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Une secrétaire très dévou&eac

Une secrétaire très dévou&eac



Claudine était le type même de la secrétaire traditionnelle, tenue impeccable, tailleur strict de bon aloi, la jupe juste au-dessus du genou, de jolies chaussures. Un chemiser discret mais avec la touche nécessaire de féminité. Bref, la prestance et l’uniforme de son emploi.

Une attitude réservée, sérieuse, professionnelle. Une compétence sans faille et une disponibilité permanente. Le tout sans guère de compliment ou de remerciement (alors qu’elle le méritait chaque jour, subissant ordres, contre ordres, changements, rendez-vous sans prévenir, etc…) avec le sourire de son dévouement.

Brune aux yeux bleus, les cheveux mi-longs, de fines lunettes, la trentaine célibataire, 1,65 m. environ, des formes bien proportionnées, Claudine n’échappait pas à cette image et d’ailleurs ne faisait rien pour cela, bien au contraire.

Elle se démarquait ainsi des autres employés, instaurant (involontairement ?) une certaine distance, constituant le seul trait d’union pour facilement faire la liaison entre l’extérieur et la sphère de son patron dont elle était le fidèle et inexpugnable parangon. C’est dire que chacun devait gagner ses bonnes grâces pour obtenir quelque avantage, dont celui d’une entrevue avec son vénéré employeur. Quiconque se serait avisé de venir sans rendez-vous aurait été dans l’obligation de lui passer sur le corps. On peut dire que si certains employés de l’entreprise auraient volontiers fait ce sacrifice, ce n’était pas le genre de la « maison Claudine ».

Lorsque je décidai, à l’occasion, faisant fi de son rempart, d’aller au-devant de mes collaborateurs, me plonger personnellement au sein de l’entreprise, bref de provoquer ce contact qu’elle mettait son énergie à sélectionner sévèrement, j’avais l’impression de la contrarier et de mettre à néant tous ses efforts. Je mesurai alors, à sa mine pincée et réprobatrice, l’ampleur de mon hérésie.

Mais elle retrouvait le sourire lorsqu’elle devait intervenir, sans souffrir la moindre discussion de ses correspondants, pour annuler un rendez-vous, un restaurant, un entretien ou à l’inverse appeler un interlocuteur important pour lui dire que j’étais en mesure de le recevoir.

A gérer mon temps, mes interlocuteurs et mes besoins, je m’apercevais qu’elle gérait en réalité l’essentiel de ma vie.

Mais je me fis aussi un beau jour la réflexion, sans qu’une telle idée m’ait auparavant effleuré l’esprit, qu’un domaine lui échappait complètement, à savoir mes relations intimes et amoureuses.

Célibataire aussi, tout comme elle, je ne pouvais éviter que divers messages, réservations de week-end, locations de voiture, ressortent de sa compétence et du champ de ses interventions, mais elle n’avait jamais formulé la moindre observation sur tel ou tel aspect de ma conduite, et Dieu sait si, quelquefois, elle avait mis son talent à circonscrire diverses récriminations de toutes sortes, de la culotte oubliée à la croyance qu’une aventure nocturne équivalait à une promesse de mariage.

Son tact, sa diplomatie, son entregent m’avaient donc souvent évité quelques explications embarrassantes.

Bref, Claudine était une perle absolument indispensable.

Depuis quelque temps, quelques soucis dans la vie de la société m’occasionnaient des périodes de nervosité, de fébrilité. Ces inquiétudes se manifestaient curieusement par une certaine effervescence et des manifestations de tension en certain endroit de mon anatomie.

Naturellement, Claudine avait perçu ces changements d’humeur.

Un beau jour, confronté une nouvelle fois à ce priapisme soudain, je n’eus d’autre idée que de me masturber, non sans évoquer, à ma propre surprise, quelques fantasmes où ma secrétaire jouait un certain rôle. J’éjaculai bientôt sans trop y prendre garde.

Je ne réussis qu’à tâcher ma veste et à projeter sur mon bureau mes jets de sperme. Je réparai les dégâts au mieux.

C’est à ce moment que Claudine fit son entrée. Elle s’approcha de mon bureau, comme d’habitude par le côté et avisa immédiatement de son œil observateur qu’une tâche blanche oubliée maculait le pan de ma veste et qu’une autre polluait la chemise d’un dossier posé sur mon bureau.

Elle identifia évidemment l’origine de ces traces révélatrices et me regarda de son visage à la fois complice et réprobateur.

— Oh Monsieur… laissez-moi nettoyer… Vous ne pouvez rester ainsi…

D’un geste, au moyen du mouchoir qu’elle retira de sa manche, elle enleva le sperme sur le dossier puis se pencha vers ma veste pour frotter doucement et enlever le plus gros de la souillure.

— Ne bougez pas Monsieur, je reviens..

