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Caged man 10

Caged man 10



Caged man 10

Un mois s’est écoulé depuis la soirée au cours de laquelle j’ai rencontré Madame Clélia.
La situation n’a guère évoluée. Un peu pourtant…
Je reste soumis mais je ne suis plus maltraité.
Bien sur Florence m’ignore ou me ridiculise, c’est selon, mais elle ne me frappe plus.
Plus qu’un soumis, je suis un larbin.

Un mois à tenir.. Encore.. Pourtant, quelque chose en moi me dit qu’il ne sera plus possible de retrouver ma vie d’avant.

Ses sorties continuent . Elle ramène ses amants à la maison maintenant.
C’est étrange mais, jusque là , je n’avais jamais vu mon épouse faire l’amour avec un autre.
Je pensais bien qu’elle ne se privait pas mais je n’avais jamais pu constater de mes yeux mon infortune.

Le premier soir ou cela est arrivé, quelque chose de plus s’est brisé en moi , pas le fait qu’un autre que moi la pénètre , la fasse jouir, non, juste le dédain et la cruauté dont elle a fait preuve alors qu’elle connaissait mes sentiments.

C’était un vendredi soir, le début d’un week end dont je me souviendrait toute ma vie.
Elle avait exigé que je rentre de bonne heure du travail pour faire le ménage à fond et préparer un souper .
— Ce soir je reçois un amant, je veux que tout soit parfait !

J’avais dressé la table, le repas était pratiquement terminé quand elle était rentrée.
Sans un bonjour, elle avait tout inspecté, émis quelques critiques et m’avait ordonné de lui faire couler un bain dans lequel elle s’était prélassée avant de me demander de lui frotter le dos avec une éponge naturelle.
J’avais pu m’empêcher d’admirer ses formes parfaites avant qu’elle ne se rende compte et qu’elle me replonge dans mon état de servitude en me rappelant durement qui j’étais et comment je devais me comporter.
J’avais baissé les yeux.
Elle m’avait forcé ensuite à avaler une pilule de cialis et, 30 minutes après , elle s’était caressé le corps entier, nue dans ce qui avait été notre lit conjugal, en me forçant à l’admirer, à genoux, aux pieds du lit.
Bien entendu, ma violente érection avait été contenue par ma cage et j’avais souffert le martyr.

Devant moi, elle avait enfilé une robe noire, aussi échancrée devant que derrière.
Nue sous ce bout de tissu qui ne cachait rien mais, au contraire, lui donnait une silhouette totalement affriolante, elle avait passé des escarpins noirs, dont les talons vertigineux accentuaient ses courbes.

Elle n’avait cessé de s’admirer devant la glace, me faisant remarquer combien elle était sexy, désirable et répétant que je ne pourrai en profiter et que tout celà était pour son amant.

Mon coeur s’était serré à l’idée que je devrai endurer un long calvaire à regarder ma femme se donner à un parfait inconnu.

Elle m’avait mis le collier autour du cou et placé autour de la taille un tablier noir et blanc de bonniche qui me donnait une allure totalement ridicule. Elle le savait, elle en jouait.

Quand la sonnette de la maison avait retentit, j’étais allé ouvrir comme ça, les joues rouges, parfaitement honteux .

Je m’étais effacé pour laisser entrer son invité. La trentaine, grand, musclé, le teint bronzé les cheveux courts, l’homme présentait bien.
Il n’avait pu s’empêcher de ricaner quand il avait aperçu ma dégaine.
— Flo m’avait prévenue, j’avais du mal à le croire .

Installés cote à cote dans le divan, ils bavardaient tranquillement en feignant d’ignorer ma présence agenouillé aux pieds de ma Maîtresse.
Il était bel homme, j’en conviens mais sa conversation était affligeante. Le prototype même du sportif ayant tout dans les muscles et rien dans la tête.

Elle lui avait demandé comment il avait trouvé son soumis. Totalement ridicule lui avait répondu le bellâtre.
— Tu as raison, c’est devenu moins qu’un chien. Même un a****l n’aurait pas accepté ce que je lui fais.

J’avais encaissé, la tête basse, les larmes au yeux.
Un mois, plus qu’un mois, et puis, peut être…. C’est la seule chose qui me faisait encore endurer ces épreuves.

J’avais servi l’apéritif et elle m’avait fait ramener ma gamelle.
Pendant qu’ils trinquaient, j’avais du laper le fonds d’eau de mon récipient sous leurs rires.
Et puis, en guise d’amuse bouche, elle avait ouvert la braguette de l’homme et , non sans efforts à cause de l’érection, elle avait extirpé un sexe majestueux, qu’elle avait embouché en me regardant.

Affalé sur le sofa, il se laissait aller à la fellation que lui pratiquait mon épouse devant mes yeux écarquillés.
Comme hypnotisé, je ne pouvais détacher mon regard de ce spectacle qui, pourtant me tordait les tripes.
Florence savait que j’avais mal. Elle n’en avait cure, bien au contraire, entre deux aller et retours de ses lèvres sur le sexe érigé, luisant, elle commentait l’action .
— Hummm.. Tu as vu cette bite mon cocu ? Elle est bonne, elle est dure, tu verras tout à l’heure quand je l’aurai dans ma chatte comment elle me fera jouir..

Je buvais ses paroles mais c’était de l’acide que j’avalais.

