Ma mission au Congo s’était terminée, j’avais repris la routine du boulot. Je discutais avec Marion, lui racontant avec forces de détails mes aventures africaine.
– Eh bien ma grande tu ne t’es pas ennuyée, tu me montreras le diamant !
– Bien sûr, il est magnifique.
– Tu vas être obligée de raconter tout cela à Boulier… il doit bien se douter que N’Doumbé t’a baisé !
– Oui, mais je ne lui dirais pas tout… et surtout pas la raison pour laquelle Luzollo m’avait fait venir…
– Oui,ce vieux salaud voudrait partager… Au plus il devient vieux au plus il est acariâtre ! Mais au fait en parlant de vieux et de baise, est-ce que tu as fait l’amour avec un mec plus vieux que Boulier ? Moi jamais..
– Ben moi si, lui dis-je en rougissant… Oui, je me souviens… c’était comment pourrais-je dire, mon premier vieux ! Je devais avoir 20 ans… j’étais follement amoureuse d’un garçon, un peu plus âgé que moi… Daniel…
– Raconte moi… raconte moi !
– Ce mec était beau comme Dieu, mais je crois qu’il avait un pois chiche à la place du cerveau ! Un jour il m’aidait avec son frère, qui avait dix neuf ans, a aménager le petit studio que j’avais loué.
Nous avions presque fini lorsqu’il nous annonça, qu’il avait entraînement de foot, il nous planta au milieu des cartons !
Il faisait très chaud, j’avais passé une sorte de débardeur assez transparent, les fines bretelles se croisaient dans mon dos et le laissait nu, je ne pouvais pas mettre d soutien gorge. Il moulait parfaitement mes seins, laissant transparaître mes aréoles et mes tétons. J’avais mis un bikini qui se nouait sur mes hanches, et qui lui aussi me moulait les fesses et la chatte. J’étais penchée sur des cartons, je sentais une présence derrière moi, c’était le jeune frère torse nu, un carton dans les bras.
– Trixie, c’est le dernier carton, dit Franck. Je le met où ?
– Donne le moi…
Je voulu le lui prendre des mains, il résista, ne voulant pas le lâcher.
– Non, non il n’est pas lourd dis moi ou je le pose…
Je lui arrachais presque le carton des mains
– Oh putain… Oooohhhhh
Une bite turgescente sortait de la braguette de son short… Raide et dure, elle s’érigeait fièrement plus haut que son nombril.
– Excuse moi… me dit-il en rougissant… elle vient juste de passer au travers de ma braguette… je
… je suis désolé… Tu es tellement jolie, tu me fais bander…
– Mais elle est énorme ta queue… il ne faut pas être désolé… je crois que je n’en ai jamais vu une aussi longue, grosse et dure comme ça…
– Hé pourquoi tu me la tripotes… laisse moi la rentrer…
– Heu… tu as vraiment bossé dur pour moi aujourd’hui… je n’ai pas d’argent ici, mais je peux te récompenser !
– Oui, je veux bien… mais comment ?
– Peut-être comme ça !
Je quittais mon débardeur, j’étais émoustillée par la grosseur et la longueur de son membre, mes mamelons étaient déjà superbement tendus.
– Tu vois, je peux te remercier autrement, tu peux toucher mes seins!
– Putain Oui, super… ils sont magnifiques… Je peux embrasser les bouts ?
– Oh oui suce bien les tétons, oui c’est ça aspire les, mordille les, c’est bon, encore, encore…
– Tes nichons sont merveilleux, tes mamelons ressemblent à de petites tétines… je rêvais de les sucer… touche comme je bande…
– Ouii, c’est bon, c’est booon.. mais ne sois pas trop impatient… oui frotte ta bite contre ma chatte… doucement…
Il passa derrière moi, défit les lanières de mon bikini, sa queue énorme se faufila entre mes jambes.
– Ouiiiiiii, continue de me malaxer les seins, c’est vachement bon… je commence à mouiller… tu ne le sens pas sur ta queue ?
– Je peux me branler entre tes seins Trixie ?
– Attends, je me met à genoux… voilà met ta bite entre mes nichons, frotte la, doucement… attends je titille le bout de ton gland avec ma langue… tu aimes ?
