Histoires de sexe Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe mobiles

Denise, son addiction aux noirs

Denise, son addiction aux noirs



Résumé : « La découverte tardive du bonheur », « La découverte du triolisme » et « Ma rencontre solo avec Sam

Je m’appelle Denise, j’ai 69 ans, je suis une vraie rousse, 1,60 m, très mince, mal mariée à un homme qui ne m’a plus touchée depuis trente ans, quatre enfants, j’avais oublié les joies d’être désirée par un homme.

Ceci est un hommage à mon gendre, qui m’a fait découvrir ce que c’était d’être une femme et non plus qu’une mère.

J’avais à l’époque 44 ans et je ne savais pas ce que c’était de faire l’amour avec un grand A.

Il m’a fait devenir accro à l’amour et aussi à sa queue, même si parfois j’avais l’impression d’être une marionnette au bout d’une ficelle. Je crois qu’il m’a tout fait. Il m’a fait découvrir la pluralité sexuelle et l’amour avec un grand black : Sam.

_________________________________________

Il a fallu que j’attende d’avoir 44 ans pour connaître les joies de l’amour. Se faire prendre par deux hommes c’est vraiment un pied inégalable.

Après être allée dans le magasin de Sam, j’attendais de ses nouvelles. Un mois que je suis sans nouvelle de Sam, j’espère chaque jour un appel, un SMS, rien. Pourtant je n’ai de cesse que de penser à cet après-midi fantastique dans son bureau, la découverte de la langue d’une femme sur mon intimité et enfin sa queue, plus j’y pense plus j’ai envie et je me masturbe souvent en pensant à lui. Au cours d’une soirée avec mon gendre et ma fille il a fait comme si rien ne c’était passé. Mon dieu que c’est long.

Je n’en peux plus et je l’appelle. Il me dit que j’ai était bien longue à le rappeler. Si j’avais su…

Le lendemain nouveau sms de Sam, décidément il est gourmand, je lui réponds pour la semaine suivante, je vais accepter et aller à son nouveau rendez-vous, qu’il me propose chez lui.

Je me suis préparée pour ce nouveau rendez-vous, je me suis baignée, rasée, massée et parfumée avec soin. J’ai mis ce haut léger en maille, transparent, sans soutif et la mini-jupe achetée dans son magasin. Ultra sexy ! J’enfile une jolie paire d’escarpins avec des hauts talons, et un imper sur le tout, pour ne pas être agressée dans la rue, en route. Entre Aix et Marseille, la route est longue et quelquefois mon index vient caresser mon clito qui est mort d’envie de se faire lécher par sa langue râpeuse.

Je suis arrivée chez lui, la montée de l’ascenseur semble interminable, j’enlève mon imper et je sonne à sa porte. Il vient m’ouvrir et siffle d’admiration devant ma tenue. Il m’embrasse à pleine bouche sur le palier et me fait rentrer dans son salon. Là stupeur, il y a son cousin et deux copains à lui. Lorsque je veux partir, sentant le piège, il me dit qu’ils sont venus boire un coup à l’improviste et qu’ils s’en vont de suite.

Est-ce vrai ou pas, je n’en sais rien ! Le piège va-t-il se refermer sur moi ? J’espère que non.

Je ne suis pas très à l’aise, je suis habillée comme il me l’a demandé, sans sous-vêtements, j’ai l’impression d’être nue devant cette assemblée de mâles en rut.

Il me demande de servir à boire à ses copains et qu’ils sont très sympas. Ses copains me reluquent, et allongent les jambes pour que je remonte haut mes jambes pour passer. Ils regardent mes fesses et ma chatte qui, j’avoue, commence à mouiller. La situation est très troublante. Ils font des commentaires grivois sur mon corps, ma façon de bouger, mes seins, mon cul et ça m’excite énormément. Mais j’ai envie d’être baisée par lui, pas par eux !

