Rien que tous les trois… – Suite et fin
Bonne lecture
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« Mademoiselle Amandine et moi avions réfléchi aux différentes manières de me faire passer ma lingerie sans que Maitre ne me regarde, et celle de le laisser entre ses griffes sans que je ne sois là pour les surveiller nous était parue la meilleure.
J’ai soulevé une petite pile de linge sale placé délibérément sur mon ensemble de lingerie, puis je l’ai enfilé aussi rapidement que je pouvais. J’ai retourné mes bas puis je les ai enfilés sur mes jambes, j’ai serré mon bustier pour faire remonter un peu mes seins, clipsé mes jarretelle… J’ai fini en enfilant ma culotte. Ca me faisait tout bizarre d’en porter une. Bon, celle-ci était ouverte tout le long de ma fente, mais même, je n’avais plus l’habitude.
Je me suis ajustée, j’ai rangé les quelques poils qui dépassaient de ma culotte, sorti un petit bout de mes lèvres pour donner envie à Maitre, puis je suis partie les retrouver dans la chambre. Ne sachant pas quelle serait la réaction de Maitre, j’ai préféré me faire discrète, alors je suis restée sur le pas de la porte à les regarder s’embrasser. Mademoiselle Amandine avait déjà quitté son haut, et Maitre était en train de lui grignoter les tétons.
Le spectacle était trop beau pour moi, et je n’ai pas résisté à l’envie de me caresser. Les frôlements de ma peau sur le satin ou mes soupirs de plaisir ont attiré l’attention de Maitre, et remarquant que moi aussi je portais un ensemble de lingerie, Il a délaissé Sa compagne pour pouvoir m’admirer. Il ne disait pas un mot, Il restait à me regarder… Mademoiselle Amandine l’embrassait amoureusement dans le cou, mais Il y semblait insensible. Supporter Son regard m’a bientôt été trop difficile, et je suis entrée dans la pièce pour Le rejoindre.
– Vous aimez ? »
Quelle question… Bien sûr que j’aimais, j’aimais tellement que je n’ai pas trouvé les mots pour lui répondre. Je lui ai simplement tendu la main pour qu’elle nous rejoigne sur le lit, puis je me suis tourné vers Amandine, les yeux lourds de reproche, en la traitant de menteuse. Ça l’a fait sourire.
Je suis revenu à Câline, et je l’ai regardée de la tête aux pieds. Elle était splendide dans sa lingerie bleue foncée !
– Câline porte l’ensemble « Passion », de notre magasin préféré… Son bustier est suffisamment fin pour pouvoir jouer avec ses tétons, et sa culotte est bien évidemment fendue pour un accès à son entrejambe optimal ! Ses autres vêtements…ah non pardon…
– J’achète… Viens ici Câline, tu es superbe !
– Merci Maitre !
J’ai joué avec elle un petit moment, puis je me suis allongé sur le dos pour laisser mes deux chéries me redonner la vigueur que j’avais perdue pendant notre petite pause. De nouveau, leurs deux bouches expertes m’ont fait remonter en un rien de temps, et Amandine m’à bientôt jugé prêt à prendre Câline. Elle l’a positionnée au-dessus de moi, puis en attrapant mon sexe à la base, elle l’a glissé dans la fente de sa culotte au chaud dans le fourreau humide de ma petite esclave.
Amandine est passée derrière Câline pendant que je commençais mes mouvements, tout en lui caressant le ventre et la poitrine, dévorant son cou de baisers. Puis elle s’est penchée de tout son poids sur elle, la forçant à se coucher sur moi. J’ai serré mes bras autour de ma petite esclave, collant chaque centimètre carré de sa peau à la mienne, et j’ai doucement bougé en elle, guidé par les soupirs de plaisir qu’elle poussait à mes oreilles.
