Elle
Depuis son réveil, elle ressentait ce besoin, cette envie… Une chaleur qui lui montait du bas des reins. Elle était en manque, elle le savait ; en manque de plaisir, en manque de sexe. Après sa séparation, elle s’était promise de ne plus se faire avoir et pensait qu’elle allait facilement pouvoir se passer d’un homme et de son sexe. Elle n’avait jamais été très portée sur la chose, mais force lui était de constater que cela lui manquait énormément. Il n’y avait pas une nuit où elle ne rêvait pas de plaisir et de scènes érotiques qu’elle n’avait jusqu’à lors jamais imaginées.
En déjeunant, elle s’était surprise sa main posée sur son sexe et ses doigts le caressant doucement à travers le tissu de sa culotte de coton. Elle se remémorait le rêve de la nuit durant lequel son homme, ou plutôt son ex-homme, l’avait prise par derrière alors qu’elle se tenait appuyée les mains contre un tronc d’arbre. Jamais, dans la réalité, elle n’aurait pu envisager une telle situation, mais elle avait l’impression de ressentir encore les coups de boutoir de son homme qui la transperçaient puissamment. Elle avait senti de douces sensations sous l’effet de ses doigts, mais était vite revenue à la réalité : il n’y avait aucune chance qu’un sexe dur et fièrement dressé ne vienne combler ses désirs ; elle était seule, désespérément seule…
Elle était allée se doucher après s’être longuement regarder dans son miroir : son corps était loin d’être désagréable à regarder avec ses seins qui tenaient encore fermement, ses longues jambes fuselées, son minou orné d’un triangle brun et frisotté et ses deux fesses bien fermes. Face au miroir, elle entrouvrit ses lèvres intimes pour découvrir son bouton plaisir qui ne tarda pas à s’ériger et à durcir. Le désir était là…
Elle prit une bonne douche, s’attardant un peu plus à masser et à caresser son minou. Elle se surprit à gémir doucement comme elle l’aurait fait si une main étrangère l’avait caressée. Elle sentit son sexe s’humidifier et son clitoris durcir encore. Elle apprécia de se faire du bien mais en resta là. Elle sortit de la douche en ayant une idée bien précise en tête : se sécher rapidement et aller s’allonger nue sur le lit face à l’imposante glace de l’armoire qui avait été si souvent témoin de ses ébats amoureux avec son homme. Elle voulait se voir prendre du plaisir comme elle aimait voir le sexe de son homme rentrer et sortir de son sexe. Elle voulait se voir en train de se caresser, de se pénétrer de ses doigts ; voir son sexe humide entrouvert et se voir exploser de plaisir…
En entrant dans la chambre, elle laissa la serviette tomber et s’allongea, cuisses écartées, face à l’immense miroir. D’une main elle écarta ses douces lèvres déjà humides et de l’autre elle commença à parcourir sa fente de bas en haut. Elle se cambra pour aller au-devant de sa main.
Lui
Il ne vivait plus dans cette maison, mais elle lui appartenant encore à moitié. Il lui arrivait régulièrement d’y passer, d’abord pour y récupérer son jeune fils, mais aussi pour peu à peu y récupérer ses affaires. Ce matin-là, il avait décidé de passer pour prendre des papiers pour son assurance…
Ayant toujours les clefs, il était passé par la porte du garage et avait tranquillement monté les escaliers du sous-sol. Arrivé en haut, il ouvrit la porte et fut surpris d’entendre des gémissements, des gémissements qu’il connaissait bien : ceux que son ex-femme pousse quand elle prend du plaisir. Il avait toujours aimé l’entendre gémir de plaisir car cela n’était pas arrivé aussi souvent qu’il ne l’aurait souhaité. Elle n’était pas frigide mais pas vraiment portée sur la chose, comme l’on dit, et c’est plus souvent qu’à son tour qu’il s’était senti frustré.