Je suis allée chercher de la glace dans la cuisine, Sam a fermé la porte, est venu derrière moi, m’embrasse dans le cou, j’adore ça, il commence à me caresser les bras, me lécher le cou, puis il me défait les boutons du haut, un par un doucement, sa deuxième main m’effleure les bouts des seins, qu’il sait très sensibles, puis il me l’enlève, mes mains caressent son membre à travers son pantalon, il bande dur. Je défais sa ceinture, puis fait glisser sa braguette, son sexe jaillit, il ne porte pas de dessous. Il descend la fermeture de ma jupe qui tombe sur mes pieds. Ses copains sont à côté, ils ne peuvent pas nous voir et cette situation m’excite encore plus.

Il descend et m’embrasse le dos, il me caresse la chatte qui est en feu, mon bouton va exploser, il me lèche le cul, me doigte avec deux doigts et son autre main m’astique le clito, en moins de trois minutes, je jouis bruyamment.

Il se lève, m’embrasse, et pose sa main sur l’épaule, comme s’il voulait que je le suce, il me rappelle mon gendre, les mêmes gestes et les mêmes certitudes. Sa verge sortie de son pantalon, il me dit :

— À genoux et suce.

J’obéis tout de suite, j’aime comment il me domine. Sa queue est belle, assez grosse et une grosse veine la parcourt tout le long. Je lui lèche le cou, puis le torse, le bout de ses seins, le nombril, son sexe énorme est au garde-à-vous. Il a les jambes serrées et m’oblige à m’accroupir les jambes ouvertes autour de lui, le dos collé contre l’évier. Il bande à moitié et je le prends délicatement entre mes lèvres. Je lui titille le bout du sexe, il râle, je prends son sexe en bouche, je lui astique le membre avec une main pendant que l’autre lui caresse les boules, je lui introduis un doigt dans l’anus. Je gonfle mes joues et les relâche pour créer un mouvement d’aspiration. Il gémit et semble apprécier mon traitement. Je relâche sa bite pour aller sucer ses couilles. Elles sont grosses et j’aime les faire rouler entre mes lèvres. Je le reprends en bouche et commence à le pomper goulûment. Soudain il m’att**** par les cheveux et se met à me baiser la bouche. Je le laisse utiliser ma bouche.

La porte de la cuisine s’ouvre, ses trois copains, nous regardent et me complimentent quant à mes qualités de suceuse, je garde les yeux fermés, et me concentre sur ma tâche. Une main s’empare de mon sein droit, j’ouvre les yeux et je vois les trois blacks, nus avec leurs sexes droit et épais comme des bambous. Une autre main s’empare de mon sein gauche, et je sens une langue venir me titiller le clito, et s’engouffrer entre mes lèvres. Sam jouit brusquement enfoncé au fond de ma gorge et j’avale tout son sperme avec plaisir, alors que j’ai toujours refusé de faire ça à mon mari. Je m’aperçois que j’adore découvrir le goût du sperme d’un homme. Je le rejoins et je jouis sur la langue du black qui s’est allongé par terre.

Je me relève, et admire ces belles queues. Que faire ? J’en ai envie, mais est-ce raisonnable ? Le corps dirait bien oui, mais la tête dit non.

Pourtant, comme venu d’ailleurs, je m’entends leur dire :

— On va dans la chambre, on sera mieux

Je n’en crois pas mes oreilles, c’est moi qui viens de dire ça !

Les quatre blacks me suivent. Je m’assois sur le lit, je prends une queue dans chaque main, et je les branle, le troisième vient se poser devant ma bouche, je sors ma langue et lèche ce bout de queue puis, je le gobe et le pompe.

Ma foi, ils ont des queues de longueur normale, mais par contre très large, ça promet.

Comme quoi tous les blacks ne sont pas montés comme des ânes ! Sam me soulève et me fait mettre à quatre pattes sur le lit, pour être plus disponible. Il met sa langue dans ma chatte et me titille le bouton, je n’ai jamais étais offerte à quatre hommes en même temps et rien que de penser à ça, cela me provoque un orgasme très fort, j’ai même du liquide qui s’échappe de mon sexe, je tremble de tous mes membres

Il m’allonge sur le lit et écarte mes cuisses en grand. Il admire ma chatte rasée, comme ma fille me l’avait indiqué, il adore ça. Cela semble lui plaire. Je suis trempée et il me le fait remarquer. Il me lèche la chatte, grignote mon clitoris avec les dents. Je tiens mes jambes écartées au maximum pour lui ouvrir mon intimité.

