Histoires de sexe de voisins Histoires porno

Ma femme avec deux hommes

Ma femme avec deux hommes



Un soir, Valérie ma femme rentra du boulot et me dit qu’elle s’était fait accoster par un homme d’une cinquantaine d’année, un soi-disant artiste peintre qui avait flashé sur elle et qui aurait aimé la prendre comme modèle car elle correspondait exactement au profil qu’il recherchait.

– Je suis sûre qu’il veut me faire poser nue, même si il m’a affirmé le contraire, me dit-elle.

Quelques jours plus tard, comme il savait où elle travaillait, il pouvait facilement rentrer en contact avec elle pour renouveler sa demande. Je suis tout de même arrivé à la persuader de le rappeler pour accepter son offre.

– Ecoute ! Tu es jolie et cet homme a du gout puisqu’il te demande de posée pour lui. Alors pourquoi pas !

– Bon d’accord mais, je sens très bien ce qu’il veut, me dit ma femme. Viens avec moi s’il te plait, cet homme habite au milieu de nulle part et vit seul, je ne veux pas être toute seule avec lui.

Nous sommes donc allés au rendez-vous effectivement, il habitait en dehors d’un petit village, dans une maison isolée à la lisière des bois, sans voisins proches. Nous étions en plein été, Valérie portait une petite jupe ample qui lui arrivait au-dessus du genou ainsi qu’un petit débardeur à fine bretelle légèrement décolleté. En arrivant devant chez lui, elle me dit :

– Je sais qu’il est bien connu dans le secteur, il n’est pas méchant mais il est bizarre plutôt marginal et beaucoup de gens se méfient de lui.

Quand il ouvrit la porte, il nous salua, mais je vis bien que ma présence le dérangeait. C’est un grand balaise plutôt bedonnant, et il porte une grande barbe grisonnante avec de longs cheveux. La description fait par Valérie correspondait tout à fait l’allure d’un artiste peintre. Il nous invita à entrer. Cet homme avait une apparence plutôt négligée. Je n’avais jamais vu une habitation aussi mal entretenue, tapisserie déchirée aux murs, vieux parquet non entretenu.
Nous nous sommes assis dans ce qui servait de salon sur une banquette recouverte d’un tissu. Il prit place face à nous, et nous a proposé de prendre un verre. Ma femme s’assis les jambes croisées, collée contre moi comme si elle avait peur. Le fait qu’elle croise les jambes fit remonter sa jupe jusqu’à mi-cuisse.
Durant notre discussion, les yeux de l’artiste ne pouvaient s’empêcher de se diriger sur les jambes et sous la jupe de Valérie pour essayer de voir ses cuisses ou ses dessous. Tout comme son regard qui plongeait dans son décolleté à chaque fois qu’elle prenait son verre sur la table basse. Le débardeur étant plutôt ample, une vue imprenable s’offrait à lui, la dentelle blanche de son soutien-gorge à chaque fois qu’elle se penchait.
Puis, il nous emmena dans son atelier, à l’arrière de la maison un lieu mal éclairé, aussi en désordre que le reste de la maison, mais la pièce était grande et disposait même d’un lit et d’un canapé. Par la fenêtre, on pouvait distinguer l’entrée de la forêt à quelques dizaines de mètres plus loin. Sur les murs trônaient des toiles de nu, certainement d’anciens modèles, alors qu’il nous avait pourtant dit qu’il ne peignait pas ce genre de tableau.
Alors qu’il réalisait le portrait de ma femme habillé, on sonna à la porte c’était un de ses amis, dans le même style que lui, marginal, un peu plus petit, assez costaud avec des vêtements sales. Il était dans le même gabarit que l’artiste mais légèrement plus petit, il n’était vraiment pas beau. Je vis que lui aussi marqua un temps d’arrêt quand il vit ma femme.
Tout de suite une image me vint en tête, Valérie, se faisant prendre par ses deux affreux. Nous sommes restés près de deux heures, le temps de réaliser le portrait, je voyais les deux compères qui déshabillaient ma femme d’un regard lubrique.
Les parties qui les intéressaient le plus étaient ses jambes, ses cuisses grâce à sa jupe qui remontait à mi-cuisse quand elle était assise et sa poitrine. Quand nous sommes repartis, le plus laid lança à ma femme :
– Au plaisir de vous revoir Madame.
Et l’artiste de surenchérir :
– J’aurais besoin de refaire un ou deux portraits, je vous contacterai.
Nous les avons salués et avons rejoint notre véhicule.
Une fois arrivés à notre voiture, Valérie me dit :
– Tu as vu le regard de ses deux porcs. Heureusement que tu es venu avec moi, tu imagines ce qui aurait pu arriver si j’étais venue seule, ils auraient très bien pu abuser de moi, et je n’aurais rien pu faire contre eux, même en criant, il n’y a personne à des kilomètres à la ronde !
Le tableau de ma femme se faisant posséder par ses deux hommes me revint en tête, avec en plus la vision qu’elle se débattait, mais que résignée et impuissante face à ses colosses, elle aurait fini par céder au plaisir et se serait laisser faire.
– A quoi penses-tu, me demanda-t-elle ?

