Cette histoire c’est passée lors de ma première année de fac. M’étant pris en retard pour trouver un logement, je n’ai trouvé qu’une colocation à cinq avec quatre autres mecs que je ne connaissais pas.
Après plusieurs semaines nous commencions à nous connaître un peu mieux…
Un soir je vais dans la cuisine voir si celle-ci est libre que je puisse préparer mon dîner. Un de mes colocs, Arthur, était déjà là. Il venait probablement de sortir de la douche vu qu’il ne portait qu’une serviette. Je lui dis que je vais attendre qu’il est fini de cuisiner et il me répond qu’il n’en a que pour quelques minutes, je reste donc discuter avec lui en attendant. Il me demande comment c’est la fac, comment ça va niveau fille… (Je ne lui avais pas encore parlé de ma sexualité ambiguë) Et je lui dis que pour lui ça doit être facile avec les filles, vu son beau torse musclé, ses tablettes de chocolat bien dessinées… Il me répond « Oh les filles, c’est bien mais on en fait vite le tour… » Serait-ce une ouverture ? Je lui réponds « Entre mecs y’a aussi moyen de s’amuser c’est vrai.
-Ah oui ?! T’as déjà essayé aussi ?
-Humm oui, répondis-je gêné. »
Il laisse alors tomber sa serviette le coquin… Ouah qu’elle est belle sa bite, entièrement rasée. Je m’empresse d’y faire glisser ma main et je la sens se rallonger dans ma main. J’en avais jamais vu d’aussi belle (et pourtant j’en ai vu pas mal), elle est très longue (22 cm m’a-t-il dit) et toute fine, son gland est a peine plus gros que mon pouce, en plus de ça elle est très lisse. Je descends mon pantalon et branle nos deux bites simultanément d’une seule main, la mienne de 13 cm, grosse, poilue et veineuse (donc plutôt rugueuse) parait ridicule à côté de la sienne.
Je me penche pour la prendre en bouche et je n’arrive même pas a enfoncer la moitié dans ma bouche, je lui agrippe ses fesses pour tenter d’aller plus loin. Elles sont elle aussi très belles et musclées, toutes épilées et lisses. je le suce avec vigueur pendant de longues minutes. Sa viande commence à sentir le bruler dans tout l’appart’ ce qui alerte l’un de nos coloc’. Il vient vers la cuisine quand il nous voit dans cette position il reste bouche bée. Je devine une bosse dans son pantalon. Arthur me demande d’arrêter de le sucer gêné par cette surprise. Je refuse, c’est trop bon… L’autre coloc ne tarde pas à rejoindre sa chambre ce qui nous permet de continuer tranquillement. On retire sa viande du feu puis il se met à me sucer à son tour, je m’assois sur le bord de la table tellement la sensation est bonne. Ma queue bien que petite est large, ce qui ne l’empêche pas de la rentrer entièrement dans sa bouche. Il commence alors à me sucer les couilles, ce que j’adore, il arrive à prendre les deux en même temps dans sa bouche… Quelle bouche ! Il commence ensuite à me titiller l’anus avec le bout de sa langue. Il me doigte avec un doigt, puis deux, trois, quatre, il rajoute le pouce… mon cul est écarté comme rarement. J’aime ça, mais j’ai un peu peur de ne rien sentir lorsque sa longue perche va me pénétrer. Voila ce moment tant attendu qui arrive. Sans capote il commence à entrer son gland sans difficultés. Les quelques centimètres de queue suivant ne me font toujours rien, puis un moment, je ressens un plaisir intense… Le même plaisir que mon dépucelage. Sa pine avait atteint des contrées inexplorées à ce jour. Les vas-et-viens s’enchainent à une vitesse folle, il parvient à m’enfoncer toute sa queue dans l’anus, ses petites couilles clapotent sur mes fesses… Oh !!! Je jouie à gros bouillon sur mon torse, tellement je jouie fort qu’une goutte vient même jusqu’a mon menton. Arthur passe son doigt dessus et la lèche. Il ne s’arrête pas et continue jusqu’à jouir au plus profond de moi. Sa langue vient alors lécher mon sperme refroidis sur mon corps. Un petit baisé et il file à la salle de bain se débarbouiller…
Le lendemain alors que je pensais être seul à cette heure avancée de la journée, je décide de me branler devant un petit film qui me rappelait la scène de la veille… Quelqu’un frappe à ma porte, mais je porte un casque pour éviter que l’on sache ce que je regarde tout en profitant de chaque bruit du film. Celui qui frappait entre donc voyant que je ne réponds pas. C’est Arthur qui voulait savoir ce que j’avais pensé de la veille… Me voyant dans cette situation, il comprend vite que je n’en avais pas eu assez. Il vient me sucer alors que je suis allongé sur mon lit entièrement nu. Il ferme la porte et se déshabille à son tour. Il est à quatre pattes par-terre, j’imagine alors qu’il pourrait me baiser dans cette position, comme un chien soumis ce qui m’excite énormément… J’aime être une salope parfois. Je lui tends mon cul afin qu’il me prépare à me faire poutrer. Il s’arrête à mes couilles je lui demande ce qui ne va pas. Il me répond « C’est à mon tour cette fois. »
Le coquin a vu mon plaisir la veille et veut sa part… C’est normal après tout. Je commence donc à lécher son petit cul bien ferme. Son anus est très serré, il semble que cette petite étoile n’est jamais été ouverte. Je lui demande donc s’il a déjà essayé. Il me répond que non mais qu’il en meurt d’envie. On se met dans une position des plus acrobatiques : Je le porte pour qu’il me suce debout et je lui prépare la rondelle. Mes coups de langues ne semblent pas suffisants pour le dilater, il va donc falloir passer à ma manière forte. Je prends mon lubrifiant dans ma table de nuit et lui en met un peu dessus. Je glisse un doigt entre ses petites fesses sveltes et musclées et ils poussent déjà de petits cris de douleurs.
Après plusieurs minutes dans cette position inconfortable il se remet à quatre pattes et me suce les couilles pendant que j’enfile une capote huilée pour lui faire moins mal. Il me tend ses fesses lisses et je commence… Mon gland à beaucoup de mal a entré, la route est si étroite. Je réussi enfin. A voir les yeux brillants de mon coloc’ je comprends que le passage est douloureux. Je commence donc par de petits vas-et viens lents. La douleur laisse place à un plaisir si intense qu’Arthur s’allonge à terre. Il écarte bien les cuisses ce qui facilite le passage de ma bite frétillante. Je la ressort. Son anus est maintenant bien écarté, et au vu des contractions qu’il fait, il semble qu’il n’est pas eu assez. Je re pénètre donc dans son intimité ce qui le fait jouir sur le sol. Après quelques instants je sens que mon tour arrive. Je me retire de son anus et lui tend ma queue. Malgré que j’ai enlevé la capote il semble intimidé par cet organe qui lui a procuré tant de plaisir et est passé dans des endroits tellement intime. Il la prend donc timidement en main, puis lèche mon gland du bout de sa langue ce qui me fait jouir sur sa gueule d’ange. Je remarque qu’il se doigte l’anus pendant ce temps. Nous n’étions qu’au mois d’octobre, l’année ne faisait que commencer.
La semaine suivante nous avons recommencé à deux reprises. Petit à petit nous prenions toutes nos douches ensemble, les queues entre les jambes (mais pas les nôtres). Nos petites séances intimes se sont succédées tout au long de l’année, son petit cul serré était devenu un gouffre à bite.
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