Si nous avions acheté cette maison, me serinait mon mari, c’est pour en profiter et chaque année c’était la même chose et mon mari, après avoir passé le week-end avec moi, me laissait seule toute la semaine pendant presque tout l’été. mais il y avait du progrès car, mon frère s’étant marié, ils allaient partager la maison avec moi sauf que la surprise a été que mon frère a annoncé qu’il était obligé, lui aussi, de rentrer la semaine.
Me voilà donc avec ma belle-soeur que je ne connaissais pas beaucoup et nos maris nous avaient dit que c’était l’occasion de faire connaissance mais en attendant, ce lundi matin, il était temps de faire le ménage. J’étais en train d’épousseter quand je me suis retournée. Brigitte était appuyée sur l’encoignure de la porte et me regardait. Je lui ai demandé ce qu’il y avait à voir et elle m’a répondu avec un sourire que j’étais bien foutue et à l’entendre, je me suis sentie moite tout à coup. Je n’avais enfilé que ma blouse et j’étais nue dessous.
– Ça se passe bien, lui ai-je demandé ?
Ça faisait deux mois qu’ils étaient mariés et je n’avais encore eu le temps de parler avec ma belle-soeur.
– Bof, m’a répondu ma belle-soeur, ton frère est un peu bourrin…
– Un peu bourrin, ai-je fait ?
– Oui, a continué Brigitte, pour baiser il baise, mais j’ai tout le temps l’impression qu’il baise une putain !
Ce que venait de me dire ma belle-soeur m’a glacée. Je me demandais comment un homme baisait une putain et je mourrais d’envie de demander à ma belle-soeur comment c’était mais je n’ai pas osé et puis j’ai osé et Bigitte m’a répondu :
– Ton frère tire son coup !
– Tu veux dire que tu n’as pas de plaisir, ai-je répondu à ma belle-soeur ?
J’étais interloquée. Brigitte a continué :
– Oh, ça ne fait rien ! D’ailleurs, je me suis toujours dite que ça devait être plus excitant avec une femme !
Ma belle-soeur est allée faire sa toilette et J’ai repris mon époussetage. Je pensais à elle, à mon frère qui ne lui donnait pas de plaisir sexuel et à mon mari qui malgré ses efforts n’arrivait pas très souvent à me faire jouir en même temps que lui si fait que j’avais recommencé à me masturber en secret aussi passionnément que je le faisais quand j’étais adolescente. Se doutait-il aussi que je me masturbais alors que son effort l’avait exténué et qu’il dormait à poings fermés chaque nuit ?
J’ai gardé mon plumeau et je ne sais pourquoi je suis allée dans le couloir. La porte de la salle de bains était restée légèrement entrebaîllée et j’ai aperçu ma belle-soeur qui, debout devant le lavabos et nue, se masturbait. Il n’y avait pas d’équivoque car le mouvement de son bras était évident. Je l’avais vue sur la plage en maillot de bain, enfin presque parce qu’elle avait comme moi fait topless et j’avais vu ses beaux seins. Elle, au moins, ne se rasait pas et ses boucles brunes jaillissaient de sa petite culotte et maintenant, je me souvenais, sa vulve se moulait dans le tissu. Je n’aime pas ma vulve parce qu’elle est trop discrète et maintenant j’imagine celle de Brigitte, ses grandes lèvres qui forment rampart et ses petites lèvres qui en jaillissent toutes fripées et son clitoris…
– Tu n’es qu’une cochonne, a fait la voix de ma belle-soeur !
J’ai cru qu’elle me parlait mais non, elle se parlait à elle et elle sentait les doigts qui l’avaient faite jouir et je suis partie jusqu’à ma chambre. J’avais eue un début d’aventure avec une de mes cousines qui avait quelques années de plus que moi et qui m’avait apprise à embrasser avec la langue puis elle m’avait soulevé la robe et retiré ma culotte et saisissant mes doigts, elle m’avait apprise à me masturber et si sa mère ne nous avait pas surprises, ça aurait sans doute été beaucoup plus loin.
– T’es où, a retentit la voix de Brigitte ?
Je suis sortie de ma chambre et je lui ai dit que j’allais faire ma toilette et elle m’a répondu qu’elle m’attendrait au jardin le temps que je la rejoigne et je suis entrée dans la salle de bains pour faire ma toilette et j’ai tout de suite verrouillé la porte parce que j’étais décidée à me masturber mais je ne l’ai pas fait. J’ai pris ma douche et je me suis mis du rouge à lèvre avant de m’habiller. J’ai pris le panier et j’ai retrouvé Brigitte dans le jardin et nous sommes allées faire les courses.