– Ouiiiii, ouiiiiii je crois que je vais jouir…
– Non, non retiens toi, je vais te sucer…
– Oh putain tu es une experte Trixie, les autres filles ne peuvent avaler que mon gland, tu as presque tout mis ma grosse queue dans ta bouche… Tu me suces depuis cinq minutes… Je…je crois que je vais éjaculer… je peux au fond de ta gorge…
Une petite quantité de liquide pré-éjaculatoire coula dans ma bouche. J’arrêtais ma fellation.
– Franck… si je te laisse me baiser tu ne le diras à personne, surtout pas à ton frère !
– Bien sûr que je ne le dirais pas ! D’abord personne ne voudrait me croire…
– Là, je me penche… vas y… ouiiii… doucement… douc..
– Ma bite est beaucoup plus grosse que celle de Daniel…
– Ouiiiii, tu me fais mouiller…la encore, enfonce, attends prend ma cuisse lève ma jambe… oui pousse… putain c’est bon elle entre mieux… oui, oui, ta queue fait deux fois la taille de celles des mecs qui m’ont baisé… putain c’est bon ! Ouuuuiiii baise moi, plus vite maintenant plus fort…oh putain que j’aime ta queue, je crois que j’ai jouis deux fois.
– Prend Salope, prend la entièrement, tu la sens bien au fond…tu l’adore ma queue, elle est mieux que celle de mon frangin… allez dis le Salope…
– Mon petit chéri, je crois qu’il faut conclure… ton frère risque de revenir !
– Je veux te regarder dans les yeux en éjaculant… tourne toi… regarde moi… Attend je te pénètre à nouveau… Ouuuaaaahhh tu sens mon sperme, c’est bon, c’est bon… oh putain… c’est le pied de déverser mon sperme dans ta chatte.
Il se retira, un flot de sperme s’écoula de ma chatte.
– Eh dis donc, tu vidé tes couilles combien de fois en moi ?
– Une seule fois pourquoi ?
– Bon maintenant tu vas te sauver et comme promis motus et bouche cousue…
Une fois parti, j’allais dans la salle de bain, Daniel m’avait promis que ce soir il m’emmenait au resto. J’allais prendre une douche, puis revêtir des dessous sexy comme il aimait. Puis je réfléchis, puisqu’il n’avait pas été sympa avec moi, je tenais ma revanche, je ne me laverais pas… il éjaculera sur le sperme de son frère… Par contre pour l’exciter je passais des bas, un porte-jarretelles noir, des talons aiguilles. On sonna… ce devait être lui, j’enfilais sur mes seins nus une nuisette transparente noire, et allais ouvrir la porte., mes tétons pointaient encore sous la dentelle de la nuisette.
Franck entra, en me bousculant presque.
– Dan… Daniel vient de me téléphoner, il m’a dit de t’avertir qu’il serait beaucoup en retard, il y a un gros apèro… Oh putain, mais tu es splendide habillée ainsi… je bande à nouveau… regarde…
Il sortit a nouveau son sexe monstrueux. Il s’approcha de moi, ouvrit ma nuisette me la quitta et la laissa choir sur le sol. Il me poussa vers la table, tout en quittant son short et sa chemise.
– Tu vois ma petite Salope, nous avons encore le temps de faire l’amour… je vais encore t’enfiler ma grosse bite jusqu’à la garde… et jouir à nouveau dans ta jolie minette.
– Ton frère est un âne bâté… mais tu as éjaculé il y a cinq minutes et tu bandes encore !
– C’est toi, tes bas, ton porte-jarretelles, ta chatte rasée qui me font cet effet… fais voir si tu mouilles! Oh putain oui, mes doigts sont trempés, écarte les jambes… putain ma bite glisse toute seule… cette fois je n’aurais pas de mal à te l’enfiler au fond…
– Oh ouiiiii, tu me baises super bien… oui, oui enfonce bien ta grosse queue…
– Tu l’aimes ma bite hein Salope…elle te fait mouiller…tu veux sentir mes couilles sur ton cul ?
