Les gros flocons tournoyaient venant du ciel, se déposaient avec une délicatesse princière sur les branches des grands sapins. Depuis l’aube, la neige avait effacé toutes trace de civilisation. Les sentiers semblaient nous inviter, tel Sa majesté, à fouler le tapis déroulé devant elle.
Les sifflement des mésanges qui virevoltaient à la cime des arbres ajoutait un touche de magie au décore déjà parfait. Raquettes aux pieds, nous avançons lentement dans cette neige poudreuse vers les entrailles de la foret. Tu t’immobilise un instant afin d’observer un petit lièvre gambadant joyeusement à la recherche de nouvelle pousse de cèdre. Je te rejoint, secouant ma tuque de l’amas de neige que tu a fait tomber sur ma tête en passant sous une longue branche d’épinette. D’un sourire coquin, tu t’approche pour donner un bizou sur ma joue toute rougie. Je reste immobile, ne sachant trop ce que tu allais me faire. Je te répond d’un tendre sourire. Mes cils portent encore fièrement les restes de ta fourberie. Le bleu de mes yeux s’enfonce dans les tiens. Retirant mes mitaines, je place mes mains chaude contre tes joues froide que ce samedi de janvier à furtivement engourdit. Le silence prenant tout la place, seul les battement de mon coeur, désirant aller rejoindre le tiens, contraste avec cette paix qui nous enveloppe. J’approche ma bouche de tes lèvres engourdi. Une fusion s’installe, une étrange sensation de chaleur parcours nos corps. Les yeux fermés, nous voyons ensemble ce lieu si doux qui s’ouvre à nous. Un son lointain nous tire de notre béatitude. C’est un couple de personne âges qui suivent nos traces en s’approchant lentement. Nous avançons dans le sentier à une cadence plus élevé qu’eux afin de retrouver cette solitude hivernale. Le craquement des arbres que le vent fait valser par bourrasque me rappel que la tempête annoncée la veille est à nos portes. Heureusement, nous arrivons au petit refuge pour y passer la nuit… (À suivre…)
Le vent du nord-est poussait de plus en plus ses ardeurs contre le petit chalet qui se tenait, tel un monument devant tant d’hostilités. La neige frappait dure contre les fenêtres givrées, faisant entendre de long sifflements. En seulement une heure, pas moins de vingt centimètres de nouveaux flocons s’était accumulé sur le devant de la porte. À l’intérieur, le calme et la chaleur que dégageait le petit poel contrastait avec les éléments extérieurs. Le crépitement du feu en sourdine mélangé aux chants des fenêtres donnait comme un agréable sentiment de sécurité. Une tanière réconfortante et paisible. Au milieu de la table de bois massif, régnait le brûleur servant à cuire la fondue et de chaque côté, comme des trophées, trois autres bouteilles de rouge de bon cru attendait d’être à leur tour libérés de leurs lièges. Seul quatre chandelles placées à chaque coins illuminaient les lieux, donnant un atmosphère des plus intime.
