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La vengeance de ma femme (1)

La vengeance de ma femme (1)



Je me réveillais, engourdi par cette très mauvaise nuit…
La veille, ma femme Nadia m’avait surpris à la sortie d’un hôtel discret, main dans la main, avec ma maîtresse depuis presque 1 an, au vu et au su de toute la ville (ce que j’ignorais). Le retour à la maison en compagnie de ma seule femme dans la voiture fut insupportable : Nadia n’arrêtant pas de hurler et de pleurer.

En rentrant, elle me dit: « C’est fini, je divorce !! »
Je la suppliais de ne rien faire, je tremblai à cette idée, aimant malgré tout éperdument ma femme, sans compter que cela faisait 2 ans que j’étais au chômage et que, sans les revenus de ma femme et de sa mère, il m’aurait été impossible de survivre.
Elle sécha ses larmes en pleurnichant et me dit: « Je pars 24 heures, j’ai besoin de réfléchir ».
Et elle partit sans se retourner, me laissant désemparé, terriblement angoissé.

Je passais donc dans la cuisine et prenais mon petit déjeuner.
Le téléphone sonna. C’était ma femme :
– C’est moi ! J’ai passé la nuit à réfléchir. J’accepte de ne pas divorcer à une seule condition: Tu acceptes, dès maintenant, de faire ABSOLUMENT TOUT CE QUE JE T’ORDONNERAI DE FAIRE ! Réfléchis soigneusement avant de répondre ! Tu n’auras aucune possibilité de faire machine arrière. Est-ce que tu as bien compris ce que je viens de dire?
– Oui.
– Alors réfléchis et réponds-moi ! Si tu dis oui, tu vas souffrir, changer complètement de vie et être aussi humilié que ce que tu m’as fait subir en 10 ans de mariage !
Je tremblais de peur mais j’étais coincé et elle le savait.
– Oui. Lui dis-je
– Parfait! Bienvenu dans ta nouvelle vie, sale con! A 18 heures, tu prends une douche et tu te mets à poil dans le hall d’entrée, le dos à la porte et les jambes écartées !

Elle raccroche sans que j’aie le temps de répondre.
Je respecte donc à la lettre ses instructions et quant elle rentra le soir, j’étais nu dans l’entrée. Elle posa la multitude de sacs qu’elle portait et elle tourna autour de moi avec un rictus sur les lèvres.

– Je vais te faire souffrir, te faire payer ces 10 années où tu m’as ridiculisée aux yeux de toute la ville. Côté sexe, tu n’as jamais été un très bon coup ! Une petite bite courte et mince et j’ai toujours eu l’impression que je te servais de vide couilles plutôt que de vraie femme. Dorénavant donc, tu ne t’en serviras plus jamais !
Je protestais mais elle coupa court fermement:

– Ta gueule! Dorénavant, tu ne parleras que quand je te le dirais ! Ne m’appelle plus jamais Nadia, tu n’en as plus le droit ! Appelle-moi MAITRESSE ou LALLA Nadia ! D’autre part, étant donné que tu ne sers à rien et que tu ne ramènes pratiquement rien à la maison, tu vas travailler pour moi, tu seras ma boniche, il faut bien que tu paies ton couvert et ton couchage, branleur ! A propos de branler, tu as l’interdiction absolue de te branler ! Connard !
Elle éclata de rire…

– Dans un quart d’heure, une femme va venir, tu l’accueilleras comme ça, tu la conduiras à la salle de bain et tu feras tout ce qu’elle te dira ! En l’attendant, va nettoyer les chiottes, lopette !

Et elle me mit un grand coup de pied dans le cul.

Honteux, je m’exécutai…

Comme annoncé, une femme chargée d’un gros sac vint sonner à la porte. J’ouvris nu et honteux. C’était une belle femme, grande et charpentée, blonde aux cheveux longs, avec des yeux bleus extrêmement clairs. Elle me regarda d’un oeil sévère et me dit: « Alors, c’est toi la petite merde ? Putain, c’est vrai que t’as une bite microscopique ! Je vais faire de toi une jolie soubrette. De toute façon, une bite comme ça, moi j’appelle ça un clitoris ! ».

Elle saisit fermement mon zizi et me demanda de lui montrer où était la salle de bain et m’y traîna durement par la queue. Une fois arrivés, elle me demanda de lui passer la grande cuvette et m’ordonna de me mettre à quatre pattes et d’écarter les jambes. Elle prit dans son sac une paire de gants en caoutchouc, les enfila et prit également une grande poche prolongée d’un tuyau et d’une canule. Elle la remplit d’eau, la suspendit à la douche, mit la bassine entre mes cuisses, se pencha et me dit doucement :
– Je vais laver ton cul de ZAMEL (pédé en arabe marocain), ensuite je vais te transformer en femme. Vu que t’es mince, tu feras une très jolie pute, tu verras !
– Mais enfin Madame…
Je n’eus pas le temps de continuer, un fulgurant coup de pied dans le ventre m’envoya valdinguer contre le mur…
– Espèce de ZAMEL, tu n’as toujours pas compris que t’es qu’une merde, ferme ta gueule !

