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Prémice de cocufiage comme cadeau d’anniversa

Prémice de cocufiage comme cadeau d’anniversa



Auteur : Novice03

Cela faisait déjà une bonne vingtaine de minutes que Charlène avait quitté l’espace détente de l’hôtel pour regagner notre chambre. Son petit regard coquin, alors qu’elle ajustait son peignoir et rassemblait ses affaires me laissait présager d’une fin d’après-midi plutôt érotique…

Nous séjournions dans cet ensemble hôtelier haut de gamme pour fêter mon anniversaire. Il est indispensable de savoir s’extraire, par moments, du quotidien et s’accorder les plus voluptueux plaisirs. C’est elle qui avait découvert ce petit coin de paradis, retenant essentiellement l’espace spa dont nous avions profité tout l’après-midi. Quoi de plus reposant que le jacuzzi ? Que le sauna ou le hammam ? Qu’une petite sieste au bord de la piscine ?…

Je quittai à mon tour ma chaise longue et je me demandai comment j’allais retrouver ma belle… J’adorai cette petite incertitude polissonne… Allait-elle m’attendre au lit, nue et soumise ? M’avait-elle réservé une surprise ? Peut-être de nouveaux sous-vêtements ?… Pourvu qu’elle soit bien là !

Mon excitation était à son comble lorsque je poussai la porte de notre chambre après avoir fantasmé tout le long du chemin. Mon peignoir avait un peu de mal à dissimuler mon érection naissante. Le bruit de l’eau coulant sous la douche me déçut au premier abord. Aucun de mes scénarios espérés ne semblait être d’actualité. Il faut bien avouer que notre esprit marche toujours très vite lorsqu’il s’agit de sexe… bien plus vite que le cerveau féminin.

En entendant la porte de la chambre se refermer, Charlène m’informa qu’elle en avait pour quelques minutes encore. Elle me suggéra de m’allonger en l’attendant… Je profitai de ces quelques instants pour quitter mon maillot de bain encore humide et me glisser sous les draps. Le contact du tissu sur ma peau, cumulé à mes précédentes pensées, me redonna une envie irrésistible de sexe.

J’entendis ma belle sortir de sa douche. Elle se sécha et se glissa dans le lit alors que je lui tournais le dos, les yeux mi-clos… Son odeur était divine, sa chaleur me réconforta et la douceur de sa peau me transporta. Je sentis sa main encore humide effleurer mes fesses. Elle fit glisser ses ongles sur mon dos et passa son bras par-dessus mon épaule pour caresser mon torse. Le bout de ses doigts effleura mes tétons. Je ne pus taire un léger gémissement. Elle sait parfaitement comment me faire fondre entre ses mains !

Après avoir vérifié mon érection en passant sa main sur mon sexe déjà tendu, elle me griffa les testicules avec une infinie douceur. La pointe de ses ongles effleurant la peau tendue de mes bourses, mon sexe était déjà au garde-à-vous et sur le chemin irréversible d’une chaude et puissante éjaculation. Pendant cette caresse délicieuse, je sentis sa bouche se rapprocher de mon oreille. Le souffle court, la voix hésitante, elle me glissa un énigmatique :

— Je ne sais pas trop quoi faire…

Ma surprise devait être à la taille de mon érection, mais elle continua :

— … Je ne sais pas si je peux t’en parler…
— … De quoi parles-tu ?

Sans la caresse de ses ongles sur la membrane de mes couilles, mon érection aurait sûrement disparu du fait de cette discussion énigmatique.

— … C’est que… Je ne sais pas si cela va te plaire…
— Dis toujours…
— … Je me suis fait aborder tout à l’heure…
— … Ah… Où ?… Et alors ?
— … Un monsieur m’a parlé dans l’ascenseur lorsque je suis remontée dans la chambre.
— … Et ?… Je ne vois rien de bien répréhensible à cela… Accouche !
— … Il m’a dit que je l’avais troublé à la piscine et au sauna… qu’il m’avait trouvée très belle…

J’étais un peu abasourdi :

— C’est bien, il a de bons goûts…

Mon ton ironique ne laissait pas entrevoir la pointe de jalousie que traversait mon esprit…

— … Il a rajouté que sans ta présence, il m’aurait abordée au sauna ou dans le jacuzzi…

Plus ma jalousie montait, plus je sentais mon sexe durcir. Ce sentiment étrange ne m’était pas inconnu et me sembla même être le plus excitant que je connaisse. Je me taisais pour la laisser continuer. Elle reprit son récit après quelques dizaines de secondes d’hésitation.