Le premier des blacks s’approche et enfile une capote sur son sexe. Il bande, debout face à moi, écartée, lui offrant mon sexe à pourfendre. Sam s’écarte et son copain s’approche. Il s’enfonce doucement, prenant possession de mon corps. Il agrippe mes seins et commence à me baiser doucement en me regardant toujours les yeux dans les yeux. J’adore ça, je me sens soumise, saillie, disponible, objet. Je suis une femelle offerte aux mâles. Il accélère pour bien me pistonner et je prends beaucoup de plaisir sous ses coups de boutoir. Il s’allonge sur moi et m’embrasse. Sa langue est intrusive, il prend possession de ma bouche. Je lui rends son baiser. Il continue à me labourer le sexe. Il me fait changer de position. Je suis en levrette, cul offert. Il recommence à me baiser. Un autre est venu se poster devant moi, il me demande de le sucer.

L’autre derrière moi commence à me claquer le cul tout en continuant à me prendre.

Il se crispe sur mes fesses chauffées et je sens ses contractions de sa queue pendant qu’il remplit la capote. Le deuxième enlève sa queue de ma bouche et s’allonge sur le lit, il me demande de venir s’empaler sur lui. Je grimpe sur cette queue très épaisse, mais pas très longue. Je commence un va-et-vient pendant qu’il me caresse la poitrine, le troisième larron derrière moi s’approche, glisse sa langue sur mon anus et me fait une feuille de rose. Sam est devant moi, il me demande de lui nettoyer la bite, et à alors que je suis en train de me faire baiser et sucer l’anus je m’exécute. Ils flattent mes seins, ma chatte et mon cul pendant que je m’applique.

Au bout d’un moment, sa queue recommence à durcir. Incroyable, mon mari même au début ne m’a jamais prise plus de deux fois. Le troisième larron, vient d’arrêter sa feuille de rose et se rapproche de mon petit trou, j’arrête mon va-et-vient en attendant qu’il prenne place. Il s’introduit doucement, dans mon anus, centimètre par centimètre. Il se bloque, il a pris entièrement possession de mon petit trou. Je suis prise par les trois côtés. Je lâche la queue de Sam pendant que les deux autres ont entrepris un va-et-vient infernal. Je sens leurs queues dans mes deux trous, la position est à la fois inconfortable, mais bigrement jouissive. Je sens les queues grossir de plus en plus, je suis à la limite d’avoir la respiration coupée, ils accélèrent encore plus le rythme et jouissent l’un après l’autre. Ils se retirent délicatement, me retournent sur le lit, je suis épuisée. Sam est devant moi au garde-à-vous.

Il me fait lever, il me positionne face à la vitre, debout, jambes tendues et écartées, cul saillant. Il renfile une capote et m’enfile par-derrière. Je suis debout, les seins écrasés contre la vitre, dominant la rue avec un homme qui me baise. Il est doux, il va-et-vient délicatement pour me faire jouir. Son gros sexe a réussi à rentrer dans mon petit trou qui doit être bien éclaté maintenant.

Il me susurre des mots doux à l’oreille.

— J’espère que tu as été contente de moi, j’ai pris beaucoup de plaisir à rendre ton gendre cocu.
— Tu es une très belle femme et il a de la chance que tu saches l’exciter comme ça. Moi aussi j’ai eu de la chance que tu veuilles bien m’offrir ton corps.
— Je veux que tu jouisses maintenant.

Nous jouissons en même temps.

Plus tard, après avoir repris notre souffle, après une longue douche je m’allonge sur le lit admirant mes quatre hommes debout qui me contemplent.