Ayant du mal à récupérer mon souffle et ayant trop peur de recevoir d’autres coups, je m’exécutai.

Elle se pencha et enfonça, sans prévenir, dans mon anus, la canule qui était au bout du tuyau. Je poussai un cri, ce qui la fit éclater de rire. Elle ouvrit une sorte de robinet à la base de la poche et je sentis progressivement l’eau remplir mon ventre, ce qui, quand la poche fut vide, devint douloureux, je sentais une très forte envie de chier. La femme me dit: « Garde cette eau encore dix minutes et seulement alors tu te soulageras aux toilettes ! »
Elle me refit encore deux lavements comme ceci, prit dans son sac un ancien rasoir et me rasa entièrement le corps, tête comprise. Ensuite, elle me mit beaucoup de vaseline dans le cul et m’en tartina la raie.
– Et maintenant on va t’habiller pour ton dépucelage !
Elle me tendit une paire de bas de soie noire que je dus enfiler, suivis d’un délicat porte-jarretelles de même couleur, auquel une fois mis, je fixais les bas. Mine de rien, ça m’excitait considérablement et je fus pris d’une violente érection.
– Cache ton clito là-dedans !
Elle me tendit une ravissante culotte blanche toute en dentelle de soie que j’enfilai avec plaisir, suivie d’un soutif dans lequel elle inséra des poches de silicone qui me donna une poitrine très avantageuse. Je dus alors enfiler une robe très courte noire avec par dessus un petit tablier blanc éclatant. Elle me fit alors asseoir et entreprit de me maquiller totalement le visage en me donnant un maximum de détail sur ce qu’il conviendrait de faire, puisque dans l’avenir, je devrais me maquiller plusieurs fois par jour. Quand elle eut fini par du rouge à lèvres, elle saisit dans son sac une magnifique perruque noire et longue et la fixa sur ma tête devenue chauve. Elle saisit un collier de cuir dans son sac et le fixa à mon cou et y clippa une laisse.
– La touche finale, sale pédé ! Penche-toi en avant et écarte un peu les jambes !
Ce que je fis. Elle releva ma robe, baissa ma culotte et enfonça quelque chose dans mon cul lubrifié, ce qui me fit mal.
Elle remonta ma petite culotte, remit ma robe en place et me dit :

« Ce plug que j’ai mis dans ton gros cul est le signe définitif de ton appartenance en tant qu’esclave à ton « ex-femme » qui est maintenant et pour toujours ta Maîtresse. Tu devras constamment le porter, sauf quand tu te fais baiser. Quand tu iras chier, tu auras pour obligation de te faire un lavement. Quand tu iras pisser, tu te laveras le clito soigneusement. Avant de sortir des chiottes, tu te parfumeras le cul et le clito. Si tu sens la transpiration, tu prends immédiatement une douche. Tu dois toujours sentir bon. N’oublie pas que tu ne seras plus jamais un homme, tu es une femme, un objet sexuel ! Tu vas faire jouir beaucoup de gens et le pire que tu ignores, c’est que toi aussi tu vas beaucoup jouir !! ». Elle éclata de rire.
– Maintenant ferme les yeux !
Ce que je fis. Elle me traîna sur quelque mètres avec la laisse, me fit arrêter et me chuchota à l’oreille: « Ouvre les yeux et dis-moi comment tu te trouves ! ».
Je fus subjugué par le spectacle. J’avais dans la glace l’image d’une femme terriblement féminine, une belle poitrine, un petit cul bien cambré à faire bander n’importe qui, un visage très fin et mignon, des lèvres presque pulpeuses, je fus à nouveau pris d’une violente érection.
– Alors ?
– Magnifique ! Fut la seule chose que je pus dire…
Elle sourit, saisit ma laisse et m’entraînas au rez-de-chaussée.

Ma femme Nadia nous attendait, très belle, juchée sur des talons hauts, drapée dans un grand tee-shirt qui laissait deviner qu’elle ne portait pas de sous-vêtements. Elle embrassa goulûment ma préparatrice et lui dit: « Je te remercie, ma nouvelle pute est vraiment très belle, quelle salope ! ».
Et elle lui tendit une liasse de billets.
Celle-ci la remercia et lui dit: « Je pense que tu avais raison, ton mari lopette a toujours eu une nature de soumise, et son dépucelage multiple de ce soir va être un régal ! ».
Elles rirent et Nadia la raccompagna dans l’entrée.

Elle revint et, en s’asseyant confortablement, me dit:
« Ce soir petite pute, je vais me régaler, nous attendons du monde ! Sept femmes vont bientôt arriver, elles ont toutes eu des problèmes avec leurs maris ou compagnons, elles vont donc adorer cette soirée !
Je ne t’aime plus, mais je te garde pour me rembourser de toutes ces années d’humiliation où tu m’as trompée avec ta salope de secrétaire, toutes ces années où tout le monde s’est bien foutu de ma gueule sans que je n’en sache rien !
Je te promets que tu vas en sentir le poids ! ».

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