Passant la tête à la porte, il se rendit compte que les gémissements provenaient de la chambre. Sans bruit, il avança vers la porte et, le plus discrètement possible il jeta un œil dans la chambre : il vit deux cuisses largement écartées, les doigts d’une main qui écartaient largement les lèvres d’un sexe écarlate et humide à souhait et deux doigts d’une autre main qui coulissaient à l’intérieur. Il avait bien sûr reconnu ce corps, ces jambes et ce sexe qu’il aurait aimé plus souvent dévoré. Le haut du corps restait dissimulé par le bois du lit et elle ne pouvait donc pas le voir.
Cette vision à laquelle venaient s’ajouter les gémissements de plaisir eurent un effet immédiat sur lui : il sentit son sexe grossir et durcir ; il commença à le caresser à travers le tissu de son pantalon tout en ne perdant rien du spectacle qui lui était offert. Maintenant, elle se pénétrait de deux doigts tout en se caressant de plus en plus vite le clitoris : il avait jailli turgescent de sa gangue protectrice. N’y tenant plus, il avait ouvert la fermeture éclair de son pantalon et, malgré sa raideur, en avait extrait son sexe. Gonflé et tendu à l’extrême, il jaillit vert le ciel fièrement tendu. Vingt centimètre bien fermes se retrouvèrent enserrés dans une main qui commença un lent mouvement de va et vient découvrant et recouvrant un gland gorgé de désir.
Ces doigts qu’il voyait coulisser, ces doigts qu’il voyait triturer ce clito avide de plaisir, ces gémissements qui s’intensifiaient le firent encore durcir. Il y avait longtemps qu’il n’avait pas eu une telle montée de désir, une telle érection. Celle qu’il avait aimée et qu’il aimait sans doute encore, était là, offerte et ouverte au plaisir. Il en avait envie, mais il n’osait pas entrer dans la chambre de peur de se voir rabrouer. Son sexe tressautait de désir dans sa main et il sentait le plaisir monter le long de sa hampe, un plaisir qui allait s’envoler en longues giclées qui ne pourraient être qu’honteuses…
Elle
Il y avait une éternité qu’elle n’avait pas ressenti un tel plaisir. Tout son corps était à l’unisson. Ses tétins, sans les toucher un seul instant, s’étaient dressés, l’intérieur de son sexe était inondé et réceptif à souhait et son clitoris était érigé et dur, dur comme le sexe qu’elle pouvait imaginer en fermant les yeux : une longue hampe fièrement dressée et dure surmontant deux bourses velues bien pleines. Elle imaginait le gland lisse et turgescent venir frotter son clitoris par des allers et venues de plus en plus appuyés pour ensuite venir s’introduire en elle et s’enfoncer doucement, doucement jusqu’à ce qu’elle ait absorbé le membre tout entier. Il se retirait lentement, puis la pénétrait encore tout en douceur après l’avoir fait languir en laissant son gland juste à l’entrée de son antre du plaisir.
Sous ses doigts, elle sentit son sexe littéralement dégouliner. Elle était détrempée et ses doigts faisaient un bruit de robinet à chaque fois qu’ils entraient et sortaient d’elle. Le plaisir montait, elle le sentait. Son clito ne pouvait pas être plus dur et plus tendu et le moindre frôlement d’un de ses doigts la faisait gémir. Elle allait jouir…
Voulant complètement profiter du spectacle dans le miroir, elle entreprit de s’asseoir sur le bord du lit. C’est en se redressant qu’elle le vit…Elle aurait dû crier de surprise, chercher à se cacher sous un drap, exprimer sa colère… elle ne fit rien de tout cela et resta juste le regard fixé sur la hampe qui jaillissait du pantalon et qui semblait lui faire de l’œil de son gland violacé et gonflé.
