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Madeleine aime les oiseaux, les oiseaux aiment Mad

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Chapitre 3

Le lendemain matin, la mère annonce une grève du sexe, vu que les anglais ont débarqué.

« Adrien, pendant 4 à 5 jours, on ne va pas trop faire l’amour, car j’ai mes ragnagnas, mais j’aimerais que tu me rendes un petit service pendant ce temps là !
.. Martine, une copine de bureau a un problème, un peu le même que moi, il y a aussi une sangsue chez elle, d’une espèce encore pire que Julot, si tu pouvais la débarrasser de ce parasite, ce serait super !
.. Tu prends pension chez elle et tu lui fais le ménage ! »

L’après midi, Adrien prend ses affaires et va sonner chez la copine de sa mère qui a été avertie. Surprise, c’est un mec, l’air furibard, qui vient lui ouvrir la porte :

« Qu’est-ce que tu veux ? Lui demande-t-il.
– Je suis le nouveau pensionnaire de Madame Martine !
– Elle n’est pas là ! » Dit-il, en essayant de refermer la porte.

Comme Adrien savait qu’elle devait l’attendre, il met le pied dans la porte et l’ouvre.

– C’est quoi ce bazar, j’ai rendez-vous avec elle ? (Il entend des gémissements dans la chambre du fond).
.. C’est quoi ces gémissements ?
– C’est rien et ce n’est, en tout cas, pas tes affaires !
– À voir… ! » (Et il se dirige vers la porte).

L’autre essaye de lui bloquer l’accès en lui envoyant un coup de poing.
Adrien s’y attendait un peu et il enveloppe le poing, le tord et le passe derrière le dos de son agresseur, à la limite de faire craquer l’articulation.

« Je crois que tu ferais mieux de te tenir tranquille, si tu ne veux pas finir infirme ! »

Il ouvre la porte et voit un tableau incroyable. Martine est menottée et attachée à un cadre de gymnastique dans une position écartelée, avec une pincette à chaque sein, avec un petit poids, la bouche entravée par un bâillon, un énorme plug dans la chatte. Les yeux hors des orbites.
Une vraie vision de cauchemar.

« Bon, je crois qu’on va bien s’amuser ! Dit Adrien, au guignol qu’il maintient fermement.
.. Baisse ton futal avec ta main libre, jusqu’à mi mollet ! »

L’autre s’exécute.
D’un croc en jambe, il l’étale par terre et l’entrave complètement, puis commence à délivrer Martine.

« Ce salaud, on va lui faire payer, puis on va l’expulser avec ses affaires par la fenêtre.
– Merci Adrien pour ton aide ! »

Une fois délivrée de ses liens, elle menotte à son tour son tourmenteur et Adrien le suspend, à son tour, au chevalet des plaisirs.

« Toi mon pote, tu vas regretter un peu les traitements que tu as faits subir à Martine !
– Pitié… !
– On verra quand on en sera un peu plus loin dans le programme ! »

Débarrassant également les pinces qui martyrisaient les seins de Martine, il les lui donne et lui propose une vengeance.
Elle voit le sexe de son tourmenteur agité de soubresauts. Elle prend une pince et la lui place avec un poids sur le bout du prépuce retroussé, non sans l’avoir gratifié, également, d’un bon bâillon. Il s’ensuit une suite de borborygmes.

« Attends chéri, je n’ai pas fini avec toi, je vais te faire subir tout ce que tu m’as fait subir ! »

Elle retire le plug énorme qu’elle avait, fiché dans sa chatte et, sans transition, le lui plante bien profond et à sec dans le cul.

« C’est bon de sentir cette bonne chose dans le cul, je suis sûre que tu apprécies !
– Bourclatafoufaoidf… ! Annone le martyrisé.
– C’est bien, on va te laisser un moment, le temps d’apprécier le traitement !
– Je veux ajouter, dit Adrien, si par hasard, je te vois tourner dans le quartier, ou chercher des noises à Martine, ce qu’on fait là, c’est très soft en comparaison de ce que tu auras à subir… ! »

Toujours magnifiquement nue, Martine prend Adrien par la main et vont dans le coin à manger où Martine lui propose un verre de vin ou de thé et, ensuite, d’aller se rhabiller.

« Dommage, tu es vraiment très belle comme cela, en quelque chose, tu me rappelles ma mère !
– Je sais, elle m’a dit !
– Ah ! Ces femmes et les secrets qui n’en sont rapidement plus !
– Mais je peux rester comme ceci, si tu te mets aussi à l’aise ! »

Sans autre, Adrien, qui se dit que de goûter à cette rousse flamboyante doit être intéressant, se débarrasse de ses vêtements.
Martine, du coup, vient s’asseoir sur ses genoux, en oubliant le verre de vin, mais en regardant en biais, le supplicié qui se démène comme un fou pour se défaire des liens.
Vicieusement, elle prend la belle flèche entre ses mains et la caresse doucement.