– Ouiiii, ouuuiii défonce moi avec ton énorme queue… Oh putain oui, j’adore me faire écarteler la chatte par ta bite gigantesque… oui tu vas me faire jouir…. ça y est je pars…. Aaaaaaaahhhhhh…
– Oh putain je vais jouir moi aussi…. met toi à genoux… ouvre la bouche… j’éjacule, j’éjacule… oh putain c’est bon… tire la langue… fais voir mon sperme… avale…avale…
Des pas sur le plancher nous firent sursauter. Un vieil homme presque obèse, le dessus du crâne dégarni, un double menton, des bajoues pendantes, des sourcils broussailleux, un nez crochu se tenait au milieu de la pièce et nous regardait d’un air sévère. Il devait avoir plus de 75 ans.
– M… Mai… mais grand-père c’est..
– Allez hors de ma vue… file d’ici petit vaurien !
– Mais que faites-vous ici ? M’exclamais-je assez en colère !
Je ramassais ma nuisette et l’enfilais, très courte, elle ne cachait rien de na nudité… Il fixait d’un œil lubrique ma chatte glabre exposée à ses regards, du sperme s’en échappait.
– Daniel m’a dit de passer prendre Franck, j’ai frappé personne n’a répondu le porte était ouverte je suis entré… Tu ne devrais pas faire ça à Daniel, Trixie.
– Paul, je vais vous expliquer… Franck m’a aidé toute la journée… Je n’avais pas d’argent pour le payer… Il m’a demande de lui montrer mes seins, je n’ai pas pu faire autrement pour le récompenser…et puis c’est allé un peu trop loin.
Il passa derrière moi et me saisit les deux bras.
– Bon, petite Salope, tu vas t’habiller nous allons voir Daniel et lui expliquer !
– Non, non Paul, j’aime Daniel, je ne veux pas lui faire de la peine !
Je me mis à genoux devant lui pour le supplier. Il leva la main comme pour me frapper.
– Tu n’es qu’une sale petite pute, tu mériterais une correction !
– Frappez moi si vous voulez… je ferais tout ce que vous voulez, si vous ne dites rien à Daniel… il tuerait Franck…
– Tout cela me donne chaud…
Il quitta sa chemise et s’assit sur une chaise.
– C’est vrai que tu es splendide, il y a quelques années j’aurais fait comme Franck… cela ne me plaît pas mais il faut que je te punisse, approche…
Je m’approchais en minaudant, il quitta mon déshabillé.
– Couche toi à plat ventre sur mes genoux.
J’obéis… Il me prit le poignet gauche, sa main libre s’abattit sur mes fesses avec force…
– Allez petite Salope dis que tu ne le referas plus.
Les coups pleuvaient assez fortement. Sous mon ventre je sentais une grosseur…
– Putain il tape fort le vieux mais ce n’est pas désagréable, pensais-je, ça m’excite même… je crois que je mouille… je suis une vrai salope ! Et je crois que ça le fait bander !
Puis les coups cessèrent, il me caressa les fesses doucement, il y déposa des petits baisers… sa main glissa entre mes cuisses, je sentis son majeur s’insinuer dans ma chatte, son index et son annuaire boudinés entrèrent à leur tour dans mon sexe trempé… Sa main droite avait attrapé un sein et malaxait mon globe qui se raffermissait. Surprise, cela me laissa sans réaction.
– Mais c’est qu’elle mouille la petite Trixie… tu aimes les fessées petite Salope… tu aimes mes doigts… allez descend.
Toujours les doigts dans mon vagin, il me fit mettre à quatre pattes sur le plancher. Il quitta son pantalon, il avait des bourrelets graisseux sur le ventre…
– Putain ta chatte est pleine du sperme de Franck… Je vais te la nettoyer, sinon tu vas tomber enceinte !
Il attrapa mes chevilles et écarta largement mes jambes.
– Paul, Paul que faites vous derrière moi ? Noooonnnn…
– Si tu ne me laisses pas te baiser, je vais de ce pas tout raconter à Daniel. Putain il y a je ne sais pas combien de temps que je n’ai pas bandé comme ça ! Tu es merveilleuse avec tes bas et ton porte-jarretelles… tes seins sont splendides…
Il avait passé ses mains sous la petite lingerie blanche et me tenait aux hanches.
– Alors je peux ?
C’était indéniable la fessée et les doigts m’avaient excitée.
