En tant que jeune cadre dynamique de l’Armée de Terre française, je suis resté Sergent quelques années… Et j’ai donc monté pas mal de services, comme par exemple celui de « Sergent de Semaine ». Pendant 7 jours, 24h sur 24 à gérer la sécurité, les repas etc. de la compagnie où j’étais affecté. Ce service comporte, chaque soir, des rondes sécurité.
Le bâtiment de la 11° Cie, où j’étais de semaine possède de nombreuses fenêtres et de nombreux déports, qui permettent des vues d’ensemble très intéressantes…
C’est au cours d’un de ces rondes, vers 22h00, que j’observais le régiment au travers d’une fenêtre, au dernier étage. En promenant mon regard alentour, quelle ne fut pas ma stupeur de voir mes deux armuriers l’un dans l’autre dans la chambre de permanence armurerie…
Je sentis une agréable sensation de raideur parcourir mon bas-ventre… Et puis… Je me décidais à intervenir… L’armurerie n’était pas encore sous alarme, puisque j’avais toujours les clés. Je descendis les escaliers, et arrivé devant la porte, j’ouvris le plus vite possible…
Pris sur le fait, mes deux appelés n’eurent pas le temps de se cacher… Ils étaient beaux : un grand sec, avec une petite barbe, et un plus petit, plutôt enrobé… Le petit était enfoncé jusqu’à la garde dans le cul de l’autre… Je crois qu’ils sont passés par toutes les couleurs de l’arc en ciel ! Croyant que j’allais les punir, ils se confondirent en excuses, et tous les prétextes y passèrent…
Mais le plus grand, voyant la bosse sous mon pantalon de treillis, me lança : « ça vous intéresse Sergent ? Vous voulez vous joindre à nous ?… » Mes yeux luisaient d’envie, et quand ils se sont précipité pour libérer ma queue tendue à l’extrême, je ne protestai pas….
Le barbu posa sa main sur ma tige et commença à me branler, puis, approchant sa bouche, il me suça comme jamais on ne m’avait sucé… Finalement, le plus enveloppé le pénétra à nouveau et ses va-et-vient accentuèrent les mouvements de sa bouche sur ma queue…
J’ai dû me tenir à une table qui était là, tant sa fellation était bonne… J’allais jouir, et je le lui dis. Alors, se dégageant de l’étreinte de son camarade, il tendit son cul vers moi. Voyant mon embarras, l’autre m’enfila une capote, et dirigea ma bite vers le trou de son copain… Je l’enfilai petit à petit et goûtai chaque instant que me procurait cette pénétration…
Je me savais au bord de l’extase, alors j’ai commencé à le prendre très doucement, en essayant de retenir ma jouissance… L’autre se branlait maintenant furieusement, et son sperme vint s’écraser en longues saccades sur le visage de mon enculé… N’y tenant plus, je l’ai pilonné à fond, j’étais comme fou… J’ai joui comme jamais, ma jute allant s’écraser au fond de la capote, ma queue plantée au plus profond de lui… Il lâcha son jus dans un râle et son précieux liquide jonchait le sol en dessous de lui…
Je me suis retiré, j’étais en sueur, et les yeux embrumés… Ils m’ont souri tous les deux… C’était la première fois que j’enculais un mec…
Chaque soir, pendant ma semaine, ils me firent découvrir bien d’autres aspects du sexe entre mecs… Et je ne suis pas prêt d’oublier ces deux gars-là !…
Mais cela est une autre histoire…
Ajouter un commentaire