– A ce que tu viens de me dire, lui répondais-je avec un petit sourire.

– Non ! Ne me dit pas que tu as envie que je serve de dévidoir à ses deux clochards, me demanda-t-elle un peu effrayée. Tu ne trouves pas que les choses vont un peu loin ?

– Tu as raison, lui dis-je, c’est vrais que cette idée me plait beaucoup, mais je ne veux en aucun cas te forcer.
La discussion en resta là. Nous n’avons pas eu de nouvelles de l’artiste durant la semaine qui a suivi. Valérie et moi en avons rediscuté mais elle ne m’avait pas encore dit quelle était sa décision contacter l’artiste ou non. Le week-end suivant, nous étions invités pour un barbecue chez nos voisins.
Soirée bien arrosée, je me suis surpris à mater ma voisine de haut en bas, qui elle aussi était tout aussi désirable que ma femme. Très jolie, sportive avec de très jolies formes. Elle portait une petite robe courte ce soir-là, qui laissait apparaître ses jambes et ses cuisses musclées, et cette robe faisait bien ressortir les formes de ses hanches et de sa poitrine. D’ailleurs Valérie s’en rendit compte et me le fît remarquer dès notre retour à la maison.
– Tu as bien maté La voisine ce soir dis-moi, petit coquin ! J’ai bien cru que tes yeux allaient sortir de leurs orbites.
Elle me reparla de l’artiste et me dit :
– J’ai réfléchi, je vais accepter sa proposition et y retourner, je vais poser pour lui, même si je sais déjà comment les choses vont se passer. Il veut de mon corps, mais pas uniquement pour sa peinture, crois-moi. Et tu vas être content, car quoiqu’il veuille je cèderai à ses caprices, s’il veut du nu, il en aura, et si il en demande un peu plus, et bien je lui donnerai. Qui sait son ami sera peut être présent ce jour-là. En revanche, je suis sure d’une chose, je ne veux pas que tu viennes avec moi.
Je venais de me prendre un coup de poignard. Faisait-elle cela car elle en avait envie, moi-même je ne comprenais plus. Elle semblait vouloir me faire payer le fait que je veuille qu’elle couche avec cet homme, même si elle s’y refusait au départ. J’aimais son comportement de garce quand elle couchait avec d’autres à condition bien sûr que j’assiste à la scène, mais cette fois, elle avait décidé de s’envoyer en l’air de son plein gré et surtout sans que je sois présent.
– Attends, tu m’as supplié la première fois de venir avec toi, et maintenant tu es prête à y aller seule ? Mais s’il doit se passer quelque chose, je veux être là !

