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VU SUR LE NET: La déchéance de Carol

VU SUR LE NET: La déchéance de Carol



Je tournais en rond depuis une demi-heure en regardant ma chérie endormie et décidai de téléphoner à son chef.

Je lui expliquai la situation et il me dit de ne pas m’en faire, car même si les effets, les plus spectaculaires de cette drogue, ne se voyaient plus, son esprit continuait d’accepter, tout ce qu’on lui proposait. La seule différence, c’est qu’elle en est complètement consciente, tandis qu’avec la drogue, elle obéissait sans réfléchir et ne se rappellerait, qu’après les faits.

Je regardai son corps parfait allongé dans le divan et pensai que j’allais enfin, avoir la femme que je souhaitais, une salope prête à tout pour faire plaisir à son mâle. Je devais bien sur, passer par le fait qu’elle allait se faire baiser par de nombreux autres hommes, mais cela m’excitait bien plus, que je ne l’aurais cru.

Bientôt 19h00 et j’angoissais encore, je me mis devant son visage et mon sexe tendu sur sa bouche. Je frottai doucement ses lèvres avec mon gland. Elle ouvrit lentement un œil et regarda mon sexe contre sa bouche. Elle entrouvrit sa bouche et je pu m’enfoncer dedans. La sensation merveilleuse de sentir sa langue glissez sous mon sexe et voir ses joues se creuser par la succion qu’elle commençait sur mon sexe fit monter de plusieurs crans mon plaisir.

– Suce-la ma chérie !… Elle t’appartient ! Boit, ma liqueur d’amour !

Caroline, redressa légèrement sa tête s’appuyant sur un bras et me suça à fond. Jamais depuis notre union, elle n’avait pris autant de passion pour me sucer. Je sentais parfaitement que son expérience dans ce domaine avait augmenté, de 1 à 10000.

J’essayai de résister le plus longtemps possible, mais le vue de sa bouche sur mon sexe, de sa nouvelle coiffure, qui la faisait ressembler à une putain, brisa ma résistance et c’est en longs jets de sperme, que je me vider dans cette merveilleuse bouche.
Caroline me nettoya le sexe comme si, sa vie en dépendait et me regarda pour chercher dans mes yeux une satisfaction.

– Tu es merveilleuse, ma chérie !… Tu rappelles-tu que des hommes vont venir ?… Tu leur à donnée rendez-vous, cet après-midi !
– C’est ce que tu veux que je devienne ?… Non ?…. Une pute prête à satisfaire tous les hommes !
– Heu !… Oui, c’est vrai que cela m’excite beaucoup, quand je regarde te faire baiser !
– Alors, mon chéri, tu vas être très fière de ta pute !
– Tu… Tu es si différente avec tes cheveux court et tu semble plus sur de toi !
– Tu m’as fait ouvrir les yeux. Je ne savais pas que de se faire baiser en série était aussi bon !

La discussion continua et c’est Caroline qui me demanda de lui servir un Porto Blanc. Elle en bu trois rapidement et la sonnette retenti, nous surprenant en pleine discussion.

– Laisse, mon chéri !…. Je vais ouvrir moi-même !

Caroline se leva, et complètement nue se dirigea vers la porte d’entrée. Cela pouvait être n’importe qui, malgré qu’il fût 19h50.
Elle ouvrit la porte et découvrit deux des hommes, qu’elle avait draguée au parc. Ils restèrent sur le pas de la porte complètement surpris et tétanisés de voir ma Caroline nue pour les accueillir.

L’un deux se ressaisi et se tourna vers le trottoir pour crier :

– Venez, les gars !…. C’est bien ici !…. Et elle nous attend !
– Hum !…. Tu ne nous avais donc pas menti ! Dit l’autre homme se ressaisissant et entrant dans la maison.

Sans plus attendre, il roula un patin à ma femme et lui caressa les seins. L’autre entra et fis la même chose dès que le premier lâcha ma femme.

Trois autres hommes se présentèrent à l’entrée et se bousculèrent pour embrasser ma femme et la tripoter debout devant la porte de la maison toujours grande ouverte.

Ils s’étonnèrent de me voir, mais je les invités à rentrer et à se mettre à l’aise dans le salon. Cela les rassura un peu et ils s’installèrent dans les fauteuils et divan.

