Nous avons célébré le mariage du fils d’un bon ami. Cet ami était un camarade de régiment de mon mari. Maintes fois nous avions profité de sa résidence secondaire vers Port Grimaud. Je l’avais remerciais à l’occasion. Je n’ai pas eu à me plaindre d’un tel amant fougueux. Pour autant il n’a jamais su que son fils avait obtenu même chose. Aussi ne me remémorais-je pas sans plaisir et saveur l’épisode. Le jour du mariage tous deux avait un sourire significatif à mon égard qui nous ramenait à cette fameuse époque. Je n’en félicitais pas moins la mariée d’avoir fait un si beau choix.
Cela me téléportait jusqu’à ce fabuleux été chaud et caniculaire. Je m’en réjouissais alors contrairement à ceux que cette chaleur importunait. Je n’avais eu de cesse d’offrir mon corps au soleil et que celui-ci fut bronzé dans la moindre de ses parties. Il faut dire que je ne dédaignais pas de me foutre à poil. En cela assurée qu’alentour des types avec de bonnes jumelles puissent me voir et se repaître de ce spectacle. Je trouvais normal que mon corps profitât à tous fut-ce de loin. Cela m’enivrait de toute façon de m’exhiber. Autant que ce soleil, une bite bien branlée m ‘excitait.
Mon mari avait consenti comme souvent que je fis un saut de six jours dans le sud tandis que lui était à son travail sur Paris. Il ne se faisait guère d’illusion tout autant que moi sur lui. Nous avions convenu de nous concéder ce type de respiration en notre vie de notre couple. Je savais qu’il mettait à contribution cette circonstance pour mieux profiter de ses maîtresses. Bref il m’était implicitement accordé une carte blanche pour me débaucher pareillement. Belle opportunité pour réussir sa rentrée et engranger de l’énergie. Façon royale aussi de clore l’été et d’aborder une fin d’année.
Hervé, le camarade de régiment me fit l’honneur de la première nuit. Ce cochon manifestement se faisait quelque plaisir à cocufier un ami d’autant qu’il percevait chez moi la même délectation perverse à jouer un bon tour à mon mari. Il ne se privât pas de m’infliger tous ses vices. Se faire sodomiser et pisser dessus étant les moindres. Je trouvais qu’il était nécessaire que ce court séjour fut inauguré de la sorte. Que je fus d’emblée traitée telle la putain que j’étais. Cela me mis en branle pour la suite. En effet le matin et point en reste après m’être mise nue, j’entendis à la porte sonner.
C’était le voisin du dessus M Bilhalian, un retraité et ancien négociant. Je vins à deviner d’emblée qu’il ne passait là par hasard. J’enfilais hâtivement mon peignoir et cru devoir lui ouvrir pour l’accueillir. Il parut étonné que le propriétaire fut absent et que je fus ici pour un temps, la charmante locataire. Il n’était pas décent que je le renvoie de suite. Je dus alors lui offrir à boire. Il lorgnait sans ambages mes cuisses que j’avais croisées haut. J’imprimais à ma sandale en bout de pied un balancement frénétique, jeu qui manifestement l’excitait. J’étais ainsi en mode salope.
Il était par trop évident qu’il voulait me sauter. Il est manifeste qu’en une telle circonstance je ne pouvait m’offusquer à la façon d’une femme normale. Au contraire je croyais devoir me résoudre à satisfaire le mâle devant moi qui me convoitait. Je lui suis redevable. Je n ‘ai droit à le décevoir. Il faut le contenter. Je suis sa pute,sa soumise. Le porc de ce jour-là dut percevoir cela d’un seul coup et par instinct. Tandis que j’étais à la cuisine il vint bientôt sur moi pour me coller. N’étais-je venue de loin pour çà ? Éprouver la chair, la fange du mâle, son souffle haletant et rauque sur ma nuque.
D’un geste d’autorité il arracha mon débile peignoir, lui fit joncher le sol. Ses mains calleuses sur mes hanches et mes fesses me suscitèrent un désir qui me fit un instant me cabrer telle une jument. Il était assuré d’être tombée sur la parfaite salope point rétive n’attendant que cela. En un tour de main j’étais accroupie devant lui à le sucer. Il passât sa main avec quelque tendresse dans ma chevelure. Docile, j’étais tout à mon loisir ainsi qu’au sien. Il avait la queue lourde et épaisse comme j’adore. La suite fut sans égards pour moi. Il me tirât notamment par le cheveu et m’enculât.