Il était là ce sexe dont elle avait si souvent rêvé. Il était là dur et tendu d’un désir qu’elle avait causé. Elle en avait envie… Elle avait envie de sentir sa chaleur dans ses mains, envie de le caresser, envie de le faire encore durcir, envie de le sentir au plus profond d’elle, envie de le sentir s’épancher en elle… Elle avait envie de ce sexe,
De l’index elle lui fit signe de s’approcher. Quand il fut assez proche, elle tendit une main qui alla se poser sur la hampe qu’elle parcourut lentement de bas en haut. Elle ressentit un plaisir immense à percevoir cette chaleur et cette fermeté sous ses doigts. Elle tira doucement sur la peau du sexe tendu pour découvrir au maximum le gland qui se tendit encore telle une gourmandise qui lui était offerte.
Face au miroir, elle était offerte sexe béant et humide alors qu’elle avait en main ce sexe érigé qu’elle désirait tant. Elle aurait aimé faire une photo de ce spectacle pour qu’il soit éternel. Lâchant la hampe, elle entreprit de s’attaquer à la ceinture et au bouton du pantalon : elle voulait tout voir, tout sentir et pouvoir admirer ce corps qui savait la faire vibrer. Elle fit descendre le pantalon, puis le slip…
Lui
Il se demandait combien de temps il allait pouvoir tenir et il ne se voyait pas éjaculer là au milieu du couloir. Sa main arrêta son mouvement de va et vient et il décida de se contenter de profiter du spectacle sachant qu’il serait toujours possible de se soulager avec sa nouvelle compagne….
Quelle ne fut pas sa surprise de la voir se redresser et ainsi le voir. Il resta là, ébahi et incapable d’une quelconque réaction, les bras étant tombés le long du corps et sa verge fièrement dressée. Il se rendit assez vite compte que ce n’était pas vraiment lui qu’elle regardait, mais plutôt une seule partie de son anatomie : son sexe ! Même si, sur le coup de la surprise, il avait perdu un peu de sa superbe, il était encore dur et pointait à l’horizontal.
Il ne se fit pas prier quand elle lui fit un petit signe du doigt pour qu’il approche et ressentit un immense plaisir quand il senti sa main se poser sur son sexe. Elle le caressa doucement sur toute sa longueur et il se raidit rapidement au maximum. Il retrouva, avec délectation, la douceur de cette main qui savait si bien le caresser quand elle était décidée. C’est avec elle qu’il avait connu ses plus puissantes éjaculations car elle savait maintenir l’excitation à son comble et l’amener au suprême plaisir avec patience et méthode.
Quand elle fit coulisser la peau de son sexe au maximum, il ne put réprimer une contraction des sphincters qui le fit tressauter et se tendre au maximum. Si elle s’amusait trop à cela, il n’allait pas tenir longtemps et il fut tout heureux de la voir se préoccuper de la ceinture de son pantalon. Il l’aida à faire descendre pantalon et slip et s’en débarrassa. Il en fit de même avec son polo et se retrouva ainsi nu, les bourses gonflées à l’air et le sexe fièrement dressé. Toujours assise, elle avait le visage à hauteur de son bas-ventre et le gland de son membre se trouvait à quelques centimètres de sa bouche…
Il ne souhaitait pas la brusquer et ne l’incita en rien… Pourtant, alors que c’était une caresse qu’elle n’affectionnait pas particulièrement, elle se pencha un peu et, lèvres entrouvertes, elle goba délicatement le gland et sa langue se mit en action. Il ne put réprimer un gémissement de plaisir. Elle ne pompait pas, se contentant de parcourir la totalité du gland de sa langue chaude et humide. Le miroir lui renvoyait l’image de cette femme gourmande qui tenait la partie la plus sensible de son être dans sa bouche et qui s’en délectait ; une image qu’il avait de nombreuses fois rêvée… Il fit tressauter sa hampe et gémit de plus en plus fort pour lui faire savoir qu’il n’allait pas tenir très longtemps à ce régime. Elle comprit l’avertissement et se retira un peu. Elle donna encore quelques coups de langue sur son gland, puis se leva et vint se coller à lui pour l’embrasser à pleine bouche, leurs langues s’emmêlant dans une sarabande sensuelle.