– Et-bien moi je ne le veux pas, si je dois me faire baiser cela se passera entre ce type et moi, mais tu n’y seras pas convié mon chéri. Mais ne t’inquiètes pas, je te raconterai tout dès mon retour, et dans les moindres détails.

Elle avait décidé de me rendre fou, et elle y arrivait bien ! Elle alla chercher le téléphone et appela « l’Artiste » devant moi en me fixant droit dans les yeux. Elle enclencha le haut-parleur pour que puisse tout entendre :
– Bonsoir c’est Valérie, j’ai réfléchi à votre proposition et je suis d’accord pour venir poser pour vous, quand seriez-vous disponible ?

– Le week-end prochain si vous voulez, le Samedi en fin de journée si vous êtes d’accord ?

– Cela me va bien, lui répondit-elle.

– On fera un petit apéro et une petite bouffe avant de commencer, car cela peut prendre du temps en revanche, je dois vous l’avouer, si je voulais vous revoir, c’était pour peindre une toile de nue, lui dit-il. J’aimerai que vous veniez seule dans la mesure du possible.

– Je m’en doutais un peu, de toutes façons, j’avais prévu de venir seule, car je serai un peu gênée de poser nue devant un autre homme avec mon mari qui me regarde. Je vous dis à la semaine prochaine alors !
Et elle raccrocha le téléphone. Elle me rendait dingue et j’avais envie de lui faire l’amour comme jamais, je l’ai attrapée, et renversée sur le canapé. J’étais tellement excité que je l’ai prise sans la déshabiller, juste en remontant sa jupe et en écartant le bout de tissu de son string pour pouvoir la pénétrer. Je me libérais en elle quelques minutes plus tard.
– Waouh, c’était rapide, mais génial me dit-elle, ma décision t’a fait de l’effet on dirait.
Pour sûr que sa décision me faisait de l’effet, mais j’étais bien résolu à assister à tout ! Dans la semaine, je pris ma voiture pour aller faire un repérage, la maison étant au milieu de nulle part et près des bois, je pouvais me dissimuler et tout observer avec une paire de jumelles pour l’avant de la maison. Pour l’arrière, c’était assez près de la maison, je pouvais avoir une vue directe dans l’atelier tout en étant bien caché, et là je n’aurais même pas besoin des jumelles. Le fameux Samedi tant attendu arriva.
Valérie prit une douche en fin d’après-midi, je la regardais alors qu’elle se savonnait, et je ne pus m’empêcher d’avoir une érection en la voyant se savonner sa jolie poitrine. Et quel délice quand elle se retourna, rien que la vue de ses fesses rondes et gracieuse me donnait bien envi d’elle.
Elle s’épila intégralement, son sexe était désormais lisse comme un abricot dans lequel j’avais envie de croquer, mais ce soir, ce fruit est réservé pour un autre que moi.
