je pars au siège directement, la directrice m’a donné rendez-vous à 8 heures 30.
La cage de chasteté est très discrète, c’est le gros plug au fond de mon cul qui me gêne le plus.
J’ai l’impression d’avoir une démarche de canard, à chaque pas tout l’intérieur de mon corps vibre, comme une centrale électrique qui bouillonne en moi.
J’ai l’impression que tout le monde va le voir.
L’ascenseur est un délicieux supplice, il y a beaucoup de monde, il s’arrête à tous les étages, chaque vibrations qui me rapproche du bureau de la directrice augmente mon excitation et donc mon érection, les bureaux sont au onzième étage.
Qu’a t’elle pensé de ma confession ?
Que vais je devenir ?
Je vais bientôt le savoir.
Je me sens vraiment piégé, toutes les femmes de mon entourage sont au courant de ma soumission.
Je n’ai plus aucune marge de manoeuvre, en même temps, je dois avouer que j’adore cette sensation.
Toutes ses femmes ont un contrôle total sur moi.
Même la directrice doit tout savoir de moi maintenant.
Son bureau se trouve après la petite salle d’attente sur la droite, juste en face de la salle de réunion.
Plusieurs voix féminines arrivent de la gauche.
MANON est avec plusieurs femmes, ce sont des collègues d’autres services. Elles prennent le café, avant de commencer la journée de travail.
_Bonjour Madame MANON, bonjour Mesdames.
_Bonjour juju.
les femmes semblent surprises, deux seulement sur les cinq présentes répondent en m’appelant juju.
_Qui c’est ? Tu le connais MANON ?
Six paires de yeux me scrutent, m’examinent de la tête aux pieds.
J’ai très envie de saluer MANON en embrassant ses pieds, mais je n’ose pas.
Je me sens mis à nu, si elles savaient !
_C’est juju, le petit mâle très respectueux et très dévoué qui travaille à l’entrepôt.
Cette remarque augmente mon excitation d’un cran, ma cage devient encore plus petite.
Je ne peux soutenir leurs regards, je baisse la tête.
_Tu veux quelque chose juju ?
_Oui Madame MANON, j’ai rendez-vous avec Madame la directrice.
_Va attendre dans la salle d’attente, je lui dirai tout à l’heure que tu es arrivé.
_Merci Madame MANON.
Je vous souhaite une bonne journée Mesdames.
Je vois un grand sourire sur le visage de MANON, avant de baisser la tête et de me retourner.
_Mais ! C’est qui ce mec?
_Tu dis qu’il est très dévoué ? Ça veut dire quoi ?
_ Alors voilà le fameux juju !
_Tu avais déjà entendu parler de lui, toi ?
_Il t’a appelé Madame?
_Explique nous, c’est qui ce…
Ce sont les derniers mots que j’ai pu entendre avant que la porte se ferme.
C’est une humiliation qui élève encore d’un cran mon excitation, MANON va sûrement leur parler de moi.
La Directrice va bientôt me recevoir, je dois rester concentré sur mon entretien avec la directrice.
Quelques minutes plus tard, Les femmes sortent, elles me salut toutes, avec un grand sourire.
MANON passe devant moi pour rejoindre son bureau.
_J’avertis FLORENCE que tu es arrivé.
Mais au fait, tu ne m’as pas salué comme il se doit, qu’attend tu ?
Je me précipite à genoux, dépose un baiser sur ses pieds.
_C’est mieux mais c’est la dernière fois que je te fais la remarque, la prochaine fois tu seras puni.
J’ai du attendre une bonne demi heure avant que la directrice me reçoive.
Je rentre dans un grand espace lumineux, presque vide, une table basse et des fauteuils dans un coin, une grande baie vitrée donne une vue splendide sur la ville.
La Directrice est assise dans un grand fauteuil derrière un imposant bureau.
Le dossier rose est posé devant elle.
Elle me regarde avancer avec un air sévère.
_Bonjour Madame la Directrice.
_Est-ce la bonne manière de me saluer ?
_je vous demande de bien vouloir me pardonner.
Je fais le tour du bureau, je me mets à genoux, prêt à embrasser ses pieds.
_Est-ce la bonne tenue?
_Non Madame la Directrice.
_Alors tu ressorts, tu te mets en tenue et tu recommences ton entrée.
Je sorts, ferme la porte. Je suis dans la salle d’attente, la porte du bureau de MANON est maintenant ouverte, elle est au téléphone. Elle me regarde me déshabiller.
Je laisse mes vêtements sur une chaise, sur le côté.
Je fais exprès de me montrer de face et dos, mon rapide déshabillage à du lui plaire car elle me fait un grand sourire en levant le pouce.