La chaleur montant en degrés, nous retirons les couches qui jadis nous gardait du froid hivernal. Vêtu d’un chandail et d’un legging noir moulant tu prend place à la table dégustant te troisième coupe consécutive, tandis que je termine de préparer les sauces et les viandes. Le souper est excellent et les discussions deviennent de plus en plus suaves. Tu m’exprimes tes désirs, tes fantasmes avec tant de passion que mon corps réagit en silence. Je m’approche pour goûter tes lèvres que tu colle doucement contre les miennes. Nos langues tourbillonnent, s’entremêlent et de dégustent. Tu ressens un liquide chaud qui prend forme entre tes cuisses. Ton coeur s’accélère et tes mains deviennent moite. Je te rejoint de ton côté de la table pour t’amener lentement sur l’immense canapé recouvert d’une grande couverture rouge. Ton corps s’allonge sans résistance, glissant tes mains vers ton sexe encore plus humide de liquide. Tu caresse doucement ta chatte par dessus ton vêtement. À cet instant tu sens bien l’excitation qui s’empare de toi. tes yeux se ferment et tu écarte les jambes pour laisser libre accès à ma bouche qui s’approche. Délicatement, mes mains caressent tes hanches qui se cambre à chaque passage. Ma bouche se blottit contre ta vulve humectée de saveur féminine. Quel délice, sur ma langue, je ressens ton jus comme un fruit mûr. Tes mains caressent tes seins qui sont à présent durci d’excitation. Mon membre est dur et chaud. Je descends lentement ton pantalon le long de tes cuisses jusqu’au sol. Tu écartes d’avantage pour m’offrir ton sexe en pitance. Ma langue douce et chaude remonte le long de ton entre cuisse en embrassant et léchant les parois. Arrivé à ta chatte, je peut maintenant goûter à la source de ta joie. Ma langue tournois autour de ton clitoris qui semble en véritable érection. Tes mains poursuivent les caresses de ta poitrine. J’enfonce doucement ma langue à l’intérieur de ta chatte qui s’offre de plus en plus à moi. Mes lèvres se blottissent contre tes lèvres de femme et je les j’embrasse comme si c’était ta propre bouche. Ton clitoris se gonfle d’avantage, prêt à exploser à tout moment. Je remonte en sa direction pour le sucer avec plus d’ardeur. Tes hanches se cambrent, ta tête tombe vers l’arrière et un long cris venant des profondeurs quitte ton corps tout entier. Je me place devant toi, et j’introduis mon sexe dur et chaud en toi. Tu pousse un deuxième râlement d’approbation. Tu sens ma grosse queue en toi, dans ton intimité. Tu ressens le vas-et-viens à l’intérieur de ta chatte encore gorgée de liquide chaud. Nos bouche se rencontre et tu peux goûter à ta chatte, à ton jus si bon. Ma langue s’enfonce dans ta bouche gourmande. Tu la suce comme si il s’agissait de mon pénis en érection. Je durci d’avantage en accélérant mes mouvements. Mes mains agrippent tes hanches comme pour posséder ton corps tout entier. Ton coeur bat si fort et si vite. Nos bouches s’embrassent avidement tandis que tes mains caressent mes épaules, mon dos, mes bras qui se crispent de plaisirs. Je sens monter la jouissance en moi. Tu veux à ton tour goûter mon liquide chaud. Tu me retire en prenant mon sexe juteux dans bouche gourmande. Tu l’enfonce dans ta gorge, goûtant encore une fois à ton savoureux fluide. Ta langue douce lèche mon gland gonflé, prêt à exploser. Tu reçois les premiers jet dans le visage. Ta bouche ne tarde pas à recouvrir ma queue éjectant mon sperme comme un volcan en éruption. Nos corps tombent tous deux mollement sur le côté, se caressant doucement le visage et les cheveux.
…Nos corps brûlant enlacés sur le canapé, ton souffle dans mon cou, mes mains caresses doucement tes fesses et tes hanches. Le vent semble avoir augmenté en intensité. Les rafales font littéralement vibrer le mignon chalet enneigé. Mais le crépitement du feu nous ramène dans un état de bien être absolu. Tu te lève pour te verser une autre coupe de vin bien mérité. Je te suit dans ta démarche. Ensemble nous regagnons l’immense table de bois massif sur laquelle les restes du repas sont demeurés patiemment en attente d’être terminés. Les rires et les discutions enflammées reprennent, arrosées sans retenu de succulent vin.
Le repas terminé, nous rangeons le tout rapidement pour ensuite se rendre à nouveau sur le grand canapé tout près du feu de foyer. La chaleur qui s’en dégage nous pousse à retirer les quelques vêtements que nous portions jusque là. Tu es vêtu à présent que de d’une petite camisole noir moulant qui laisse deviner tes jolies mamelons ainsi que d’une culotte noir moulante de style brésilienne.
Pour ma part, seul un legging ajusté me sert de vêtement, car mon torse est dénudé. Tu ouvre une nouvelle bouteille et tu allume un joint en tirant une longue bouffée que tu porte à ma bouche pour me la souffler doucement et sensuellement dans les poumons. Assise face à moi, tu en tire une nouvelle touche, pour ensuite me passer le joint. Tu ne sais comment je vais réagir à cet offre aux plaisirs. Mais l’alcool faisant son effet, tu te laisse aller et me tendant le joint avec un jolie sourire complice. Te souriant à mon tour en gage d’acquièssement, je respire à fond ce petit bout d’herbe aux vertus bienfaisantes. Ensemble nos esprits s’ouvrent et nos corps s’engourdissent de plaisirs charnel. Tu caresse doucement ta chatte par dessus ta culotte encore bien humide.