– C’est bon, m’entendis-je répondre… mais dépêchez-vous, Daniel risque de revenir…
– Oooohhh… Merde, ton petit trou du cul est vachement étroit… Ah ça y est… mon gland est passé…
– Aaaahhhh… Putain Paul, vous avez mis votre bite dans mon cul…
– Bien sur que je te l’ai mise dans le cul ! Tu ne crois pas que je vais passer après mon petit fils et son énorme bite !! Je préfère t’enculer car Franck avec sa bite de cheval a du défoncer ta jolie chatte.
Tiens, tu sens comme ma bite glisse au fond de ton cul…
– Ce qui est inouï, pensais-je, c’est de m’être laissée soudoyée par ce gros porc puant… et il me sodomise en plus… je suis vraiment une Salope…
– Tu n’aimes pas ? Rappelle toi que tout ce qui arrive est de ta faute petite Salope de Trixie…
– Dépêche toi d’éjaculer..
Il me retourna.
– En fin de compte je crois que vais faire gicler mon vieux sperme au fond de ta chatte…
– Vous êtes un putain de vieux dégueulasse Paul…
Il me pénétra d’un seul coup…
– C’est bon, c’est bon…répétait-il en me martelant avec des grands coups de rein. Tu la sens ma bite, tu la sens…
Ses assauts s’éternisaient, Il haletait de plus en plus, sa bouche se plaqua sur la mienne, sa langue força mes lèvres, ses mains pétrirent mes seins, il tardait à éjaculer.
– Une pensée traversa mon esprit… Si je contractais plusieurs fois mes parois vaginales autour de sa queue ça devrait le faire éjaculer plus vite.
Effectivement, après quatre ou cinq contractions, je sentis ses couilles se convulser, et un flot de liquide tiède et visqueux inonda ma chatte.
– Oh putain, je ne me suis pas retiré… J’ai éjaculé tout mon sperme dans ton utérus… dit-il d’un ton satisfait… Tu sais Trixie, nous les vieillards dégueulasses, nous pouvons oublier pas mal de choses !! Que dirais-tu d’un rendez-vous la semaine prochaine ! Ou alors je pourrais raconter des trucs par inadvertance… Nous disons chez moi, mardi et tu viens habillée avec tes bas ton porte-jarretelles, soutien gorge sexy…
On eut juste le temps de se rhabiller, la porte s’ouvrit et Daniel entra.
– Tiens Papy, tu es encore là, il renifla… c’est quoi cette odeur on dirait que ça sent le sperme… ici !
Le mardi suivant, je n’allais pas au rendez-vous fixé. Daniel était partit un mois en déplacement… le mois était passé, sans que je ne vois quelqu’un… c’est long un mois sans rapport sexuel… Mais avant que mon amant ne revienne le téléphone grésilla, c’était Paul, le lendemain j’étais chez lui.
– Je viens, car au téléphone vous m’avez encore menacée méchamment de tout raconter à Daniel, vous n’êtes qu’un vieux salaud !
– Je croyais que tu ne voulais pas me voir ! Allez ne soit pas timide, montre moi ta jolie lingerie sexy, ça m’excite énormément… non laisse moi plutôt te déshabiller.
– Je n’y crois pas ! Il va falloir que je me laisse baiser à nouveau par vous vieux porc !
Il se mit tout nu, il ne bandait pas, sa bite était dans la normale, un peu flétrie vu son âge. Il ouvrit sans se presser un à un les boutons de mon chemisier et me l’ôta. Il abaissa les bretelles de mon soutien gorge sur mes bras, puis il baissa lentement les bonnets, lorsque le bord de dentelle passa sur mes mamelons qui malgré moi c’étaient érigés en deux petits cônes durs, je frissonnais.
Il passa ses mains dans mon dos et dégrafa l’attache, il le tira vers lui, et le laissa tomber… sa bouche se plaqua sur un mamelon et il aspira, il fit subir le même sort à l’autre, puis il me les mordilla, je ne pus m’empêcher de gémir et de frisonner à nouveau. Il s’en aperçut.
– Alors petite Salope, tu aimes que le vieux porc de Paul s’occupe de tes magnifiques nichons, caresse moi la queue ! Oh c’est bien tes mains sont douces…
Il me fit reculer, je tombais à la renverse sur le lit. Il se mit à genoux, ses mains en une douce caresse remontèrent doucement de mes mollets en passant sous ma jupe fendue, jusqu’ à la limite de mes bas.