Elle
Quel plaisir elle avait ressenti quand il s’était retrouvé nu. Elle avait toujours aimé ce corps élancé et musclé et il y avait ce sexe… ce sexe dur, long et fier qui était pointé pour elle. Le gland qui était à quelques centimètres de son visage semblait être une offrande, un fruit mûr à déguster. N’ayant pourtant jamais été une fan de la fellation, elle ressentit une envie irrépressible de le prendre en bouche, de le déguster. Bouche ouverte, elle l’engloba de ses lèvres et sa langue se mit à tourner tout autour. Elle apprécia ce fruit doux et dur à la fois. Sa langue s’en donna à cœur joie et elle parcourut l’objet de son désir dans tous les sens à une vitesse de plus en plus grande…
Alors qu’elle sentit le sexe tressauter et le gland encore durcir dans sa bouche, elle se dit qu’il était tout prêt de succomber au plaisir. Elle retira sa bouche, donna quelques coups de langue et se leva pour venir se coller à lui. Elle l’embrassa et sa langue retrouva vite ses habitudes avec la sienne. Avant, ils aimaient s’embrasser et mélanger leurs langues dans de longs baisers préliminaires à quelques bons moments d’extase… Elle sentait la chaleur de ce corps qu’elle désirait et, surtout, la fermeté de ce sexe qui battait contre son ventre.
S’écartant un peu, elle empoigna le sexe à la base et en dirigea le gland vers son bas-ventre pour s’en caresser le clito. Elle le fit coulisser dans sa fente humide puis s’en servi pour titiller son bouton d’amour toujours en érection. La sensation était des plus douces et elle appréciait de pouvoir ainsi se servir de ce sexe désiré comme objet de plaisir. Elle le serrait assez fermement à la base, ce qui l’avait encore fait durcir. Auparavant, elle avait découvert qu’en le serrant d’une main à la base et en le caressant de l’autre, il pouvait avoir des érections plus dure et des éjaculations d’une très grande puissance. Elle était ainsi parfois arrivée à le faire crier de plaisir. Là, c’était son clito qui profitait de la dureté du gland et il était, lui aussi, en complète érection.
Elle ne put bientôt plus retenir des gémissements de plaisir et elle commença à jouer du bassin pour encore accentuer la caresse. Bientôt, elle se mit sur la pointe des pieds et commença à faire coulisser la hampe entre ses cuisses. Elle frottait son clito et parcourait la longueur de sa fente béante détrempée. Il se laissait faire et c’était ce dont elle avait envie. Son désir était si fort qu’elle ne le voyait qu’à travers son sexe dressé et gonflé de désir. Elle se félicita quand même quand ses mains vinrent se poser sur ses seins et qu’il commença à doucement triturer ses tétins. C’était juste la sensation qui lui manquait, le plaisir qu’elle ressentait quand on s’occupait de ses seins. Ils étaient toujours aussi réceptifs aux caresses et bientôt ce furent deux tétins bien érigés qui lui procurèrent de nouvelles sensations de plaisir…
Lui
Elle le serrait à la base et il avait encore durci. Elle servait de lui et de son sexe comme un jouet, mais il aimait ça et il savait que lui aussi allait profiter de ce corps qui s’offrait rempli de désir. La sensation du sexe humide sur son gland, les douces caresses sur le clito très ferme lui aussi étaient bien agréables. Il apprécia encore plus quand elle glissa son sexe entre ses jambes et se mit à monter et descendre dessus. Glisser entre ses lèvres intimes toutes humides était un vrai plaisir tout comme la sensation de sentir le clitoris dur et tendu se frotter.