Bien que la nuit semble bien installée, il n’est que 22h30. La tempête qui fait toujours rage à l’extérieur, rend toute vision impossible. Après avoir fumer la marie-jeanne en entier nous dansons sur les rythmes Lounge que crache la petite radio préalablement apportée avec nous. Les yeux fermés, nos mains gambadeuses dévalent sur nos corps engourdis de plaisirs.
Nos langue s’entremêlent dans un baiser suave et profond.
Un bruit venant de l’extérieur nous sort subitement de nos ébats. Je porte attention et un nouveau bruit se fait entendre, mais cette fois, bien plus franc. On frappe à la porte. Je me dirige vers la fenêtre pour voir ce que c’est. Deux individus se tiennent sur le pas de la porte et semblent complètement frigorifiés. Nous ouvrons à ces deux étrangers. Impossible de laisser des gens à l’extérieur par un temps pareille. Ils demandent si nous pouvons les accueilli, car occupant le chalets voisin, ils nous voyaient nous amuser et souhaitaient bien se joindre à nous en ce soir de tempête hivernale.
Me jetant un regard complice, tu les invites donc à entrer. l’odeur de cannabis flotte toujours dans les lieux, chose que l’un d’eux remarque avec humour. Une fois dépourvue de leur épais manteaux et tuques, on est à même de découvrir un couple dans la fin trentaine dont la femme est particulièrement jolie et l’homme également. Étant sous l’effet du joint, nous trouvons cela bien drôle. Ils ont pris soins d’apporter avec eux quelques bouteilles de vin et une de vodka. Presque aussitôt, la chimie s’installe et ces inconnus deviennent rapidement des amis agréables. La musique poursuit sa cadences et les coupes de vin s’enlignent agréablement. La femme porte un jeans moulant qui laisse deviner un derrière rond et ferme. Ses seins sont de grosseur moyens mais semble bien ferme. Son visage est carré et amincie avec de belle lèvres charnue. Ses cheveux noir légèrement bouclé lui donne un petit côté exotique. Son copain, lui possède une stature robuste, laissant deviner des muscles bien fermes et découpés. Ses yeux noisette et sa chevelure blonde font de lui un joli mec aux allures européen. Mais ils tous deux bien québécois. Toujours en petite culotte et en camisole moulante, tes seins se pointes vers l’extérieur, laissant deviner un brin d’excitation. D’ailleurs, tu ressens cet excitation dans le creux de ton ventre. Ces deux inconnus venus faire la fête, font monter en toi certains fantasmes jusqu’à maintenant tenus captifs. La fille sort de son sac à main une sac de verdure qu’elle place sur la table centrale du salon et s’en prend une petite quantité qu’elle roule en deux petits joints. Tu t’approche d’elle tandis-que moi et l’autre gars, sommes assis sur le grand canapé. Elle s’allume, tire une bouffée puis s’approche de toi le regard plongé dans le tiens. Tu ne sais comment réagir. Tu demeure immobile. Elle s’approche toujours pour placer ces lèvres contres les tienne en soufflant le contenu dans ta bouche. Ta chatte devient instantanément liquéfiée. Ton coeur bat fort mais tu respire à fond ce qu’elle t’offre avec le plus grand bonheur. Une deuxième bouffée qu’elle te souffle cette fois dans le cou et les oreilles. Tu reste figée extérieurement, mais intérieurement tout ton corps est prêt à exploser. Tu ressens l’envie s’emparer de toi comme un lion sur une jeune gazelle.