Nous finîmes côte à côte sur le lit exténués fumant chacun sa cigarette. Il m’avouât que depuis longtemps il me désirait. Voisin du dessus il avait maintes fois maté mon cul tandis que je bronzais nue sur ma serviette. Je lui dis que j’avais parfaitement repéré son manège. Que cela m’excitait sachant que sûrement il se branlait à un tel spectacle. Cette fois il avait pu concrètement vider ses couilles dans ma chatte et mon cul. Il devinait par trop que je couchais avec le proprio et sûrement quelques autres. Il voulait encore de moi. Je glissais à nouveau sous sa bidoche pour le sucer.
A tout le moins j’étais assurée que ce porc pourrait me dépanner si besoin était. Je n’en cédais pas moins à mon terrible caprice, secret partagé par peu. En effet un des amants du coin, voyou à l’occasion prostituait des filles. Un jour par jeu et prétextant quelque besoin d’argent, je pus obtenir de détenir un coin de plage tandis que mentor il m’assurait de loin sa relative protection. Attifée en minijupe, petit haut et cuissardes j’eus ce soir-là un franc succès. J’empochais pour une quinzaine de passes. Il convint de me laisser la moitié du pactole. L’expérience se révéla une merveille pour moi.
Je fus impressionnée moi-même par mon audace voire mon inconscience. Je n’avais cure que le client fut beau, laid, petit, gros, blanc ou noir. Dans la pénombre et sous le clair de lune je suçais, me laissant peloter et cambrée subissant par-derrière les bourrades des mâles. Je réalisais que j’assouvissais un ancien fantasme autrement plus prégnant et fort que mes soirées partouzes en club. Là l’élément sordide ajoute à l’humiliation et donc à mon plaisir. Bref à toute occasion je sus réitérer. Ce soir-là mon voyou était libre. Il jouerait volontiers au maquereau. Je me nippais en sorte.
Souvent après avoir fait ma putain en bord de plage, une faim de loup me prenait. J’invitais alors mon voyou à partager un fastueux dîner au champagne. Auparavant nue, je sacrifiais à un généreux bain de minuit. Je me lavais de mes souillures. Sentant un peu le sperme et le sel je n’en allumais pas moins quelques clients et serveurs. Mon voyou passablement irrité m’en punissant plus tard en me sodomisant dans la voiture. Tout cela me procurait un profond et indicible sommeil. Celui du juste. Ce fut le lendemain que j’eus à croiser le fils du proprio accompagnée de sa petite amie.
Il parût surpris de ma présence. J’eus idée que l’appartement dont il avait les clés devait au besoin lui servir de garçonnière. La copine était non moins contrariée que lui. Une gamine chétive au visage joli pourtant. En un éclair nous nous détestâmes mutuellement. Elle dut concevoir que j’étais une femme de mauvaise vie. Je sus qu’elle me soupçonnait de coucher indubitablement avec le père. Je n’étais pour elle qu’une garce, une traînée. Je vis que le gamin que j’avais vu grandir dévorait lui mon haut où abondaient mes seins. Il était devenu beau gosse. J’eus idée de croquer ce joli bonbon.
Je n’attendis guère longtemps. Tôt le matin le vieux du dessus après avoir emmené sa dame au kiné, s’était rué sur moi. Nous avions une petite heure devant nous. Il me fit bien la fête. En sorte il me réveillât un peu. Je me ranimais sous ses coups de boutoir. Avec un grognement vainqueur il m’éjaculât sur la face puis obtint sans peine que je lui lavas la queue dans la bouche peu après qu’il m’eût peu avant enculé. C’était sale et inepte mais nous adorions. Je décidais plus tard de faire des emplettes et de déjeuner sur la plage. L’après-midi nue sur le balcon je m’octroyais une sieste.
Ce fut dans mon demi-sommeil que je perçus une présence. On m’observait tout au fond du salon. Je crus d’abord au propriétaire venu ici par inadvertance. Puis distinguant mieux les traits dans la pénombre, je reconnus son fils. Le coquin s’était invité. Il s’était débarrassé de sa pécore. Je ne croyais pas au hasard. Ce vicieux avait voulu me revoir. Peut-être me matait-il depuis un certain temps. Je me redressais sur le coude me tournant afin qu’il put sans vergogne savourer mes formes. Ventre plat, chatte lisse et nibards de performance. Je secouais mon cheveu blond comme par défi.
