Le soir à la maison, Karim ne m’a pas reconnue tout de suite, transformée physiquement et mentalement.
– C’est toi Nadia ? D’où sors-tu ainsi grimée ?
– Aujourd’hui, je suis allée à l’hyper marché et je me suis acheté du maquillage, je ne te plais pas ?
– On dirait une pute !
– C’est ce que je suis devenue mon cher, je me suis fait ramoner la moule par un super mâle !
– Arrête de parler comme ça, tu ne sais pas ce que tu dis, tu es ivre ?
– Et ça ? C’est quoi ?
J’ai relevé ma jupe, j’ai gardé sur moi mon string neuf, amidonné de foutre séché.
– Viens toucher et sentir ma chatte si tu ne me crois pas !
Tremblant des pieds à la tête, il avance une main entre mes cuisses, j’écarte ma culotte pour lui montrer l’état de ma chatte
– Vas-y, enfonce un ou deux doigts, y a de la place maintenant que je me suis fait bourriquer par un véritable âne !
– Salope, tu as fait ça ? Qui c’est ?
– Ta vas faire sa connaissance ce soir, car je le refais ici même, devant toi ! Toutes ces années, tu m’as menti sur le plaisir que pouvait espérer une femme avec ta petite saucisse ! Mon amant va arriver d’une minute à l’autre, je vais me préparer et je te conseille de ne pas te défiler !
Robe courte et mini slip, c’est ainsi que j’attends mon « mec » qui arrive à l’heure, trop heureux de la bonne aubaine.
– Alors, c’est lui le mari à la petite bite ?
– Qui êtes-vous pour me parler ainsi ?
– Je suis celui qui va baiser ta femme ! Mais avant, montre-moi ta pine que je vérifie si ta femme ne m’a pas menti !
– Allez Karim, obéis avant qu’il ne se fâche ! Ensuite, tu me déshabilleras pour m’offrir à mon amant !
– Houlalala ! C’est pire qu’à quoi je m’attendais ! Regarde la mienne, même quand je ne bande pas, elle fait le triple de la tienne mon pauvre vieux !
– Karim, demande à monsieur s’il veut bien me baiser ! Dépêche-toi sinon je repars illico avec lui !
– Monsieur, voulez-vous baiser ma femme devant moi avec votre grosse queue ? Regardez sa poitrine et ses cuisses, elle est belle, n’est-ce pas ? Je lui retire sa culotte ? Elle mouille pour vous ! Avec moi, Nadia n’a jamais réagi comme ça !
– Parce que tu n’as jamais été capable de la baiser comme je vais le faire ! Mais avant, je vais lui bouffer la chatte, chose que tu ne lui as jamais faite, assied-toi sur cette chaise et admire le travail !
Posée sur le coin de la table, cuisses ouvertes, son amant s’approche entièrement à poil pendant que mon cocu regarde cette verge énorme qui se balance de droite à gauche. Je me laisse tomber en arrière afin qu’il puisse fourrer sa langue profondément dans ma vulve trempée, il me lape bruyamment, je réponds en geignant. Mon mari se lève pour voir de plus près comment il s’y prend, mon clitoris est aspiré, des doigts pénètrent vigoureusement mon vagin, je jouis en hurlant si fort que mon cocu prend peur !
– Vous êtes fou ? Lâchez- là, vous lui faites mal !
– C’est le mal que tu aurais dû lui faire depuis des années ! Maintenant, elle va me sucer le poireau et avaler mon foutre !
– Mais ce n’est pas sain !
– C’est bon pour le teint ! Suce-moi salope !
– Soyez poli, ma femme n’est pas une salope !
– Comment appelles-tu une nana qui offre son cul à un inconnu dans un parking ? Et puis, ta gueule à la fin ! HOOOO, je vais décharger !!!
Avec application, j’avale la purée de cet homme jusqu’à la dernière goutte et, fixant mon cocu dans les yeux, je me pourlèche les lèvres :
– Tu veux m’embrasser chéri ?
– N’y pense même pas !
– Alors mon amant va me bourrer la moule !
– Finalement ma chérie, c’est vrai, tu es une grosse salope !
– Tu n’as qu’à t’en prendre à toi : Regarde de bien près, tu vas voir ma chatte absorber son gros zob !
– En même temps, je vais préparer le cul de votre femme au cas où…
– Vous n’allez quand même pas la sodomiser ?
– Je vais me gêner ! Partout où il y a un pucelage à prendre, JE suis là !
– Vous n’êtes qu’un porc, finissons-en, baisez-la !
Mon baiseur plonge deux doigts dans mon vagin, mon mari a un début d’érection lorsqu’il entend les bruits mouillés, j’en rajoute en braillant comme une biche blessée :
– Baise-moi bien ! Baise-moi !!!!!
– Patience ma belle, laisse ton mari petite bite se repaître de ce qu’il n’a jamais pu faire à ta moule !
– J’avoue que je n’ai jamais pu la tripoter comme ça avec mes doigts courts !
– Petits doigts, petite bite, quelle lopette ! Regardez, je prends mon zob d’une main et, avec l’autre, je lui ouvre la vulve !
– Laissez monsieur ! C’est moi qui vais écarter ses lèvres ! Enfoncez-lui votre trique comme elle le désire, je suis résigné, faites-la hurler de joie ! Je vais me masturber, ensuite c’est juré, je lui nettoierai le vagin avec ma langue !
– À la bonne heure ! Regardez mon gland repousser ses petites lèvres …. Ça force… ha, quel pied ! Cette salope contracte ses muscles sur ma hampe pour me faire décharger plus vite !
– Défoncez-la !
– Je lui mets jusqu’aux couilles, j’étire son vagin autant en largeur qu’en profondeur, elle est vachement bonne votre femme !
– Je suis heureux qu’elle vous plaise.
Je ne reviens pas de la volte-face de mon mari, il semble prêt à accepter cet homme en tant qu’amant officiel de sa femme, je me projette en avant sans aucune pudeur à la rencontre de ce gros zob qui me fait tant de bien. Il a du mal à me tenir dans son angle de tir ; aussi, il se contente de se maintenir entre mes cuisses, en évitant que sa queue soit repoussée hors de ma moule en furie. Karim n’en croit pas ses yeux : il se masturbe avec deux doigts en attendant visiblement que ma chatte se remplisse de foutre.
Dans un effort surhumain, mon amant me colle à lui, sa queue projette violemment le sperme sur mes muqueuses, déclenchant une hystérie en moi, je braille, je pisse, je jouis ….
– Vite ! Retirez-vous ! Je veux déguster votre sperme encore chaud qui sort de son ventre !
Mon mari cocu a dégusté avec application le savonneux mélange de nos jus mêlés, je lui maintiens la bouche sur ma fente. Pour la première fois de notre union, il m’a fait jouir avec sa langue, il a hurlé de joie tandis que son zizi évacue quelques gouttes de sperme.
FIN.
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