L’un d’eux dit :

— Tu avais raison elle est aussi docile que sa fille, mais avec une plus petite poitrine.
— Et une sacrée suceuse en plus, renchérit l’autre.
— Ça me redonne envie, dit le troisième, qui se rapproche de moi avec un sexe à moitié au garde-à-vous. Suce-moi ! dit-il.

J’obéis tout de suite, j’aime comment ils me dominent. Sa queue est belle, il bande à moitié et je le prends délicatement entre mes lèvres. Je lui titille le gland avec la langue, je remonte jusqu’à son pubis en le léchant puis je reviens vers le gland. Je le fais pénétrer doucement dans ma bouche puis plonge pour que le bout de queue caresse le fond de ma gorge. Je gonfle mes joues et les relâche pour créer un mouvement d’aspiration. Il gémit et semble apprécier mon traitement.

Je pense soudain à mon mari en train de bosser comme un dingue pendant que je suce une belle bite. Cette idée m’excite encore plus.

Je relâche sa bite pour aller sucer ses couilles. Elles sont grosses et j’aime les faire rouler entre mes lèvres. Je le reprends en bouche et commence à le pomper goulûment.

Le deuxième à repris de la fermeté, enfile une capote et vient se positionner devant ma vulve. Il s’enfonce sans problème, me lime avec vigueur pendant que le troisième s’est approché au garde-à-vous pour que je le prenne en bouche. Ils sont jeunes et pleins de force, ils vont m’épuiser. Je le prends dans ma main et accélère ma masturbation, ils grognent tous les trois de plaisir.

Ils arrêtent le mouvement et le premier vient s’étendre à mes côtés me demandant de venir m’empaler sur lui. Le sandwich aux boudins noirs est vraiment mon préféré. Je commence un va-et-vient, le deuxième me demande de me pencher et s’approche de mon petit trou qui va subir encore des assauts virils qui vont finir par le dilater complètement. Sans ménagement, il rentre sa pine qui n’a aucune peine à rentrer jusqu’au bout tellement je suis dilatée. Le troisième met sa queue devant ma bouche et m’att**** les cheveux pour être sûr que je vais bien le pomper. La position n’est pas vraiment idéale, ni confortable, mais ces trois queues qui rentrent et sortent sans arrêt me font ressentir des choses inconnues par moi il y a encore quelques mois. Après de longues minutes d’une saillie infernale, ils se retirent tous les trois et se mettent debout devant moi, ils s‘astiquent de plus en plus fort en me disant qu’ils vont me donner leur crème de beauté. Ils crachent tour à tour leur jus sur ma figure et ma poitrine.

Je m’en vais prendre une deuxième douche je suis épuisée, mais étrangement très contente.

— Alors on se reverra ? me demanda Sam.
— Oui j’avoue que j’adore ta queue, mais c’est toi que je veux et seulement toi. Si tu veux me revoir, il faudra que tu m’obéisses !
— Ok, me répondit Sam.

Je partis chez moi les jambes flageolantes, mais sûre d’une chose : c’est moi qui avais le pouvoir sur lui contrairement à ce qu’il espérait. Je lui dis en partant :

— Si tu es libre dimanche, tu peux venir à l’anniversaire de ma fille cadette.
— Oui me répondit-il, c’est prévu que je vienne avec mon cousin et un copain.

Pour l’anniversaire de ma fille cadette, j’ai invité sa sœur et mon gendre, Sam et deux de ses amis que j’avais rencontrés avec lui. Ça sera barbecue dans le jardin, car en juillet c’est très agréable.

Ils sont arrivés les uns après les autres, Sam et ses copains ont apporté un punch maison comme ils disent avec des bouteilles de rhum en plus. Mon mari a trouvé bizarre l’arrivée de ces trois blacks, mais sa fille lui a dit que c’est elle qui voulait les inviter. Mon mari, bougon, est donc allé préparer le barbecue. Nous avons profité pour prendre l’apéro dans le jardin, près de la piscine. Le punch délicieux a été servi aux convives et j’ai remarqué que Sam a rajouté du rhum a chaque fois qu’il apporté un verre à mon mari.