Plus tard, à table, Florence avait demandé à Kévin , puisque tel était son petit nom, s’il voulait que  » ma lope lui taille une pipe » ?
J’étais certain qu’il aurait préféré sa bouche à elle mais il n’avait pas osé lui refuser le plaisir de l’ humiliation.
Je m’étais donc glissé sous la nappe et avais entrepris de reprendre la même tâche que mon épouse auparavant.
J’avais senti le jeune homme mal à l’aise mais il s’était vite détendu et avait cru bon , après quelques minutes de fellation, de dire à ma femme que je le suçais aussi bien qu’elle.
Cette belle preuve de psychologie aurait du me faire sourire, le coeur n’y était pas et la bouche était distendue.
Florence n’avait pas appréciée la remarque et m’avait ordonné d’arrêter.
Kévin s’était rendu compte de son erreur, s’était empressé de changer de sujet et de faire une montagne de compliments à mon épouse pour essayer de se racheter.

Le café pris , Florence l’avait pris par la main et l’avait entrainé dans notre chambre, pardon, dans sa chambre.
— tu nous rejoindras quand tu auras débarrassé et fais la vaisselle. Et dépêches toi, je ne veux pas que tu rates le spectacle.

Quand j’avais poussé la porte, ils étaient sur le lit, nus, enlacés, s’embrassant en pleine bouche.
Elle s’était rendue compte de ma présence et avait demandé à son amant de m’attacher à la chaise qui se trouvait à côté du lit.
Les mains dans le dos, j’avais regardé les deux amants reprendre leurs ébats.
L’homme avait une musculature puissante. Ma femme semblait frêle dans ses bras.
Son sexe était bandé et je savais, pour l’avoir gouté, qu’il était d’une taille plus que respectable et d’une dureté de roc.
Sa langue semblait habile, Florence haletait sous les caresses prodiguées.
Peut être exagérait elle ses cris pour moi. Je ne le saurai jamais.
Les préliminaires avaient duré. J’avais pu la voir lécher le cul de son amant.
Jamais je n’avais eu droit à une telle privauté. Il avait eu l’air d’apprécier et lui avait rendu la pareille en lui glissant , en prime , un majeur bien humide entre les fesses.
Les suppliques de mon épouse pour qu’il continue ses caresses avaient rendu le jeune homme si fier qu’il n’avait pu se retenir de se retourner vers moi et m’adresser un clin d’oeil triomphant et ironique.

Le temps était ensuite venu de passer au plat de résistance. C’est elle qui, la première, avait demandé qu’il  » mette sa bite dans sa chatte  »
A mon grand étonnement et désapprobation, mais que pouvais je y faire, il avait pénétrer la fente béante, humide de ma femme sans aucune protection.
Il l’avait pilonnée, baisée dans toutes les positions possibles et imaginables.
Il était insatiable, elle savourait.
Dessus, dessous, debout, sur le coté, sous mes yeux s’était étalé le Kama sutra dans son intégralité.
L’homme était endurant.
Apres plusieurs orgasmes Florence avait demandé grâce. Elle n’en pouvait plus .
Il s’était autorisé à se laisser aller et, dans un feulement de lion s’était vidé en elle.
Elle avait repris ses esprits relevant ses jambes, écartant ses cuisses elle avait indiqué , d’un index impérieux , son entrejambe dégoulinant de sperme chaud.
— Viens me nettoyer avec ta langue !

En tant normal, j’aurai été heureux de lécher ma femme, de passer ma langue dans ses recoins intimes, de titiller son clitoris.
La, je devais juste nettoyer la semence de son amant du jour et le camouflet ultime était atteint. Elle le savait.
Docilement j’avais obéi , je m’étais agenouillé et j’avais consciencieusement lapé la semence .
Malgré un profond dégout, j’y avais pris, malgré moi un certain plaisir malsain.
Elle s’était aperçue que je m’attardais plus que de raison dans son intimité. Aussitôt, elle m’avait fait me coucher sur le dos et s’était accroupie sur ma figure.
De longues coulées blanches étaient alors sorties de son vagin pour couler directement dans ma bouche.
J’avais détesté ce moment ou, sans pouvoir atteindre ses chairs, elle se vidait en moi m’obligeant à avaler la jute de Kévin.

Elle m’avait ordonné de nettoyer l’engin du jeune homme.
Comme je m’apprêtais à aller chercher des lingettes, elle m’avait , en riant , indiqué que ma bouche suffirait.
J’avais donc sucé le vit qui avait le gout de ses effluves intimes.

L’homme était de nouveau en érection et Florence avait voulu sentir  » sa bite dans son cul « .
Elle m’avait fait me coucher sur le dos, s’était positionnée en levrette , sa chatte au dessus de ma tête et il avait entrepris sa pénétration.
J’avais eu une vue imprenable sur le trou de ma femme distendu par le membre épais de son amant.
A sa demande , et sous prétexte qu’il fallait bien lubrifier le tout, il avait entrepris d’alterner les pénétrations entre son anus et ma bouche.
Quand il forçait mes lèvres je ne pouvais que nettoyer les saletés issues des profondeurs de mon épouse. Cela m’avait amené plusieurs fois au bord du vomissement.
Jamais elle n’avait accepté que je la sodomise et là , elle s’offrait pleinement semblant y prendre un immense plaisir.
Elle avait joui bruyamment, il s’était alors laissé aller entre ses fesses et, une fois encore, j’avais du  » déguster  » le nectar de l’homme.

Elle m’avait ensuite congédié brutalement en me disant que je n’étais qu’un sous homme, un cloporte, une merde et qu’elle voulait passer la nuit avec lui.

Seul dans ma couche, j’avais entendu ses cris de jouissance une bonne partie de la nuit avant que je n’arrive à trouver le sommeil au petit matin.

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