Quelques jours plus tard, je rentre du travail, il est 17 heure.
Annabelle mon amour, houhou c’est moi…. Tu es là?…… Ah te voilà, comment vas-tu, as-tu passé une bonne journée? Oui, super! Alors j’ai une bonne nouvelle pour toi. On est invité ce soir, sois prête pour 20 heure. Fais-toi belle et sexy, moi j’ai une course à faire et je reviens me préparer aussi.
Lorsque je reviens à la maison, tu es toujours dans la salle de bain. Sur le lit de notre chambre, quelques robes, jupes et chemisiers sont jetés en vrac, pêle-mêle. J’y jette un œil. Tu n’as sans doute pas encore réussi à te décider sur la tenue. Je vais t’aider mon amour. Je range tout sauf une jupe courte en cuir noir fendue sur le côté et un chemisier en soie, transparent et noir aussi, décoré d’une jolie dentelle. Je te laisse le soin de coordonner le reste.
Je vais me servir un verre de schweppes dans la cuisine et j’entends que tu sors de la salle de bain. Je vais me placer de sorte à voir ta réaction en découvrant mon choix de vêtements. Comme tu ne m’as pas entendu rentrer, tu as un bref moment de surprise en voyant que la plupart des vêtements que tu avais préparés ne sont plus sur le lit. Mais rapidement tu as un sourire qui illumine ton joli minois. En voyant ce que j’ai gardé comme vêtements pour ce soir, ton sourire semble me dire, mon chéri tes pensées sont coquines dirait-on.
Je finis mon verre et je vais dans la salle de bain. Une bonne douche, un coup de rasoir, un peu de déodorant, de crème apaisante après-rasage et me voilà revigoré et prêt pour la soirée que je dois bien l’avouer, j’ai concocté avec soin et dont j’espère, ma petite chérie se souviendra. Je vais dans notre chambre finir de m’habiller. Je te retrouve vêtue avec la jupe et le chemisier que j’avais choisi. Je te dépose un baiser sur l’épaule et te caresse une fesse en passant près de toi. Tu es magnifique mon amour, très bon choix de tenue, je te félicite.
Tu as mis un soutien-gorge noir push-up qui met ta jolie poitrine en valeur. Le chemisier est entrouvert laissant voir le sillon entre tes seins rebondis. Si avec ça les hommes n’att****nt pas un torticolis j’y comprends plus rien. Je n’ai rien senti sous la jupe en y passa la main tout à l’heure, mais si c’est un string c’est logique. On verra bien plus tard.
Tu disparais dans l’entrée quelques instants et tu reviens bottée de cuissardes noires elles aussi. Je ne peux retenir un sifflement. Et j’ajoute, tu viens belle poupée, je t’emmène à l’aventure sur mon beau cheval blanc?! Tu rigoles et te pends à mon coup et m’appliques un baiser appuyé sur la bouche. Avec grand plaisir me dis-tu!
Première étape, le restaurant. Tu n’as rien dit lorsque je me suis garé en ville. Tu ne m’avais même pas demandé où on était invité. Mais en entrant dans la salle du restaurant tu poses sur moi un regard interrogateur. T’inquiètes mon amour, c’est une soirée pour toi. Alors laisses-toi guider et profites. Tout ce que je fais, c’est pour notre bonheur. On s’installe. Une petite table, en angle, dans un coin tranquille. Les cartes, le choix, l’apéritif. Le repas est un délice. Les plats sont raffinés, la cuisine créative. Un régal pour les papilles. Tu es aux anges mon amour. Tu aimes cette cuisine raffinée. Ce sont pour nous des instants d’éternité. Nous aimons tous deux la gastronomie. La cuisine, c’est sensuel. On peut presque dire dis-moi ce que tu manges je te dirais quel sensuel tu es. Je profite de ce moment propice pour lui reparler de sa prestation de l’autre jour, à la terrasse du café.