« De temps à autres, malgré la lenteur de nos mouvements, le sexe de Maitre glissait hors de mon fourreau. Ravie de ce cadeau qui s’offrait à elle, mademoiselle Amandine le prenait goulument en bouche, se délectant de mon nectar qui recouvrait le membre de son compagnon. Sans plus aucune jalousie dans notre ménage à trois, elle me le rendait une fois repue : non seulement elle le replaçait en moi, mais en plus elle le guidait quelques instants pour être sure qu’Il soit bien en place.
Le visage enfoui dans mon entrejambe, elle léchait les testicules de Maitre, l’intérieur de mes cuisses, et progressivement je la sentais revenir autour de mon anus. Et cette fois, plus de doute possible : ce n’était pas un coup de nez, ou un mouvement furtif, c’était carrément la pointe de sa langue qui titillait l’entrée de mon œillet, cherchant à se glisser en moi, et –pour mon plus grand plaisir, y arrivant parfois. Elle sortait aussi subitement qu’elle était entrée et retournait s’occuper de Maitre, me laissant sur ma faim de découvrir ce plaisir si particulier. Je commençais à regretter d’avoir refusé que Maitre ne me prenne par là.
Entre le manège discret de mademoiselle Amandine et les coups de reins lent mais incroyablement puissant de Maitre, je n’ai pas tardé à sentir l’orgasme grossir dans mon ventre. Mes soupirs devinrent des gémissements, mes gémissements des cris. Ne voulant pas me faire jouir trop tôt, Maitre a arrêté de me faire l’amour, mais ça n’a pas suffi. La langue de mademoiselle Amandine s’est transformée en marteau piqueur, je la sentais taper encore, encore et encore sur ma rondelle, cherchant sans doute à la faire éclater de plaisir. »
Je regardais le visage de Câline au-dessus de moi, sans comprendre pourquoi elle continuait de pousser des petits cris de plaisir bien que je me sois arrêté. D’ailleurs je ne l’avais jamais entendue crier comme ça, de tous petits cris, très brefs mais très aigus… Je lui caressais les joues, le regard interrogateur, mais ses yeux étaient perdus dans le vide loin au-dessus de mon épaule. J’en ai déduit que c’était Amandine qui lui donnait autant de plaisir, mais ne sentant ni ses doigts ni son visage autour de mon sexe je restais sans comprendre. Puis finalement, les cris de Câline se sont transformés en un long râle très rauque, un grognement de bête presque, et elle a tapé du poing sur le matelas en tremblant de tout son corps
« -Aaaaaaaah….je…j’ai…changé d’avis !!!
– De quoi parles-tu ma toute belle ?
– Enculez-moi !
– Pardon ?
– Enculez-moi Maitre s’il vous plait !!!
– Amaaaaandine ????
– Oui mon amour ?
– Qu’est-ce que tu lui fais depuis tout à l’heure ?
– Moi ? Rien, je lui donne juste tous les arguments pour qu’elle refuse que tu la sodomise en toute connaissance de cause.
– Malgré le fait qu’elle t’ait dit non ?
– je…
– Ne soyez pas en colère contre elle Maitre s’il Vous plait… elle a raison !
– D’accord ma toute belle »
Même si j’en voulais un peu à Amandine d’avoir forcé Câline à subir ses caresses, le revirement de ma petite esclave me plaisait suffisamment pour ne pas être trop en colère. Mes deux chéries ont glissé en 69, Amandine dessous, Câline au-dessus. Elles se sont donné du plaisir mutuellement un petit moment, puis ma compagne a ouvert en grand les fesses de mon esclave pour m’inviter à la prendre. Câline était tellement excitée que son petit trou semblait s’ouvrir et se refermer tout seul au rythme de sa respiration.
« – Je suis prête Maitre, allez-y ! Doucement s’il Vous plait !
– Bien sur ma grande !
Il m’a embrassée dans le cou pour me donner du courage avant de me prendre, puis Il a présenté Son sexe à l’entrée de mon anus, en pressant délicatement Son gland sur mon petit trou. Mademoiselle Amandine gigotait sous moi, j’ai cru que je m’appuyais trop fort contre elle et que je l’écrasais, alors je me suis relevée. J’ai immédiatement senti ses bras se refermer autour de mes cuisses pour me maintenir en position.