Ma femme a revêtu ses dessous les plus sexy, un ensemble string et soutien-gorge blanc qui faisaient ressortir le galbe déjà bien prononcé de ses seins et la rondeur de sa jolie paire de fesses. Elle m’avoua même qu’elle n’avait envie de rien mettre, car elle savait déjà qu’elle ne les porterait pas longtemps. Elle enfila une petite robe courte mais ample au niveau du bas qui lui arrivait à mi-cuisse et le haut à fine bretelles était décolleté juste ce qu’il faillait.
– Je suis jolie, me demanda-t-elle ?
Elle était plus que jolie, elle était désirable comme à son habitude. Je voulais la retenir, l’empêcher d’y aller seul, mais elle insista.
– Non, j’irais quoiqu’il arrive la seule chose qui puisse m’arriver c’est de coucher avec ce peintre et si c’est ce qu’il souhaite et bien je me donnerai à lui toute entière. La seule raison pour laquelle tu veux m’empêcher d’y aller est que je ne veuille pas que tu assistes à cela, et ça te contrarie au plus haut point. Quoiqu’il arrive, je prendrai mon pied, que tu sois là ou non.
Elle recommençait son petit jeu de garce. Elle arrivait à m’exciter comme jamais, mais j’étais également malade de jalousie à l’idée qu’elle se fasse baiser sans que j’y assiste. Valérie partit avec sa voiture, avant de partir, elle m’embrassa langoureusement et j’en profitais pour passer ma main sous sa robe et lui caresser les fesses.
Sa peau était douce et lisse, comme de la soie, je pensais déjà à celle de l’artiste qui allait se balader sur son corps nu et cela me rendait malade !
Elle s’était également parfumée, un parfum à la fois doux et enivrant qui allait lui plaire à coup sûr.
– Passe une bonne soirée mon chéri, et ne t’inquiètes pas, tout ira bien pour moi, je te ferai un compte rendu détaillé de ce qui se passera.
Je lui laissais un gros quart d’heure d’avance, et je me mis en route également. Je garais la voiture à quelques centaines de mètres à l’entrée d’une allée forestière. Quand je suis arrivé, il n’y avait personne à l’avant de la maison. Je fis donc le tour, Ma femme et l’artiste étaient assis autour d’une table de jardin qui faisait face aux fenêtres de l’atelier, à boire un verre, je ne sais ce qu’ils buvaient exactement, la bouteille était sur la table, mais je ne distinguais pas ce que c’était.
L’artiste portait un bermuda et un tee-shirt marcel qui faisait ressortir la musculature de ses bras et de son torse. Il faisait face à Valérie, je voyais bien qu’ils discutaient, mais je ne comprenais pas ce qu’ils se disaient.
Je décidais de me rapprocher un peu juste assez pour entendre leur conversation. Il reversa deux verres à ma femme qu’elle accepta bien volontiers. C’est alors que l’ami de l’artiste est arrivé. Il salua Valérie et se mit à table avec eux, il vint s ‘asseoir à côté d’elle, vraisemblablement pour mieux mater ses cuisses et vida deux verres d’apéritif. Puis l’artiste rentra à l’intérieur alors que son ami resta seul avec ma femme.
– Je vais préparer le barbecue, lui dit-il en lui resservant un verre.
Elle l’accompagna sans rechigner et ils commencèrent à discuter:
– Vous êtes venue seule ?