Tu sais mon amour, j’ai repensé à l’autre jour à la terrasse, toi aussi peut-être? Tu me dis que toi aussi effectivement, tu y as repensé. Que tu ne te savais pas capable de faire une chose pareille. Que tu l’avais fait uniquement pour me faire plaisir mais que sur la fin, tu avais quand même pris du plaisir, que tu avais même mouillé un peu. Et bien tu vois, je t’apprends à te connaître toi-même. Peut-être te ferais-je encore découvrir d’autres facettes de toi que tu ignores encore. Allons-nous-en. La soirée n’est pas terminée.
En juillet les jours sont longs mais il fait pratiquement nuit lorsque nous sortons du restaurant. Il fait doux comparé à la chaleur de la journée. Une petite brise rafraîchit la moiteur du soir, il fait bon. Nous remontons en voiture et je reprends le route, mais pas vers la maison. Quelques minutes plus tard, la voiture pénètre sur l’autoroute et file vers la mer.
On roule fenêtres ouvertes. L’air est chaud malgré l’heure tardive. Des senteurs de lauriers roses envahissent la voiture. On est bien. Tu as le coude sur la portière mon amour et ta main tient ta tête balayée par tes cheveux que le vent disperse. Ta jupe courte ne cache guère tes cuisses et lorsqu’on passe à côté de rares camions, je ralentis en te demandant si le routier te mate. Quelquefois c’est oui, d’autres non. Alors je te demande ce que ça te fait quand ils te regardent les cuisses. Tu me dis que c’est plutôt excitant, surtout que certains te font signe de t’arrêter. On continue, la route est belle, il y a peu de monde, c’est une belle nuit.
A l’approche d’une aire, je te dis que je vais m’arrêter car j’ai envie d’aller aux toilettes. J’aurai dû y aller au restaurant avant de partir, c’est bête. Je ralentis, m’engage sur la bretelle de sortie et vais me garer dans le fond du parking. Il y a assez peu de voiture. Mais toutes sont à côté des toilettes. Moi je suis plus loin. C’est un peu isolé et moins bien éclairé. Entre nous et les autres voitures, il y a un gros camion qui fait écran. Tu ne me poses pas de question. As-tu deviné quelque chose? Je n’en ai pas l’impression. Tu sembles plus insouciante que suspicieuse. Je sors de la voiture et me dirige vers les bosquets à proximité. Tu me suis du regard un moment mais je disparais à ta vue derrière un arbre plus gros. Tu mets la radio en marche sans plus t’occuper de moi. De ma cachette je te vois. Tu dodelines de la tête au rythme de la musique qui sort des haut-parleurs. Tu as baissé le pare-soleil et tu te recoiffes dans le miroir de courtoisie. Mais ce que tu ne vois pas, du moins pas tout de suite, c’est une dizaine d’hommes qui se rapproche de la voiture par derrière. Tout à coup tu t’en aperçois mais ils sont de part et d’autre de la voiture, cinq de chaque côté. Tu jettes des regards apeurés de tout côté en espérant accrocher ma silhouette surgissant des bosquets. Mais rien, tu ne me vois nul part. Les hommes se baissent pour être à ton niveau. Comme les vitres sont toutes grandes ouvertes, des mains viennent sur tes seins, tes cuisses, ton cou, tes cheveux. Tu paniques mais aucun son ne sort de ta bouche. Puis tu m’aperçois enfin. Je lis le soulagement sur ton visage auparavant défait. Tes yeux m’appellent au secours. Je m’approche. Les hommes m’entendent et se redressent. Je suis à cinq mètres de la voiture. Que voulez-vous? Que faites-vous à ma femme? Ben c’est pas prudent de laisser une poulette comme ça toute seule au fond d’un parking me dit l’un d’eux, alors on la surveille pour qu’il ne lui arrive rien. C’est très gentil à vous mais maintenant je suis là, vous pouvez nous laisser. Comment ça vous laisser? Toute peine mérite salaire! On a surveillé ta poulette, tu pourrais nous être reconnaissant! Mais je vous suis reconnaissant, que voulez-vous d’autre? Ben, c’est qu’on a vu qu’elle