– Ne bouge pas ma petite chienne, laisse-moi regarder !
En sentant son souffle sur mon sexe, j’ai réalisé à quel point elle était proche de l’action… Elle pouvait tout voir, et moi rien du tout ! Maitre continuait de frotter Son gland contre mon anus, je n’en pouvais déjà plus… Je voulais le sentir en moi, là, maintenant… Mademoiselle Amandine soupirait de satisfaction devant le spectacle que nous lui offrions Maitre et moi. Elle avait mon sexe a quelques petits centimètres de sa bouche, mais elle n’était pas en train de me lécher, trop captivée par le sexe de Maitre qui glissait entre mes fesses, m’arrachant des cris de plaisir sans avoir même a me pénétrer.
Puis finalement, je l’ai senti presser un peu plus fort, ouvrant lentement mes muscles, entrant millimètre par millimètre en moi.
– Ca va Câline ?
– Oui Maitre, c’est bon…
– Si tu pouvais voir ça Câline !!! Tu t’ouvres comme une fleur, on dirait que tu veux le prendre en toi d’un seul coup !
Entendre mademoiselle Amandine me décrire ce qu’elle voyait m’a excitée encore plus, et je sentais tous mes muscles se relâcher un par un. Je me suis simplement couchée sur elle, la laissant supporter tout mon poids. Elle n’a pas protesté, au contraire, elle m’a pris une main et l’a tendrement caressée, sa façon à elle de m’encourager !
– Deux centimètres ma Câline.
– C’est tout ? J’ai l’impression qu’Il y est en entier…
– Oh non ma toute belle, tu verras quand j’y serai !
– Ca… Ca commence à fait un peu mal…
En redoublant de caresses, Maitre et mademoiselle Amandine sont parvenus à faire entrer quelques centimètres du sexe de Maitre en plus en moi, mais passé ce stade, la douleur commençait à devenir très forte. Chaque tentative de Maitre de progresser m’arrachaient des cris, mêlés de douleur et de plaisir, qui le faisaient s’arrêter momentanément.
– Tu veux que j’arrête ma toute belle ?
– Non surtout pas !!! Ça fait mal mais c’est si bon !!!
– Ouvres toi ma petite esclave, détends-toi… Imagine le plaisir de ton Maitre, sa petite esclave qui lui offre sa dernière virginité ! Ca serait dommage que toi tu n’en profites pas !
Ces quelques mots de mademoiselle Amandine m’ont immédiatement débloquée, j’ai senti le sexe de Maitre s’enfoncer en moi d’un seul coup. J’ai hurlé, mais pas de douleur… Il a reconnu mon cri, et n’a pas cherché à s’arrêter cette fois, au contraire, poussant plus loin sans rencontrer plus la moindre résistance. Finalement, après un ultime cri de plaisir, j’ai senti Son pubis se poser contre mes fesses. J’ai savouré l’extase de cet instant, manquant de jouir quand Maitre s’est couché sur mon dos, embrassant mon cou, puis me remerciant d’un murmure contre mon oreille. »
Restée passive sans doute trop longtemps à son gout, Amandine a commencé à caresser Câline, glissant immédiatement quelques doigts dans son vagin qui ont fait jouir ma petite esclave d’un seul coup. A mon tour, j’ai fait quelques va et viens dans son anus, prolongeant son plaisir à n’en plus voir la fin, moi-même stimulé par les doigts d’Amandine à travers la fine paroi entre le vagin et le rectum de Câline. Je n’ai pas pu tenir très longtemps, j’ai dû m’arrêter à nouveau pour ne pas jouir trop tôt.