– J’aime tes jambes gainées avec tes bas fumés, j’aime que tu ais un porte-jarretelles.
La lente reptation de ses mains reprit sur ma peau nue au dessus des bas, en direction de ma chatte, son majeur suivit la fente de mon sexe au dessus du fin tissu du string, et il commença à le faire descendre très lentement sur mes cuisses… Malgré moi, ma respiration s’accélérait, je sentais ma chatte devenir moite, mes seins durcissaient. Le petit morceau de tissu glissait lentement le long de mes jambes, plus il descendait, plus mon ventre se nouait. Il le sortit délicatement de mes chaussures, le porta à son nez et le huma avec délice. Puis il commença à écarter délicatement les pans de ma jupe fendue, pour découvrir mon sexe. Je commençais à haleter. Il me la quitta.
– Putain que ta chatte est belle, tu l’as rasée exprès pour moi ? Çà met en valeur tes grandes lèvres merveilleuses…
Il les écarta de deux doigts de sa main gauche, le majeur et l’index de sa main droite s’insinuèrent dans mon conduit vaginal maintenant trempé.
Je respirai par saccades, ses attouchements commençaient à me donner du plaisir.
– Eh bien dis donc, petite Salope, il te fait vachement mouiller le vieux dégueulasse de Paul !
Il ajouta son annulaire, les tourna lentement plusieurs fois et son petit doigt rejoignit les autres, Il fit entrer et sortir plusieurs fois sa main. Je gémissais, elle était couverte de foutre poisseux, il la lécha avec délice.
Il était toujours à genoux entre mes cuisses, sa bouche se posa sur ma fente en feu, sa langue pénétra mon conduit vaginal, en explora les moindre recoins, me tirant des gémissements de plaisir.
Il décapuchonna mon clitoris, le titilla avec son majeur, le caressant en petits cercles concentriques, puis sa bouche se mit a l’aspirer, ses fausses dents le mordillèrent très délicatement… je me tortillais de plaisir sous ses caresses. Il grimpa et s’allongea sur le lit,
– A toi maintenant, suce ma bite et mes couilles…
A mon tour je me mis à genoux entre ses cuisses fripées, mes mains se posèrent sur ses pectoraux qui ressemblaient à des petits seins d’adolescente, puis caressèrent lentement sur le torse ridé et poilu, elles descendirent le long des replis graisseux de son ventre, s’attardèrent sur la verge, qui maintenant était en érection totale, le gland rouge vif bien décalotté, saisirent et caressèrent les couilles.
Il gémissait doucement. Posant un genou à terre, d »une main je lui relevais le sexe, tandis que ma langue lui léchait les testicules qui se contractaient de plaisir. Puis je la fis remonter jusqu’au gland et je le mis dans ma bouche. J’avalais par petites saccades, entièrement le pénis du vieux. Je commençais à le sucer, en le faisant ressortir de ma bouche et en l’avalant à nouveau, ma chatte était de plus en plus humide. Les pointes durcies de mes seins frottaient ses jambes. Il me caressait les cheveux geignant de contentement.
– Salope me dis-je, ce vieux porc te fait de l’effet, il pourrait être ton grand- père…. c’est lui la dernière personne qui t’a baisé… il y a un mois ! Oui mais un mois c’est long… tu apprécies à cause de l’abstinence… mais non…cela sonnait faux dans ma tête… Il te donne réellement du plaisir… Salope !
Il me fit lever, et me pencha sur le dos d’un fauteuil.Avec un pied il écarta largement mes jambes.
– Paul… je viens de me rappeler que j’ai oublié de prendre ma pilule… AAAAHHH ! Pourquoi vous
m’enculez comme la dernière fois, Paul !
– Désolé, mais je ne veux pas que tu tombes enceinte ! Je suis allergique aux préservatifs !!
Je me penchais le plus possible, pour lui permettre de me sodomiser plus facilement.
Il me pénétrait avec des mouvements amples et lents ses mains caressaient mes seins jouant avec mes mamelons, puis descendaient sur mes cuisses caressaient la peau nue au dessus des bas et jouaient avec les attaches de mon porte-jarretelles.
– Tu sais, j’ai pris du Viagra… je vais pouvoir te baiser pendant un bon moment.
– Paul, je vois que vous soufflait, que diriez-vous si je m’installais à califourchon sur vous ?
