ses signes de respect envers elle, et la dernière fois que Laure l’avait oublié, elle avait dû passer une heure au coin, agenouillée sur une règle et portant une lourde encyclopédie sur sa tête. Mademoiselle passa devant elle, sans un mot, se réjouissant de la voir trembler de froid par cette fraîche matinée de novembre. Laure la guida jusqu’au salon et attendit que la belle asiatique s’installe dans le canapé avant de se prosterner en lui baisant les pieds.

– Montres moi tes devoirs, fit froidement Orane en la repoussant du bout de sa chaussure.
– Bien Mademoiselle

Laure s’exécuta en branchant le caméscope de son père sur le téléviseur, en lança la vidéo qu’Orane lui avait imposée de tourner. Les  » devoirs  » particuliers qu’Orane lui donnait comme à une écolière vicieuse étaient devenus un rituel, qui donnait lieux à de terribles punitions si Orane ne jugeait pas son travail satisfaisant. Et ce devoir fut particulièrement éprouvant : Laure devait faire devant la caméra un strip-tease  » digne de la salope qu’elle était  » avait précisé Mademoiselle, puis se branler avec un gode vibrant. Dans tous les trous. Jusqu’à l’orgasme. Bien sur, il lui revenait d’aller acheter l’objet, avec son propre argent de poche. Laure repensa à l’angoisse qu’elle avait éprouvée devant le sex-shop de la petite bourgade. Elle avait patienté une heure au coin de la rue, attendant que la rue se vide, avant de pénétrer dans la boutique d’un pas rapide, terrorisée à l’idée de rencontrer quelqu’un de sa connaissance. Mais le pire fut quand le vendeur lui avait demandé ses papiers, afin de vérifier qu’elle était bien majeure. L’homme ne fit aucun commentaire, mais Laure ne s’était jamais sentie aussi honteuse de sa vie.

Les images commencèrent à défiler sur l’écran, et Orane claqua des doigts en pointant l’index vers le sol à ses pieds. Laure se mit aussitôt à quatre pattes et rampa vivement vers Mademoiselle.

– Tournes toi, le cul relevé, les fesses écartées à deux mains, le front au sol.

Alors que Laure obéissait vilement, Orane étendit ses jambes fines et posa ses semelles sur sa croupe.

– Tu me serviras de repose-pied pendant que je vérifie ton travail lui annonça-t-elle chaleureusement.

Comme Laure ne répondait pas, elle frotta sèchement sa semelle contre la raie largement ouverte que lui présentait son esclave.

– Ouch, merci de cet honneur, Mademoiselle geignit-elle
– Mais de rien, pétasse ! fit Orane. J’espère que tu t’es appliquée, car sinon tu te souviendras de ce week-end.
– J’ai fait de mon mieux répondit humblement Laure. J’espère que vous serez fière de votre bonniche, Mademoiselle.
– Nous verrons ça dit Orane en montant le son de la télé. En attendant, silence et ne bouge plus, catin !

Le salon s’emplit des basses puissantes du morceau de techno que Laure avait choisi pour son strip-tease. Elle savait que Mademoiselle aimait ce disque. Le nez collé au planchez, Laure ne voyait pas les images, mais elle imaginait parfaitement le plaisir qu’elles procuraient à sa jeune Maîtresse. Elle repensa à ses déhanchements lascifs et osés alors qu’elle dansait devant l’objectif du caméscope posé sur la commode qui faisait face à son lit. Elle avait ensuite pris un air gourmand en déboutonnant son chemisier, massant ses seins lourds et fermes, les présentant à pleines mains avant de les lécher du bout de la langue. Une fois nue, elle pris toute une série de poses obscènes, révélant chaque recoin de son anatomie à l’œil froid de la caméra. Orane s’amusait énormément du spectacle, et Laure entendait parfois fusé son rire cristallin. Oui, pensait-elle, il devait être amusant de voir celle qui était autrefois sa rivale s’humilier et se ridiculiser de la sorte. Question de point de vue. De son point de vue de repose-pied, elle souhaitait juste que ces rires étaient signes que son devoir plaisait à sa Mademoiselle, et qu’elle ne serait pas punie. En entendant sa voix sortant du téléviseur à plein volume, Laure sut que la deuxième partie de la cassette commençait.

– Bonjour, je suis Laure Clermont, élève de terminale S au lycée Victor Hugo, et délégué de ma classe, avait-elle récité à genoux, en déballant le gode. Mais je suis également une chienne en chaleur, propriété exclusive de Mademoiselle Orane de Bréot. Et comme toutes les chiennes en rut, j’adore sucer des bites.