« Ça, c’est un vrai homme ! Et elle l’embrasse à pleine bouche, tout en se frottant contre lui, très excitée par le développement des événements.
.. Ta mère ne m’a pas menti quand elle m’a dit que tu étais un bon coup !
– Viens, on va lui faire un petit spectacle, si cela l’excite, la punition n’en est que meilleure, une bite bien bandée est plus douloureuse qu’une bite molle ! »

Délicatement, Adrien passe sa main dans l’entrecuisse pour y récolter un peu de parfum et la met sous le nez du supplicié.

« Tiens, branleur, tu sens cette bonne odeur, comment se passe l’extension de ta bite, j’espère que tu apprécies le traitement que d’habitude tu fais aux autres !
– Msmsgorogogoa… ! Grogne l’autre, à travers son bâillon.
– Je vais te l’enlever, ce bâillon, on a de la peine à comprendre !
– T’es un super salaud, encore pire que moi !
– Comment cela, je ne ferais jamais de mal à une femme, pas comme toi !
– C’est vrai, mais c’est dans ma nature, je suis un sadique !
– Moi ma nature, c’est de faire apprécier leurs gestes aux sadiques !
.. C’est bon, la pince sur le gland ?
– Tu ne veux pas me l’enlever, c’est super douloureux !
– Combien de temps tu fais souffrir tes victimes, habituellement ?
– Une heure ou deux !
– Alors, tu vas encore apprécier une heure ou deux, comme cela, tu auras une base du plaisir qu’a une victime !
.. Peut-être qu’en rab, cela va t’allonger la tige… !
.. On te donnera un petit pansement à la fin, même si je ne suis pas persuadé que tu aies autant de délicatesse !
– Tu viens, Adrien, à la place de discuter avec ce connard ?
– J’arrive… ! (Et il plonge sa tête dans une belle fourrure odorante de rousse, bien pimentée).
– Oh oui, n’oublie pas le petit téton, juste en-dessus, c’est fait pour être tété !
– T’inquiète, je vais tout inspecter, de devant jusque derrière !
– Derrière, vas-y doucement, c’est encore douloureux de ce que ce con m’a fait subir, je préférerais que tu le visites une autre fois !
– T’inquiète, je vais juste un peu le traiter, si tu as un peu de Bétadine, cela va diminuer tes douleurs et cicatriser super vite !
– Oh oui, ce serait super, ta mère m’a bien dit que tu faisais médecine, je serai ta première patiente !
– Non, ma deuxième… ! »

Il lui donne un petit coup de langue pour détendre et humidifier la sortie des artistes.

« Hé gus, il a quel goût mon sperme ?
– Ce n’est pas ce qu’il y a de meilleur, heureusement que ce goût de mauvaise qualité est recouvert par d’autres, meilleurs ! »

Il va dans son sac à dos, où il prend sa trousse de premiers secours, prend le tube réparateur et oint soigneusement l’anneau culier.

« Hum, j’aime quand tu me soignes l’entrée des artistes, tu le fais tellement délicatement que je n’ai pas de douleur !
– Je pense que je vais faire ma spécialisation dans le réparation des trous de culs mis à mal par des sadiques !
– Maintenant, si tu pouvais aussi t’occuper du côté face, il y a aussi besoin de soin, mais pas de Bétadine ! »

Présentant son phallus bien gonflé devant cette moule bien humide qui en demande, Adrien, d’un mouvement lent, mais ferme, s’enfonce dans le puits des délices. C’est chaud, humide, accueillant et surtout très réactif, il sent les muqueuses qui se contractent et se détendent au fur et à mesure de la progression, ce sexe de feu est en train d’aspirer littéralement sa bite, de la malaxer. Les reins de Martine se creusent de plus en plus pour aller à la rencontre de ce bâton de berger qui lui frotte si bien les parois de sa caverne d’Ali baba qu’elle en reste toute baba.

Une demi-heure plus tard et quelques orgasmes plus loin, les deux amants se séparent du lien qui les liait, émergent de la folie du rut et commencent à sentir la dalle après l’effort.

« Si on se faisait un petit encas, lui propose Martine, j’ai une boîte de Rigatoni à mettre au four à micro-onde !
– Ouais, j’adore !
– Et moi ? S’exclame « Dugland », toujours attaché à son chevalet.
– Attends encore un peu, il me semble que l’heure n’est pas encore écoulée !
.. Cela va, au niveau de la queue, tu souffres un peu ?
– Pas croyable ce que cela fait mal, tu ne veux pas m’enlever ce poids qui me taraude la pine, les reins et la tête ?
– Martine… ?
– On peut un peu le soulager, je crois qu’il a compris la leçon !
– Il faut qu’il se rende compte que le prochain coup qu’il tombe entre mes mains, ce ne sera pas 1 heure, mais 10 heures et comme je suis également en train de faire une formation de vétérinaire, tu sais ce qu’on apprend en premier ?
– Non ?
– La castration, pas chimique, mais bien physique… !
.. Ducon, tu as compris ce qui t’attend si tu me retombes entre les pattes ?
– Oui, plus jamais, je ne vais faire ce que j’ai fait, mais stp, enlève-moi ceci ! »

Délicatement, il enlève la pince et met un peu de pommade cicatrisante sur le gland qui a quand même de fortes marques de griffes de la pince.

