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les joggings d’Hugo

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Les joggings d’Hugo

Comme étudiant, mon emploi du temps hebdomadaire était chargé. Je gardais toujours les weekend pour me détendre avec des amis souvent en soirée.

Il y a quelque chose que je ne ratais presque jamais mon jogging dans le grand parc qui était proche de chez moi. Tous les samedis matin, je mettais mon short, mon t-shirt, mes baskets et hop ! C’était parti pour faire ma course.

Je faisais toujours le même parcours. Je n’étais pas seul à courir, il y avait tout style, femmes, quadragénaires, trentenaires, pères etc….

Lorsque je suivais des mecs, je matais leur cul. Ceux en short lycra qui moulait bien les formes, voir les raies. Lorsque je les croisais, je matais les entre-jambes. Le lycra montrait bien les attributs. Certains avaient leur queue remontées, d’autres sur le côté ou posée sur leurs couilles, qui faisait un bon paquet. Il me semblait bien en avoir rencontrés qui bandaient ou très bien pourvus.

A force de venir tous les samedis au même lieu, j’avais remarqué un jeune en short bleu mi-cuisses en coton léger qui montrait son sexe bougeant à chaque mouvement. Je supputais qu’il ne portait pas de sous-vêtement sous son short. Tous mes fantasmes s’activaient.

Un samedi, nos regards se sont croisés, puis un sourire. Le contact visuel était établi.

Le samedi suivant, comme par hasard, nous sommes arrivés en même temps à l’entrée du parc. Ce fut l’occasion de se présenter. Bonjour, je m’appelle Maxime, moi, bonjour, je m’appelle Hugo. Nous sommes partis chacun dans notre sens et retrouvés à la sortie. C’est là qu’il me proposa de venir boire l’apéro chez lui. Cela tombait bien puisque le soir j’avais rendez-vous avec des amis.

Il habitait à quelques rues de chez moi, c’est pour cela qu’il courait dans ce parc. J’ai sonné à sa porte vers midi, vêtu d’une chemise et d’un pantalon légers, une bouteille de vin à la main. Il m’ouvrit vêtu d’un débardeur blanc et un short orange bien plus court que celui de son jogging.

Les serrages de mains faits, il m’invita à le suivre dans son salon. Je pouvais regarder son cul bien formé. Portait-il un caleçon ou un slip, string ou jockstrap ?

Le salon était très lumineux avec sa grande porte-fenêtre. Une table basse, un canapé et un fauteuil dans lequel je pris place, lui en face sur le canapé.

Comme il faisait chaud en ce mois de juin, il me proposa un cocktail de sa fabrication. Il part dans la cuisine et revient avec deux grands verres givrés remplient d’une boisson colorée.

Il s’assit en tailleur en face de moi. Nous trinquons. De ma position, j’ai remarqué qu’il ne portait rien sous son short. Je vois une de ses boules distendue. Je sens la rougeur me monter aux joues. J’en profite pour boire une gorgée du cocktail bien frais, bien alcoolisé aussi.

A cette vision, je sens mon sexe grossir dans mon caleçon. Pourvu que cela ne se remarque pas trop !
Encore plus surpris c’est de m’entendre dire à cause du cocktail :

– Tu ne portes jamais de sous-vêtement ?
– Non, cela m’irrite l’entrejambes. Comment le sais-tu ?
Je m’en doutais en te croisant au bois, en plus je vois une de tes boules.
– Désolé, j’avais oublié ! ça te dérange ?
– Non pas du tout, bien au contraire !

– Tu veux voir l’autre ?

Je ne réponds pas, alors, il passe sa main dans la jambe de son short pour sortir l’autre. Je voyais ses couilles imberbes, bien pendantes. J’avais envie de les soupeser.

Ma parole a dépassé ma pensée, et de dire :

– jolis fruits !

Sans plus attendre, il se lève, s’approche de moi et dit :

– tu veux voir la branche qui les porte ?

