Cela fait au moins 3 heures que je roule dans ce putain de camion, il faut que je fasse une pause : je suis routier de métier, plutôt musclé. Mon job me permet de multiplier les aventures de cul les plus rocambolesques, je bande rien que d’y penser. je stoppe mon camion. Je fais quelques pas sur la pelouse, m’enfile une bière et vais rejoindre les sanitaires. J’ai tellement eu d’histoires dans les pissotières que rien que l’odeur me fait triquer : il y a toujours des bonnes salopes pour te faire une pipe, voire même se faire défoncer. Je défais les boutons de mon jean- je porte pas de slip – je laisse apparaître la barre de la queue coincée dans mon jean. J’attends un peu, si il n’y a personne j’irais ailleurs.
J’entends du bruit dans une cabine » peut-être une chaudasse planquée ». Je m’approche et un jeune mec d’une vingtaine d’année se tient là debout. Pas besoin de parler, on se sourit ce qui suffit à se donner le signal d’une autorisation. Je ne bouge pas. Lui avance, je le prends par les cheveux et le colle à ma bite. Il la prend, la dégage de mon pantalon et l’engouffre dans sa bouche. Ses « va et vient » sont ceux d’un expert, je prends mon pied. Je le remonte pour lui rouler une pelle : il a gardé l’odeur de ma queue. Je saisis sa queue et commence à la branler. Il a une queue assez épaisse et moyennement longue, douce à masturber. J’accélère mes mouvements. C’est un jeune, il crache son sperme dans ma main trop vite : je lui fais lécher jusqu’à la dernière goutte mais Je reste sur ma fin, chaud comme la braise.mais décide de me faire une autre bière.
Je suis assis à une table, les célèbres tables à pique-nique, je n’ai pas pris la peine de ranger ma queue qui pend à demi-molle. Un jeune couple s’approche, je pense au départ pour me demander un renseignement : je m’amuse de leur surprise mais ils continuent à me parler que si la situation était normale. « Vous savez où trouver de quoi se restaurer » C’était trop tentant : « oui » je reste silencieux et indique en baissant les yeux vers ma bite. Les 2 mecs sont réceptifs et le plus petit, un petit rictus sur les lèvres, se met à genoux la tête entre mes jambes. Il renifle ma queue puis l’engouffre : je commence à bander. je fais signe à l’autre de s’approcher. je lui tate le paquet : prometteur, la bosse sous sont short gonfle. Il sort sa bite, et je commence à la branler. Exité, il mouille, ce qui lubrifie son membre. Son mec arrête mon pompage et se tourne vers son mec. je suis au premier plan, les yeux face à ce braquemart qui se fait pomper avec avidité. Je me branle. Dès que je sens le plaisir monter, je stoppe les mouvements. Je m’occupe à tâter les culs de mes jeunes loups. Je me les embrocherais bien. Comme si le petit avait compris : sans lâcher la queue de son copain, il baisse son pantalon, écarte son caleçon et vient s’asseoir sur mon membre. Il a été ambitieux et souffre un peu : ma queue est bien épaisse. Pour autant il a continué à sucer son pote. Il commence à s’exciter sur ma queue, monte et descend de plus en plus vite. Moi je vais bientôt tout lâcher. Il se branle, il suce et se fait défoncer : c’est la totale. J’inonde son cul de sperme, son pote éjacule aussi mais en plein visage. Mon hôte est une lope à jus on dirait. Il se lève, écarte mes cuisses et vient recueillir ce qui lui appartiens. Il continue à se branler et à son tour peut cracher. Ils se rhabillèrent et disparurent dans la nuit. Moi je rentre dans ma cabine, la tête pleine de sexe.
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