« Voila, tu peux aller te rhabiller, prendre tes affaires et déguerpir ! »

Les Rigatoni arrivant à point, les deux amants se mettent à table en tenue d’Adam, pendant que le loufiat ramasse ses affaires, s’habille et disparaît.

« Bon débarras, dit Martine, il faudra que je remercie ta mère pour ton aide !
– Pas maintenant, elle a ses ragnagnas !
– Cochon, je ne pensais pas à ça, mais à un bouquet de fleurs ou quelque chose de ce style !
– L’un n’empêche pas l’autre, on pourrait se retrouver les trois pour faire plus amble connaissance !
– OK, mais à la fin de la semaine et c’est moi qui vous invite ! »

*****

De retour à la maison, Adrien commente ses prestations et, fatalement, il se retrouve en train d’honorer la chatte qui l’a vu naître.

« Mère, ta chatte sent fort le sperme, c’est quoi ? Dit Adrien, en reculant sa tête d’entre les cuisses de sa mère.
– Écoute mon trésor, c’était ça, plus une promotion ou le chômage, je n’ai pas hésité longtemps et je me suis donnée au directeur général contre un poste de cadre supérieur !
.. Qu’aurais-tu fait à ma place, tes études ne sont pas terminées et on n’a pas un capital suffisant pour être arrogant ?
– Ne t’en fais pas, mère, j’ai juste été surpris, tu es toujours mon amour, même si j’ai aussi un peu batifolé avec Martine, la semaine passée !
– Cela me fait plaisir que tu le prennes bien, je pourrais l’inviter pour fêter ma promo avec sa femme et tu pourras faire connaissance avec sa femme qui est très jolie !
– Super, cela sera vraiment bien…, mais si cela ne te fait rien, prends une douche, je n’ai pas envie de bouffer les résidus de ton patron ! »

Une semaine plus tard, c’est le grand jour, Madeleine a mis les petits plats dans les grands pour la réception.

< Dring, dring, dring >

« S’il te plaît, va ouvrir mon chéri, il faut que je finisse la cuisine !
– Bonjour, je suis le fils, entrez, je vous prie ! (Et il décharge le patron et son épouse de leurs survêtements).
– Bonjour, Je me présente : Hubert et mon épouse, Véronique ! »

Adrien les conduit au salon où un feu brûle dans la cheminée :

« Je vous en prie, installez-vous et je vous sers un apéritif, que désirez-vous, on a du Martigny, de la Marie Brizard, du Pernot ou de la Fée verte !
– Ah ! De la Fée verte, volontiers, qu’est-ce que tu en penses, chérie ?
– Très bonne idée ! Minaude-t-elle.
– Et pour le vin, on a un Chardonnet Sauvignon de Californie, il vous conviendrait ?
.. Au menu, c’est un canard laqué, précédé d’une mousse de bolets cueillis hier par nous !
– Très bien, cela me convient bien… ! »

À la fin du repas, Adrien met une musique de danse très douce et il invite sa mère à faire quelques pas de danse, en invitant Hubert à faire de même avec son épouse, Véronique.

Quelques morceaux plus loin, on échange les partenaires et Adrien invite Véronique à faire quelques tours de danse, La musique devient plus lente, un blues bien romantique et Madeleine avec un petit verre dans le nez et enlacée tendrement par son patron, sa tête s’appuie sur son épaule et tout d’un coup, leurs lèvres se touchent et partent dans un baiser assez passionné. Véronique voyant la scène d’abord un peu choquée, se laisse aller dans les bras d’Adrien et se serre contre lui. Un peu surpris, Adrien sent un certain émoi qui s’empare de leur couple. Pour ne pas rester en reste, il commence à caresser la poitrine de Véronique qui lui donne ses lèvres. Tout d’un coup, il sent une main qui lui tâte la braguette et qui lui caresse le sexe :

« Comment cela va-t-il évoluer ? Murmure-t-il dans l’oreille de Véronique.
– Je ne m’attendais pas trop à cela, mais je suis, si mon mari veut faire des petits extras, je ne suis pas contre d’en faire aussi avec un charmant jeune homme qui m’a l’air bien pourvu !
– Il ne risque pas de vous faire des problèmes ?
– Non, vu que l’argent, c’est moi qui l’ai et que lui ne se gêne pas, on est assez libre dans notre couple ! »

À ce moment, Madeleine, de plus en plus chaude, dit :

« Avec ce que vous avez bu, il n’est pas sage de rentrer en voiture, je vous invite pour la nuit ! »

Évidemment, Hubert, tout aussi chaud, bandant comme un cerf, n’est pas contre cette proposition :

« Tu as de la place dans ton lit pour moi ?
– Pour les 4, il est vaste… ! »

La suite, bientôt

Balista

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