Je me demandais pourquoi j’étais venu me perdre dans ce trou. Tout ça parce que mon chef m’avait conseillé de prendre huit jours de vacances. J’avais des tas de RTT à récupérer. Il m’avait suggéré d’aller à un endroit où je n’étais jamais allé. Il avait ajouté que les bords de la mer Noire me plairaient.
J’étais allé dans une agence et j’avais dit à la fille de me trouver quelque chose et je m’étais retrouvé avec un billet pour une station balnéaire en Ukraine. Je ne parlais pas leur langue mais la fille m’avait dit que je trouverai toujours quelqu’un qui parle français. J’ai fait ma valise et je suis parti. Je m’étais quand même documenté sur le net et j’avais même vu qu’il y avait une plage pour les naturistes.
Ça ressemblait à tout ce que je connaissais déjà. Des kilomètres de sable et des parasols et des gens qui cassent la croûte en laissant des papiers gras si bien que j’ai pris ce lieu en horreur. Le deuxième jour, je ne suis même pas sorti de ma chambre d’hôtel et le soir, j’ai demandé à ce qu’on m’apporte un plateau repas. Quelque chose de tout simple parce que je n’avais pas faim.
Une serveuse est arrivée. Elle ne parlait même pas français et elle a posé le plateau sur la table basse puis elle a attendu un peu et elle a fini par repartir et j’ai pensé qu’elle attendait peut-être un pourboire. N’étais-ce sa petite robe noire et son tablier blanc, elle était pas mal foutue. Peut-être un peu trop de poitrine mais ça ne peut pas faire de mal. De jolis bras, de jolies mains, un joli cul et de longues jambes et surtout tout le bras droit tatoué de haut en bas. Des trucs dont je n’avais pas l’habitude. Elle s’était même fait mettre une tête de Mickey tout en haut.
J’ai mangé tout mon plateau et j’ai bu une petite bouteille trouvée dans le frigo de la chambre puis j’ai tout mis dehors dans le couloir avant de descendre prendre l’air en faisant quelques pas le long de la plage. Quand je suis remonté, j’ai ouvert la porte de ma chambre et j’ai allumé la lumière et j’ai tout de suite vu la fille allongée sur le lit, appuyée sur un coude, comme une sirène. Elle était toute nue et ses vêtements étaient pliés sur la chaise.
Je lui ai demandé ce qu’elle fait là et elle m’a répondu une phrase que j’avais déjà entendue plusieurs fois : ya népanémiaou, ce qui veut dire qu’elle ne comprenait pas ce que je disais. J’ai refermé la porte et j’ai fait comme si la fille n’était pas là. En m’approchant de la chaise, j’ai vu le badge avec le nom de la serveuse : Natalia, enfin quelque chose comme ça parce que c’était écrit en russe. La fille me suivait des yeux. Soudain, elle m’a demandé pourquoi je ne lui parle pas.
– Je ne te plais pas, m’a-t-elle lancé en français ? Je suis pourtant jolie et je fais bien l’amour !
Je lui ai répondu que je ne suis pas venu en Ukraine pour faire l’amour.
– Il y a beaucoup de filles ici qui font ça, m’a répondu la fille !
– Alors, tu parles français, lui ai-je lancé ! Qu’est-ce que tu fais dans ma chambre dans cette tenue ?
Elle a mis du temps à essayer de comprendre puis elle m’a répondu que si elle me plaît, je l’emmènerai en France avec elle. Je lui ai répondu qu’elle a l’âge d’être ma fille et elle m’a dit qu’elle ne l’est pas avant d’ajouter que c’est plus agréable de faire l’amour avec des filles jeunes. Je lui ai demandé son âge.
– Dix-huit ans et un mois, m’a répondu la fille ! Je suis assez jeune pour toi ?
J’avais l’impression qu’elle se moquait de moi. Elle a ouvert les cuisses et elle a passé ses doigts sur sa chatte avant d’écarter ses petites lèvres.
– Tu veux mettre ta bite dans mon trou, m’a encore demandé la fille ?
Elle a enfoncé deux doigts dans son vagin pour l’ouvrir puis elle a ajouté qu’il n’a servi qu’une fois pour savoir comment ça fait et qu’elle s’est servi d’un godemiché pour l’entraîner.