Après le deuxième verre et en attendant que la viande soit cuite, ma fille a proposé que l’on se baigne, vu la chaleur dans le jardin. En deux temps et trois mouvements, nous sommes tous en maillot de bain et hop, dans l’eau (à part mon mari au barbecue). Des petits jeux ballons aidant, proposés par mon gendre et nous voilà toutes les trois en topless, mon mari qui bougonne encore plus se ressert un troisième verre de punch et à ce rythme il ne tiendra pas tout le repas. En faisant les folles avec ces beaux mâles présents dans l’eau, ma fille aînée, en jouant avec Jacques et Désiré vient de se faire tirer les deux ficelles qui tiennent sa culotte, elle est à présent sur la pelouse. Sam a profité de la surprise pour faire la même chose à ma fille cadette et alors que j’allais m’interposer mon gendre a fait de même avec mon maillot. Nous voilà toutes les trois entièrement nues dans l’eau avec mon mari qui nous tourne le dos pour faire cuire la viande. Quelques mains baladeuses arpentent nos corps, Jacques et Désiré ont les mains qui courent sur la chatte de mon aînée pendant qu’elle a les mains dans les maillots de ses jeunes gens fortement membrés. Sam est passé derrière ma cadette et il semblerait qu’elle se soit assise sur son sexe, pendant que mon gendre m’astique le clito et que je le branle vigoureusement sous son short. C’est à ce moment-là, que mon mari dit : « à table !». Devant la situation confuse, Sam sort le premier, suivi de mon gendre, pendant que Sam sert un quatrième punch à mon époux et le fait se retourner, mon gendre nous donne nos paréos pour que l’on puisse se vêtir, et il emmène discrètement les maillots à l’intérieur.

J’ai demandé à tout le monde de rester calme pendant le repas.

Mon mari n’y a vu que du feu, je demande à mon gendre à m’aider à choisir le vin, nous rentrons dans la maison et je vais avec lui dans la cave. Il profite pour me caresser les fesses, arrivée en bas de l’escalier je me retourne pour l’embrasser, il me dénoue mon paréo et je suis nue devant lui, en m’agrippant à son cou je sens, son énorme bosse à travers son grand short de bain, après un baiser tendre, il a baissé son short et ma demandé de lui sucer la queue tellement elle lui faisait mal d’envie. Je suis descendue lentement, je lui lai léché les seins, le ventre, les bourses et enfin lécher doucement sa queue. C’est la première fois qu’il a joui aussi vite. Nous sommes remontés rapidement avec le vin. Pendant le repas, sous la nappe il m’a semblé que quelques pieds se sont touchés et caressés. Après les trois bouteilles de vin dont une entièrement sifflée par mon mari et le champagne. Mon mari nous a dit qu’il allait faire la sieste dans le bureau, de l’autre côté de la maison.

À peine rentré, Sam a embrassé ma cadette à pleine bouche tout en tirant sur le nœud du paréo et commence à lui caresser ses petits seins en poire, Jacques a fait de même à mon aînée et ses lourds seins en forme de pomme, pendant que Désiré a sa main entre ses cuisses. Devant une telle débauche, je leur propose de rentrer, car je ne veux pas voir ça (que mes filles fassent l’amour tant mieux, mais pas sous mes yeux) et mes voisins pourraient nous apercevoir. Sam a proposé à ma fille cadette de lui faire voir sa chambre, ma fille aînée a proposé à Jacques et Désiré de les suivre dans sa chambre de jeune fille. Au passage j’ai aperçu la queue énorme de Désiré, encore plus grosse que celle de Sam. Ça fait envie.