Il sentait ses tétins contre sa poitrine. Ils étaient érigés et lui procuraient de douces caresses au milieu de la toison bouclée de sa poitrine. Il engloba avec plaisir les deux seins et, entre le pouce et l’index de chaque main, il commença à en pinçoter les extrémités qui s’allongèrent encore un peu et devinrent tout durs. Il les fit rouler entre ses doigts se rappelant que c’était une caresse qu’elle appréciait énormément. La montée de ses gémissements de plaisir en fut la preuve…
Il continua ainsi ses caresses mammaires alors qu’elle s’agitait de plus en plus du bassin pour venir au-devant de sa hampe qui avait de plus en plus de difficulté à rester tendue vers le sol sous la pression de son sexe avide de frottements. N’y tenant plus, ils s’écarta un peu. Son sexe se libéra et se tendit, dôme fièrement dressé vers le plafond. Il remplaça son sexe au niveau du minou de sa belle par une main fureteuse dont deux doigts vinrent parcourir la fente humide avant de s’introduire entièrement dans son antre intime détrempée. Elle poussa un cri de plaisir lors de l’intromission et joua du bassin, d’avant en arrière, pour imprimer un mouvement des plus puissants aux doigts qui la pénétrèrent à un rythme effréné. Accrochée à son cou, elle commença à se pâmer, se tortillant de plaisir dans tous les sens et cherchant à enfoncer en elle les doigts le plus loin possible.
D’une main, dans sa frénésie sensuelle, elle avait saisi son sexe turgescent qu’elle secouait dans tous les sens. Lui, il se concentrait sur ses caresses, sur ce sexe dégoulinant avide de plaisir qu’il était heureux de visiter à nouveau. Elle était proche de l’orgasme, il le savait mais il souhaitait qu’ils y parviennent de concert.
Elle le sentit, sans doute et, bientôt elle s’écarta un peu de lui et l’invita à s’allonger sur le lit. Il s’y prêta de bonne grâce et se retrouva allongé sont sexe fièrement bandé et toujours aussi dur. Dans le miroir, il eut le temps de l’admirer : presque vingt centimètres d’un bon diamètre, droit comme un barreau surmontant deux bourses poilues bien rebondies et bien pleines. Elle s’agenouilla sur le lit, à ses côtés, fit passer une jambe au-dessus de son sexe qu’elle empoigna à la base. Positionnée comme elle le souhaitait, elle s’empala dessus d’un seul coup…
Elle
Elle avait cru défaillir quand les deux doigts s’insinuèrent en elle au plus profond. Elle avait attendu cela depuis trop longtemps même si de ses propres doigts elle réussissait à se procurer du plaisir ; là, c’était vraiment autre chose. Elle avait envie qu’ils la transpercent, qu’ils aillent au plus profond d’elle-même. Elle se démena tant qu’elle le put pour qu’ils aillent au plus profond et elle aurait presque souhaité que la main toute entière soit en elle…
Elle allait jouir, elle le sentait mais c’était avec ce joli et puissant sexe qu’elle voulait jouir et elle savait qu’il allait la faire crier de plaisir. Elle l’invita à s’allonger, l’enjamba et, d’un seul coup, s’empala dessus. Elle ressentit comme une plénitude inconnue, la sensation d’être remplie et que son corps n’était plus qu’une boule de plaisir. Elle commença à monter et descendre sur la hampe dont la raideur ne faiblissait pas, bien au contraire. Il l’avait prise aux hanches et l’accompagnait dans ses mouvements de va et vient pour s’enfoncer au plus profond de son antre.
A un moment, une de ses mains vint se poser sur le bas de son ventre et, du pouce, il caressa son clito turgescent qui pointait à l’orée de sa touffe brune et frisée. Un petit bouton de rose rouge qui ne demandait qu’à être titiller pour donner du plaisir. L’effet sur elle fut immédiat et elle gémit de plus en plus fort tout en accélérant la cadence pour s’empaler sur le sexe qui la pourfendait.