– Oui, j’étais un peu gênée de poser nue pour un autre homme alors que mon mari est présent dans la même pièce. Mais je ne savais pas que vous seriez là.

– Quand l’artiste m’a dit que vous veniez, je voulais vous revoir à tout prix, on n’a pas la chance d’assister tous les jours à la pose d’une beauté comme toi. J’ai hâte de te voir nue ma chérie, lui dit-il en passant la main sous sa robe et en lui caressant les fesses.
Elle ne broncha pas et se laissa faire. Elle se contenta juste de dire en lui caressant le bras.
– Il est peut-être un peu tôt pour cela non ?
Puis l’artiste revint.
– Tu vas laisser notre invitée tranquille, espèce de goujat ! Excusez le Valérie.

– Oh il n’y a pas de mal lui dit-elle en souriant, au moins c’est la preuve que je lui plais.

– Mais à qui ne plairiez-vous pas, lui dit l’artiste avec un sourire.
Elle lui rendit son sourire. L’ami de l’artiste enleva sa main et ils passèrent à table. Le repas fut vite englouti et la bouteille de vin qui était sur la table également. Le soleil se couchait déjà, et la pénombre avait recouvert ce joli coin de campagne, ils rentrèrent dans la maison, je vis les lumières de l’atelier s’allumer et ils firent tous les trois leur entrée dans la pièce.
La luminosité étant presque nulle à l’extérieur, je décidais de prendre place à la table sur laquelle ils avaient pris leur repas, cet endroit constituait un joli observatoire, car j’avais une vue imprenable sur l’atelier dans sa globalité, y compris sur le lit et le fauteuil. Et chose très intéressante, je ne pouvais pas être remarqué, malgré la fenêtre grande ouverte.
Ils avaient tous trois une coupe de champagne à la main, pour quelqu’un qui vivait comme un clochard, l’artiste mettait les petits plats dans les grands. Il arriva d’ailleurs avec le reste de la bouteille. Comme il faisait encore très lourd malgré l’heure tardive, l’artiste laissa les fenêtres de l’atelier grandes ouvertes. Valérie et l’ami de l’artiste avaient déjà pris place sur le canapé.
– Bon, on reprend un verre et on se met au travail, dit l’artiste en s’asseyant à côté de ma femme dans le canapé.
Valérie était maintenant assise entre ces deux hommes, mais bizarrement, ils restèrent très sages en buvant leur verre. Je voyais tout de même leurs yeux vagabonder sur ses jambes et sa poitrine, car les deux étant assis de trois quart par rapport à elle, ils la reluquaient comme deux fauves prêts à bondir sur leur proie. Quand ils eurent fini leurs coupes, l’artiste se dirigea vers son pupitre et dit :
– Aller, il faut qu’on se mette au travail, vous voudriez bien vous déshabiller Valérie, et vous coucher sur le lit s’il vous plait.
Elle se leva du canapé et fit glisser sa robe le long de son corps, sous le regard émerveillé des deux compères. Elle était désormais en petite tenue et offrait du même coup les courbes voluptueuses de ses fesses séparées par la ficelle du string et de sa poitrine dans un soutien-gorge en dentelle blanche qui galbait admirablement ses seins. Je vis les regards des deux hommes se figer sur elle.
– J’ai eu bien fait de venir, dit l’ami de l’artiste en se levant d’un bon.
Son bermuda était déjà déformé par l’érection monumentale qu’il avait. Il vint se coller derrière elle et en profita pour lui caresser la poitrine. Elle se laissa faire et pour lui faire comprendre qu’il pouvait continuer, elle bascula sa tête en arrière sur son épaule et lui embrassa le cou, inutile de vous dire que les lèvres de l’ami virent bien vite à la rencontre de celle de ma femme, et que leurs langues ont très vite fait connaissance.
L’artiste se leva, vint se mettre face à eux et il l’embrassa à son tour, elle était maintenant prise en sandwich entre ses deux hommes qui balayent son corps de leurs mains, tantôt les fesses, son entre jambes et sa poitrine. Puis elle leur dit :
– Je suis venu pour poser, il me semble. Nous avons bien le temps pour le reste.
– Comment veux-tu que l’on soit insensible à tes charmes ma jolie, lui dit-il. Et puis ton mari va t’attendre, que va-t-il dire si tu rentres tard ?
