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Christine (part 4) – Les choses sérieuses c

Christine (part 4) – Les choses sérieuses c



Quand Franck est rentré du travail, je lui ai annoncé la nouvelle :
– J’ai téléphoné à Cathy. Je lui ai dit que nous irions chez Christine ce week end avec eux.
– Tu es sérieuse ? Tu sais très bien que je n’en ai aucune envie et je crois savoir que toi aussi tu n’as pas vraiment envie d’y aller.
– Disons que j’ai changé d’avis et qu’ils ont su me convaincre.
– Je n’aime pas ça, mais bon puisque tu as décidé pour nous, nous irons.
– Tu ne devrais pas être aussi septique. Je suis sûre qu’on y trouvera tous beaucoup de plaisir.

J’ai attendu avec impatience le samedi. Je savais que cette soirée allait bouleverser mes a priori.
Cathy et Régis sont passés nous prendre vers 18h30. Nous avons rejoint Fabienne et Michel à Lunel et nous sommes partis pour un petit village non loin de Montpellier où Christine nous attendait. Nous l’avons ensuite suivi environ 4 à 5 kilomètres avant de pénétrer dans une propriété qui semblait être un vieux mas provençal rénové. Il y avait déjà une voiture de garée devant. Christine nous informa que le couple d’amis nous attendait.
Avant de les rejoindre, je vais vous montrer les 2 salles de bain que vous pouvez utiliser quand bon vous semble.
Nous l’avons suivi ensuite dans une grande pièce couverte de grandes tentures aux murs. La lumière y était tamisée donnant une atmosphère assez étrange. Le sol était recouvert d’une épaisse moquette. Il y avait des coussins posés parterre un peu partout. Une table basse était contre un mur. On pouvait y voir plusieurs godemichets de différentes formes et tailles. De grands miroirs sur pied étaient disposés ça et là. Dans le coin opposé de l’entrée, il y avait un petit bar où nous attendaient le couple. Nous avons été un peu surpris par la tenue que portait Véronique, l’amie de Christine. Elle portait une sorte de guêpière s’arrêtant juste en dessous des seins. La tenue descendait jusqu’au nombril. Elle portait un porte jarretelle qui soutenait des bas noirs. Elle ne portait pas de culotte et son sexe paraissait parfaitement rasé. Marc, son mari, portait une serviette nouée à sa taille.
– J’ai du champagne au frais mais vous pouvez boire autre chose si vous voulez. J’ai du whisky, gin, vodka et plein d’autres choses.
Nous avons tous opté pour le champagne. Nous avons fait les présentations en sirotant notre coupe.

– Vous pouvez vous mettre à l’aise. Vous pouvez voir que Véro et Marco ont déjà une tenue plus légère. Dit Christine en débouchant une deuxième bouteille de champagne.
Sans plus attendre, je déboutonnais mon chemisier et j’enlevais mon jean. Je portais un soutien gorge et un slip à dentelle fine et transparent. Cathy et Fabienne en firent autant. Christine resservit les coupes vides et ôta sa petite robe d’été. Elle ne portait rien dessous. Nos trois hommes visiblement hésitaient. Étrangement, ils paraissaient gênés et aucun n’osaient se dévêtir. Véronique qui était debout près du bar, tira à elle un tabouret haut. Elle posa une fesse dessus, la jambe droite touchait le sol et la gauche reposait sur le cale pied. Elle faisait face aux hommes et elle écarta petit à petit sa jambe, laissant voir s’entrouvrir son intimité. Comme moi, Fabienne et Cathy avaient remarqué le manège de Véro. Christine servit encore une coupe à chacun et vint se mettre juste à coté d’elle. Régis, qui fixait l’entrejambe de Véro, commença à défaire sa chemise et la ceinture de son pantalon. Il fut aussitôt imité par Michel et Franck.
– Bravo ma chérie, dit Christine à Véro. Tu as su y faire pour débrider nos trois mâles. Viens avec moi, s’il te plaît.
Elle se dirigèrent vers le centre de la pièce. Marc les a suivi et s’est assis sur un coussin parterre, à quelques mètres, juste en face d’elles.
– Venez les filles, on va sûrement arriver à les rendre moins timides.

Nous nous sommes rapprochés. Christine allongea Véro sur la moquette, lui écarta les jambes au maximum pour qu’elle soit bien ouverte puis est venue se mettre à genoux à coté d’elle. Elle a commencé par donner des petits de langues sur les tétons. Fabienne est venue se mettre derrière elle et commença à lui caresser le dos, descendant lentement vers ses reins et ses fesses. Je me suis mise entre les jambes de Véro et j’ai collé ma bouche sur son sexe. J’ai commencé par donner des petits coups de langue sur la longueur de sa vulve, puis j’ai aspiré son clito. Elle balançait son bassin au rythme de ma caresse buccale. J’ai senti une main se faufiler dans le sillon de mes fesses pour atteindre ma chatte et y enfoncer deux doigts.

Les gémissements des filles commençaient à se faire entendre. Les caresses des doigts qui me fouillaient se faisaient de plus en plus précises. J’avais du mal à me concentrer sur celles que j’appliquais à Véro. Je sentais pourtant qu’elle était au bord du spasme de plaisir. Je m’appliquais à lui aspirer son clito gonflé et enfonçais mes doigts le plus loin possible dans son vagin. Comme elle soulevais un peu son bassin, j’en profitais, avec un doigt humide de sa mouille, à faire le tour de son anus. Véro agrippa mes cheveux quand elle commença à crier de plaisir quelques secondes plus tard. J’étais prête à jouir quand j’entendis Christine dire :
– Petite pause les filles, on va boire un peu de bulles pour reprendre des forces.
Aussitôt la main qui me fouillait m’abandonna, me laissant un peu frustrée, tandis que Véro continuait à ahaner de jouissance.

Je regardais alors autour de moi. Les hommes étaient assis à même la moquette autour de nous. Seul Marc avait gardé sa serviette nouée sur sa taille. Christine fit la distribution des coupes de champagne et après avoir bu la sienne s’adressa aux garçons :
– Alors les gars, vous attendez quoi pour venir nous offrir vos queues ?
Marc vida sa coupe, se leva, dénoua sa serviette et vint se mettre debout devant Véronique. Il bandait déjà. Elle se mit à genoux et commença sans autre préliminaire à le sucer. Franck était le 2ème à nous rejoindre, il s’avançait vers moi, sa queue bien raide. Comme je me mettais à genoux pour lui offrir ma bouche, Christine s’est intercalée entre Véro et moi en me poussant gentiment :
– J’avais dit que je m’occuperais de vos hommes. A moi l’honneur de tailler une pipe à ton mec.
Elle attrapa la queue de Franck et l’attira pour l’engloutir dans sa bouche. Sur ma droite Cathy suçait déjà Régis et un peu plus loin, Fabienne en faisait autant à Michel. Je regardais Christine salivait sur le gland de Franck avant de l’avaler et d’essayer de le mettre dans sa gorge. Elle avait les lèvres distendues mais ne parvenait pas à descendre jusqu’en bas de la hampe. Après plusieurs tentatives, elle retira la bite dégoulinante de salive de sa bouche et dit en regardant Franck :
– Whoua, joli calibre !!! je sais déjà où elle va finir tout à l’heure. J’ai envie d’en goûter une autre, allez les filles, on fait tourner.
– Oh non !!! répondit Véro. Je garde la queue de Marc.
– Ne sois pas stupide Véro, j’ai déjà sucé Marc et tu ne risques rien avec nos amis. Vous m’avez avoué que vous aimeriez bien franchir le pas du partage. C’est le moment ou jamais et vous ne pouviez pas tomber mieux comme partenaires pour le faire.

Franck s’était déjà placé devant moi, je remarquais que Régis avait glissé vers Fabienne et Michel était planté devant Véro. Cathy se retrouvait seule. Je branlais Franck et j’en profitais pour regarder la réaction de Véro. Après avoir un peu hésité, et ayant vu Christine pomper le gland de Marc, elle se décida à donner quelques coups de langue sur la hampe et ensuite sur le gland dressé devant elle. Elle attrapa ensuite la bite de Michel d’une main et commença à le branler en lui pompant le gland. J’en faisais de même avec Franck.
Les garçons firent ainsi deux tours se faisant sucer par chacune de nous. La timidité de Véro s’est vite envolée. Elle suçait maintenant à pleine bouche.
– Je ne sais pas vous, déclara Christine, mais moi je me suis régalée.
– Je pense que nous avons toutes aimé, répondit Cathy.
– Ça m’a rappelé la semaine dernière, dit Fabienne. Avec les yeux bandés ça aurait été encore plus excitant.
– Je n’y ai pas pensé, ajouta Christine, mais l’idée me plaît et je la retiens pour une prochaine fois. Et si on inversait les rôles ? Aux garçons de nous manger la chatte.
Elle s’allongea sur le dos, releva les cuisses très haut en les écartant au maximum devant Franck. Les autres en firent autant devant leurs partenaires sauf moi qui n’en avait pas encore. Les hommes se mirent aussitôt au travail, plongeant leurs doigts et leur bouche vers les chattes béantes.

Il n’a pas fallu longtemps pour que les premiers gémissements de plaisir se fassent entendre. Bien que sa bouche et ses doigts se soient activés, Marc, qui est passé après Franck, n’a pas réussi à me faire partir alors j’étais au bord de l’explosion quand il s’est occupé de moi. Certainement trop timide ou pas assez expérimenté. C’est Michel qui m’a fait jouir alors que Fabienne, elle aussi, criait de plaisir. Je n’ai pas pu compté les orgasmes que j’ai eu, mais j’ai à part Marc, tous les hommes m’ont fait partir.
– On se reprend une coupe avant de passer aux choses sérieuses. Lança Christine en se levant et se dirigeant vers le bar.
J’en profitais pour reprendre mon souffle. Je regardais Cathy et Fabienne. Elles semblaient ravies. Véro restait allongée. Elle avait l’air d’être épuisée. Je l’ai entendu jouir et crier de plaisir plusieurs fois quand les garçons nous léchaient la chatte. Marc était à côté d’elle et lui caressait de façon affective son ventre.

En revenant avec le plateau de coupes de champagne, Christine s’est arrêtée à la hauteur de Franck et lui a dit quelques mots à l’oreille. Franck a pris deux coupes et s’est avancé jusqu’à moi. Il m’offrit une coupe et s’assit à coté de moi. J’en profitais pour lui demander discrètement ce que lui avait dit Christine :
– Elle veut que je la sodomise, me dit-il en portant sa coupe à ses lèvres.
– Tu plaisantes là ?
– Pas du tout, elle m’a demandé de prendre un gode et du gel pour que je lui prépare son anus.
– Et tu vas le faire ?
– Oui, sauf si tu t’y opposes, bien sûr.
– Oh non, je n’y vois aucun inconvénient.
– Tu es sûre ? Je crois qu’elle va demander la même chose à Michel et Régis.
– Oui je suis sûre, tu le fais si tu en as envie. Elle donne son cul à qui elle veut. Le mien t’est exclusivement réservé, tu le sais.
– C’est ton cul ma chérie. Tu en fais ce que tu veux également. Mais ça me flatte énormément que tu me le réserves. Et tu sais quoi ?
– Non, dis moi.
– Je t’aime !!!

A suivre …/…

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