J’ai débarrassé la table avec mon gendre, il en a profité pour m’enlever le paréo et c’est entièrement nue que j’ai tout rangé. Au milieu de la cuisine, il baissé son short, il m’a demandé de me mettre à quatre pattes et de venir lui lécher les pieds et de remonter doucement. Sa demande m’a glacé le sang, et si mon mari arrivait ? Il n’était qu’à dix mètres de nous. Mon gendre a répété l’ordre un peu plus fort. Je me suis mise aussitôt à quatre pattes et je suis venue lui lécher les pieds, ses doigts de pieds un par un. Puis j’ai commencé à remonter en lui léchant ses mollets, sans poils, ses genoux puis l’intérieur de ses cuisses, il s’est assis sur le rebord de la table et il m’a demandé de lui faire une feuille de rose. Je n’en avais jamais fait de ma vie, je trouvais ça humiliant, et là pourtant, l’alcool aidant, je me suis mise à lui lécher doucement l’anus, son mât était droit comme un i, je l’ai même pénétré avec la langue et il a gémi de plaisir, me demandant de continuer, j’ai donc rentré ma langue plus profondément et je l’ai rentrée et sortie comme si je le baisais !

Puis je lui ai léché ses bourses entièrement lisses et je me suis emparé de sa queue, ma main en remontant s’est arrêtée devant son anus et comme il écartait ses cuisses j’ai senti qu’il voulait que je lui enfonce un doigt, puis deux que je faisais aller et venir rapidement. Dans l’instant il a joui et m’a rempli la bouche de sperme. Il m’a attiré vers lui et m’a embrassé à pleine bouche, nous avons pu partager son sperme. Il a commencé à me caresser le bouton qui était déjà prêt à exploser et m’a glissé un doigt dans la chatte, qui était trempée et qui dégoulinait tellement cela m’avait excitée. Il est passé derrière mon dos et m’a fait pencher en avant sur la table de la cuisine, il a commencé à m’embrasser le cou pendant qu’il me doigtait puis il est descendu et j’ai senti sa langue sur ma colonne vertébrale qui me faisait hérisser les poils, puis il m’a dit je vais te rendre ce que tu m’as si bien fait.

Il m’a écarté les fesses et il m’a sucé l’anus, sa main a quitté ma chatte et j’ai senti arriver quelque chose de froid entre mes jambes, et il m’a dit si ton mari aime le champagne tu vas l’aimer d’une autre façon. J’ai senti le goulot froid du champagne qui me pénétrait la chatte pendant que sa langue entrait dans mon anus. Vu le rythme effréné dans lequel les deux pénétrations se sont passées, j’ai joui rapidement et abondamment dans la bouche de mon gendre. Sous la v******e de ma jouissance, j’ai aspiré encore un peu plus loin cette bouteille de champagne, qui après quelques va-et-vient en douceur dans ma chatte a fini dans mon cul, excellemment préparé par la feuille de rose. Les doux allers-retours ont repris et c’est une bouteille de rosé qui est venue dans ma chatte. C’est la première fois que je me faisais prendre par deux bouteilles. Après une longue pénétration en douceur j’ai donc encore joui. Après m’avoir ôté ces deux godes, il m’a prise par la main et m’a dit :

— Viens on monte dans ton lit, tu le regretteras pas.

Nous avons à petits pas, sans faire de bruit, pris la direction de l’escalier, en passant devant la chambre de ma fille cadette. Je l’ai entendue gémir, et devant la chambre de mon aînée idem, des gloussements de plaisir qui faisait plaisir à entendre. Nous sommes entrés dans la chambre, et je me suis étendue sur le lit, mon gendre m’a demandé d’écarter les jambes pour qu’il nettoie ma chatte avec sa langue. Il s’est occupé de moi comme un dieu, me faisant jouir sous sa langue. Il s’est levé et il m’a proposé un jeu, je lui ai dit oui si ça ne fait pas de bruit, il m’a répondu que ça dépendait de moi.

Il est allé prendre une écharpe dans la penderie, et m’a masqué les yeux. Il m’a demandé de me mettre sur le lit, à genoux, d’écarter les cuisses. J’ai entendu la porte de la chambre qui s’ouvrait et se refermait. J’étais impatiente de savoir ce qu’il m’avait préparé. J’ai senti une main se poser sur moi, me dorloter me câliner me titiller le bout des seins puis une deuxième se mettre entre mes cuisses, me masser doucement mon clito puis une troisième me caresser le dos et la quatrième se glisser entre mes fesses. Mon bandeau a été enlevé par Jacques qui se trouvait derrière moi et Désiré à genoux devant moi avec une trique d’enfer et un sourire plein de dents.