Je frappe à la porte, l’attente me paraît durer une éternité
MANON vient vers moi.
_Tu es trop mignon, tourne toi, ça te fait un tout petit kiki.
Ta nouvelle cage ne te fait trop mal ?
Et tu as changé de décoration dernière ?
_Non Madame MANON, ça ne fait pas trop mal. Oui , ce n’est pas le même plug. Celui-ci est plus long et plus gros.
La porte de l’ascenseur s’ouvre, des voix féminines et masculines me parviennent.
_Entre juju.
_Sauvé par le « gong »
FLORENCE t’attend. Vas y vite.
Je rentre, elle est toujours assise sur son grand fauteuil elle feuillette le dossier rose.
Je m’avance.
_Stop, reste ou tu es. Tourne sur toi, doucement. Je vois que tu es bien outillé.
Approche toi. Viens me saluer.
Je me met à quatre pattes, passe sous son bureau et embrasse ses pieds.
_Bonjour Madame la Directrice.
_Bonjour juju. Lève toi, recule un peu que je puisse bien te voir.
Position une.
Très bien, voyons voir de plus prêt, alors c’est comme ça une cage de chasteté.
Toute érection est impossible et plus de masturbation, c’est ça ?
_Oui Madame la directrice.
_Ça doit être difficile pour un homme dans la force de l’âge, en pleine forme, bien vigoureux, comme toi ?
surtout que j’ai vu ta bite en érection tu es plutôt bien pourvu.
C’est douloureux quand tu es excité?
_Oui Madame la Directrice.
_Es tu excité maintenant ?
_Oui Madame la Directrice.
_Tu n’as pas idée comme je suis ravie de te voir ce matin.
La lecture de ton questionnaire fut passionnante, PATRICIA m’a expliqué certains détails de ta journée de hier. Elle doit me faire passé le DVD qui a tout déclenché.
Je n’ai jamais rencontré un homme comme toi Juju.
Tu es fascinant, Un mâle qui se livre sans aucune retenue, sans pudeur, avec autant de naturel et d’envie.
Tu es tellement surprenant juju.
Est-ce que tu sais pourquoi je t’ai convoqué ?
_Non Madame la Directrice.
_Tes choix, tes désirs, ta sexualité te regardent, tu es libre de penser et faire ce que tu veux dans ta vie privée.
Le gros problème mon petit Juju c’est que tout ce qui se passe sur ton lieu de travail n’est pas, mais alors pas du tout conventionnel.
D’ailleurs regarde toi, je ne t’ai rien imposé et tu est nu devant moi dans mon bureau.
Tout un service est impliqué.
Je ne veux pas être responsable des dérives et des débordements.
Je ne veux pas être accusée de harcèlement ou je ne sais quoi encore.
As tu une idée, une solution pour que tu ne sois plus un problème « grave » pour l’entreprise?
_Non Madame la Directrice.
_ Dans un premier temps, tu vas déclarer, que volontairement tu as pris la décision d’être l’esclave de tes collègues.
MANON va te faire signer une attestation officielle, une sorte d’avenant à ton contrat.
Quelques secondes plus tard, MANON entre dans le bureau, plusieurs feuilles dans la main.
_FLORENCE, voici les documents.
_Juju, ce texte stipule que tu accepte ta condition d’esclave dans l’entreprise, signe en bas de la page.
_FLORENCE, il ne faut pas oublier les témoins.
_comment ça ?
_Le contrat dois être signé devant un huissier, pour être valable.
_Mais oui c’est vrai, je veux clarifier cette situation trop rapidement, je ne veux tellement pas être embêtée que je brûle les étapes.
Contacte l’huissier Maître LOC…. c’est une amie qui comprendra l’urgence de la situation. Appelle la de suite, au fait PATRICIA m’a parlé d’un DVD.
_Je l’apporte de suite.
_Attend qu’il parte, appelle la en priorité.
_Bien Florence.
_Bon à nous juju.
Tourne toi, penche toi.
C’est vrai tu as un beau petit cul, tu porte un gode, le rose te va bien.
Comment est-il ce gode?
Tu permets que je vérifie ?
_Oui bien sur Madame la Directrice.
Si je peux me permettre, vous n’avez pas à demander ma permission.
_Oui oui, c’est vrai, je n’ai pas encore l’habitude.
Ah quand même, ce n’est pas un petit gode.
Ton cul reste quand sacrément ouvert, quand je le sort.
Tu aimes ce que je fais ?
_Oui Madame la Directrice.
_Ça te plaît de t’exhiber devant moi.
