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Le scoop (2)

Le scoop (2)



Après avoir été raccompagnée à son hôtel par ses nouveaux « amis », Elena s’endormit paisiblement. La jeune journaliste avait convenu avec les cinq hommes qu’ils feraient une petite enquête pour elle durant la nuit et qu’ils lui rapporteraient les informations récoltées le lendemain.

À son réveil, la jeune femme se rhabilla et descendit à la cafétéria de son hôtel pour prendre son petit-déjeuner. Ses contacts ne l’attendant que dans une heure à leur planque, Elena décida d’aller se promener dans la ville en attendant l’heure de son rendez-vous.

Après avoir pris son temps dans les plus grandes boutiques de vêtements et avoir acheté quelques robes de haute couture, la jeune journaliste prit la direction de la planque de ses informateurs.

À son arrivée, Elena eut la surprise de constater que Jimmy, Fred, Bob, Lance et Charlie n’étaient pas arrivés seuls au rendez-vous. Les cinq hommes étaient accompagnés d’une jolie jeune femme blonde de l’âge d’Elena. En la voyant, la jeune journaliste sourit.

— Vous me remplacez déjà, mes chéris ?
— Non… Ce… Ce n’est pas ce que tu crois…
— Inutile de vous gêner : je la connais et je dois dire que vous avez du goût en matière de femmes.

Les cinq hommes rougirent au compliment d’Elena tandis que celle-ci étreignait amicalement la jeune femme blonde.

— Hello, Rosalie. Comment tu vas ? Et qu’est-ce que tu fais ici ? Rassure-moi, tu ne comptes pas jouer les détectives avec l’aide de ton diabolique patron ? Si ?
— Je n’ai pas joué les détectives, répondit Rosalie d’un ton faussement innocent.

Elena éclata de rire. Puis, se rappelant les objectifs de sa mission, elle demanda à son amie la raison de sa présence.

— Eh bien, répondit Rosalie, mon patron est quelqu’un de très… Opportuniste. Il ne rate jamais une occasion de se faire de l’argent. Et il se trouve que défendre John Stone rapporte beaucoup.
— Tu es l’avocate du plus grand trafiquant de drogues des Etats-Unis ?!
— Oui, mais je pourrai facilement changer de camp si l’Etat de Californie me paie davantage pour l’aider à le coincer.
— Attention ! C’est dangereux de dire ça à une journaliste ! Je pourrais anéantir la réputation du grand Georges Pittet dans l’un de mes articles.
— Maître Pittet s’en est sorti de pire que cela, crois-moi. Par contre, si tu veux raconter quelque chose dans ton journal, raconte comment j’ai réussi à le séduire au point de le pousser à plonger son ex-femme dans la prostitution.
— Quoi ?! Son ex-femme ?! Charlotte Pittet ?
— Elle-même. Ils ont divorcé à cause de moi. Ou grâce à moi. Ça dépend pour qui.
— Comment cela ?
— Parce qu’il se trouve que mon patron est avec notre chère et tendre petite Emmanuelle.
— Whaou !!! Tu me renverses littéralement, Rosalie. Mais pourquoi ne t’es-tu pas fait ton patron ? Tu me disais que tu l’avais séduit.
— Parce que j’ai rencontré un beau jeune homme. Il travaille aussi pour Georges. Ses activités sont plutôt… Secrètes. Nous sommes ensemble depuis quelques mois. D’ailleurs, je me suis mise à la rédaction d’un livre que j’ai baptisé « Fantasme professionnel». J’y raconte mes premiers jours dans mon cabinet d’avocats et comment j’ai séduit mon patron pour avoir des parts de la société et le pousser à virer sa femme. Tu me feras de la pub dans ton journal.

Les deux filles rirent de bon coeur sur les derniers mots de l’avocate. Puis, sortant les deux jeunes femmes de leur conversation peu catholique, Jimmy se racla la gorge.