Cette fois, c’est toi qui prend une bouffée et tu lui remets délicatement à sa bouche qui s’entrouvre aussitôt. Une fois la fumée inspirée, elle glisse sa langue dans ta bouche. Un long et profond baiser s’en suit, devant nous qui observons la scène avec intérêt. Je remarque que l’homme est en érection, moi aussi d’ailleurs. La fille toujours fusionnée à tes lèvres, glisse lentement ses mains sur tes seins et sur tes fesse. Tu trésaille d’excitation. Ta chatte est tellement mouillée, que tu sent le besoin d’aller replacer ton leggin. Tes doigts profitent du moment pour masser doucement ta chatte, tes lèvres par dessus ton vêtement. Elle pose aussitôt sa main sur la tienne qui ne cesse de masser de plus en plus intensément. L’effet du joint se fait sentir, ton corps et ton esprit s’offrent comme un fruit prêt à se faire déguster. Elle dépose ses mains contre tes hanches et doucement s’agenouille devant toi. Tu reste debout, ta petite culotte imbibée de liquide féminin que tu sais maintenant qu’elle vas s’abreuver. Tu ferme les yeux en ressentant sa bouche se blottir contre ton sexe. Elle suce, lèche et embrasse ta chatte toujours sur le tissus de ta petite culotte. D’une main, tu dégage l’accès pour qu’elle puisse enfin te goûter comme tu le souhaite depuis si longtemps. Ma queue est tellement bandé que je n’est d’autre choix que de la sortir de mon legging. Ayant mon membre dans mes mains, je me masturbe lentement en vous observant. L’inconnu s’exécutait déjà depuis cinq minutes.
Je me lève et je te prend délicatement par les bras pour te coucher sur le canapé, la fille toujours soudée à ta chatte. Son conjoint se lève aussi et commence à dévêtir sa belle. Puis, se plaçant par derrière, il introduit sa belle queue dans sa chatte dégoulinante de plaisirs. Elle pousse un long râlement approbateur en accentuant la façon dont elle te lèche. Moi j’approche ma queue de ta bouche que tu introduit sans attendre dans ta bouche chaude. Tous crient de plaisirs tandis-que la musique poursuit son rythme. La fille se tourne pour avaler le pénis de son conjoint. Son petit cul remonté, tu t’approche pour lui rendre l’appareil. Sa chatte est luisante, rasée et s’ouvre à toi comme un cadeau du ciel. De ta langue, tu goûte son jus et tu caresse ses lèvres, son clitoris, sa chatte toute entière. Elle jouis comme ne folle. Tu entre ta langue à l’intérieur, tu sens la chaleur et l’excitation qu’elle projette. À mon tour, j’introduis mon sexe dans ta chatte en tenant tes reins. j’enfonce ma queue profond en toi en t’observant bouffée cette fille de plaisirs. La fille est sur le point de jouir sous la douceur de ta bouche. Juste avant, elle se retourne et s’assoie directement sur ton visage. Tu est sur le dos, sa chatte en plein visage aveuglé par son corps qui te tiens captif. Tu sens des mains caresser tes seins, ta chatte, ton clitoris, tes fesses, tes cuisses, ton ventre. Des mains partout sur ton corps. Tu ne peux que bouffer sa chatte, heureuse prisonnière de son sexe féminin. Soudain, tu sent un membre te pénétrer dans ta chatte. Trop occupé à lècher cette belle vulve, tu ne peux dire si il s’agit de moi ou de l’inconnu. Mais tu jouis tellement que tes cris réussissent à surplomber la musique de fond. Tu sens une deuxième queue qui se frotte doucement sur ton petit cul. Quelques chose de huileux est apposé et tu te détend pour accepter ce deuxième membre masculin en toi. Ta crainte, fait place à l’ouverture et aux fantasme de te faire prendre par deux hommes. Doucement le membre s’introduit dans ton petit cul qui l’accepte plus aisément que tu ne l’aurais imaginé. Aussitôt, toujours en bouche cette chatte juteuse, tu jouis, tu n’a jamais connu semblable sensations. Tu sens les deux pénis te posséder, tu les accepte, te laissant aller à la douce volupté du sexe entre adulte. Tu sens le clitoris de la fille gonfler soudainement, tu sais qu’elle vas jouir. Tu continue de lui lécher sa chatte en passant ta langue sur le dessus du clitoris. Elle cambre puissamment les reins dans une intense jouissance. Au même instant tu jouis à ton tour, sa vulve contre ta bouche qui cris ton exaltation. La fille et toi se placent devant nous pour avaler nos sperme qui jailliront d’un instant à l’autre… Tu place ma queue dans ta bouche et avale enfin mon liquide tout chaud si bon. Chose que la fille imite à tes côtés.
Tous assis sur le grand canapé, nous débouchons une bouteille bien mérité….
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