Elle quitta le bureau quelques secondes pour revenir avec un papier absorbant humide et une provision de sopalin.

— Monsieur, un si beau costume…
— Ce n’est rien Claudine, je suis vraiment confus…
— Il ne faut pas Monsieur, c’est bien naturel. Vous êtes soumis à de telles pressions dans votre travail. Vous savez, je comprends…hum.
— Vous êtes trop bonne vraiment Claudine. Je ne sais quoi vous dire.. je euh..
— Ne dites rien Monsieur, cela arrive à tout le monde de se détendre de cette façon.

Je faillis lui demander si elle le faisait aussi au travail, mais je ne formulai pas ma question. Je sentis néanmoins, à son léger rosissement, qu’elle avait pensé la même chose.

Elle acheva son nettoyage. Puis elle se leva, considérant son ouvrage.

— Voilà, Monsieur, cela ne se voit plus du tout…
— Euh merci, Claudine…
— Et puis, Monsieur, sachez que je suis à votre disposition. Appelez-moi la prochaine fois avant de commettre de tels dommages bien malencontreux.
— Je.. oui naturellement Claudine…

Elle se retira avec un léger sourire en coin, m’abandonnant dans mes réflexions. Plusieurs jours se passèrent ainsi sans que je n’ose faire appel aux services particuliers qu’elle avait bien voulu me rendre et qu’elle envisageait de renouveler.

Toutefois, l’occasion se représenta rapidement. Je ne sais plus quel problème contrariant me conduisit à m’aventurer sur le net coquin, et je ne tardai pas à acquérir une forme protubérante que je libérai bientôt de ma braguette. Je restai ainsi et presque malgré moi, j’appuyai sur l’interphone que j’entendis grésiller dans le bureau attenant.

— Claudine ?
— Oui Monsieur ?
— Je crois, euh que j’aurais besoin de vos services Claudine..

Le ton de ma voix lui fit comprendre qu’elle n’avait pas besoin cette fois de son bloc et qu’elle trouverait le crayon sur place.

— J’arrive de suite, Monsieur.
— Je vous attends…
— Hhmm ?
— Oui ?
— Vous bandez, Monsieur ?
— … Oui, Claudine je bande.
— Ne bougez pas, je viens immédiatement…

Un bref coup à la porte et elle entrait, s’avançant vers le bureau derrière lequel j’étais assis, fixant les images pornographiques d’un site internet.

— Ohh vous l’avez déjà sortie…En effet, Monsieur, vous êtes dans une forme plus qu’honorable ce matin, dit-elle en passant derrière mon bureau et se baissant sur ses talons.

Sur ce, dans cette position accroupie, et sans autre forme de procès, elle embouchait ma queue sortie de ma braguette et débutai une fellation de très bonne facture.

Je regardai ses lèvres coulisser sur mon engin, et sa langue mutine agacer mon gland. Nos yeux se rencontrèrent. Ses doigts pressèrent la base de mon sexe.

— Vous aimez Monsieur ?
— Oui Claudine vous .. vous sucez bien…
— Hhmmmm

Acquiesçant d’un battement de cil à ce compliment, elle goba avec plus de motivation encore ma bite tendue à l’extrême.

D’une main, elle releva sa jupe tendue et dévoila des bas de couleur chair retenus par de jolies jarretelles blanches.

Je découvrais avec grand intérêt que l’austère Claudine portait des dessous de lingerie attestant d’une propension certaine à la volupté, du moins le pensais-je.

Remarquant mon intérêt grandissant pour son entrecuisse et jugeant que cette vision entretenait ma bandaison, elle écarta encore un peu plus ses jambes pour me montrer une fine culotte de dentelle blanche, quasi transparente, qui cachait à peine sa toison noire.

Elle releva sa tête, tout en continuant de me masturber et me sourit, ses lèvres luisantes de la salive qu’elle dispensait généreusement sur ma queue.

— Vous aimez mes dessous Monsieur on dirait, me dit-elle d’un air à la fois ingénu et dévergondé.
— Je dois dire que je suis… impressionné..

Elle sourit cette fois de manière plus malicieuse…

— Dites-moi, Claudine, çà vous excite de sucer votre patron ?
— Ohh oui, Monsieur, vous…
— Je ?
— Vous me faites… mouiller…
— Je ne vous savais pas si perverse, Claudine…

Rougissant de son audace, elle préféra couper court à cette conversation risquée et prit l’excellente initiative de reprendre ma queue entre ses lèvres.

Je la laissai quelques minutes, savourant la douceur de ses lèvres, sa bouche chaude et moelleuse, sa langue délicieusement coquine, ses doigts caressant mes bourses dures.

— Oh pas trop vite Claudine, vous allez me faire juter trop vite…

Elle s’arrêta et me sourit…

— Mais je suis là pour cela, Monsieur…
— Je vous remercie de cet intérêt Claudine, mais..
— Oui ?
— Levez-vous s’il vous plait.

Elle vint alors debout devant moi, assis sur mon fauteuil pivotant.

D’une main, je lui caressai une jambe, puis l’autre, remontant doucement sur ses cuisses gainées de ses bas légèrement plissés.

— Oh Claudine, j’adore les vrais bas, vous savez, quand ils plissent aux chevilles, sur la cuisse, et qu’il faut les redresser en refixant les jarretelles… Hhhmmm, vous êtes très excitante…
— Je le sais bien, Monsieur…
— Comment cela ?
— Eh bien, je connais le mot de passe de votre ordinateur, Monsieur et j’ai pu voir ce que vous recherchiez sur internet..
— Ah oui ? et quoi ?
— Justement, j’ai noté que vous aviez marqué dans vos favoris des sites de dessous, de bas, de porte jarretelles, vous êtes un fétichiste du bas, Monsieur.
— C’est vrai Claudine…Donc euh, vous vous voulez dire que vous les portez pour moi Claudine ?

Pour toute réponse, elle se contenta de sourire…

En moi-même, je me dis qu’elle avait du sûrement voir l’autre grande catégorie de mes sites préférés mais je poursuivis mes caresses sur ses jambes, jouant avec la lisière des bas et les jarretelles, glissant mes doigts autour et dans les bas, caressant la douceur de l’intérieur du haut de ses cuisses, qu’elle écartait légèrement, délicieusement impudique.

— Euh Claudine..
— Oui ?
— Vous saviez que je rêvais de voir vos seins ?
— Faites comme chez vous Monsieur, je suis votre secrétaire personnelle, me répondit-elle en dégrafant sa veste de tailleur.

Je m’attachai alors à défaire les boutons de son chemisier de fine baptiste brodée, lentement, l’un après l’autre, découvrant peut à peu le sillon de ses seins palpitants d’excitation, mis en valeur par ravissant un soutien-gorge de dentelle blanche, quart de balconnet, qui laissait libres ses mamelons.

Je demeurai ainsi sans bouger, admirant les beaux seins de ma secrétaire. Je passai sur les tétons offerts un doigt léger, mesurant sur excitation à leur dureté. Claudine ne bougeait plus, offerte, tendue, mais souriante, presque triomphante.

— Vous êtes très belle Claudine…

Je repris ma caresse sur ses cuisses glissant ma main jusqu’à ce que mes doigts touchent sa culotte. Je la caressai ainsi lentement, mes doigts à plat caressant sa cuisse et mon index frottant sur sa fine culotte appuyant de plus en plus. Imperceptiblement, ses jambes s’écartaient et son bassin ondulait, à la rencontre de ma main.

N’y tenant plus, je relevai sa jupe sur ses hanches, avec un peu de peine car elle serrait parfaitement son bassin.

Face à moi, débout, elle attendait, je pris alors sa jolie culotte de chaque côté et la descendis très lentement sur ses cuisses. Je la laissai ainsi, à hauteur des genoux, et regardai sa toison noire, bien taillée.

— Tout ceci me paraît fort mignon Claudine. Puis-je voir le côté pile ?

Elle se retourna sans hésitation, me montrant ses fesses bombées, charnues et fermes. J’y mis la main pour une rapide caresse, appréciant la courbe et la souplesse, promesses d’agréables flâneries et d’énergiques cavalcades.

— Venez vous asseoir ici, Claudine lui enjoignis-je, en lui montrant mon bureau encombré de papiers…
— Oh Monsieur.. vous croyez ?
— Mais certainement Claudine..
— Ohh oui…

Elle vint ainsi se positionner devant moi, toujours assis sur mon fauteuil, écartant ses cuisses et posant ses escarpins sur les accoudoirs de mon fauteuil, m’offrant ainsi une magnifique vue sur ses cuisses gainées et de sa chatte tout odorante et moite de son excitation.

Je me penchai alors pour poser ma bouche sur ses lèvres intimes. Très doucement, un papillon sur une fleur humide de rosée, je dardai ma langue écartant ses nymphes, goûtant à son désir liquide, léchant le nectar exquis de la belle chatte de ma secrétaire.

La coquine fermait les yeux, tout au plaisir de se faire (enfin) manger l’entrejambe par son patron.

Je suçai ainsi son bouton excité, tout dur, bandé sous ma langue, lapai, léchai, suçai cette jolie vulve palpitante d’excitation, offrant une cyprine généreuse à mes doigts qui l’un après l’autre s’enfonçait dans son vagin. Gémissante, ondulante sur le bureau, elle se faisait brouter avec grâce tout en se caressant les seins d’une main. Je voyais ses doigts serrer ses tétons qu’elle excitait.

Elle ne tarda pas à jouir inondant mes dossiers du jus de son plaisir.

Je la laissai se remettre de ses émotions, ma bouche et mes lèvres barbouillées de son orgasme.

— Oh Monsieur, c’était bon, vous m’avez fait jouir…
— J’en suis heureux, Claudine, tout le plaisir était pour moi…
— Oh Monsieur, mais… je ne venais pas pour cela…Au contraire, c’était à moi de…
— Mais votre plaisir est le mien Claudine l’interrompis-je…

Elle se remit debout, tout en restant dans cette tenue particulièrement débraillée, jupe troussée et seins à l’air.

— À votre tour Monsieur, vous m’avez appelé pour trouver une solution à la grosse tension que vous aviez dans votre pantalon non ?
— Oui, c’est vrai Claudine…
— Si j’osai Monsieur ?
— Oui Claudine ?
— Je voudrais que vous veniez sur votre bureau, Monsieur, face à moi, comme j’étai tout à l’heure et je vais m’asseoir à votre place. Vous voulez bien ?
— Euh oui, d’accord…

Je me levai et Claudine vint m’aider à dégrafer ma ceinture et descendre pantalon et slip. C’est ainsi que je me retrouvai assis sur mon bureau, cul nu, la bite bien bandée, devant ma secrétaire, exposant au regard concupiscent de celle-ci l’intégralité de mon matériel.

Elle prit ma queue en main et commença à me masturber doucement, caressant mes couilles de son autre main.

— Au fait, Monsieur, j’ai aussi vu que vous alliez sur des sites de sexe bi, de transsexuels et aussi un site qui m’a beaucoup euh… émue, celui où l’on voit des femmes sodomiser un homme, avec divers objets.

Ce faisant, elle me releva les cuisses, découvrant ma raie sur laquelle elle glissa un doigt.

— Euh.. on ne peut rien vous cacher Claudine…
— Hhmm je dois dire, Monsieur, que j’aime assez votre cul…
— Oh Claudine…

Je sentais son doigt câliner mon œillet alors qu’elle ne cessait de me branler de son autre main. Puis elle se pencha pour lécher mes couilles, les mit dans sa bouche, chacune son tour.

Elle humectait son doigt de salive et je crois bien aussi de sa mouille pour lubrifier ma rosette culière, s’enfonçant peu à peu. Je la vis alors prendre le coupe papier de bois sur mon bureau, un superbe engin de bois précieux, à la poignée évocatrice (avec un peu d’imagination), qu’elle suça comme une bite en me regardant, son doigt dans mon anus.

Je compris alors sa libidineuse intention. Elle se pencha un peu plus pour me sucer la queue tout en continuant d’exciter et de détendre mon petit trou avec son doigt plein de salive et de mouille.

Je sentis bientôt l’enfin sur mes fesses, le bois légèrement froid, et la pression du manche noueux qu’elle exerçait sur mon cul, qui bientôt céda. Elle m’enfonçai le manche du coupe papier dans les fesses, tout en me branlant la queue.

— Oh oui Monsieur, vous sentez ?
— Claudine, vous êtes une cochonne…
— À votre service, Monsieur.

D’abord tendu par cette dure intromission, je ressentais moins la douleur et davantage le plaisir de l’excitation, sodomisé par ma secrétaire que je découvrais aussi libertine qu’imaginative.

Bien emmanché d’un côté, Claudine se penchait sur ma queue et me léchait les couilles tout en me branlant de son autre main.

Quel délice, je me laissai aller à ce divin plaisir, ainsi pris en main.

— Monsieur, me dit-elle, branlez-vous pendant que je vous encule, ce sera plus excitant…
— Oui, Claudine.

C’est ce que je fis, alors qu’elle me bouffait goulûment les couilles accéléraient les mouvements de mon gode improvisé.

Ainsi offert dans cette impudeur totale à ma secrétaire lascive, je me laissai en même temps enculer et sucer.

— Oh oui Monsieur, allez-y faites vous gicler…

C’est ce qui se produisit rapidement et j’explosai de plaisir répandant sur mon ventre des flots de sperme chaud.

— Hhhmm oui Monsieur, c’est bon.

Sa main remplaça la mienne sur ma bite et elle me pressa encore pour extraire les dernières gouttes de ma jouissance. Elle se leva légèrement pour venir lécher sur mon ventre nu le foutre répandu, tout en me regardant, ses yeux pleins de lubricité, fière de son exploit.

Nous mîmes un terme à cette mémorable (et première) séance. Claudine se rajusta rapidement, tout en oubliant sa culotte sur la moquette pour aller décrocher le téléphone qui sonnait dans son bureau. Je l’entendis répondre de sa voix professionnelle que son patron n’était pas visible en ce moment.

Chris

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