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Uncaged man 15

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Uncaged man 15

Le lendemain donc, quand je revins chez moi, la maison était déserte. Les placards vides des affaires de Florence me laissèrent un gout amer, mélange de soulagement ,de vide et de crainte des lendemains.
On ne laisse pas derrière soi tant d’années de vie commune, tant de mois de servage sans ressentir un brin de nostalgie , même si, et j’en avais maintenant pleinement conscience , j’avais été manipulé honteusement et avais frôlé la catastrophe.

Il me fallait à présent me reconstruire, littéralement.

Heureusement ma vie professionnelle n’avait pas trop subi de conséquences de cette période et je savais compter sur des amis proches et des collaborateurs fidèles pour m’aider à surmonter les jours incertains à venir.

La première chose que je fis, en ce matin là, et je ne sais toujours pas pourquoi, fut de laisser un message sur le répondeur du club de Mme Clélia.
A dem mots , je lui appris que j’avais ouvert les yeux et m’étais libéré. Je la remerciais de tout coeur de m’avoir mis sur le chemin de la vérité et espérais avoir, un jour, le plaisir de la revoir.

Je me mis ensuite à effacer toute trace de présence féminine dans ce qui serait, désormais , mon chez moi exclusif, mon nid, mon refuge.

Une heure ne s’était pas écoulée quand la sonnette retentit .
Ma surprise fut totale quand , sur l’écran actionnant le portail électrique, je reconnus celle à qui j’avais laissé le message.
J’ouvris donc et , le temps qu’elle remonte l’allée, je l’attendais au pas de la porte.
Je fus émerveillé par la vision de cette femme splendide, vêtue avec gout, se rapprochant de moi en arborant un sourire franc .

Bonjour Madame. Quelle joie de vous voir..
Bonjour Bruno , le plaisir est partagé..Tu me laisses entrer?
Oui , bien entendu.. fis je en m’effaçant.
Malgré ses talons, je la dépassais d’une demi tête. Elle me frôla et entra laissant derrière elle une odeur envoutante de parfum capiteux.
D’un geste, elle ôta son blouson de cuir foncé et m’apparut en chemisier blanc, quasi transparent laissant deviner des seins arrogants nullement entravés.

Malgré moi , je ne pus m’empêcher de laisser mon regard quelques secondes de plus qu’il n’aurait fallu sur sa poitrine orgueilleuse.

le spectacle te plaît ? Me lança t elle ironique
Pardonnez moi, je suis confus, ne puis je que répondre le visage empourpré
Ne t’excuses pas, je suis flattée de voir que je te fais fait de l’effet. Renchérit elle en portant son regard clair en dessous de ma ceinture.

Effectivement, et c’est bien la première fois que cela m’arrivait, la vision de Madame Clélia , son charme, son aura, son parfum m’avaient procuré une érection que mon pantalon apprêté ne pouvait cacher.
Je ne savais pas ou me mettre …
Pardon, désolé…
Arrêtes de t’excuser à tout bout de champ, me lança t elle le visage devenu sévère. Offre moi plutôt un café.
Oui Madame..
Oui « Clélia », s’il te plait, Bruno
D’accord Clélia
Quelques instants plus tard, nous étions installés au salon .
J’ai eu ton message de ce matin et j’ai eu envie de venir voir comment tu allais.
Ca va à peu près, je suis encore un peu dans le flou mais je sens comme un poids en moins sur mes épaules.
Raconte moi tout..!!

Et je lui fis le récit de mes dernières heures, n’omettant aucun détail , sauf , peut être , les plus scabreux dont je ne me sentais un peu honteux..
Mon histoire la fit tantôt plonger dans la perplexité, tantôt rire.

Elle m’avoua qu’avant notre rencontre au club, elle avait eu vent du complot dont je faisais l’objet sans y prêter plus d’attention mais que, par la suite ,elle s’était renseignée de façon précise.
Ce monde obscur n’avait pas de secret pour elle, elle y régnait, n’ignorait rien des secrets les plus cachés, des vices , des turpitudes de ces adeptes.

Mais pourquoi m’avoir prévenu ?
Je vais être très franche avec toi. Dès que je t’ai vu au sauna, tu m’as plu, j’ai été attirée. Je ne sais pas ni pourquoi, ni comment …

J’en reste bouche bée. Je ne sais que répondre…

Si c’est tout l’effet que je te fais ! Dit elle en se levant furieuse et vexée…
Je reprends mes esprits et je réagis aussitôt , je me redresse, la prends par le bras la faisant ainsi me faire face et ma bouche se rapproche de la sienne, nos lèvres se soudant en un baiser partagé.