— … Lorsque mon étage est arrivé et que je l’ai salué, il m’a demandé s’il pouvait m’offrir un verre ce soir… à 19 heures au bar de l’hôtel… Il a ajouté, avant que les portes de l’ascenseur ne se referment, qu’il comprendrait si je n’étais pas au rendez-vous… mais que lui y serait…

Mon sexe était prêt à exploser, la griffure des ongles sur la peau sensible combinée à son récit me rendait déjà dingue… Je m’aventurai à lui demander :

— … Et tu as répondu quoi ?
— Rien… Je n’ai pas eu le temps…
— … et si tu avais eu le temps, tu aurais répondu quoi ?
— Je ne sais pas… Je…
— Si tu ne sais pas, c’est que tu n’es pas certaine de ne pas avoir envie d’y aller, non ? Sinon tu répondrais « non » sans aucun doute possible…
— … Et ? me lança-t-elle dans l’attente d’une réponse… ou d’un encouragement…

Si mon excitation n’avait pas été aussi forte à ce moment-là, j’aurais certainement cherché à la ramener à la raison, mais je me surpris moi-même à lui demander :

— … Tu as envie d’y aller ?
— Je ne sais pas trop…
— … Et si je te disais que j’ai envie que tu ailles à ce rendez-vous ?
— C’est vrai, tu as envie que j’y aille ?
— Un peu, oui…

Ma réponse sembla lui couper le souffle, elle ralentit ses caresses sur mes boules. Je me sentis obligé de préciser :

— Mais si tu y vas, il faudra que tu sois la plus belle possible, je veux que tu lui en mettes plein la vue… et surtout que tu me racontes tout, dans les moindres détails…
— … Et toi… pendant ce temps ?
— Moi ? Je vais bander comme un fou, je vais espérer que tu me donnes de tes nouvelles par SMS, je vais attendre ton retour…
— Tu ne serais pas un peu pervers, mon chéri ? me glissa-t-elle en effleurant mon gland avec la paume de sa main…
— Peut-être, mais je t’aime encore plus que ce que je pouvais imaginer…

Mes mots étaient le gage de notre parfaite complicité.

Elle se pencha alors au-dessus de moi, m’embrassa avec ferveur, nos langues se mêlant, puis quitta le lit pour aller se préparer dans la salle de bain.

Mon esprit se torturait de la perversité de la situation… Étais-je devenu fou ? Le risque de ce rendez-vous était-il trop dangereux ? Comment je pouvais laisser ma jolie femme répondre à cette demande d’un inconnu ?

Après un bon quart d’heure, elle sortit de la salle de bain, déjà prête pour sa soirée. Elle était divine dans sa robe mi-cuisses bleu nuit, assez décolletée sur sa poitrine généreuse elle-même magnifiquement mise en valeur par un soutien-gorge légèrement pigeonnant. Elle portait une paire d’escarpins noirs qui lui donnaient une classe absolue. Un maquillage léger parachevait sa beauté fatale…

Je la regardai s’admirer une dernière fois dans la glace de notre chambre. Je ne pouvais plus la retenir et elle quitta notre cocon en m’envoyant un baiser avec sa main, prétextant qu’elle ne voulait pas réajuster son rouge à lèvres… Mon érection était terrible, et l’envie de me masturber incroyablement difficile à contenir… Il me fallut lutter pour ne pas la suivre… mais cela faisait tacitement partie du jeu. Elle était libre, j’étais son soumis et je me pliais à vivre ma jalousie comme une excitation ultime…

19 h – Elle devait être arrivée au bar. Il me fallait m’occuper l’esprit (et les mains…) pour ne pas devenir fou. J’allumai machinalement la télévision et écoutai distraitement les programmes. Une chose étant bien certaine… je ne risquais pas de m’endormir…

19 h 20 – Un SMS… Je réagis seulement à cet instant qu’elle est partie depuis déjà plus d’un quart d’heure… Le temps passe interminablement vite : paradoxe ? « tt va bien. Biz » C’est un peu court… mais une partie de moi est rassurée. Tout se passe bien et elle n’a pas l’air de mal vivre la situation.

