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Entité biologique extra-terrestre

Entité biologique extra-terrestre



Cléo se sentit soulevée à l’intérieur du cône de lumière bleutée. Elle s’était approchée de l’objet brillant dans le ciel, par une nuit sans lune. Intriguée, elle l’avait vu aller et venir rapidement, et quand il avait stoppé son vol juste au-dessus d’elle, la curiosité l’avait emporté sur la prudence. Même quand un projecteur s’était déployé de ce qu’elle avait du mal à appeler une soucoupe volante, et qu’il avait balayé la colline jusqu’à s’arrêter sur elle, Cléo n’avait pas bougé. Et maintenant, elle allait savoir si elle devait regretter son attitude ou pas…

Le cône de lumière la propulsa jusqu’à une trappe du vaisseau, qui s’ouvrit pour la laisser rentrer. Elle se trouvait dans une sorte de sas, la porte de la trappe s’était refermée derrière elle, et elle faisait face à une autre porte, close également. Soudain elle sursauta : une vague d’air chaud soufflait du grillage au sol, faisant s’envoler ses cheveux et remonter sa jupe. En même temps, elle entendit une voix qui avait l’air de sortir d’un haut-parleur. Cléo n’avait jamais entendu une langue pareille, elle avait l’impression de n’entendre qu’une suite de voyelles. L’intonation ne semblait pas menaçante pourtant, pour autant qu’elle pût en juger. Le courant d’air stoppa net, et la porte s’ouvrit sur un couloir. Inquiète, mais poussée par la curiosité, Cléo avança. Une porte s’ouvrit en coulissant sur sa droite… Quelle horreur ! Glissant dans sa direction, une créature monstrueuse, composée d’un amas de tentacules violacés surmonté de deux énormes globes oculaires vert agathe ! Cléo hurla, elle voulut fuir mais se sentait perdre connaissance… Alors que ses paupières se fermaient et qu’elle sentait ses jambes lâcher prise, elle vit s’approcher l’ignoble créature et sentit l’un des tentacules, gluants, qui se glissait sous son dos…

Cléo ouvrit les yeux, prête à se débattre si le monstre était encore là. Elle était allongée mais seule maintenant, dans une grande pièce au plafond sphérique. Elle reposait sur ce qui ressemblait à une table d’autopsie : rectangulaire et métallique. Le premier mouvement qu’elle fit pour se redresser lui fit comprendre qu’elle était attachée : des liens lui maintenaient les épaules, la taille, les poignets et les chevilles à la table. Elle était nue. Cléo s’était souvent moquée des récits d’enlèvement par extra-terrestres qu’elle avait pu lire ou entendre ; il semblait qu’elle allait pouvoir en vérifier la véracité à présent.

Tournant la tête, elle découvrit qu’à sa droite, au fond de la pièce, était installé un autre lit… avec un homme ! Il était attaché comme elle, mais paraissait endormi. « Au secours, hé, réveillez-vous ! Héééé ! » cria-t-elle, mais il n’eut pas de réaction. Était-il… ? Le cri de Cléo avait néanmoins dû être entendu, car une série de bips retentit dans la salle, dont elle soupçonna qu’il provenaient du plafond. La voix retentit à nouveau, toujours incompréhensible. Cléo tourna la tête dans tous les sens, effrayée à l’idée de voir réapparaître la créature, mais elle et l’homme étaient seuls ici.