— Euh… Votre conversation est tout à fait excitante et mes gars et moi aimerions bien vous baiser, mes jolies poupées, avant de vous exposer notre stratégie. Histoire de se détendre un peu avant le travail…

Elena fixa Jimmy d’un oeil réprobateur. Elle craignait que les manières peu convenantes de Jimmy ne mettent Rosalie mal à l’aise mais la journaliste ignorait que son amie, grâce aux expériences vécues durant ses premiers jours de travail, avait acquis une confiance en elle à toute épreuve ainsi qu’une cinglante répartie.

— Offre très tentante, mon ami, répondit Rosalie, mais je compte rester fidèle à l’homme que j’aime.

Habitué à ce genre de scrupules de la part des femmes, Jimmy était loin d’avoir été découragé par les propos de l’avocate.

— Allez, ma jolie, on n’est pas méchants et tu ne seras pas seule. Elena participera aussi.

Rosalie allait répliquer quand Elena posa une main sur son épaule. La journaliste attira son amie à l’écart et lui chuchota quelque chose à l’oreille. Rosalie hocha la tête et les deux femmes rejoignirent les cinq hommes.

— Voilà, les gars. Je l’ai convaincue de le faire mais elle ne le fera pas avec vous. Elle le fera avec moi. Moi, vous pourrez me faire ce que vous voulez.

Jimmy et ses compagnons sourirent de satisfaction tandis que les deux jeunes femmes ôtaient déjà leurs vêtements.

Rosalie se coucha à plat dos sur le sol tandis qu’Elena s’agenouillait au-dessus d’elle. La journaliste fit glisser ses doigts le long de la fente trempée de l’avocate qui, tout en lui faisant un cunnilingus, se remémorait avec un certain plaisir à celui qu’elle avait prodigué à son amie Emmanuelle quelques mois plus tôt dans les toilettes de la gare de Fribourg.

Rosalie et Elena prenaient toutes deux goût aux caresses de l’autre, leurs gémissements servant d’indice plus que probant.

Jimmy et ses amis regardaient la scène d’un oeil lubrique tout en se déshabillant. Les cinq hommes laissèrent Rosalie et Elena à leurs divagations pendant quelques instants puis, une fois nus, se placèrent en cercle autour des deux jeunes femmes.

Jimmy força l’anus d’Elena qui émit un gémissement de plaisir tandis que les quatre autres hommes s’amusaient à frapper le visage et les seins de la journaliste de leurs sexes rigides.

Après quelques minutes, Jimmy se retira du fessier d’Elena et céda sa place à Bob. Jimmy se positionna ensuite devant Elena et lui présenta sa verge encore raide d’excitation à quelques centimètres de ses lèvres.

— Finis-moi avec ta bouche, poupée, lui ordonna-t-il.

La journaliste goba sans broncher le sexe de son partenaire et fit coulisser ses lèvres sur toute sa longueur. Tandis que la jeune journaliste s’appliquait à sucer Jimmy, Bob, Lance, Fred et Charlie se relayaient entre les fesses de celle-ci, lui arrachant des cris de plaisir étouffés par la verge qu’elle avait dans la bouche.

Tandis que son amie se faisait prendre de toutes parts par les cinq hommes, Rosalie continuait de lécher la fente liquéfiée d’Elena tout en y glissant de temps à autre un doigt expert.

Soudain, Jimmy se retira de la bouche d’Elena.

— Je vais jouir ! Couche-toi par terre à côté de ta pote !

Elena obéit à l’injonction et, devinant instinctivement ce que leurs partenaires désiraient, les deux jeunes femmes ouvrirent la bouche en tirant la langue et soupesèrent leurs poitrines pour les inviter à les arroser de leur semence.

Jimmy et ses compagnons s’accroupirent autour de Rosalie et Elena en formant un cercle. Les cinq hommes se masturbèrent quelques secondes durant puis arrosèrent de leur liquide séminal la bouche, le visage et les seins des deux jeunes femmes.

Épuisées par leurs efforts, Rosalie et Elena s’enlacèrent et échangèrent un long baiser sensuel sur les lèvres avant de s’endormir dans les bras l’une de l’autre.

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