19 h 55 – SMS… « Il est parti commander 2 autres coupes de champagne… Je vais être pompette. Biz » Je réponds : « Doucement quand même ! Sinon, ça va ? »

19 h 57 – SMS : « Oui ça va, et toi ? » Je bande… SMS : « Ça va mais j’ai super envie de savoir ce qui se passe… et j’ai super envie de toi ! »

19 h 59 – SMS : « Il est très gentil et on discute. » Je bande un peu moins devant ses réponses… SMS : « Il est chiant ? Tu lui plais peut-être pas… »

20 h 02 – SMS : « Ça m’étonnerait, vu comment il mate mon décolleté. J’te laisse, champagne arrive. » Mon érection reprend… C’est dingue comme 4 mots « il mate mon décolleté » suffisent à m’exciter ! Je reprends ma soirée télé « …célibataire dont la femme super sexy prend un verre avec un inconnu… » sans quitter mon portable des yeux.

21 h – Toujours pas eu d’autres nouvelles…

21 h 15 – SMS : « 3 coupes, je suis cuite. Je vais pas tarder… biz » SMS : « ok ».

21 h 20 – SMS : « Il paie et on s’en va… » SMS : « N’oublie pas de dire merci ! »

21 h 21 – SMS : « Merci mon chéri ! » SMS : « Pas à moi ! À lui ! » Mais qu’elle est sotte par moments…

21 h 23 – SMS : « Je comptais bien le remercier… » Elle ne devrait maintenant pas tarder. Cette soirée a finalement été plutôt sage et j’attends avec impatience le retour de ma beauté.

21 h 35 – Elle n’est toujours pas remontée. Elle doit certainement discuter et doit se défaire de son hôte peut-être « collant » par les effets de l’alcool…

21 h 50 – Je me hasarde à lui envoyer un message. SMS : « Tu fais quoi ? Je t’attends. »

21 h 58 – SMS : « Je me rhabille, j’arrive. » Mon souffle reste court, je viens bien de lire « Je me rhabille » !

À peine quelques minutes après son dernier message, la porte de notre chambre s’ouvrit. Mon épouse entra et se dirigea vers moi en me lançant des regards de braise.

— As-tu passé une bonne soirée ? me lança-t-elle.
— J’avoue que ton dernier message me laisse perplexe !
— Doucement, tu veux connaître la fin avant le début… Tu m’as demandé de tout te raconter, tu as oublié ?

Je ne la reconnaissais pas, elle me semblait incandescente. Elle s’assit sur la petite table en face de moi, croisa ses jambes et commença à me raconter :

— Il était bien à l’heure au rendez-vous. Il avait l’air ravi de me voir arriver et il m’a trouvée ravissante. Ses yeux ont immédiatement visé mon décolleté… Ça ne te gêne pas mon chéri j’espère ?… Il a rapidement commandé 2 coupes de champagne et nous avons discuté. Il fixait souvent mes seins et j’avais un peu de mal à capter son attention… et lorsque je croisais mes jambes, il devenait écarlate…

J’étais au comble de l’excitation, elle était en train de me chauffer comme jamais… et sans fantasmer, tout ce qu’elle me racontait était bien réel !

— Nous avons bu une troisième coupe et la discussion est devenue plus coquine… Nous avons parlé de nous, de notre couple, de toi… de ta jalousie et de l’excitation que tu éprouvais…
— Vous avez parlé de moi ? Je suis flatté… Et puis ?
— Il m’a demandé s’il était commun que je réponde à un rendez-vous comme je venais de le faire… J’ai été obligée de lui avouer que c’était la première fois… Il m’a demandé où tu étais et semblé satisfait de te savoir complice et seul dans notre chambre…
— … Tu lui as dit que j’étais au courant et que j’attendais docilement ton retour ?
— Il a trouvé cela très original et assez coquin… surtout lorsque j’ai décroisé mes jambes et qu’il a eu tout le loisir d’admirer mon string sous ma robe…
— Oh le salaud, il t’a maté le string ?…

Mon érection me faisait mal tellement elle devenait encombrante.