Elle se mélangeait un peu dans le vocabulaire du sexe et je dois avouer que ça m’a amusé de la faire parler.
– Tu as déjà sucé une bite ?
Elle a rougi et elle m’a répondu que je suis un cochon.
– Et ton anus, est-ce que tu t’en sers pour ton plaisir ?
– Ça fait mal, m’a répondu la fille en me faisant une grimace !
– Enfonce un doigt ?
– Un doigt ?
Elle a enfoncé son index dans son anus.
– C’est bien ! Continue ! N’arrête pas !
Son doigt faisait des allers et retours dans son anus et ça faisait doucement bouger ses seins. J’ai aussi remarqué que son sein gauche était plus gros que le sein droit. Environ d’un quart. Et que ses aréoles étaient immenses et pointues comme des chapeaux de cheminée. Quant à ses mamelons, ils étaient devenus aussi gros que des dés à coudre. Je lui ai dit qu’elle devrait se faire mettre des piercings.
– Des piercings ? Aux mamelles, m’a demandé la serveuse ?
– Oui ! Si tu veux ! Demain je t’emmènerai si tu connais une boutique !
Elle en connaissait une. Elle continuait à se doigter l’anus.
– Mets-toi à quatre pattes ! Non, penches-toi plutôt sur le lit !
Elle m’a obéi.
– Ecarte tes fesses !
Elle a écarté ses fesses avec ses doigts et j’ai pu admirer ses deux trous.
– J’aime bien les femmes poilues, ai-je ajouté !
Elle m’a répondu qu’elle avait pensé que je voudrais qu’elle s’épile. J’avais la trique. Je me suis enfoncé au hasard et le hasard a voulu que ce soit dans son anus. Elle m’a d’abord dit que ça fait mal puis elle a ajouté que c’est moi qui commande et j’ai continué avant d’aller dans son autre trou. A chacune de mes poussées, ses seins ballottaient dans tous les seins et puis j’ai vu qu’elle passait la main sous son ventre et elle a commencé à se masturber mais je lui ai dit d’arrêter et de plutôt se caresser les seins.
– Je ne suis pas une putain, m’a alors dit la fille ! Si je fais l’amour avec toi, c’est que je suis amoureuse !
Elle avait un peu raison car je n’avais jamais baisé avec une fille aussi canon. Tout en continuant à la baiser, je lui ai demandé pourquoi elle s’est faite tatouer et elle m’a répondu qu’elle avait pensé que ça l’aidera à trouver un mari. D’accord, c’était plus joli que certains tatouages. Je lui ai demandé s’il y a le nom d’un amoureux et elle m’a demandé si je veux qu’elle fasse ajouter le mien.
Je la baisais.
– Tu veux que je jouisse ?
Je n’ai rien répondu.
– N’arrête pas ! Continue, m’a lancé la fille !
Son souffle est devenu plus court. J’ai serré ses hanches dans mes mains. De mon côté, je sentais monter la sève et tout à coup, j’ai juté et ma semence a envahi son vagin.
– Merci, m’a dit la fille après un long silence !
– Tu as joui ?
– Oui, merci ! Tu fais de moi une femme heureuse !
– Tu peux rester ? Peut-être que j’aurai envie de recommencer ?
Elle m’a répondu qu’elle doit rentrer pour s’occuper de sa mère et elle s’est douchée puis elle s’est rhabillée avec sa tenue de serveuse avant de partir. Au milieu de la nuit, j’ai senti une présence dans la chambre et j’ai cru ma dernière heure arrivée et j’ai allumé la lumière. C’était la fille. Elle avait mis une jolie tenue bien serrée qui mettait encore plus son corps en valeur mais elle ne pouvait pas écraser ses seins qui jaillissaient sur son torse.
– Je suis revenue, m’a dit la fille en verrouillant la porte de la chambre ! Je suis venu à toi pour que tu puisse encore vider ton sperme !
J’avais devant moi une vraie beauté. Elle a commencé à se déshabiller et j’ai commencé à me branler mais elle m’a arrêté puis elle m’a dit qu’elle me donnera tous ses trous.
– Lesquelles, lui ai-je demandé ?
– Mon trou du haut, m’a-t-elle précisé en me montrant sa bouche ! Et mes deux trous du bas ! Ils sont là pour ton plaisir ! Je veux sucer ta bite !