Malgré le plaisir qui était près d’exploser en elle, elle ressentit que le sexe en elle durcissait en elle. L’explosion approchait aussi pour lui et elle en fut heureuse. Tout en continuant à coulisser dessus, elle commença à jouer de ses muscles intimes pour l’enserrer encore plus. Il était dur, très dur et son gland semblait encore avoir gonflé. Bientôt ce fut la hampe qui vint au-devant de son sexe et c’est dans une danse endiablée qu’ils parvinrent ensemble au nirvana en criant et en gémissant de plaisir sans discontinuer durant un bon moment.
Elle hurla quand elle sentit les chaudes giclées de sève se répandre en elle. Elle les ressentit d’une puissance extrême ce qui ne fit qu’amplifier son orgasme et ses cris. Tout en jouissant, elle continua à se démener au-dessus de ce sexe dont elle voulait récolter jusqu’à la dernière goutte de plaisir. Tout en se massant les seins, elle continua jusqu’à l’épuisement, jusqu’à ce qu’elle puisse ressentir en elle la perte de vigueur du membre qui lui avait donné tant de plaisir. Elle se laissa aller en avant et vint se blottir dans le creux de son épaule musclée. Là, elle s’apaisa et profita de ce moment de tendresse et de relâchement, celui que l’on apprécie tant après l’amour, après le plaisir et qu’elle n’avait pas connu depuis trop longtemps…
Lui
Jamais il ne l’avait vu dans un tel état d’excitation, jamais il ne l’avais vu mener ainsi leurs joutes amoureuses et jamais il n’avait pris un tel plaisir… Cela avait été fantastique quand elle avait commencé à jouer de ses muscles internes : sa hampe avait été alors doucement malaxée et enserrée d’une douce et vivante gangue qui l’avait amené à une jouissance sans précédent qui avait explosé en de longues et puissantes giclées qu’il avait accompagné de cris incontrôlés.
Elle l’avait vidé jusqu’à la dernière goutte et, peu à peu, il avait perdu de sa superbe. Si son sexe gardait toujours une longueur respectable, il n’en avait pas moins perdu de la vigueur…
Il apprécia ce moment de douceur après la « v******e » de l’acte et il eut plaisir à l’enserrer de ses bras quand elle vint se blottir dans le creux de son épaule. Ils restèrent ainsi un bon moment se remettant tranquillement de leurs émotions puis elle vint se coucher à ses côtés. Côte à côte, ils se dévisagèrent longuement, sans un mot, puis se regardèrent dans le fond des yeux sans ciller. Leurs lèvres se rapprochèrent naturellement et ils échangèrent un long et tendre baiser.
Il avait cru ne plus l’aimer, mais c’était faux. Elle était là, face à lui et il n’avait qu’une envie, celle de la serrer dans ses bras, de la câliner, de la choyer et de l’aimer. Ils s’étaient séparés sur des incompréhensions et il en était maintenant certain. S’il avait parfois l’impression qu’elle n’aimait pas assez faire l’amour, elle venait de lui prouver qu’elle était une grande amoureuse et que c’était peut-être à lui qu’il revenait d’entretenir sa sensualité.
Qu’allait-elle avoir envie de faire ? Avait-elle encore envie de vivre avec lui ? L’aimait-elle encore ?… Les questions se bousculaient dans sa tête. Il l’aimait, il en était certain, et il voulait se réveiller chaque matin à côté de ce corps qu’il se promettait de faire vibrer et de remplir de son sexe rempli de désir.
Elle l’embrassa à nouveau en entrouvrant la bouche pour leurs langues se mélangent langoureusement. C’était le genre de baisers qu’ils échangeaient quand ils étaient follement amoureux. Il le savoura puis elle se recula un peu et le regardant dans le fond des yeux elle lui dit :
« Je t’aime mon amour et je vais te le prouver ! »… Elle se redressa et commença à l’embrasser sur le torse, le nombril, la toison pubienne, puis sur sa hampe au repos…
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