Nous étions tellement excités tous les trois qu’il nous fallait à peine quelques mouvements pour arriver à l’orgasme, mais nous voulions nous retenir pour une apothéose qui s’annonçait magique. Finalement, nous avons mis Câline dans une position assez anodine, les fesses en l’air, jambes loin derrière la tête. La position n’était pas très confortable pour elle, ni très facile à tenir, alors nous l’avons placée de sorte à ce que le bas de son dos repose sur un coussin contre le mur de ma chambre.
Je me suis mis debout, jambes pliées, et je me suis à nouveau glissé dans son anus. Dans cette position, elle était beaucoup plus serrée, et si nous ne l’avions pas aussi bien préparée avant, nul doute qu’elle n’aurait pas pu le supporter. Mais là, entre mes caresses et celles d’Amandine, Câline était si ouverte qu’elle aurait pu prendre n’importe quoi !!! Son long râle de plaisir m’a d’ailleurs confirmé qu’elle appréciait la position. J’ai donc commencé à faire quelques mouvements de jambe pour monter et descendre, faisant bouger mon sexe dans son œillet.
Amandine quant à elle, s’est placée à califourchon sur le visage de Câline, baissant suffisamment le bassin pour que ma petite esclave puisse lui lécher le sexe en tirant la langue. Pendant ce temps, ma chérie lui rendait la pareille, profitant de son sexe offert, dégoulinant de jus.
« Seul le plaisir que me donnaient Maitre et mademoiselle Amandine rendaient cette position supportable : Maitre me transperçait l’anus, Son sexe gonflé comme jamais m’ouvrant comme jamais, et mademoiselle Amandine maltraitant mon entrecuisses à coup de langue, dents, doigts, et tout ce que son imagination abondante lui faisait utiliser. Nous étions tous les trois épuisés, ce corps à corps serait notre dernier de la soirée : je m’attendais à un finishing en toute beauté. Et je n’ai pas été déçue…
Dès que je me suis mise à couiner un peu plus fort qu’avant, annonçant à mes amants un orgasme imminent, mademoiselle Amandine a baissé son bassin, et a plaqué son sexe sur mon visage. Affamée et excitée que j’étais, j’en ai profité pour la dévorer à pleine bouche… Ce festin qui s’annonçait si bien à toutefois tourné de court quand j’ai essayé de reprendre la respiration que les coups de reins de Maitre m’arrachaient : impossible… Mademoiselle Amandine m’en empêchait…
Maitre à redoublé d’ardeur à ce moment-là, j’en ai déduit que les deux étaient de mèche, je ne me suis pas inquiétée outre mesure… En sentant que je commençais a être à bout de souffle, mademoiselle Amandine s’est un peu relevée, me laissant inspirer à pleins poumons avant de se rasseoir sur moi.
Ce petit manège a duré quelques minutes, réussissant à merveille à bloquer mon plaisir à la limite de l’orgasme, puis ma tortionnaire préférée est passée à la suite. Elle a ondulé du bassin, frottant son sexe contre mon visage, me recouvrant entièrement de sa mouille… Je ne pouvais plus respirer par le nez sans risquer d’inspirer des gouttes de liquide, je ne pouvais qu’entrouvrir les yeux…
Maitre quant à lui a changé d’angle de pénétration. Cette fois, chacun de ses mouvements emmenait son sexe taper sur mon point G à travers la paroi entre mes deux orifices. Les cris que je poussais étaient tellement forts que mademoiselle Amandine s’est rassise sur moi pour me réduire au silence. Je hurlais de plaisir mais bâillonnée par son sexe, seuls des grognements sortaient de ma bouche.
Quand elle a fourré deux doigts dans mon sexe, massant elle aussi mon point G, j’ai essayé de me dégager, mais mes membres étaient engourdis par la position, et je ne pouvais pas bouger. Surement trop occupée à me donner du plaisir, elle en a oublié de me laisser reprendre ma respiration. J’ai planté mes ongles dans ses cuisses pour ne pas suffoquer et elle s’est relevée un moment, mais m’a administré une fantastique claque sur le sexe en guise de punition.