_Oui Madame la Directrice
_Tu bandes ?
_j’essaye mais je ne peux pas, Madame la Directrice.
_Tout ce que tu as écrit est-il vrai ?
_Oui Madame la Directrice.
_Explique moi ce que tu ressens la.
_Madame la Directrice, je prends beaucoup de plaisir à me montrer dans cette position humiliante.
Sentir, sortir, rentrer mon plug est très très efficace, vous me donner beaucoup plaisir.
C’est très excitant d’être dominé par vous.
Je souhaite vraiment vous satisfaire.
Vous pouvez me demander tout ce que vous voulez.
Rien que l’idée d’être à votre disposition m’excite beaucoup.
Merci Madame la Directrice.
_j’en ai vu des choses, j’ai connu pas mal d’hommes mais toi tu es unique.
Tu provoque des envies paradoxale chez moi.
J’ai très envie de t’humilier et en même temps j’ai très envie que tu me caresse partout.
Il paraît que ta langue est magique.
Tu es un homme viril, costaud, j’ai envie de me blottir dans tes bras et en même temps je prends beaucoup de plaisir à t’enculer.
C’est en plus la première fois que je pénétre un homme.
Bon on va en rester là, je suis trop excitée pour être sage. MANON. Alors ?
_Maître LOC… Ne peut pas cette semaine, la semaine prochaine à partir de mercredi après-midi jusqu’à vendredi soir, sinon c’est le mois prochain.
_C’est très bien, en fin de semaine, il faut qu’elle vienne directement à l’entrepôt. Rappelle la et passe la moi.
Parfait mon petit Juju. Tu as un cul très souple, je comprends tes collègues qui veulent toutes te fister.
MANON, porte moi le DVD, je ne dois être dérangée sous aucun prétexte, je te ferai signe.
On se voit lundi mon petit juju.
Mais attends, pour être couvert juridiquement avant le texte officiel, tu vas signer ton questionnaire, feuille par feuille, et n’oublie ton nom à chaque page, oui recto verso.
C’est très bien, tu peux partir, tu dois mettre les bouchées doubles, pour ratt****r ta matinée perdue à te faire enculer.
_Je vous remercie Madame la Directrice pour ce délicieux moment en votre compagnie, je vous souhaite une très bonne journée.
_Et en plus d’être poli il sait parler. File Juju.
_Tu as été parfait juju, je n’ai jamais vu la directrice comme ça.
_Merci Madame MANON.
Il est 11h30 quand j’arrive à l’entrepôt, les filles sont encore au travail, je me déshabille, je cour pour saluer mes collègues. Je suis vraiment content de les retrouver. Elles sont toutes joyeuses aussi . J’aide à transporter des cartons. Midi, elles vont vite se changer et partent courir. PATRICIA est restée.
Je prépare le repas. Le four est chaud, 40 minutes de cuisson, tout sera prêt pour leur retour.
_juju ! Viens devant moi, position une, approche toi, comment va ta cage, et comment vas-tu ?
_Très bien Madame PATRICIA, je ne la sens presque pas, elle est très légère, cette nuit, j’ai été réveillé toutes les deux heures, mais mes érections sont moins douloureuses elles durent moins longtemps.
_Tant mieux mon petit juju, c’est vrai il n’y a pas de rougeurs ou d’irritation.
Tu dis que tes érections sont moins douloureuses ?
Met toi à genoux. Bien.
_c’est vrai Madame PATRICIA, ma queue ne peut pas grandir du tout, l’érection est bloquée avant de grossir.
_Très intéressant, il avait donc raison. Sinon toi, dis-moi.
_Je vais bien, un peu fatigué, rester tout seul hier a été très difficile.
STÉPHANIE m’a beaucoup manqué, je n’ai pas arrêté de penser à vous aussi.
_Tu penses à STÉPHANIE, à moi ou à nous ?
_Madame PATRICIA, je pense à mon Épouse, à vous et à toutes les autres femmes.
Je dois vous dire MERCI, vous m’avez permis de me réaliser.
Je serai éternellement reconnaissant pour tout ce que vous avez fait.
Vous allez me trouver bizarre mais mon seul désir est de vous faire plaisir. Vous et toutes les femmes.
_Tu n’es pas bizarre juju, tu es un homme soumis, dévoué à notre bonheur.
Je l’ai déjà dit à STÉPHANIE, je suis jalouse d’elle. Si tu n’étais pas marié tu serais mon esclave personnel.
_Madame PATRICIA, j’aime profondément STÉPHANIE, c’est la femme de ma vie. Je n’aurais jamais fait tout ça sans son accord.