avait de jolies cuisses, alors on voudrait voir un peu mieux. Là, assise, on ne voit pas grand chose. On ne demande pas la lune tout de même? C’est vrai chérie, ce n’est pas grand chose, ces messieurs voudraient voir tes cuisses. Tu vas sortir de la voiture et remonter ta jupe qu’ils te voient bien. Vas-y s’il te plait. Alors résignée, tu ouvres ta portière et sors de la voiture. Tu commences à remonter ta jupe mais le cuir n’est pas aussi souple que du tissu, ça tire-bouchonne. Je te dis de l’enlever complètement, ce sera plus commode. Alors tu la rebaisses sur tes cuisses et entreprends de tirer le zip de la fermeture éclair. Ta jupe choit à tes pieds. Ton chemisier t’arrive en haut des cuisses et cache ton string. Les mecs sifflent d’admiration. L’un d’eux, encore le même, dit que tant qu’à faire il voudrait bien voir ses fesses aussi. Je n’ai même pas besoin de te demander que tu relèves déjà les pans du chemisier et découvre ainsi ton string. Tes fesses rondes et fermes s’offrent à la vue de ses males qui semblent bien échauffés. L’un s’approche et te caresse les fesses. Tu frissonnes mais ne dis rien. Se croyant encouragé, il baisse ton string à mi-cuisses. Aussitôt tu rebaisses ton chemisier et mets tes mains devant ton pubis. Oh non! Disent-ils en chœur. On veut voir! Une chatte lisse comme un œuf, on veut voir ça! Le mec s’enhardit de nouveau et finit de baisser le string entièrement. Il rejoint la jupe à tes pieds. Puis il se met derrière toi et te prend les poignets et te remonte les bras. Dans le mouvement ton chemisier remonte aussi et ton sexe n’a plus de protection. Mon amour, tu vois, ces hommes sont de parfait gentlemen, fais-moi plaisir, enlèves aussi ton chemisier. Tu me regardes et tu comprends. Alors tu te défais de l’homme qui tenait tes poignets et tu déboutonnes ton chemisier. Tu l’enlèves et me le tends. L’homme toujours derrière toi dégrafe ton soutien-gorge et dans la seconde suivante, tu es nue, en cuissardes devant tous ces hommes dont le pantalon semble avoir une bosse des plus révélatrice. Je récupère toutes tes affaires et les jette dans la voiture. Un autre des hommes te prend par la main et te fait tourner sur toi-même comme lorsqu’on fait admirer une toilette de qualité. Tous sont admiratifs. Il faut dire que tu es vraiment bien faite. Un autre encore, plus hardi, passe sa main entre tes cuisses. Mais elle mouille la salope! Crie-t-il. Du coup, tous sortent leur chibre de leur pantalon devenu fort étroit, et commence à se masturber, en rond autour de toi. Toi tu es là, les bras ballants, les jambes légèrement écartées, tu les regardes sans bouger. Là, c’est à moi de jouer. Il va me falloir être persuasif. Je joue gros. C’est un peu ce qui va décider de la suite de mon projet. Alors j’interviens. Il était prévu que j’entre en scène à ce moment là.
Messieurs! Soyez gentils. Je crois que vous avez eu plus que ce que vous demandiez. Soyez raisonnable. Laissez-nous repartir. Ben vous êtes sympa vous! Regardez dans quel état elle nous a mis votre femme. Vous auriez le cœur à rentrer chez vous comme ça vous, à notre place? Oui c’est vrai, je vous comprends. Mais que voulez-vous de plus? Ben qu’elle nous aide! Chérie, mon amour, fais-le pour moi. Si tu m’aimes, tu les suces! Sois gentille, en plus je sais que tu mouilles, ça t’a excitée aussi. Et tu sais que j’aime te voir sucer. Alors je me suis approché de toi, je t’ai embrassée et j’ai ajouté doucement, prends ton pied mon amour, profites de ces queues tendues pour toi.
Je me suis retiré du cercle formé par ces dix mecs. Je t’ai vue te baisser et te mettre à genou sur une veste que l’un d’eux avait gentiment déposée devant toi. Tu écartes légèrement tes cuisses afin d’avoir une bonne stabilité et déjà un homme se met devant ton visage, la queue au garde-à-vous.