Sans attendre ma réponse, il baisse son short. Sa bite est bien droite, longue et grosse. Il l’approche de ma bouche. Je vois poindre son gland au bout de son prépuce. J’ai le front en nage. Pendant que je suis tétanisé, il m’ôte mon t-shirt. Sa bite touche mes lèvres. Il pousse un peu, j’ouvre juste assez pour qu’au passage je le décalotte. Je sens dans ma bouche son gland dur s’enfoncer jusqu’à ma gorge.
Après quelques va et vient, il prend ma main, m’entraine vers la chambre. Avant d’aller plus loin, il me retire mon pantalon et boxer. Mon sexe n’en peut plus dans mon boxer tellement il est tendu. Ma queue surgit pour se coller sur mon ventre. Je m’assois sur le bord du lit pour reprendre son sexe dans ma cavité buccale. J’en profite pour soupeser ses boules, les faire jouer dans mes mains.

Tout en gardant sa bite dans ma bouche, il me couche sur le lit, puis se place en tête à queue. Nous nous suçon goûlement. Il m’écarte les cuisses pour passer un doigt dans ma raie et titiller mon anus. Il veut y pénétrer. Je lui fais comprendre mon refus. Je ne voulais pas prendre un tel engin dans mes entrailles. Il n’insiste pas, continue à me sucer. Nous contrôlons notre plaisir.

Après cette entrée en matière, il s’allonge sur le ventre. Il se frotte sur le drap, fait des mouvements ondulatoires les jambes bien écartées. C’est une invitation que je ne refuse pas.

J’approche mon sexe turgescent à l’entrée de son trou, puis m’enfonce sans ménagement. Nous synchronisons nos mouvements ce qui décuple le plaisir.
Il se crispe, arrête de bouger pour éjaculer sur le drap, moi dans le préservatif. Nos corps sont repus de plaisir. Nous restons plusieurs minutes sans bouger, moi allonger sur son dos, avant d’aller sous la douche.

Je suis admiratif devant son sexe au repos, son joli prépuce, ses testicules pendants, ses poils pubiens biens taillés. J’ai encore envie de le caresser.

Dans la douche, nous nous savonnons mutuellement. Je m’attarde sur son sexe, je le serre dans ma main, le décalotte à fond. Ce traitement nous refait bander – l’avantage de la jeunesse de se recharger rapidement -. Après le rinçage, j’en voulais encore, alors je me suis agenouillé pour une fellation. Je pince son prépuce avec mes lèvres, tire légèrement sur la peau pour dégager un peu le gland, je passe mon doigt sous la peau, le fait tourner autour du gland. Je sens sa queue se durcir un peu plus. Je le décalotte entièrement. Je l’enfonce entièrement dans ma bouche. Je ne peux m’empêcher de jouer avec ses boules. Je pose mes mains sur ses fesses. Elles sont bien rondes, et fermes. Je peux gérer les va et viens de son sexe dans ma bouche. Je m’applique dans cette fellation. Je croyais jamais m’en séparer. Il met sa tête en arrière, se raidit. J’appuie sur ses fesses pour coller mon visage à son pubis, lâche plusieurs jets de sperme. J’avale avec plaisir ce sirop qui coule au dans ma gorge. Nous nous séchons, et je quitte mon amant d’un après-midi.

De retour chez moi, épuisé de plaisir, je me pose sur le canapé, je m’endors. Heureusement que j’avais mis l’alarme sur ma montre pour me réveiller et retrouver des amis pour une soirée. Tout au long de la soirée, je repensais à ce moment passé avec Maxime. Mes amis de demandaient bien ce qui m’arrivait de me voir si absent. Je ne leur ai rien dit.

La semaine s’est déroulée comme toutes les autres. J’attendais le samedi pour faire mon jogging et croiser Maxime. Je ne l’ai pas vu. Peut-être un empêchement. Je ne l’ai pas revu pendant plusieurs samedis. J’ai décidé de passer chez lui.

Je toque à sa porte. Un monsieur un peu bedonnant m’ouvre. Je suis un instant bloqué. Je vois à son col blanc qu’il s’agit d’un ecclésiastique. Je lui demande :

– Bonjour ! puis-je voir Maxime ?
– vous le connaissez ?
– nous faisons notre jogging ensemble le samedi matin, et cela fait plusieurs semaines que je ne le vois plus.
– Maxime est parti finir son séminaire pour être curé d’une paroisse dans le sud de la France.

Je reste sans voix de savoir qu’il allait devenir religieux. Je dis merci, puis j’ai tourné les talons. Je souhaitais qu’il trouve quelqu’un pour lui donner autant de plaisir que j’en ai reçu.

Je reprenais mes courses en matant les mecs, espérant trouver celui avec qui je pourrais passer du bon temps.

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