Si je peux faire quoi que ce soit pour vous! demandez!
_Je te remercie juju, votre amour à tous les deux est une très très belle chose. C’est très rare.
Quand j’ai lu ton journal, j’ai compris qui tu étais.
Je suis vraiment heureuse de t’avoir rencontré. Tu es une très belle personne.
_Merci Madame PATRICIA, je suis très touché et ému par vos paroles.
Excusez moi mais la cuisson est terminé je dois sortir la quiche du four.
_Vas-y juju, tu es très consciencieux et appliqué, c’est aussi pour ça que je t’aime beaucoup.
Je finis d’installer la table, prépare une salade. Les filles reviennent. Elles sont toutes très bruyantes et excitées.
VANESSA et CÉLINE prennent leur douche, LAETITIA s’installe dans un fauteuil et me demande un massage des pieds.
_Masse moi aussi les mollets et les cuisses.
Sans aucune gêne, elle enlève son short, elle est la devant moi en culotte. Mon excitation monte encore, ma queue tente désespérément de se tendre, le plug est lui aussi une source de plaisir. Je suis dans un état second quand les filles s’installent pour manger.
_Ça suffit juju, merci, j’ai faim, je me doucherai après. Reste à quatre pattes.
Montre nous ton nouveau gode.
Humm, en effet il est plus grand et plus large, ton trou est bien ouvert. Allez remets le en place.
Ça te fait quoi d’avoir le cul rempli ?
_Madame LAETITIA, c’est une sensation très agréable, le plug appuie sur ma prostate à chaque mouvement, et avoir le cul bien ouvert me prépare à recevoir votre main.
_juju tu m’impressionne, tu nous dit tout ça comme ça.
Tu me dis que tu penses à moi en portant ton plug, simplement parce que je te le demande.
_Madame LAETITIA, je me suis engagé à ne rien vous cacher. C’est normal et évident de vous dire ce que je ressens.
Et c’est vrai que je pense à vous, à vous toutes. A chaque mouvement, la gêne que je ressens me fait penser à mon Épouse, à vous.
Il en est de même pour la cage de chasteté, toute tentative d’érection me rappelle votre puissance.
_C’est trop génial. Tu es top.
Au fait les filles vous m’avez crevé, je n’ai pas votre forme, j’ai mal partout,…
Les discussions vont bon train. Le repas se termine. Je range et nettoie la cuisine, je vais dans les sanitaires. LAETITIA est sous la douche.
Elles ont laissé leur culotte bien en évidence, sans les toucher leur parfum si subtile me fait tourner la tête et provoque une érection douloureuse.
Je range un maximum, LAETITIA me demande de lui apporter une serviette.
Elle ouvre la porte, elle est nue devant moi, je me met à genoux, la serviette dans la main, la tête baissée.
_Regarde moi juju, comment tu me trouves ?
_Vous êtes magnifique Madame LAETITIA, ma queue me fait très mal car je bande de désir.
_Je te fais bander ?
_Oui Madame LAETITIA.
_Très bien, récupère mes affaires sales. Reste à quatre pattes tu es trop mignon. Tu pourras te lever quand je serai partie.
Je termine les sanitaires, une machine à laver est lancé, je lave les trois culottes à la main.
J’ai eu très envie de les nettoyer d’abord avec la langue, mais je ne sais pas si je peux.
Un passage par les toilettes, la porte ouverte, je lubrifie mon cul qui est un peu sec, je
14 heures 15 je rejoins les filles, le travail avance bien.
17 heures 30 je suis déplace les cartons. On m’appelle dans la cuisine.
J’arrive rapidement. Les filles sont sur le départ. J’embrasse leur pieds, leur souhaite une bonne soirée.
Je repars finir mon travail.
18h30 je fais un tour de l’entrepôt, les poubelles sont pleines, il y a des papiers partout, les différents outils ne sont pas rangés, les établis sont surchargés. En clair elles ont laissé du bazar partout.
19 heures je suis devant ma caméra, ma confession est encore une fois riche, une nouvelle étape dans ma soumission.
19h30 je suis dans ma voiture, je rentre chez moi.
Passage au supermarché, la liste dans la main.
C’est une sensation curieuse de faire les courses encagé, tout le monde va le savoir.
Le plug est plus problématique, je commence à avoir très mal au cul.
Retour à la maison 20 heures.
STÉPHANIE est dans le jardin avec CORINE je les entend rire.
Je me dénude, le plug est devenu insupportable. Je vais vite le sortir, mon trou du cul est tout rouge, tout irrité. Pommade magique. Les courses rangées, je vais dans le jardin.
Ajouter un commentaire