Parfois, on est pressé par le destin et cette fois le destin semblait pressé de nous pousser à la faute parce que deux femmes s’embrassaient à pleine bouche dans un recoin de l’avenue et nous nous sommes arrêtées pour les regarder faire puis les deux femmes nous ont vues et elles nous ont fait un sourire avant de s’éloigner.
– Mon dieu, a fait Brigitte, j’ai toujours pensé que ça m’arrivera un jour !
– Qu’est-ce qui t’arrivera, lui ai-je demandé ?
– De faire l’amour avec une femme, m’a répondu ma belle-soeur !
– Mon dieu, ai-je fait, tu penses à mon frère ?
– Je crois que je suis bisexuelle, a continué Brigitte ! Tu crois qu’il l’acceptera ?
– Mon dieu ! Mon dieu, n’ai-je plus arrêté de dire !
J’avais mal à la poitrine. J’avais mal aux fesses et j’avais mal au ventre mais quand j’ai dit à ma belle-soeur qu’on pouvait faire ça toutes les deux et que ça resterait dans la famille, je me suis sentie soulagée et quand elle a accepté, j’ai dit qu’on allait se dépêcher de faire les courses, puis de faire notre popote et de manger… Nous nous sommes dépêchées mais nous n’avons pas fait la cuisine et nous n’avons pas déjeuné et nous avons passé tout l’après-midi dans la chambre et une fois arrivé le soir, nous sommes allées dîner vite fait dans un fast-food puis nous sommes rentrées parce que nous avions envie de recommencer et cette première journée a été une vraie découverte car personne ne nous avait jamais léché la vulve ni enfoncé un doigt dans l’anus et surtout j’ai découvert que c’était cent fois plus agréable d’avoir une peau si douce à caresser et puis quand j’en ai assez de bouffer de la touffe, j’ai proposé à ma belle-soeur de la raser et je l’ai rasée. Ça n’a rien à voir avec le rasage que je me fais tous les dimanche matin. Brigitte pose sa main sur la main qui la rase puis alors que je machouille ses mamelons, elle me demande si je me suis aperçu de quelque chose mais je n’ai rien vu.
– Tu n’as rien vu, me dit-elle ? Même ton frère ne le sais pas ! Quand j’ai eu dix-huit ans, je me suis faite percer les mamelons !
J’ai tiré dessus et je me suis aidé de mon ongle pour élargir le piercing. je lui ai demandé si elle avait quelque chose à mettre et elle m’a dit qu’au fond de son sac… Je suis allé dans sa chambre et j’ai ramené le sac. Il y avait trois sortes de labret, du plus petit au plus gros qui faisait bien cinq millimètres et je lui ai demandé si elle les avait déjà mis mais Brigitte m’a répondu qu’elle n’en avait pas eu le temps parce que mon frère déteste les piercings.
– Tu lui as demandé ?
Elle m’a répondu qu’elle n’en avait pas eu besoin parce qu’en voyant une fille percée des oreilles au nombril, il avait dit que c’était dégueulasse.
– Tu veux que je te mette celui-ci, ai-je demandé à ma belle-soeur en montrant les plus gros labrets ?
Elle a bien voulu et j’ai passé les tiges dans ses piercings.
– Tu sais ce que j’aimerai, m’a-t-elle dit ensuite ? Que j’ai des tas de piercings à la vulve, avec des chaînes et des poids qui pendent entre mes cuisses et qu’on me fasse l’amour !
Je me suis penchée sur elle et nous nous sommes embrassées tout en nous faisant une dernière caresse pour la nuit mais avant de nous endormir, j’ai dit à Brigitte qu’il y avait un sex-shop au fond d’une petite rue et qu’on pourrait y aller le lendemain.
– Qu’est-ce que tu veux qu’on s’achète, m’a demandé ma belle-soeur ?
Elle s’est allongée dans mon dos contre moi et elle a passé son bras sous mon bras pour que sa main vienne cueillir mes seins.
– Je ne sais pas, a-t-elle continué, un gode ceinture ? Chacun un ?
– Qu’est-ce que tu veux faire avec ça, lui ai-je demandé ?
– Je ne sais pas trop, a-t-elle ajouté… T’enculer ?
J’ai eu un frisson. Elle semblait en savoir beaucoup plus que moi sur la sodomie et j’ai pensé que ma poire à lavement allait servir plus souvent. Déjà, tout à l’heure, quand ma belle-soeur avait enfoncé la pointe de sa langue de son anus, je m’étais sentie sale.
Elle dormait déjà. Ses mamelons étaient durs et je les sentais très bien dans mon dos. Je me suis endormie à mon tour.
(à suivre : Un godemiché bien trop large)
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