– Je ne lui ai pas donné d’heure, je lui dirai que cela a pris plus de temps que prévu. Et puis il n’est pas censé savoir ce qui va se passer après. Mais j’aimerai qu’on commence par le tableau.
– Ton mari doit être inconscient de laisser une femme si belle que toi aller seule à un rendez-vous chez un homme qui habite au milieu de nulle part pour poser nue, dit l’ami de l’artiste.
– Il est tout à fait courant que je suis ici pour poser nue, et je ne voulais pas qu’il vienne, mais il ne savait pas qu’il y aurait deux hommes présents. Mais je ne suis pas là pour parler de lui, je suis là pour poser alors allons-y, le reste peut attendre un peu….
Ils se sont exécutés et ont arrêté leurs attouchements, je n’y croyais pas, elle les menait par le bout du nez et arrivait à dompter ses deux mâles, tout en leur faisant comprendre qu’elle se donnerait toute entière à eux à la fin du tableau.
L’artiste retourna à son pupitre et son ami dans le canapé, avec une grosse bosse dans le pantalon. Ma femme, de son côté dégrafa son soutien-gorge et fit glisser son string le long de ses cuisses. Son corps était maintenant exposé à la vue des deux complices qui ne la lâchaient pas du regard.
– Allonge toi sur le lit, et mets un bras derrière ta tête et l’autre posé sur ton ventre et regarde-moi lui demanda l’artiste.
Elle s’exécuta et s’allongea sur le lit dans la position souhaitée. L’artiste commença son dessin, tandis que son ami sirotait une autre coupe de champagne en la reluquant.
Valérie ne tint pas bien longtemps, vraisemblablement excitée par la présence de ses deux mâles qui ne pensaient qu’à la prendre, la main posée sur son ventre descendit doucement vers ses lèvres qu’elle écarta délicatement pour accéder à son clitoris.
Elle commença à se toucher doucement tout en se caressant la poitrine tout en regardant les deux compères à tour de rôle. Petit à petit, le rythme s’intensifia et s’accompagna de gémissements. L’ami de l’artiste vida sa coupe d’une traite, se leva et se déshabilla.
Ma femme, en se tortillant vint se placer au travers du lit, la tête pendante dans le vide. Il s’approcha et lui présenta sa verge qui n’avait pas du dégonfler depuis le départ. Elle arrêta de se caresser les seins et se saisit de sa verge, alors qu’il commençait un va et vient dans sa bouche. Il lui caressait le ventre et les seins pendant qu’elle le pompait vigoureusement en se caressant le clitoris.
– Je savais que tu étais une cochonne, je l’ai vu dans ton regard dès que je t’ai vu dit l’ami de l’artiste.
Ce dernier se leva de son pupitre et commença à se déshabiller.
– Tu as raison, viens, il y a de la place pour deux, visiblement, madame est demandeuse.
L’artiste s’approcha se mit à quatre pattes sur le lit et dit à Valérie :
– Enlève ta main et laisse-moi faire.
Elle s’exécuta et lui vint lui titiller le clitoris avec la langue. Ma femme se tortillait de plaisir sous l’action de ses coups de langue et d’où j’étais, je pouvais entendre les gémissements étouffés de ma belle qui avait la bouche pleine du sexe d’un autre que moi. Valérie était désormais offerte à ses deux hommes qui étaient tout de même bien baraqués malgré leur âge, les muscles étaient recouverts de graisse, mais ils me paraissent très imposants pour des cinquantenaires. Et je dois avouer qu’ils étaient plutôt bien membrés. Même mieux que moi !
Résister n’aurait pas servi à grand-chose face à ses deux colosses, ils auraient eu vite de la maîtriser et d’en faire ce qu’ils voulaient. Elle passait en même temps sa main dans les cheveux de l’artiste avec la main qui lui restait. De mon côté, sans m’en rendre compte, j’avais déjà sorti ma verge et avait commencé à me masturber. L’artiste se releva et alla chercher la bouteille de champagne alors que Valérie continuait à pomper son ami frénétiquement, ce qui avait l’air de lui plaire.
– Moi aussi j’ai envie de me faire sucer, laisse-moi ta place, dit l’artiste à son ami.