Là, tu prends conscience de ce qui t’arrive. Tu sembles hésiter. Puis tu ouvres ta bouche au moment ou le mec te met la main derrière la tête et exerce une pression qui fait entrer sa bite dans le fourreau de tes lèvres. Dès cet instant, tu oublis toute éducation. S’il te restait quelque inhibition, elle a disparu et je me félicite de mon jugement. Je ne m’étais pas trompé sur tes aptitudes. Tu as maintenant une main sur la bite de cet homme et l’autre lui triture les couilles. Tu sembles faire comme si c’était moi. La même façon de jouer avec le gland. Les coups de langues tout le long de la hampe, jusqu’aux bourses que tu malaxes toujours. Puis tu engouffres les deux tiers de la queue jusqu’au fond de ta gorge, ce qui provoque des petits cris de plaisir à ton nouveau partenaire. Tu fais des va-et-vient de ta bouche sur sa bite, de plus en plus vite. Il a la tête renversée, les yeux fermés, la bouche ouverte. Nul doute, tu lui fais du bien mon amour.
Alors qu’il sent qu’il va venir, il se retire de ta bouche et tendis qu’il se recule en se caressant toujours la queue, un autre se poste devant toi dans la même position. Tu n’hésites plus. Tu le prends à deux mains, sa bite est fine mais longue, tu l’avales d’un coup jusqu’à la moitié. Un râle sort de sa bouche et il t’att**** la tête à deux mains et fait lui-même des va-et-vient dans ta bouche comme s’il te baisait la chatte. Je te vois presque suffoquer tant sa bite est longue et s’enfonce dans ta gorge. Il s’en rend compte et se retire afin de te laisser manœuvrer toi-même. Tu reprends la fellation à ton rythme, en lui massant les couilles comme à ton habitude. Tu le branles. Tu le suces à nouveau. Et lui aussi, à ce tempo, finit par devoir se retirer sous peine de te décharger dans la bouche. Il se recule donc et laisse la place à un troisième dont la bite, un peu molle, semble déjà de belle taille et tu imagines qu’en érection elle doit être énorme. Rien qu’en y posant ta main déjà, elle se redresse un peu. Tu le branles et lui pétris les couilles. Comme tu le présageais, sa queue gonfle rapidement et devient énorme. Elle n’est pas très, très longue, mais le diamètre est impressionnant. Tu suçotes son gland mais à quoi penses-tu en ce moment? Imagines-tu cette grosse queue entrer dans ton vagin? Ou dans ton cul? Tu te dis que ça doit être douloureux, on dirait presque un concombre! Mais déjà tu tentes d’absorber ce chibre en ouvrant grand tes mâchoires. Ça semble difficile, elle est vraiment épaisse cette queue. Tu finis par y renoncer et tu te contentes de le branler en gardant son gland seulement dans la bouche. Mais le résultat est finalement le même et lui aussi doit se retirer avant de cracher son venin. Et le manège continue. Un se retire, un autre arrive. Les dix mecs se font pomper à tour de rôle. Après y être passé, ils continuent à se branler afin de maintenir leur érection. Quand tous ont été sucés, ils se regroupent autour de toi en essayant d’être le plus possible devant. Et ils se branlent avec frénésie. Tu attends, les yeux fermés. Un des hommes te dit d’ouvrir ta bouche de salope! Tu le fais. A quelques secondes d’intervalle, toutes les queues te giclent dessus. Certains arrivent à viser correctement et des jets de spermes t’arrivent sur la langue. Le reste dégouline sur ton visage, tes seins, tes épaules et même dans tes cheveux. Tu as du foutre partout. Tu es belle! Ça te coule entre les seins, ça descend sur ton ventre, tes bras aussi sont maculés. Les dernières gouttes sont tombées. Les hommes se rajustent leur pantalon et te remercient chacun leur tour. Ils ne tarissent pas de compliments sur ta plastic et surtout sur ton art de la fellation. Ils te trouvent tous formidable. Ils retournent à leurs voitures, sauf un qui conduisait le camion écran, en passant devant moi pour me serrer la main et me remercier chaleureusement de les avoir conviés à cette sympathique soirée en plein air.
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