Je lui dis d’approcher et d’emblée sur un ton de mépris je lui dis : « Je présume que ton amie ne sait pas que tu es ici ? « Il rougit penaud, la main pris dans le sac. J’embrayais : « Je ne pense non plus que ton père sait que tu t’invites chez les gens sans frapper. » Je poursuivis : « Pourtant il m’a assuré que je serais tranquille épargné par les importuns. » Il croulait sous mes sarcasmes et reculant déjà je le vis capituler et peut-être déjà déguerpir. Je prévins son geste de lâche. Je criais : « Tu ne vas pas te défiler maintenant. Reste-là. ». Dédaigneuse j’enfilais mon peignoir et vint le rejoindre.
Je souriais à présent pas peu fière de mon numéro. J’avais envie de me radoucir voire de me racheter. Je lui dis : « Ne fais attention à ma mauvaise humeur. En fait je me venge sur toi de la mauvaise impression que m’a fait ta copine. Je ne peux pas la blairer. Qu’est-ce que tu fous avec ? T’es bigrement mignon. Elle ne te mérite pas. « Dans ce torrent de mots il ne savait trop à quel saint se vouer. Le détestais-je ou non ? Je lui dis d’aller chercher dans le frigo deux frais Coca. Ce répit dut lui redonner un peu d’esprit. A présent il osait m’affronter du regard. Je fumais mi-goguenarde.
Je devins peu à peu plus câline. J’inventais à mesure quelques bobards. Je lui tins à peu près ce propos. « N’ai crainte je n’en parlerais pas à ton papa. Ce sera notre secret. Je suis content que tu sois venu me voir seul ». J’avais rapproché mon siège. Nous étions à peine à un pas l’un de l’autre. De nouveau il avait baissé le regard. Je lui pris la main et d’autorité mis celle-là sur le haut de mon sein. Je lui dis : « Touche ! C’est doux. Ce pourrait être à toi si tu voulais. » Il baissait toujours et sottement son regard comme enlisé dans du sable. En un instant je fus à ses genoux près de lui.
Il n’eût guère le temps de réaliser ce qui lui arrivait. Sa braguette fut lestement déboutonnée et sa belle queue dextrement extirpée. Tous yeux écarquillés il s’aperçut trop tard que son sexe était absorbé, savouré dans ma bouche. Je me faisais délice du beau fruit. Il en avait rêvé. C’était réalité. Nos bouches plus tard se collèrent. Nos langues s’entremêlèrent. Le lit nous accueillit. Je n’avais point à lui dire qu’outre un voisin, son père des fois en bouleversait les draps. Le petiot avait déjà une sûre technique. Il savait y faire. Admirative je lui dis : « Qui t’as appris ? Est-ce ta copine ?
Il m’avouât qu’une de ces tantes l’avait il y a deux ans dépucelé. Ils avaient été amants assez longtemps. Elle lui avait tout appris. Je bénissais cette tante. Assurément une salope comme moi que j’aurais pu bien connaître. Cet éphèbe n’omit pas sur la fin de me gratifier d’une bonne sodomie auquel je mettais tant de pris. Je finis pelotée dans ses bras, lasse voire secouée par de forts accès de tendresse. C’est lui qui de peur de la copine voulut partir et en rompit le charme. Nous convînmes d’arranger par SMS de prochains rendez-vous. Je n’osais dire qu’autant que lui j’étais sollicitée.
Les jours suivants je dus gérer tant le père que le voisin que le fiston. Bref je dus renoncer à mes séquences de prostitution sur la plage. Jamais je n’avais été autant baisé en un si bref temps. Par ailleurs mon bronzage était parfait. Mon corps ne s’était jamais tant senti exister. Les mâles en avaient disposé sans vergogne. Je me sentais renaître. Il m’importait peu de savoir ce qu’ils pensaient de moi. Ou plutôt devaient-ils songer que j’étais une pute dont ils avaient profité. Hors le jeune homme dans le regard duquel je vis un peu de tristesse et de reconnaissance à mon départ.
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