– Vous voulez boire quelque chose ? Demandais-je poliment de façon à ce qu’ils se sentent à l’aise et maitre de la situation.

Ce que je désirais par-dessus tout, c’est de voir ma chérie à leurs pieds et de devenir leur jouet pour les heures prochaines.
Caroline s’assis entre ceux qui étaient dans mon divan et pendant que je leur servais les bières, qu’ils m’avaient tous demandés, elle se laissait caresser et embrasser, comme si elle était la petite amie de chacun. Je voyais bien qu’elle répondait au baiser suçant leur langue comme si c’était un petit sexe. Elle buvait et avalait leur salive comme du nectar en poussant des soupirs de plaisir.

Les cinq hommes bandaient comme des taureaux et très rapidement des bites de bonnes tailles apparurent et ma chérie n’eut pas assez de main pour les prendre et les masturber.

– Vous préférés, allez dans la chambre ? Demandais-je avec une certaine soumission.
– La chambre ! Cria deux d’entre eux !
– Ici, c’est parfait dit un autre.

Une légère discussion entre eux et ils décidèrent de rester au salon. Certains, avait vidé leur bière et m’en redemandaient une autre, pendant qu’ils se déshabillaient. Caroline était déjà en pleine action et suçait un sexe bien plus grand que le mien, pendant que des doigts s’introduisaient dans son anus et vagin.

– Elle devrait laisser pousser ses cheveux, ta pute ! Dit un des hommes.
– Pourquoi ? Demandais-je

– On pourrait la tenir par les cheveux pour qu’elle change de bites lorsqu’on le souhaite !… Ce serait plus facile.
Un des hommes se plaça derrière Caroline et pris son sexe pour l’a pénétrer. Je vis ma femme avoir un léger sursaut au moment de l’introduction et se relâcher dès que le sexe fut complètement en elle.

– Putain !…. C’est trempé là-dedans ! S’écria l’homme qui s’était introduit en elle.

Il ne pouvait savoir, que Caroline ne s’était pas laver, depuis l’épisode du vieux dans les toilettes publiques.

Alors que, bandant comme un âne en rut, je continuais de servir des bières aux hommes qui s’occupaient de ma femme. Je croisai le regard de Caroline et restai stupéfait, elle semblait dire : « Voilà !…. C’est ça que tu voulais que je devienne ? »

Je vis qu’elle soutenait mon regard tout en pompant comme une folle le sexe dans sa bouche et branlait allègrement un sexe dans chaque main. Je tombai assis sur le divan et regardai les cinq hommes qui se déshabillaient sans lâcher Caroline qui continuait de sucer, branler et se faire sodomiser, comme jamais je n’avais pu le voir, depuis l’avant-veille à son travail.

Je compris que je venais d’ouvrir la boite de Pandore et que les conséquences inconnues allaient seulement se développer.
Celui qui la sodomisait, éjacula en criant des obscénités et fut suivit par celui qui était dans sa bouche. Ils furent vite remplacés par deux autres. Les bruits de pénétration et buccaux qu’émettaient Caroline s’amplifiaient et les hommes la traitaient de tous les noms.

Frappant ses fesses, tirant sur ses tétons et frottant son clitoris comme s’ils voulaient le faire briller. Ma petite femme criait de plaisir malgré le sexe dans sa bouche et lorsque ce dernier se vida dans sa gorge et se retira, j’entendis Caroline crier :

– Baisez-moi !…. Remplissez votre pute !…. Plus fort !…. Ouaiiiiis !… Encore !

Ce n’était plus ma petite Caroline, timide et réservée que j’avais mariée. Puis, je pensais que demain on serait lundi et qu’elle allait commencer son nouveau job dans son entreprise.

Les cinq hommes vidèrent les 24 bouteilles de bière et jouirent dans ma femme au minimum, trois fois. Ce n’est qu’épuisés et repus, qu’ils abandonnèrent Caroline qui s’écroula comme une loque sur le sol.

Tous se rhabillèrent et me serrèrent la main en jurant de revenir pour une nouvelle partie aussi bonne. Je les reconduisis jusqu’à la porte et leur souhaiter une bonne nuit. En effet, il était près de 23h00.