Nos peaux qui n’avaient pas encore fait connaissance se retrouvèrent en osmose totale. Nos corps enlacés furent foudroyés de frissons réciproques.
Enfiévrés nos mains parcourent nos courbes, arrachant ,comme s’ils nous brulaient, nos vêtements , autant d’obstacles à la fusion de nos corps qui avaient faim l’un de l’autre.
Ma bouche se pencha vers les mamelons de Clélia, aspirant, léchant, mordillant ses tétons.
La tête renversée, la belle , bouche ouverte, yeux clos , se laissa caresser.
Elle me poussa vers le canapé, m’accompagnant dans la chute . Sa bouche humide repris la mienne puis descendit langoureusement, s’attardant un instant sur les pointes des seins qu’elle agaça de ses dents, elle trouva enfin l’objet de son désir qu’elle emboucha les yeux fermés.
Tout à mon bonheur je savourai intensément la fellation délicieuse que me fis, pour la première fois Clélia.
La douce, bien évidemment , ne manquait pas de technique tant et si bien que les premières contractions annonciatrices de mon plaisir futur ne tardèrent pas à arriver.
Ne voulant pas me laisser aller dans cette bouche accueillante, je relevai mon amante pour , à mon tour, gouter à son intimité.
Elle ne refusa pas mon hommage, bien au contraire. Ecartant grand ses cuisses, elle me donna un accès libre à son entrejambe dépourvu de toute pilosité. Ma langue atteignit ses chairs délicates, déjà trempées d’un suc abondant et particulièrement savoureux.
Trouvant son bouton, mes lèvres aidant, je m’appliquais à rendre à mon amie le plaisir indicible qu’elle m’avait procuré auparavant.
Elle poussait de petits gémissements , manifestant son contentement en cris étouffés quand la zone titillée la faisait particulièrement défaillir. Ce faisant, elle m’indiquait à coup sur comment la rendre heureuse. Mes doigts plongés dans son puit caressaient l’endroit que je savais sensible.
Soudain, son corps se crispa.
Je la sus proche de l’orgasme et, ma verge tendue à l’excès la pénétra sans difficulté, lui procurant l’ultime extase. Son corps parcouru de frissons hurla tout aussitôt son bonheur. Je sentis alors ma verge enserrée dans un formidable étau par ses partie intimes. Cette sensation, encore inconnue pour moi, me fit jouir à mon tour, me libérant en elle en puissant jets libérateurs.
La scène n’avait duré que peu de temps, l’étreinte quasi a****le faite de pulsions partagées nous laissa pantois, hébétés.
Clélia rompit le silence un brin gêné qui s’était instauré
Je le savais…
Que savais tu ? lui demandai je alors, rompant le vouvoiement que j’avais adopté jusqu’alors
Dès que je t’ai vu au sauna , j’ai su que ça finirait comme ça . Ne me demandes pas pourquoi…
Et maintenant ? Fis je en laissant la question tellement ouverte qu’elle pourrait exprimer ses désirs librement
Et maintenant ? Je ne sais pas… Qu’en penses tu ?

J’étais pris à mon propre jeu…je pris le temps de la réflexion.

Tu sais que je sors d’une expérience traumatisante, j’ai très envie de toi, de tout de toi , mais j’ai peur.
De quoi ?
Un peu de moi, beaucoup de toi .
De moi ? Pourquoi ?
Tu es si belle, si libre, si désirable .. j’ai peur de souffrir.. Au sens propre , comme au sens littéral…j’ai cru comprendre que tu étais, disons, dominante.
Oui c’est vrai, c’est une partie de ma vie, mais ce n’est pas la totalité.. T’ai je fait du mal, ai je été sévère ?
Non
Aimerais tu que je le sois ?
Non, oui, peut être, je ne sais pas, je suis perdu…
Laissons nos vies suivre leurs chemins, nous verrons bien ou elles nous mèneront. Nous avons tant de choses à découvrir l’un de l’autre.
Oui, tu as raison. Carpe diem
Amen ! Finit elle par dire en éclatant de rire..

L’immense douche à l’italienne accueillit nos ablutions. L’eau chaude détendit nos corps , apaisa nos esprits jusqu’à que ma main savonneuse caresse son dos, passe sur ses fesses.
Ecartant ses globes fermes , mes doigts inquisiteurs s’attardèrent sur son petit trou.
Les mains en appui sur la paroi, Clélia appelait la caresse en trémoussant son postérieur.
Mon autre main s’attarda sur sa fente qui dégoulinait de cyprine. Je me servis de ses moiteurs intimes pour humidifier mon sexe qui avait repris de sa vigueur.
Saisissant mon amante par les hanches, ma queue trouva le chemin de ses entrailles . En un coup puissant mais doux, je forçai son anneau qui n’en n’était pas à sa première intromission.
Elle gémit , un peu de douleur, beaucoup de plaisir.
La laissant s’habituer à mon diamètre, je la sentis vite s’offrir entièrement. Sa main vint titiller son bouton et , mes va et vient s’accentuant, elle ne tarda guère à crier son plaisir.
A mon tour je me laissais aller entre ses reins déversant ma semence au plus profond elle .
Elle se retourna pour m’enlacer de ses bras et m’embrasser langoureusement .
Ses yeux encore troubles de jouissance se posèrent sur les miens.
Merci, c’était fabuleux . Me dit elle.

Nous en étions là quand nous entendîmes claironner dans l’entrée:
C’est moi ! Je suis juste venu récupérer quelques affaires oubliées.

Florence était rentrée .. !!

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