– Tiens ma belle, bois un coup.
Son ami se retira de sa bouche, elle saisit la bouteille et bu plusieurs gorgées d’un coup. C’est maintenant l’artiste qui prit place dans sa bouche, alors que son ami s’installa entre les jambes de ma femme et la pénétra d’un coup sec. Il n’y alla pas par quatre chemins, il la pilonna de suite si bien qu’elle s’accrocha aux fesses de l’artiste placé derrière sa tête alors qu’il allait et venait dans sa bouche.
Sa poitrine ballottait au même rythme des coups de reins de l’ami de l’artiste et mon amour commençait à gémir comme jamais. L’artiste vint lui saisir un sein tandis que son ami mordillait le téton de l’autre.
Elle avait maintenant entouré les hanches de l’ami de ses jolies jambes, comme pour l’aider à aller au plus profond d’elle.
Après quelques minutes, l’ami de l’artiste se retira et vint chuchoter à l’oreille de son ami. L’artiste s’enleva de la bouche de ma femme, et lui dit :
– J’ai envie d’être en toi, je vais m’allonger sur le lit et tu vas t’asseoir sur moi.
Joignant le geste à la parole, elle se leva, l’artiste s’allongea sur le lit et elle vint s’agenouiller sur lui en s’empalant sur son sexe humide de salive. D’où j’étais je pouvais voir les lèvres de Valérie s’écarter et laisser le passage à la verge de l’artiste.
Ils étaient tous trois ruisselants de sueur, car il faisait encore très chaud dehors, et je pense que cela devait encore être pire dans l’atelier. L’ami restait en retrait derrière eux en se masturbant. Ma femme était courbée vers l’arrière et prenait appui avec ses mains sur les jambes de l’artiste, ce qui arrondissait du même coup sa superbe poitrine dont les tétons étaient dressés tant elle était excitée.
Ce dernier vint d’ailleurs saisir sa poitrine à pleine main et la pilonna de plus en plus fort. Je ne peux vous décrire ses gémissements, elle prenait un réel plaisir, on aurait presque dit qu’elle allait pleurer. L’ami de l’artiste revint à leur coté avec la bouteille de champagne et la présenta à Valérie :
– Tiens ma jolie, prend des forces, lui dit-il en riant.
Il restait un peu moins de la moitié de la bouteille je pense, elle s’y repris en plusieurs fois et la termina. Avant de se réintroduire dans la bouche de ma belle, l’ami de l’artiste l’embrassa avec passion.
Elle semblait maintenant comme anesthésiée et subissait les coups de reins de l’artiste, elle était secouée de spasmes comme un bateau qui subit une tempête en pleine mer et qui tangue aux rythme des vagues.
Ce tableau féerique dura quelques minutes, il me semblait quelle n’en pouvait plus. Elle arrêta de sucer l’ami de l’artiste, comme pour reprendre son souffle. Je pense que les effets conjugués du plaisir et de l’alcool produisaient leur effet.
Elle se redressa, resta agenouillée et vint maintenant se coller à l’artiste, en prenant appui sur ses avants bras comme pour reprendre des forces. Sa poitrine était maintenant en contact avec son torse velu, il vint poser ses mains sur les fesses rondes et fermes de ma femme qu’il écartait de ses grosses mains pour laisser apparaître son œillet du plaisir.
D’où j’étais placé j’avais vu à la fois sur la verge de l’artiste qui allait et venait en elle et sur son anus maintenant totalement offert. L’ami de l’artiste se mit de nouveau en retrait pour regarder le même spectacle que moi, puis il vint se placer derrière elle en disant :
– Je n’en n’ai pas fini avec toi ma jolie.
Valérie était toujours dans la même position, il humidifia ses doigts et vint recouvrir l’œillet du plaisir de ma femme de salive. Puis il vint le titiller avec son gland, ce qui la fit réagir elle releva la tête en le regardant.
– Non ! Pas çà, gémissait-elle entre deux coups de reins de l’artiste.