Le mélange de plaisir, de douleur, de peur… tout a explosé d’un seul coup et j’ai joui, submergée par l’orgasme le plus puissance que j’avais jamais eu !!! Mademoiselle Amandine m’a libéré le visage sans pour autant arrêter de ma doigter, et quand elle a senti que j’allais éjaculer, elle m’a de nouveau claqué le sexe.
J’ai hurlé de plaisir la bouche grande ouverte, les paupières crispées devant les yeux. Complètement droguée au plaisir, je n’ai pas compris d’où venait le puissant jet de liquide qui m’a aspergé le visage et les seins…
J’avais un gout de mouille en bouche, je sentais des odeurs de jus, mes cris de plaisir et ceux de Maitre m’envahissaient les oreilles… Mon corps entier n’était plus que Plaisir !!!
Maitre m’a libérée de Son étreinte, me faisant délicatement glisser sur le coté vers une position plus confortable et, instinctivement, je me suis roulée en boule sur le lit, secouée de spasmes encore et encore, semblant ne jamais vouloir s’arrêter… Dans cet état second, j’ai senti quelque chose glisser lentement sur la peau de mon visage. Quand c’est passé devant mon nez, j’ai reconnu à l’odeur le sexe de Maitre, ce sexe qui me donnait toujours autant de plaisir. Machinalement, j’ai ouvert la bouche, mais Il n’a pas voulu l’y engouffrer, poursuivant Son chemin sur ma peau, avant de finalement s’arrêter sur ma joue.
Je l’ai senti tressauter sous l’orgasme de mon Maitre adoré, puis Il s’est vidé sur mon visage répandant un flot de son nectar sur ma joue, dans mes cheveux… Les trainées de sperme ont coulé sur ma peau, le long de mon front, sur mes yeux ou mon nez… Aucune n’a daigné se frayer un chemin dans ma bouche grande ouverte.
Toujours à moitié sonnée, c’est la langue râpeuse de mademoiselle Amandine que j’ai sentie parcourir les trainées de jus de Maitre, les récoltant dans sa bouche, me privant de ce nectar malgré tous les efforts que j’avais faits pour le mériter… mais j’étais trop épuisée pour pouvoir protester. Comme une poupée de chiffon, mademoiselle Amandine m’a tourné la tête pour que j’aie la bouche vers le haut.
Quelque chose a coulé dans ma bouche, un liquide dont je reconnaissais une partie du gout, celui de Maitre… mais d’autres y étaient mélangés : la mouille de mademoiselle Amandine, sa salive… une dernière saveur qui devait être la mienne…
Délibérément ou pas, elle a mis la moitié de ce délicieux mélange a coté de ma bouche, maculant ma deuxième joue… J’ouvrais et je fermais la bouche, comme pour qu’ils me nourrissent, mais plus rien n’est venu. En entrouvrant les yeux, je les ai découverts tous les deux a coté de moi, retenant un fou rire.
« – quoi ?
– tu devrais voir ta frimousse ma toute belle… tu es… dégoulinante.»
J’essayais d’imaginer a quoi je ressemblais tout en reprenant mes esprits, laissant Maitre et mademoiselle Amandine se faire des mamours à côté de moi. Puis finalement, je me suis relevée, et mon Maitre adoré m’a portée dans ses bras jusque dans la salle de bain, suivi de près par mademoiselle Amandine. Il m’a déposée devant le miroir, et à mon tour j’ai éclaté de rire en voyant mon visage maculé de sperme, de mouille, entre autres délicieux liquides. Je me suis tournée vers mes…maquilleurs, et j’ai passé ma langue a la commissure de mes lèvres pour récupérer une petite goutte de sperme.
Après une séance aussi intense, Maitre et sa compagne ont été aux petits soins pour leur petite esclave, me douchant et me débarbouillant délicatement le visage, avant de m’inviter à passer la nuit délicieusement blottie entre eux deux. Qu’est-ce que je me sentais bien ! »
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