Cet été, en Tunisie, j’ai eu une rage de dents sur mon lieu de vacances et j’ai du aller voir un dentiste local. Après une bonne attente, les soins sont rapides et efficaces, rien à redire. L’assistante porte un foulard qui cache ses cheveux et une blouse blanche qui dissimule mal une grosse poitrine et ne cesse de me sourire quand nos regards se croisent. La seule critique qui pourrait être faite est que le cabinet est un peu éloigné du centre ville et que sous un soleil de plomb dans une rue sans ombre je ne suis pas super enthousiaste à l’idée de sortir. Comme je n’allais pas attendre la nuit je me suis lancé. Au bout de deux cent mètres j’étais en nage. L’aller avait été plus facile vu qu’il était bien plus tot et que le soleil n’était pas encore agressif. Une voiture s’arrête à côté de moi et la vitre teintée descend. C’est l’assistante du dentiste qui me propose de me déposer en ville. Je serais bien bête de refuser. Je m’installe donc dans la voiture et remarque que si elle a encore son foulard, la jeune femme a ôté sa blouse ce qui laisse voir son décolleté généreux. Pendant que j’accroche ma ceinture de sécurité j’ai du mal a regarder autre chose que ses seins qui semblent vouloir sortir du corsage. Elle me fait un grand sourire et se présente, Faouzia. Quand elle redémarre, sa main frôle mon genou. Elle roule a petite allure tout en parlant de la température qu’elle trouve vraiment insupportable. D’ailleurs je remarque que la clim de la voiture n’est pas en marche. Faouzia défait un bouton de son corsage ce qui permet à sa poitrine de prendre plus ses aises. Je cesse de soutenir le regard de la conductrice et suis hypnotisé par ses seins. Je me met à bander dans mon short de bain. Faouzia voit bien que je suis pas indifférent à ses charmes et dégraffe encore un bouton. Sa poitrine est presque libre maintenant et je bande comme un âne. Au moment de passer une vitesse elle pose sa main sur la bosse que fais ma queue dans mon short. « Je vois que tu aimes ma poitrine, tu veux jouer avec ? » Je lui souris « Seulement si tu joues avec ma queue. » Elle serre ma queue et accélère. Toute son attention est sur la route. « Je t’emmène chez moi et on pourra jouer ensemble tranquillement, personne ne nous embêtera, je vis seule avec mon petit frère qui est un peu attardé. » Trois minutes plus tard elle s’arrête devant une porte en bois bleu au fond d’une impasse. Elle se reboutonne rapidement « au cas où pour les voisins » et sort de la voiture. Une fois la porte ouverte elle me fait entrer dans un salon sombre et frais. Elle ferme la porte et me prend par la main m’entraînant vers sa chambre. Là, elle s’agenouille devant moi, tire mon short vers le bas et saisit ma queue dressée à deux mains. « Mmmm elle est grosse je vais adorer… » Elle pose ses lèvres sur mon gland et fait lentement glisser ses lèvres le long de ma queue. C’est divin. Je poses mes mains sur sa tête et commence à baiser sa bouche. Elle prend mes couilles gonflées de foutre dans ses petites mains et les caresse doucement. Elle bave sur ma hampe en grognant d’excitation. Je la repousse en lui disant de se mettre à poil. Sa poitrine doit faire dans les 110F, je la saisis à pleine main et la pétris sans ménagement. bientôt elle est sur le lit et je suis à cheval sur elle ma queue luisante glissant entre ses gros nibards moelleux. Chaque fois que mon gland pointait entre ses seins Faouzia lui donnait un grand coup de langue. J’étais aux anges.Tout en me regardant dans les yeux elle me dit « Baise moi à fond maintenant je veux ta grosse queue bien au fond. » Etant du genre à chercher à rendre service je l’att****, la jette sur le lit et la retourne pour la baiser en levrette. Sa chatte est totalement rasée et totalement trempée. Je me place entre ses jambes et commence à frotter mon gland contre ses lèvres. Avant que je ne m’enfonce dans sa chatte brûlante elle gémit « Encule moi, mets la moi bien au fond du cul ». Je rectifie donc le tir et presse mon gland contre sa rondelle. Je rentre lentement mais très surement dans ce cul offert. Quand mes couilles touchent la chatte de Faouzia elle se met à onduler du cul et à se baiser sur ma queue sur un rythme de plus en plus frénétique. « Tu veux que je t’encule pour rester vierge ? » « Non c’est juste que j’adore ça. » Je suis de plus en plus excité et je me sens au bord de jouir quand je vois un mouvement au fond de la chambre, juste devant moi. Surpris et un peu paniqué je me fige et regarde ce que c’est. Finalement je distingue la forme d’un homme nu, en train de se branler en nous matant. « Pas de panique ce n’est que mon frère, il adore me voir me faire défoncer le cul. ça ne te dérange pas j’espère ? » « Euh.. Non bien sûr, pas de souci… » Elle reprend ses ondulations de bassins et je me remets dans l’ambiance mais l’éjaculation imminente est remise à plus tard. Le frère s’est levé et s’approche tout en branlant une queue énorme, longue et épaisse avec de grosses couilles qui ont l’air bien lourdes. J’étais fasciné. Je n’avais jamais vu un tel engin en vrai. Sans y penser je tends la main vers cette queue si grosse. L’adolescent monte sur le lit et se place à coté de sa sœur, son gland est à deux centimètres de ma bouche, ni une ni deux je prend la queue à deux mains et commence à la sucer comme un mort de faim. C’est ma première fois mais je m’applique comme une pute de film porno. Faouzia reprend ses mouvements sur ma queue de plus en plus dure, gonflée par la sensation de ce cul qui s’offre et cette queue énorme que je veux satisfaire. Au bout de quelque minutes Faouzia se met à jouir et contracte sa rondelle sur ma queue qui n’a pas besoin de plus de provocation pour se vider à longs traits dans ce joli cul. Excité par nos grognements et par le traitement que j’inflige à sa queue le frère me saisit la tête et me baise la bouche de plus en plus vite. Quand enfin il se met à jouir il grogne « Faouzia, Faouzia Faouzia » tout en se vidant les couilles dans ma bouche. Il jouit comme s’il ne l’avait pas fait depuis des mois, J’ai de son foutre sur le visage, le menton, la poitrine, il y en a même sur le cul de sa soeur. Faouzia s’effondre sur le lit, je me retire de son cul et roule sur son côté. Quand Il voit le cul de sa soeur offert de la sorte l’ado se jette sur elle, ouvre son cul a deux mains et l’encule d’un seul mouvement. Elle essaye de s’en défaire mais il ne se laisse pas repousser et l’encule avec ardeur et passion. Je pars à la recherche d’une douche pour laver tout le sperme qui couvre mon torse. La douche est rapide et quand je reviens dans la chambre Faouzia est accroupie sur le chibre de son frère et s’empale le cul avec passion en poussant des cris de plaisir. Je me rhabille et quitte la maison, laissant les deux se baiser jusqu’à l’évanouissement.. Une fois dans la rue je ne peux que constater que la chaleur est toujours présente et je titube vers mon hotel.
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