– Ah oui, et qu’est ce qui va m’en empêcher, ricana l’ami de l’artiste ?
Il tenta de s’introduire, mais elle fît mine de se débattre avec les maigres forces qu’il lui restait. Mais c’était peine perdue, pour contrer sa réaction l’artiste lui maintenait fermement les avants bras qui restèrent collés au lit, pendant que son ami lui maintenait fermement la nuque en venant coller son visage contre le torse de l’artiste. Et il arriva à ses fins et il s’introduisit en elle. Elle poussa un grand cri à mi-chemin entre la douleur et le plaisir.
– Noooonnnn, arrêtez …. Ohhhh, huuummmmm…
Ma femme se faisait doublement pénétrer sous mes yeux. Jamais elle ne l’avait fait, et je pense que même si je l’avais proposé, elle me l’aurait refusée. Et ce soir, elle se comportait comme la pire des trainées. L’ami de l’artiste tenait fermement ma femme par les hanches et la défonçait, tandis que l’artiste lui saisit la tête pour l’embrasser à pleine bouche.
Elle était maintenant comme un pantin désarticulé et était ballottée dans tous les sens. Les verges de ses deux hommes lui remplissaient totalement les deux orifices. Jamais je ne l’ai entendue jouir ainsi, elle criait si fort qu’on pouvait je pense l’entendre à plusieurs centaines de mètres. Cela n’avait pas d’importance, nous étions au milieu de nulle part, ils auraient même pu faire cela à l’extérieur que personne n’aurait été dérangé.
J’ai du mal à décrire la beauté de ce tableau, ma belle ruisselante de sueur et à moitié dans les vaps se faisant prendre par deux mâles encore plus suintant qu’elle, et qui se servaient de leur musculature imposante pour profiter d’elle et de ses charmes.
J’étais tellement excité que j’étais sur le point de jouir, mais je réfrénais mes ardeurs pour pouvoir attendre la fin du spectacle. Les deux complices n’allaient pas tarder à craquer, je le sentais rien qu’au rythme de leur respiration. Ce fut d’abord l’ami de l’artiste qui se vida à l’intérieur de ma femme. Il resta en elle quelques dizaines de secondes, le temps de reprendre ses esprits et se retira.
Elle était tellement dilatée par ses coups de pilon que dès qu’il s’est retiré, je vis son sperme s’écouler par l’orifice de ma femme. Il quitta la pièce et revint avec une bière, s’installa dans le canapé pour assister à la fin du spectacle. L’artiste se retira, bascula Valérie sur le côté, elle roula comme une pierre, sans aucune réaction. Il se plaça derrière elle, souleva une de ses jambes et la pénétra à nouveau.
Son autre main vint saisir l’un des seins de ma femme qui était à demi-inconsciente couchée sur le côté. Les yeux mi-clos, elle subissait les derniers coups de reins de l’artiste, mais je ne percevais plus ses gémissements tant elle était épuisée. Il ne tarda pas à se libérer en elle dans un grand râle de plaisir. Il se retira, Valérie resta sans réaction, le souffle court, débordant du foutre des deux compères.
A la vue de ma belle exténue, ruisselante et remplie de sperme, je me libérais moi aussi et j’ai pris mon pied comme rarement je l’avais pris en me masturbant, seul dans mon coin.
– Tu avais raison, dit l’artiste à son ami, c’est une sacré cochonne cette petite.
Ma femme se mis sur le dos et leur dit dans un souffle.
– Je crois que pour le tableau, ce sera pour une autre fois, murmura-t-elle.
– Parce que tu crois que je vais te peindre maintenant, ma priorité c’était de te baiser ma belle, et tu peux revenir quand tu veux, tu es la bienvenue, dit l’artiste sur un ton ironique.
Ma douce demanda à l’artiste pour prendre une douche, il lui indiqua le chemin de la salle de bain, et eux restèrent nus à discuter entre eux. Une fois douchée, elle vint rechercher ses vêtements et rhabilla. Ils lui offrirent un dernier verre, il était temps pour moi de partir pour ne pas me faire surprendre.
J’imagine qu’en les saluant, les deux ont dû profiter une dernière fois des formes de son corps en la touchant une dernière fois, et que peut-être ils se seraient revus pour une autre partie de jambes en l’air.
Valérie, rentra une demi-heure après moi et me raconta en détails ce qui s’était passé, en m’expliquant qu’elle avait beaucoup bu et qu’elle avait pris énormément de plaisir à faire la traînée avec ses deux hommes. Elle m’embrassa tendrement en me disant qu’elle m’aimait à la folie…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire