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Bruno et Tomasso

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Bruno et Tomasso (Chapitre 3)

Il était 14.00 heures et Ernst arriva à l’évêché. Il sonna, mais personne ne vint répondre. Il entra lentement dans le hall et ne vit personne. Il prit le corridor menant au bureau de l’évêque et cogna à la porte. Personne là encore. Alors, il se dirigea vers la chapelle personnelle du prélat et quelle ne fut pas sa surprise de voir Bruno, Tomasso ainsi que Mona et Clara avec l’évêque. Les cinq étaient complètement nus et l’évêque les bras en croix récitait une prière de la messe noire qu’ils pratiquaient depuis plusieurs années. L’évêque portait cependant une étole qui lui donnait superiosité sur les quatre assistant à la cérémonie. Cette messe noire avait été composée par l’évêque lui-même. Ernst prenant soin de ne faire aucun bruit, ils ne furent pas conscients de sa présence, il se dissimula derrière une colonne.
-Oh, Satan mon maître en tout, agrémente les plaisirs de la chair que ton ennemi l’Église nous interdit d’user dans des conditions inacceptables. Fortifie notre volonté de bien apprécier ces plaisirs sans remords ni autres tentations de ne point les écarter, pria l’évêque.
-Oh, merci Satan notre maître, répondirent les quatre qui se levèrent et se mirent les bras en croix.
Mona vint ensuite dans la nef et alla s’étendre sur la table qui servait d’autel. Le célébrant s’approcha d’elle et lui versa du vin sur les seins et sur le pubis et dit:
-Oh Satant mon maître en tout, viens et lèche ce vin enivrant pour célébrer ta puissance sur les hommes et les femmes qui sont poilus sous les bras en ton honneur. Admire les aisselles de mes disciples et fais que leurs poils soient des plus séduisants pour les profanes qui les regarderont. Rends les pénis de mes disciples plus dur afin que leur plaisir soit centuplés par la beauté que tu donneras aux femmes.
Ernst crut rêver ! Entendre de telles paroles par un évêque complètement nu faisant adorer ses aisselles poilues par des acolytes aussi nus que lui, Ernst eut une érection. Il constata que ses aisselles étaient très transpirantes. Il vit ensuite Mona sucer le pénis de l’évêque qui gémit comme un torturé alors que les autres regardaient ses aisselles poilues. Voir les poils des aisselles de l’évêque pendant qu’il jouissait fut pour lui aussi tout un spectacle. Il retourna discrètement à la porte de la chapelle et la referma puis il cogna.
-Qui ça peut être, demanda l’évêque.
-Oh, fit Tomasso, je pense que c’est l’Abbé Ernst…
-Savais-tu qu’il pourrait venir?
-Je sais qu’il voulait vous voir monseigneur.
-Va ouvrir Tomasso, ordonna le prélat.
Tomasso ouvrit la porte.
-Ohh…! Ernst !!!
-Ah, excusez, je dérange…
-Mais non, dit l’évêque, tu ne déranges pas, viens aussi assister à notre célébration de la messe noire!
-Mais, je ne savais pas, dit Ernst.
-Maintenant, tu sais, alors joints-toi à nous, dit l’évêque, déshabille-toi comme nous.
Ernst retira ses vêtements un à un devant tous qui l’observèrent. Mona s’approcha de lui et lui prit le pénis et le caressa. Ernst ne pu retenir une érection alors que Clara lui tritura les deux aisselles. Ernst se tint les deux bras soulevés pour permettre à Clara de faire sa manoeuvre. Mona cessa de caresser le pénis d’Ernst, ne voulant pas qu’il éjacule précossement. L’évêque était renversé de voir les aisselles d’Ernst. Jamais il eut cru qu’un homme pouvait être aussi poilu sous les aisselles de cette manière. Il se caressa le pénis en érection en admirant la pilosité axilaire d’Ernst.
-Ernst, mon fils, dit-il, tu es un trésor pour notre paroisse épiscopale, je vais te recommander pour être le prochain évêque que le Vatican nommera. Je suis certain que le Saint-Père va approuver ta nomination.
-Votre excellence, je ne désire pas être évêque, cela serait pour moi un très lourde charge, j’aime tellement être curé dans la paroisse où je suis assigné.
-Je sais mon cher fils, mais on a besoin de bons évêques, dit le prélat. Maintenant, laisse-toi masturber pour notre plaisir.
Mona se remit à le masturber. À la vue de cette action, tous se caressèrent le sexe jusqu’à complète satisfaction. La vue d’Ernst qui râlait comme un torturé tout en montrant ses aisselles des plus poilues démontrait son plaisir on ne peut plus imaginer. L’évêque trouva que cette célébration fut la plus belle qu’il présida. Ernst en sortit avec la certitude qu’il serait évêque dans une période rapprochée.
À suivre…

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