Laure fut profondément humilier de s’entendre prononcer de telles paroles. Elle se revit faisant coulisser le gode entre ses seins, avant de l’avaler goulûment. Les bruits de succions qui lui parvenait étaient odieux. Orane restait muette, mais Laure sentait à la façon dont elle bougeait les jambes sur son dos que la scène commençait à l’exciter. Mademoiselle prenait effectivement beaucoup de plaisir à voir son esclave s’empaler frénétiquement sur le sexe de plastique. Le vrombissement de l’appareil et les sons humides que sortaient de sa chatte furent bientôt couverts par les râles de l’adolescente. Laure jouissait sur l’écran, à quatre pattes, se masturbant profondément dos à la caméra. Puis elle se redressa, sortit un instant du champ du caméscope et revint avec un pot de margarine.

– Comme toutes les putes, avait alors expliqué Laure, j’aime beaucoup être enculer. Je vais vous montrer comment je fais.

Elle s’était alors de nouveau tourner dos à l’objectif, toujours à quatre pattes, et avait largement écarté les jambes.

– Tout d’abord, il est important de bien se beurrer la raie, avait-elle ajouté avant de cueillir une noix de margarine de l’index et de s’oindre l’anus.

Mademoiselle rit de nouveau en voyant le doigt luisant aller et venir dans la rosette de Laure. C’était elle, évidemment, qui avait dicté à Laure les phrases mortifiantes qu’elle prononçait à l’écran. Les gémissements reprirent bientôt, et Laure repensa à la douleur qui l’avait envahie alors qu’elle poussait bien à fond le gode entre ses reins. Elle se sentait déchirée en deux, mais elle avait tenu bon et appuyé fortement sur le leurre, l’enfonçant jusqu’à la garde. Elle avait ensuite mit le vibreur en marche, et commencé un lent va-et-vient. La douleur s’était alors transformée en douce chaleur, et le plaisir l’avait de nouveau envahi. Chaque fois plus intense depuis qu’Orane l’avait initié au plaisir anal. Laure se sentit de nouveau mortifiée alors qu’elle entendait ses râles et soupirs se transformer en véritables cris de jouissance. Mademoiselle poussa encore le volume, absolument ravie de contempler la déchéance de sa chienne. La jolie Laure était devenue une véritable bête à plaisir, un parfait objet sexuel dont on use à sa guise. Tantôt salope à pornos, tantôt repose-pied ou paillasson. Et toujours aussi prompte à l’orgasme. Elle suivit la vidéo jusqu’à ce que Laure fut secouée des spasmes du plaisir, et nota avec joie que sa rondelle resta largement ouverte après qu’elle eut retiré le gode. Mademoiselle coupa alors la télé, et retira ses pieds des fesses de Laure. Celle-ci se tourna et demanda d’une voix faible si sa propriétaire était contente de son travail.

– Pas vraiment, menti Orane, tu as oublié de bien montrer ton visage lorsque tu jouissais. Et le strip-tease aurait pu être bien plus chaud. Et le gode plus gros.
– Je… je suis désolée fit Laure. Je serais très honoré de subir une punition méritée pour vous avoir déplu…

Laure se sentait anéantis. Durant la terrible humiliation qu’elle venait de subir, elle avait sincèrement souhaité plaire à sa maîtresse. Orane dut sentir à quel point elle était éprouvée, et lui esquissa un petit sourire.

– Je me sens l’âme généreuse aujourd’hui, et je vais donc suspendre provisoirement ton châtiment.
– Oh! merci, Mademoiselle dit Laure en embrassant ses souliers
– Ne te réjouis pas trop vite ! Et files enfiler ton imper noir, on va sortir faire un peu de shopping.
– Bien Mademoiselle, a vos ordres.

Laure n’osa pas discuter les instructions de sa jeune Maîtresse, mais elle était anxieuse. La simple idée de devoir sortir nue sous son léger imper noir, en pleine rue, la rendait très mal à l’aise. A part devant Orane, Laure restait une jeune fille très pudique. Mais après tout songea-t-elle, elle devait déjà s’estimer heureuse qu’Orane lui ait permis de quitter son tablier et son bonnet de soubrette. Et s’il lui prenait la fantaisie de l’exhiber et de l’humilier en pleine rue, après tout, c’était son droit. Elle avait d’elle-même fait don de son corps à Mademoiselle. Laure se hâta de la rejoindre en entendant résonner la clochette d’argent, symbole de sa condition de domestique. Parvenue au bas de l’escalier, elle fit de nouveau une gracieuse révérence devant Mademoiselle. Devant son accoutrement, Orane rit de nouveau, et tourna son esclave vers la glace de l’entrée. Laure rougit de la tête au pied en découvrant son reflet. L’imperméable avait un col très ouvert, et il lui suffisait de se pencher légèrement pour exhiber son opulente poitrine. De plus, le vêtement lui arrivait à mi-cuisse, et ne cacherais rien de son sexe glabre si elle s’asseyait. Ses bottines à haut talon et ses bas résille complétait le tableau. La jolie asiatique s’esclaffa de nouveau :

– C’est parfait, tu as tout d’une pute ! Dommage qu’on n’ait pas le temps d’arranger ton maquillage, mais le bus va bientôt arriver. Allez, ouste !

Laure, tête basse, suivit donc sa terrible dominatrice, en frissonnant dans l’air glacé.

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