Je n’avais jouis qu’une seule fois en début de partouse et mon sexe était toujours bandé depuis. J’aidai Caroline à se relever et l’emmena à la salle de bain.

Je lui fis couler un bain et l’aidai à se laver complètement. Elle bafouilla quelques mots, se laissant faire et lorsque je mis la pomme de douche contre sa vulve et que l’eau gicla dans son vagin, elle eut une réaction, en écartant fort ses cuisses et fermant les yeux, sous le massage que lui faisait la pression de l’eau, sur les parois internes de sa jolie chatte rasée.

Elle fut prise de tremblement et se tendit en arc de cercle pendant plusieurs secondes, ellet retomba dans l’eau, éclaboussant le sol et resta inerte les yeux toujours fermés.

Je pris un grand essuie et l’a sorti de l’eau avec beaucoup de difficultés, car elle restait sans réaction. Je pus la mettre sur notre lit et l’essuyai avec amour et douceur.

Elle passa de l’inconscience à l’endormissement, en ayant juste comme réaction, un faible « merci ».
Je l’ai laissé dormir et me couchai près d’elle. Ce n’est que le lundi matin que je me réveillai, encore habillé et elle nue comme un ver depuis son acceptation de devenir une salope.

– Bonjour ma chérie !
– Bonjour mon salaud de mari !…. J’espère que tu es content de toi ?
– Je… oui, enfin, je crois… J’ai fait ça pour toi !
– Pour moi ?….
– Oui, enfin… tu comprends ce que je veux dire ! Dis-je en voulant l’embrasser.

Sa réaction fut extraordinaire et violente. Elle me repoussa, se leva d’un bond, me regarda comme un monstre et cria :

– À partir de maintenant, tous les hommes de la terre pourrons me baiser…. Sauf toi !…. Plus jamais tu ne me toucheras !…. C’est bien clair ?
– Mais,…. Enfin…. Ma chérie !
– PLUS JAMAIS !…. Tu voulais une salope à la maison ?…. Tu as fait de moi, une putain de bas étage !…. Tu en subiras les conséquences !
– Mais…. Non !
– Tu pourras aller voir mes consœurs mais, tu ne me touche plus !…. Mon corps, ma bouche, mon cul et ma chatte seront pour n’importe quel homme…. Mais pas toi !
– Non, ce n’est pas ce que je voulais !

Je vis pourtant dans ses yeux, une détermination que je n’avais jamais vue chez elle. Cette fois, j’étais pris à mon propre piège. Elle sorti de la chambre et pris des vêtements pour s’habiller et partir au travail.

Sans un mot, elle quitta la maison et je ne sus même pas, si elle reviendrait le soir. Je déjeunai et parti à mon boulot comme un somnambule, abasourdit par ses paroles. J’espérais qu’elle avait dit cela sur un coup de tête mais, lorsqu’elle rentra vers 20h30 au lieu de 16h00 habituellement, elle ne me parla pas et s’enferma dans la salle de bain. Une demi-heure plus tard, elle en ressorti habillé comme les putains des bas quartiers.

Une super mini jupe en cuir, un débardeur qui ne cachait presque rien, des bottes remontant jusqu’aux genoux et un maquillage outrancier. Avec sa coupe de cheveux courts, elle paraissait comme elle le voulait, une fille qui va faire le trottoir.

– Ou… Où vas-tu, ma chérie ? Demandais-je doucement, honteux de lui avoir fait subir tout ça !
– J’ai un rendez-vous !

Elle avait dit cela comme une machine qui parle et je vis dans son regard, ses yeux briller comme lorsqu’elle prenait cette foutue drogue.

Je ne pu rien faire et elle parti sans plus un mot. De rage je jetai le flacon de gélule dans la poubelle et commençai à réfléchir comment arrêter ce processus et espérer retrouver ma femme d’avant.

Je me rendais compte que cela allait être autrement plus difficile que je n’avais eu de la pervertir et en faire une salope.
Les jours suivants, se ressemblèrent comme ce lundi et le vendredi matin elle parti jusqu’au dimanche soir ? Elle revint dans un état de fatigue et de crasses comme jamais, je ne l’avais vue.

