Nous étions sur la plage à l’Espiguette, il y avait du vent et nous nous étions réfugiés dans les dunes, à l’abri. Elle m’avait dit « je te préviens , je ne me déshabille pas, c’est plein de vicieux ».
J’étais nu, elle avait enlevé son soutien gorge mais avait gardé sa toute petite culotte blanche. Ses seins, petits mais superbement dressés attiraient pas mal de regard, comme le renflement sous sa culotte. Des hommes nus passaient et repassaient devant nous, la queue parfois dressée. Certains la regardaient en se touchant mais elle faisait mine de ne pas les voir.
Elle s’est couchée sur le dos. Je caressais doucement ses jambes et tout doucement , progressivement, sans en avoir l’air ai écarté ses pieds. Elle ne s’en ai pas aperçue mais sa culotte était entrée entre ses lèvres et son sexe était partiellement visible. Deux ou trois voyeurs se sont assis à quelques mètres. Je caressais ses cuisses, de plus en plus près de sa petite chatte épilée.
J’ai attrapé sa culotte de chaque côté et l’ai faite glisser sur ses hanches, dévoilant son petit minou aux regards. Elle a ouvert les yeux, aperçu nos voyeurs et tout en soupirant a refermé les yeux. J’ai écarté ses jambes et j’ai commencé à masser son clitoris : je connais ses faiblesses ! Puis j’ai glissé mon index dans sa fente. Elle faisait doucement onduler son bassin.
Elle regardait maintenant nos branleurs. Tout à coup, un black est apparu. Il venait de la plage, était très beau, entièrement nu et sa queue, bien qu’au repos, semblait gigantesque.
En me narguant elle m’a dit : » un black, je veux bien, j’ai jamais essayé !!! ».
Lui s’était approché et accroupi dans le sable, sa queue pendante. Il regardait fixement entre les cuisses de ma femme. Avec deux doigts de chaque côté de sa chatte, je l’ai écartée complètement, l’ouvrant sr son petit intérieur rose et humide. Elle a un peu soulevé son bassin pour s’écarteler encore un peu.
Sa queue a gonflé rapidement, elle m’a semblé très longue, le gland énorme, brillant. Quand il s’est approché, elle m’a regardé, quêtant mon approbation. J’ai hoché la tête.
Ila commencé à lui caresser les seins et l’a branlée avec deux doigts. Elle s’est soulevée sur un coude et a pris sa queue dans sa bouche, lui flattant les testicules d’une main.
Puis se reculant, il s’est glissé entre ses jambes, a posé son énorme membre contre sa chatte maintenant bien humide et poussant doucement s’est introduit : je ne pensais pas possible que tout rentre mais quand d’un coup de rein il est entré entièrement elle a crié. Puis d’un long va et vient, il l’a faite gémir de plus en plus fort.
Deux voyeurs s’étaient approchés, un de chaque côté et elle les branlaient frénétiquement. Ils ont vite joui sur ses seins. Elle a crié à nouveau, elle semblait sangloter !
Il s’est retiré, a joui abondamment sur son ventre offert, s’est relevé et est parti sans un mot.
Pendant toute la fin des vacances, chaque jour, nous sommes revenus au même endroit…..
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