Alors que je mettais ma main sur la queue de Désiré, celui-ci s’est levé et l’a présentée devant ma grande bouche pour que je le suce. Jacques, pendant ce temps, avait déjà trouvé le chemin de mon cul et commençait à me limer avec sa grosse queue. La queue de Désiré était énorme et cela me faisait mal à la bouche tellement j’étais obligée d’ouvrir en grand mes lèvres. Après cinq minutes de se traitement il est venu s’allonger sur le lit et m’a demandé de venir sur lui. Jacques s’est retiré et j’ai empalé ma chatte sur cette énorme tige noire. Même si ma chatte est élastique il m’a fallu un peu de temps pour digérer la largeur de cette énorme bite. Une fois l’adaptation réussie et le début du va-et-vient, Jacques s’est mis derrière moi et ma sodomisée, en douceur, j’avais deux grosses pines de blacks qui me remplissaient. Jacques s’occupait d’aller et venir pendant que Désiré restait immobile. Heureusement j’ai pu mettre l’écharpe dans la bouche pour étouffer mes cris de joie et de bonheur. Au bout d’un moment Jacques s’est retiré et est venu asperger mes seins avec son sperme, pendant ce temps Désiré m’a fait coulisser sur sa queue et a joui en moi.

Après une bonne douche réparatrice, j’ai remis mon paréo, entièrement nue dessous, il faisait tellement chaud. Je suis descendue et j’ai attendu en bas que mes filles en finissent avec ces quatre beaux mâles.

Mon mari est arrivé de la sieste, il m’a dit :

— Je t’ai entendue, si ça te fait plaisir de te faire prendre par des blacks, ne te gêne pas pour moi.

Sam est entré dans la cuisine, il a entendu la phrase de mon mari, il est venu derrière moi, il m’a mis la main aux fesses et m’a embrassée avec une langue douce et pénétrante. Il a dit a mon mari :

— Ta femme est bonne, tu as raison de ne pas t’en occuper, nous on sait y faire.

Mes filles sont descendues à ce moment-là et elles sont parties à leur domicile. Sam a demandé à mon mari de lui servir l’apéro sur la terrasse, Désiré et Jacques sont sortis avec nous, Sam a baissé son short et m’a demandé d’enlever mon paréo, de le mettre par terre, de me mettre à genou et de le sucer en attendant que mon mari arrive. Il voulait voir jusqu’où celui-ci était capable d’aller.

Je me suis désapée et je me suis mise à le sucer, après tout c’est mon mari qui acceptait ça. Lorsqu’il est sorti, il a eu un temps de recul, Sam lui a dit :

— Pour moi avec deux glaçons.

Ça l’a coupé dans son élan, il a servi l’apéro. Sam lui a dit :

— Regarde ta femelle, elle aime les grosses queues noires, c’est une chienne en chaleur, elle en redemande tout le temps. Ta petite queue ne lui sert plus à rien.

Désiré a baissé son short et a approché son fauteuil, il m’a dit :

— Et moi, tu ne me suces pas ?

Je me suis retournée vers mon mari, je l’ai fixé droit dans les yeux et je suis venue prendre la queue de Désiré dans ma bouche, face à lui. Sam s’est mis à genoux derrière moi et m’a prise en levrette, en disant :

— Admire ta pute, elle est à nous maintenant.

Ils m’ont limée tous les trois tour à tour devant mon mari qui n’a pas perdu une miette du spectacle. Une fois qu’ils ont eu tous joui en moi, Sam m’a accroché sa ceinture autour du cou et m’a dit de le suivre à quatre pattes à travers le jardin.

Je pense que c’est là que mon voisin nous a vus, mais ça, c’est une autre histoire…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire