Hier matin j’étais au lit avec ma femme, elle était sur le ventre et moi je la baisais vigoureusement. Nous étions aux anges, elle gémissait, criait et moi aussi surtout quand je me suis mis à jouir à longs traits dans sa chatte brûlante.
Après quelques instants à nous embrasser et à nous caresser je me suis retiré pour allé prendre une douche pendant que ma femme restait paresser dans le lit. Je n’avais pas encore débandé.
En traversant, totalement nu, le couloir j’ai vu une silhouette se reculer. La vision était fugace mais j’ai bien vu qu’il s’agissait de Louisette une des copines que mon beau fils avait invité à passer les vacances avec nous pour réviser leurs prochains examens. Brune aux cheveux longs, 19 ans, fine et élancée avec un joli sourire, de beaux yeux verts, des seins menus et des fesses un peu petites à mon goût. Comme Laure et Ava elle passait le plus clair de son temps sur la terrasse à prendre le soleil dans des maillots de bains manifestement trop petits. Les trois passaient leur temps à chauffer les deux garçons de la bande et moi au passage.
Je suis entré dans la salle de bain, « oubliant » de fermer complètement la porte. J’ai entrepris de me laver en insistant sur ma queue qui refusait de débander. Un coup d’œil discret vers la porte m’appris que Louisette me matait bien comme je l’avais prévu. Je me suis donc mis à bien me branler pour qu’elle puisse apprécier la vue de ma queue en pleine forme. Assez rapidement toutefois je me suis lassé et je me suis séché. J’ai enfilé un maillot de bain et suis sorti sur la terrasse. Toute la bande était là, allongée à prendre le soleil avec application. Louisette faisait comme si elle avait passé sa matinée là mais ses tétons qui pointaient et son entrejambe avec une tâche sombre montraient clairement que ce qu’elle venait de voir lui avait plu.
Je saluais tout ce petit monde plaisantant avec eux pendant un petit quart d’heure quand ma femme, habillée et prête à sortir faire des courses arriva et demanda à la cantonade qui l’accompagnerait en ville .Les jeunes se levèrent tous, sauf Louisette qui se déclara fatiguée. Dix minutes plus tard la maison était vide à l’exception de Louisette et moi.
Je m’étais allongé au soleil pas très loin d’elle. Au bout d’un moment elle me dit » Euh… Ce matin je vous ai entendu faire l’amour avec Sophie, vous l’avez fait crier de plaisir comme je ne pensais pas que c’était possible, »
« Oh mince, j’espère que cela ne t’a pas choqué de nous entendre ? »
« Non pas vraiment c’est surtout qu’avec mon mec je dois me forcer pour gémir un peu quand on baise… »
« Ah »
« J’ai très envie de savoir ce que ça fait crier de plaisir »
« Ah ? »
« Euh… »
« Oui ? »
« Vous voulez bien me montrer ? »
« Pardon ? Que je te montre ? »
« Oui j’ai vu comment vous donniez des coups de queue à Sophie, vous pouvez me baiser comme ça s’il vous plait ? Pour que je puisse crier de plaisir «
« Et bien tu n’as pas froid aux yeux pour me demander un truc pareil ! »
« Voir votre grosse queue sous la douche m’a tellement excité… S’il vous plait… »
« Je veux bien mais tu dois savoir que je ne baisais pas Sophie, je l’enculais. »
Mon mensonge lui fit grand effet,Pendant 30 secondes elle ne dit plus rien.
« C’est que je suis vierge de ce côté… »
« Tu me dis que tu veux crier de plaisir comme Sophie, je te dis ce que je lui faisait. Je t’informe juste… » Tout en disant ça je baisse mon maillot de bain et commence à me branler doucement. Mon gland luit déjà d’excitation.
Je me lève, finit d’enlever mon maillot et me dirige vers l’intérieur de la maison. Avant d’entrer je me retourne et lui dit « Tu sais où me trouver si ça t’intéresse. »
Je ne suis pas encore arrivé à la porte de ma chambre que j’entends des pas de pieds nus derrière moi. je me retourne et vois Louisette totalement nue, son maillot à la main qui me ratt**** avec un air un peu confus sur le visage. Je lui souris, att**** ma queue d’une main et lui dit : « Suce ! »
Elle se met à genoux et commence à me lécher le gland un peu maladroitement.Je mets mes mains sur sa tête et pousse ma queue plus avant dans sa bouche.
« Caresse moi les couilles pendant que tu suces. »
Elle s’exécute et sentir ses mains fraîches sur mes couilles puis autour de ma queue me fait bander encore plus dur.
Quand ma queue est couverte de salive je me retire, relève la jeune femme et l’entraîne sur le lit. Je la fait s’installer à plat ventre, jambes écartées. Je me place entre ses jambes, ouvre son petit cul à deux mains et commence à la lécher, à mordiller son périnée, à tracer des cercles autour de sa petite rondelle avec la langue. Elle commence à gémir assez vite. Le traitement lui plait.Sa chatte est intégralement épilée ce qui m’excite au plus haut point. Je lui dit de tenir ses fesse ouvertes et je glisse mon pouce dans sa chatte trempée et brûlante que je baise de la sorte lentement pendant que j’enfonce ma langue dans son cul offert. Elle pousse contre mon pouce et ma langue en grognant de plaisir.
Je me redresse et remplace mon pouce par ma queue. d’un seul mouvement je m’enfonce dans sa chatte serrée jusqu’aux couilles Elle pousse un soupir de contentement auquel je réponds en la baisant à grands coups de bite amples. Après cinq minutes elle commence à gémir vraiment bruyamment. Tout en la limant je pose mon pouce contre son anus et l’enfonce doucement au gré de mes coups de queue. Elle n’oppose pas la moindre résistance et devient de plus en plus bruyante quand mon pouce est aussi loin que possible dans son joli petit cul je le remue lentement. D’un coup, sans prévenir, je sens son cul se resserrer comme un étau autour de mon doigt pendant qu’elle pousse un long feulement. Visiblement ce que je lui fait lui plait. Je continue mon va et vient pour accompagner son orgasme, le prolonger…
Une fois que son cul se desserre je retire mon doigt et ma queue. Je pose mon gland contre sa rondelle offerte et pousse doucement.Ma queue luisante de mouille s’enfonce lentement dans ce cul si serré qu’elle m’offre en écartant à nouveau ses fesses à deux mains.
Louisette ne cesse de gémir, accompagnant ma progression de grognements, de glapissements jusqu’à ce que je sois complètement en elle, empalé dans son cul jusqu’aux couilles.
Elle est tellement serrée et tellement excitante avec ses petits cris que je peux pas la fourrer aussi longtemps que je l’aurais voulu. Je lui donne des coups de queue de plus en plus vigoureux jusqu’à me vider complètement au fond de son petit cul à longs traits. Elle, pousse des cris tout à fait similaires à ceux de Sophie plus tôt dans la matinée.
Je me retire de son cul, lui fourre ma langue dans la bouche et lui dit « Mission accomplie jolie petite salope.Merci ».
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