– Je continuerai à te sodomiser ?
Il s’allongea sur lit, j’empalais mon petit trou sur sa bite tendue.
– Dis moi que je suis belle et que tu as envie de me baiser Paul !! Daniel ne me dis jamais des paroles gentilles !
– Oh oui tu es la plus jolie et la plus jeunes des filles que j’ai baisé jusqu’à aujourd’hui… tu me rends complètement fou !
Je me penchais et l’embrassais.
– C’est vraiment bon de se faire sodomiser ! Je pourrais demander à ton idiot de petit-fils d’essayer, sa bite est à peu près de la même taille que la tienne, il ne me l’a jamais proposé… Malaxe mes seins… Etire mes mamelons.. Aaaahhh… c’est bon…
– Oh putain !!! Je ne peux pas tenir plus longtemps !!! Tu me fais éjaculer… Salope !! Aaaahhhhh…
– Merde c’est frustrant !! je commençais juste a apprécier de me faire enculer !! Et je n’ai pas joui…
Il vida sa semence dans mon anus, puis il me remercia de ma gentillesse, et me complimenta encore et encore sur ma beauté.
– Tu sais Paul tu es très gentil, ce n’est pas comme Daniel, il me néglige, il n’est pas tendre avec moi… c’est un peu pour ça que j’ai couché avec Franck… Il n’est pas très souvent avec moi… Il reçoit de mystérieux coups de téléphone… je crois qu’il me trompe… j’en souffre trop… je vais le quitter…
J’eus à peine fini ma phrase qu’un bâillement me répondis, je regardais le vieux Paul, ses yeux se fermèrent et il s’endormit. Je me levais, m’apprêtais à m’habiller, lorsque sa queue s’éleva a nouveau raide et dure.
– Petit coquin de grand-père !Tu as pris du Viagra pour me baiser !! Mais tu n’as pas tenu le coup ! Et si maintenant je m’amusais un peu, je n’ai pas joui… chuuuut…chuuut fait de doux rêves érotiques vieil homme !! C’est délicieux de sentir une bite dure en moi ! Faire pénétrer la queue
flasque de Daniel dans ma chatte n’est pas facile !! Oh Putain ! C’est quoi mon problème… j’ai vraiment envie d’avoir un orgasme avec sa vieille bite… Il est laid, adipeux… Je suis une Salope…
Mais je continuais de le chevaucher doucement, malaxant mes seins, tirant sur mes mamelons, me titillant le clitoris… Au bout d’un moment je sentis monter mon orgasme… un cri sorti de ma bouche.
– Aaahhh, Ooohh… Putain c’est bon … je vais jouir !!
Au même instant je senti les soubresauts de la vieille bite qui vidait sa semence en moi… je l’attrapais pour l’ôter surtout sexuelle et Dieu sait que tu es douée de ma chatte, mais le vieux Paul me saisit aux hanches et me tint fermement jusqu’à ce qu’il ait éjaculé sa dernière goutte de sperme.
– Hé bien voilà !,,, tu ne voulais pas que j’éjacule en toi… Mais c’est trop bon… oh oui putain que c’est bon… tu ne m’en veux pas ?
– Mais non, la pilule du lendemain ça existe…
– Dis au fait, pour en revenir à ce que tu disais avant que je ne m’endorme… Daniel est atroce avec toi et tu veux vraiment le quitter ? Tu as raison… car c’est un petit con, il a une fille splendide et ne sais pas en profiter… Ne veux-tu pas te venger en lui donnant une bonne leçon… Faire étalage de tes capacités surtout sexuelles, et Dieu sait que tu en as… Tu es vraiment douée ? Je suis prêt à t’aider… J’ai une très bonne idée. Mais il faut que tu me donnes carte blanche.
– Je ne sais pas… mais oui j’ai très envie de lui donner une leçon… de lui faire voir ce qu’il perd, si je le quitte…
– Bien, tu vas venir avec moi… ne t’inquiète pas c’est moi qui paye, ne serait-ce que pour te remercier… Je vais vous emmener au restaurant, le patron est un vieil ami de mon âge… Toi qui apprécie le sexe de Franck… le sien ne devrait pas te déplaire… laisse moi organiser ta vengeance…
Nous partîmes faire les magasins.
A suivre
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