— Il m’a demandé si je voulais un autre verre… J’ai répondu que j’avais déjà trop bu, qu’il valait mieux s’arrêter là… Il est donc parti payer et j’en ai profité pour t’envoyer quelques SMS.
— … Mais tu as mis presque trois quarts d’heure avant de remonter ?…
— Doucement, tu veux tout savoir paraît-il… ?

Je n’en pouvais plus et mon attention était partagée entre son récit et la vision de son décolleté face à moi (… et à imaginer les yeux qui en avaient également largement profité il y a peu…).

— Nous avons repris l’ascenseur tous les deux et j’ai appuyé sur notre étage, le troisième, et lui le sien, le cinquième
— … Ne me dis pas que l’ascenseur est tombé en panne ?
— Non, idiot !… Mais arrivés au troisième, et alors que j’allais lui dire au revoir et merci pour cette agréable soirée, j’ai senti sa main prendre la mienne…

À ces paroles, mon cœur venait de s’arrêter et mon sexe entamait un décompte avant explosion…

— Machinalement, je me suis tournée vers lui… et il a mis sa main sur ma joue… et a doucement posé ses lèvres sur les miennes…
— Et tu n’as pas réagi ?…
— Si… J’ai posé mes mains sur son torse… Il a glissé sa langue dans ma bouche et nous nous sommes embrassés quelques secondes.

Je voyais bien qu’elle revivait la scène avec beaucoup de passion, ses cuisses se frottant l’une à l’autre, ses épaules roulant comme lors d’un câlin…

— Le temps de me reprendre, l’ascenseur était arrivé au cinquième et il me guidait vers la porte de sa chambre…
— Tu l’as suivi dans sa piaule, après l’avoir embrassé… Ne me dit pas que…
— Stop, laisse-moi raconter ! Tu voulais, eh bien tu vas savoir ! Il a refermé sa porte et m’a rejointe à côté de son lit. Il a glissé ses mains sous ma robe et est devenu plus direct. Il a retiré mon string, m’a couchée sur le lit et a défait son pantalon pour libérer une belle queue bien raide…

Je sentais une excitation inconnue à découvrir mon épouse en parfaite allumeuse infidèle…

— Il s’est présenté à moi et m’a pénétrée sans préliminaires, et sans mal ! Mon sexe trempé l’a accueilli avec délice. Alors que ses mains exploraient mes seins, il me limait sans ménagement, comme pour se satisfaire au plus vite d’une tension trop longtemps contenue…
— Cela a duré longtemps ?
— Non, quelques minutes ! Il a puissamment joui en moi, cela devait faire un moment qu’il n’avait pas baisé… et il s’est endormi directement après s’être retiré…
— Je ne peux pas te croire ! Tu me racontes des craques !…
— Ah bon ? Et ça, c’est des craques ? dit-elle en écartant ses cuisses et en remontant sa robe jusqu’à niveau des hanches…

Je découvris alors son string totalement taché sur l’entrecuisse…

— Je t’ai ramené un petit souvenir… Je n’ai eu qu’à me rhabiller en remettant mon sous-vêtement tout en gardant sa semence en moi… Alors, tu me crois maintenant ? Tu la crois ta petite salope ?…

Je n’aurais jamais imaginé que le fait de volontairement accepter que son épouse parte allumer un homme puis couche avec me procurerait une telle excitation ! Et cette petite perverse revenait avec le string souillé de sperme et me le présentait comme un trophée… J’étais cocu mais comblé.

— Et je veux que tu me fasses jouir, parce qu’il a joui trop vite… Je n’ai pas eu le temps, moi…
— Mais j’ai moi aussi le sexe bandé depuis ton départ ! J’ai peur de gicler trop vite !…
— Si tu éjacules avant que j’aie eu un orgasme, je retournerai au bar… Il y aura bien un mâle généreux…

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