Un panneau dans le plafond au-dessus de Cléo coulissa, laissant apparaître une ouverture circulaire d’une vingtaine de centimètres de diamètre. Dans un grincement, un bras télescopique en sortit. Cléo se plaqua contre le lit, redoutant l’usage auquel était destiné cet outil. Il sembla la scanner, passant au-dessus de ses pieds et remontant le long de son corps jusqu’au visage. Cléo détourna la tête… et se sentit aspergée d’un liquide tiède. Elle cria de surprise, mais déjà le bras redescendait vers ses épaules, passait le jet de liquide sur ses seins, et continuait son chemin. Cléo pensa qu’il s’agissait tout simplement d’eau ; il ne s’en dégageait aucune odeur particulière. On la lavait alors ? Le jet s’arrêta entre ses jambes ; le bras pivota, ce qui lui permit d’arroser directement son vagin, puis son anus. Cléo tenta de serrer les cuisses mais les liens de ses chevilles l’obligeaient à maintenir les jambes écartées. Le jet continua, passa entre ses fesses… et le bras pivota à nouveau, et reprit son chemin jusqu’à ses pieds. Après quoi, l’eau s’arrêta de couleur et le bras se replia dans son logement. En tournant la tête, Cléo vit que l’homme à côté d’elle subissait le même traitement. Une pince robotisée vint même soulever son pénis, pour que le jet puisse nettoyer ses testicules. Puis un souffle d’air descendit du plafond et la sécha en quelques secondes.
La voix dans le haut-parleur retentit brièvement, et un rayon de lumière vert fluorescent partit du plafond. Dans le même temps, deux plaques d’acier sortirent de la table pour se plaquer contre les mâchoires de Cléo, lui interdisant tout mouvement du visage. Le rayon lumineux la balaya de haut en bas, puis s’éteignit. La salle redevint silencieuse. Cléo s’imagina que les créatures allaient traiter les données qu’elles avaient recueillies, essayer de les analyser. De toute évidence, elle et l’homme étaient des sujets d’étude, le rayon vert était probablement un scanner destiné à étudier leur anatomie. Étaient-ils les premiers que ces êtres avaient rencontrés ?

De longues minutes passèrent. Cléo essayait de temps en temps de réveiller l’homme, sans succès. Elle tenta encore une fois de se libérer de ses liens, mais sans conviction : elle les avait déjà éprouvés et savait qu’il n’y avait rien à faire.

Après une attente interminable dans un silence complet, Cléo entendit un panneau coulisser, mais cette fois du côté de l’homme. Elle ne pouvait plus tourner la tête, mais du coin de l’œil elle arrivait à discerner sa forme allongée. Un bras articulé descendait au-dessus de lui, terminé par un long cylindre noir, d’environ vingt centimètres de diamètre. D’une jointure de ce bras partait une pince à deux doigts plats. Les deux se dirigeaient vers l’entrejambe de l’homme. Cléo pressa la mâchoire contre la plaque de métal pour mieux voir, et put constater que la pince s’était délicatement saisie du sexe de l’homme, et le faisait rentrer à l’intérieur du cylindre. Un ronronnement léger provenait de l’étrange objet, que le bras mécanique maintenait en place. Cléo crut voir l’homme tressaillir ; en effet, il se mit bientôt à se démener, essayant comme elle de se libérer de ses attaches. Il cria, bougea la tête en tous sens. Cléo l’interpela ; il tourna la tête vers elle et se mit à proférer des syllabes sans aucun sens. Elle crut reconnaître une langue slave, sans en être certaine. Elle tenta de s’adresser à lui en bredouillant quelques mots en anglais, mais il n’écoutait plus. Il tentait visiblement de secouer ses poignets, sans doute pour se libérer du cylindre qu’il regardait fixement, les yeux exorbités. Le cylindre se souleva alors, et Cléo comprit en voyant la queue dressée de quoi il s’agissait : les créatures le masturbaient ! Mais dans quel but ? Le pénis de l’homme commençait à se rétracter ; le cylindre se remit rapidement en place. Un autre bras articulé sortit du plafond, et vient planter une seringue dans l’avant-bras de l’homme, qui se détendit immédiatement.

Cloé sursauta quand une porte s’ouvrit en coulissant sur sa gauche. Elle vit paraître la créature qu’elle avait croisée dans le couloir ! Elle hurla, et tenta de se débattre, en vain. L’alien tentaculaire se plaça près d’elle, et actionna un mécanisme : les liens qui la maintenaient se délièrent. Mais avant qu’elle eût pu esquisser le moindre geste, les tentacules du monstre étaient venus les remplacer. L’un enserra sa taille et la souleva du lit, alors que d’autres maintenaient ses jambes et ses bras. Elle était maintenue en suspension par l’alien ! Il se déplaça dans un bruit de succion, dans la direction de l’homme. Celui-ci les vit arriver d’un regard vide. L’amas de tentacules positionna Cléo quelques centimètres au-dessus de l’homme, sa tête au niveau du cylindre. Le bras mécanique se replia, et la créature fit descendre la bouche de Cléo juste sur le sexe de l’homme, et la fit descendre. Celle-ci protesta, cria… et se retrouva avec la bite de l’homme en bouche. Elle toussa, et l’être gluant la fit remonter de quelques centimètres… et revenir à la même place ; il refit ce geste plusieurs fois. Le sexe de l’homme était dur, et prenait toute la place dans sa bouche. Elle luttait pour respirer, profitait du répit que lui accordaient les remontées de l’alien.

La voix incompréhensible retentit de nouveau. Cette fois, la créature y répondit. Un bref échange s’ensuivit, pendant lequel Cléo continuait ses déplacement verticaux, sur le sexe toujours plus en forme. Puis l’être la fit remonter, et la laissa quelques instant en l’air. Elle sentit d’autres tentacules se balader sur son corps. L’un trouva l’entrée de sa chatte, et la pénétra timidement, comme pour l’explorer. Cléo essayait de resserrer les cuisses, en pure perte ; les tentacules la maintenaient fermement. Comme s’il avait compris quelque chose, l’alien se retira. Il la fit pivoter dans les airs, et la mit en position assise au-dessus de l’homme, les genoux fléchis. Il la fit descendre, et s’empaler cette fois, faisant coïncider sa chatte avec les sexe de l’homme. Celui-ci donna des coups de rein pour rentrer plus profondément, et l’alien reprit son mouvement vertical, de plus en plus rapidement. A son grand désarroi, Cléo sentait monter l’excitation en elle, d’autant plus qu’un des testicules était venu explorer son anus, et semblait s’y sentir à son aise. Le mouvement de va-et-vient était régulier, presque mécanique. Elle sentit le sexe de l’homme se raidir… puis expulser son sperme à l’intérieur d’elle. Un tentacule vint caresser sa chatte, pour y recueillir un peu du liquide sur une de ses ventouses. Il la porta ensuite à ses yeux ; Cléo ne pouvait en deviner l’expression. Son regard se porta sur elle. Elle n’y lut pas de méchanceté ; de la curiosité peut-être ?

L’homme semblait éteint, comme vidé. Il était reparti dans un semi-c***. L’alien, tenant toujours Cléo, revint vers son lit. Il l’y déposa délicatement, mais ne relâcha pas son étreinte. Au contraire, d’autres tentacules vinrent s’ajouter à ceux qui la retenaient. Ils firent le tour de ses seins, les serrant légèrement. Les tétons de Cléo se dressèrent, et les tentacules plaquèrent leurs ventouses dessus. Celles-ci palpitaient, elles aspiraient et relâchaient la pression rapidement, comme une respiration. Les tentacules autour de ses chevilles lui firent fléchir les genoux. La créature, voulant sans doute imiter l’homme, déploya un tentacule jusqu’à sa chatte, et le fit aller et venir, plus franchement cette fois. Il était tiède, un peu plus chaud que la peau de Cléo, et semblait onduler à l’intérieur. Un autre tentacule vint reprendre la place dans son cul, et y rentra sans problème. La surface gluante était plus efficace que n’importe quel lubrifiant… Les deux mouvements étaient asynchrones ; le tentacule dans sa chatte la percutait deux fois plus vite. La créature regarda Cléo : celle-ci se passa la langue sur les lèvres. Semblant se souvenir de ce qui s’était passé avec l’homme, un tentacule se rapprocha de sa bouche. Elle y porta un coup de langue. Le tentacule s’immisça alors plus franchement dans sa gorge. La créature souleva Cléo à nouveau dans les airs, les tentacules toujours à l’intérieur d’elle, ondulant. Elle flottait, remplie de toutes parts. Elle jouit profondément, agitée de tremblements. La créature dit quelque chose… et elle sentit un liquide la remplir dans tous les orifices à la fois. L’alien la reposa sur la table, et elle vit alors son ventre grossir, se gonfler du liquide de la créature ! La peau se tendait, donnant l’impression d’être enceinte de plusieurs mois.

La voix dans le haut-parleur résonna. L’alien garda le silence un moment, et finit par répondre, comme à regret. Leurs regards se croisèrent, elle crut y discerner une émotion… et elle sentit une piqûre d’aiguille dans son bras gauche.

Une brume glacée la réveilla. Elle ignorait combien de temps s’était écoulé, mais en ouvrant les yeux, elle découvrit qu’elle était de nouveau sur la colline, là où ils l’avaient prise. Il faisait nuit, et elle aurait pu croire qu’elle avait rêvé tout ça… sauf qu’elle était nue, et qu’elle pouvait voir en baissant la tête son ventre gonflé. Qu’allait-il bien pouvoir en sortir ?

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