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Mûres3/Viens mettre ta queue dans la dame

Mûres3/Viens mettre ta queue dans la dame



Une coulée de sperme sort de l’oeillet rose de ma rousse Marlène, tandis que je reprends mon souffle après avoir accompli ce que ma belle amante mûre attendait de moi, finir une histoire de vieille dame obscène, et l’enculer sans faiblesse.
-J’aimerais mieux que tu me racontes comment c’était avec Solange, cela m’exciterait plus parce que je la connais.
Elle s’éponge le front, et aussi le cul.
Solange a elle aussi 70 ans environ. C’est une petite femme énergique, très bourgeoise, je dirais cossue et fessue. Une confiance en elle comme on en rencontre chez les femmes d’affaires, chez les décideuses.Elle est très petite, mais son buste est très généreux, ce qui donne une allure très provocante à ses moindres décolletés.
-On voit que c’est une cochonne, prétend Marlène. Tu sais, à cet âge, quand on s’habille avec des jupes aussi courtes, en cuir moulant rouge…et avec des bas fantaisie limite pute…bien sûr, elle est distinguée, elle ne porte que des vêtements de marque…mais son gros cul moulé dans le cuir rouge pour cette cérémonie d’église, franchement, c’est un appel au sexe.
-Tu trouves? En tout cas, j’ai tout de suite senti que la voie était libre. Et puis son mari la délaisse, il est tout le temps absent. Il s’en fiche complètement que l’on tourne autour de sa femme.
-Tu m’as brisé le coeur lorsque tu as commencé ta relation avec elle. Tu te souviens de ce que me disais? Que tu l’aimais, que nous ne pouvions plus nous voir.
Ma grande enculée se rappelle des souvenirs pénibles, je la console en suçant un de ses tétons roses. Elle ferme les yeux, gémit doucement, sa bouche s’entrouvre. Sa bouche, dans laquelle je voudrais fourrer ma queue lorsque je rebanderai, ce qui ne saurait tarder.
-Point de vue sexe, il ne s’est pas passé tellement de choses inouïes. C’était un peu comme avec Monique.
-Tu ne l’as pas enculée non plus? Qu’est-ce qu’elles ont, ces vieilles salopes, avec leurs grosses mamelles sous leurs tailleurs, leurs chatte assoiffées, leurs grosses fesses, a ne pas vouloir sentir ta belle grosse bite dans leur trou du cul?
-Je ne sais pas. De toute façon, rien n’était comme avec toi. Solange n’est pas érotique. Ce sont ses vêtements, provocant pour son âge, qui pourraient le faire penser. Ses formes font bander, mais son comportement au lit reste tout à fait basique. Elle se déshabille, elle se couche, je me couche près d’elle. On s’embrasse pour s’exciter, sa langue un peu dure touche la mienne plus qu’elle ne la caresse. Sa petite main aux doigts bagués de diamants secoue lentement ma bite en la pinçant. Originalité suprême, lorsque je suis bien dur, je lui grimpe dessus. Missionnaire du garçon qui pine la vieille dame heureuse de se faire mettre. Va et vient. Si la jouissance se présente comme un feu lointain, inéluctable, je continue à la limer, quitte à ralentir le rythme pour faire durer le plaisir. Sinon, je la retourne.
Ses grosses fesses…si j’avais su… Madame untel, nue pour recevoir ses coups de bite, comme si c’était un massage ou un soin aux algues dans un spa, bourgeoise chic dépouillée de ses riches tissus, réduite à ces magnifiques surfaces de chair nacrée, quelque peu relâchée et fatiguée, mais opulente et douce.
Là, Marlène se met bien le doigt dans le vagin. Elle est partie pour s’exciter.
-Même quand j’étais le plus jalouse, je vous imaginais. Je te voyais, nu sur elle…je pensais à ses gros seins…je ne pouvais m’empêcher de vouloir les toucher…peut-être que je l’aurais préparée pour toi…
-Tu l’aurais léchée? dis-je en me branlottant le gland.
Marlène, toute fine, à plat ventre entre les cuisses de la petite dame autoritaire, qui déguste en conquérante les coups de langue de sa rivale évincée…
-Salope, tu l’aurais léchée? Mais non, c’est comme Monique. Solange n’aime pas les femme. Juste les coups de bite.
-Et pour les pipes? C’est bien ce dont tu rêvais, quand tu fantasmais sur elle avant qu’il y ait quelque chose entre vous.
-Non, rien qui vaille la peine d’être raconté. Une langue neutre, la chaleur d’une bouche, ce qui n’est jamais totalement désagréable, naturellement. Putain, j’ai envie que tu me suces. Suce–moi les couilles, comme Brigitte.
-Brigitte…Brigitte….ça c’est de la folie…ça me fais mouiller rien que de prononcer son nom…mais tu dois encore m’en dire plus sur Solange.
-J’essaierai de trouver ce qui me revient. Suce-moi ma pute.
-Oui, je suis te pute. Elle est belle ta queue, je me caresse en pensant à elle.
La langue de Marlène…du velours, de la crème caramel…elle me gobe les couilles plus délicieusement que la petite thaïlndaise qui, il y a très longtemps, m’en a fait prendre le goût.
-Gicle encore. Sur mes seins.
Petits seins de Marlène. bientôt couverts de foutre.
-Je suis ta pute

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