Je lui ai répondu qu’il n’y a pas de problème mais avant de se pencher, elle m’a sorti un papier. C’était en russe et je lui ai demandé ce que c’est. Elle m’a répondu que ce sont ses analyses.
– Je suis propre, a-t-elle ajouté ! Si tu es propre, tu peux mettre ta bite partout ! Tu ne seras pas malade !
Je lui ai répondu que je n’y avais même pas pensé. J’ai ajouté qu’elle est vraiment très belle.
– Tu vas me marier ?
– Bien sûr que je vais t’épouser, lui ai-je répondu ! Je vais même te faire un enfant ! J’adore les femmes enceintes ! Ça les rend encore plus salopes !
Je ne suis pas sûr qu’elle a compris. J’ai fait le geste.
– Ah, grosse, m’a répondu la fille en répétant mon geste sur son ventre ! Tu veux que je sois pleine de ta semence ?
Elle a commencé à me sucer la bite puis on a fait soixante-neuf et j’ai découvert qu’elle s’était rasée la chatte. Je lui ai dit que ce n’était pas nécessaire. Elle m’a répondu que c’est plus propre. Elle avait la chatte d’une jeune fille, si serrée mais sa chatte s’est vite dilatée et son clitoris s’est dégagé des chairs et je l’ai sucé.
– Tu me branles, m’a dit la fille !
Je lui ai conseillé de continuer à me sucer la bite et j’ai aussi enfoncé ma langue dans son vagin. J’étais conquis. Nous avons continué plus classique, dans son vagin et plus exotique dans son anus mais j’ai quand même fini dans sa bouche et elle a avalé ma semence avant de se masturber devant moi pour avoir un orgasme.
Le lendemain, je l’ai emmenée se faire percer les mamelons et même le clitoris et pour ça j’ai choisi des anneaux avec des chaînes. Nous sommes aussi allés lui faire faire un passeport mais il fallait déjà que je reparte. J’ai donné l’argent pour le billet d’avion et je lui ai donné rendez-vous à l’aéroport. Je ne voulais pas lui donner mon adresse. Il sera toujours temps.
Elle était là. Je l’attendais depuis une heure derrière la barrière. Nous avons pris la voiture et je l’ai emmenée chez moi et la première chose qu’on a fait, c’est une branlette parce qu’elle avait ses règles. Le lendemain, je l’ai emmenée voir mes parents et ma famille et son bras tatoué a fait sensation. Ma mère m’a demandé où j’ai trouvé cette pute. Mon père est sans doute allé se branler dans les chiottes parce qu’il a disparu une demi-heure. Quant à ma sœur, elle m’a dit que Natalia est charmante puis elle m’a demandé si, des fois, elle n’aurait pas un frère.
Nous avons continué à vivre ensemble. Elle n’avait qu’un visa de trois mois mais au bout d’un mois et demi, elle m’a réveillé un matin pour me dire qu’elle est enceinte de moi.
– Et de qui d’autre ça serait lui ai-je demandé ?
Elle m’a répondu que peut-être que je trouverai ça bizarre et que je penserai qu’elle voulait me forcer la main. Je lui ai répondu que je ferai un test ADN et elle m’en a voulu mais elle s’est vite calmée. Jour après jour, semaine après semaine et mois après mois, sa poitrine et son ventre se sont transformés.
J’avais de plus en plus envie de la baiser et maintenant, c’était sans obstacles et sans limites. Je m’occupais de ses trois trous et je mettais aussi ma queue entre ses seins et je jouissais sur son cou ou dans sa bouche. Ses seins avaient doublé de volume et on avait dû retirer ses piercings. Quant à son ventre… Mon père a demandé si elle attendait des triplés. Il était énorme.
L’ambulance était en retard et ma femme a accouché dans la chambre mais ça s’est bien passé. J’ai dit ma femme mais c’est quelques mois plus tard qu’on s’est mariés. C’est dommage qu’elle ne veuille pas d’autres enfants. Alors pour compenser, je vais draguer des femmes à la clinique. Jamais je n’aurai cru qu’une femme enceinte serait aussi facile à accepter de baiser. L’une d’elle m’a dit que son mari n’osait plus la toucher alors qu’elle avait de plus en plus envie. C’est ce que m’a dit une autre femme. Alors, je tire mon coup dans ces gros ventres et je tète ces gros nichons.
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