Durant la semaine, j’avais essayé de téléphoner à son chef sans aucun succès et même que le troisième jour le numéro ne répondit plus. Je téléphonai à son entreprise, mais dès que je prononçai mon nom, on me raccrochait au nez.
Comme le vendredi, j’avais terminé vers 15h00, je me rendis au boulot de ma femme et je fus accueilli par un portier menaçant, qui me conseilla vivement de ne plus remettre les pieds ici.

En ne voyant pas Caroline rentrer le soir, ni le lendemain, ni le dimanche midi, je crus qu’elle était partie définitivement. Je pleurai de mon imbécilité et jurai qu’on ne m’y reprendrait plus. Lorsque, le dimanche soir vers 20h00, j’entendis la clé tourner dans la serrure, mon cœur battit comme jamais. C’est là que je vis ma petite chérie, couverte de bleues, gluantes de sperme et sales comme un sdf ne s’étant plus lavée depuis deux semaines.

Caroline s’écroula à mes pieds et trop content qu’elle soit revenue, je l’aidai à se laver à se coucher et même, je lui donnai à manger comme un bébé.

Malgré le bain et les parfums que je lui avais mit, Caroline fit un renvoi en buvant trop vite et un relent de sperme me frappa les narines au moment du rot.

Je l’aider à rejoindre notre lit et m’étendis près d’elle. Je l’ai prise dans mes bras et elle se laissa faire. Je ne pensais même pas à bander car, j’étais trop heureux de la revoir.

Au petit matin, elle se réveilla et voulu se lever. Je lui pris un bras pour la retenir, mais elle se dégagea d’un geste brusque. Elle parti vers la salle de bain et je l’entendis vomir, tripes et organes. J’allai voir si je pouvais l’aider et vis dans le vase du wc non seulement ce qu’elle avait mangée avec moi, mais aussi un liquide gluant et jaunâtre.

J’ai pensai à ce moment là qu’elle vomissait du sperme tellement elle avait du en avaler. Je cherchai dans notre petite pharmacie un anti-vomissement et ne trouvai qu’un sachet de « Gaviscon » Caroline repoussa violemment ma main tendue contenant le sachet et me regarda d’un air méchant.

– Un jour…. Je te raconterai ce que j’ai fais ce weekend !…. mais maintenant, tu me laisse tranquille !… Je vais gérer moi-même !
– Mais, je veux t’aider seulement !
– Ta gueule p’tit queue ! Cria-t-elle vulgairement.

Cette fois c’en était trop et ma main parti toute seule. La gifle fut assez puissante pour l’envoyer au sol. Caroline se tenait la joue et me regarda avec une telle haine, que je compris, à cet instant, que je venais de la perdre définitivement.

J’ai voulu l’aider à se relever, mais son regard m’en dissuada. Elle retourna dans la chambre, fis une valise avec ses vêtements les plus récent et quitta la maison en claquant la porte et en criant :

– Ta bite est trop petite pour moi !…. Connard !

Je ne m’en remettais pas et les jours, les semaines et les mois passèrent sans aucune nouvelle. J’avais même pris congé pour la voir sortir de son travail, mais pendant tout ce temps, je ne l’ai pas revue ne fusse qu’une minute.

Six mois plus tard, un soir, la sonnette retenti. Etonné, j’allais ouvrir et vis devant moi, une épave d’être humain. C’était impossible que ce soit Caroline. Trop maigre, trop sale, les cheveux hirsutes, le regard hagard et terrifié.

– Caro… Caroline ?
– Oui, laisse-moi entrer,…. S’il te plait !

C’est dans mes bras qu’elle s’écroula. Elle n’avait sur elle que quelques lambeaux de vêtement, pas de sac, pas de valise, une clocharde aurait eu plus qu’elle. Comprenant qu’elle n’avait plus que moi, je décidai de l’aider et de la soigner.

Le principal c’est qu’elle trouve le calme et le repos. Je ne pris pas la peine de la laver et je l’ai couchée sur le divan. Une grosse couverture sur elle, ensuite, je pris une chaise pour la veiller.

Il lui fallu 48 heures pour retrouver un semblant de cohérence et après avoir mangé, s’être lavé et mettre quelques vêtements, elle parla enfin et me raconta ses six mois de débauche et de sexe non-stop.

Mais, ça c’est un autre chapitre.

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