ENTRE LES MAINS D’UN COUPLE PERVERS
Maintenant, chaque jour de la semaine, j’ai droit à ma jouissance, jouissance dont je deviens de plus en plus addict. Parfois, Lucette me branle, parfois, je me branle devant elle. Parfois, nos mains se mélangent pour me donner du plaisir.
Le mois de juin est là. J’ai mes habitudes auxquelles rien ne doit déroger. Une après-midi, alors que je viens de m’assoir sur le canapé auprès de Lucette, qui me semble encore plus appétissante que d’habitude dans ses vêtements légers, la sonnette retentit.
Elle va à la porte et s’exclame :
– »Ben ça alors, si je m’attendais à ta visite ? »
Elle revient en compagnie d’une femme de son âge, moins bien qu’elle, un corps mince mais frippé, avec du ventre et un je ne sais quoi de vulgaire dans la tenue vestimentaire.
– »Je te présente Séverine, une très bonne amie ».
Je me lève, contrarié, mais faisant bonne figure. Que vient faire cette importune, à cette heure là.
Je ne pouvais pas le savoir, mais tout était calculé. Moi, je pensais qu’en raison de sa présence, je repartirai sur la béquille.
Séverine s’assoie dans un fauteuil. Quant à Lucette, elle reprend place auprès de moi, sur le canapé. J’ai beau faire des efforts, ma contrariété n’échappe pas aux deux femmes. Soudain, Lucette dit à Séverine :
– »Tu permets que je finisse ce que j’avais entamé, autrement le petit chéri va être contrarié ».
En disant cela, elle porte la main sur mon entrejambe et commence à m’astiquer. Je suis affreusement gêné devant Séverine, mais n’ai pas le courage d’arrêter Lucette. Séverine m’observe avec un petit sourire en coin. Je ne sais que penser.
Je trouve mon refuge habituel dans le cou de Lucette, que je me mets à embrasser, à suçoter, avec passion. Même que pour la première fois, ma bouche descend vers sa poitrine. Ma main s’insinue dans son décolleté et j’extrais rapidement ses seins des bonnets du soutien gorge. Je me jette voracement sur ses tétons. Je bois ma gougoutte.
– »Là, mon chéri, c’est bien ! Bois les tétés de mamy. »
Il me semble plus agréable de recevoir la douce caresse en présence d’une voyeuse.
– »Putain, ce que vous êtes beaux et excitants tous les deux. Toi, la vieille salope de soixante ans, lui, le jeune puceau de douze ans. Ce que j’aimerais bien vous rejoindre. »
– »Qu’à cela ne tienne, ma cochonne. Quant y’en à pour une, y’en à pour deux »
Séverine n’a pas besoin qu’on lui redise une seconde fois. La voilà assise également sur le canapé, mais du côté opposé à Lucette ». Me voilà coincé entre les deux vieilles putes. Je continue de sucer les seins de Lucette comme un forcené, comme si ma vie (mon vit ?) en dépendait.
Séverine commence par passer sa main sous mes couilles après m’avoir déculotté.
– »Hummm, elles sont petites mais bien dures à cet âge ! »
Pendant ce temps, Lucette continue de me masturber.
– »As-tu déjà goûter à son foutre ? » dit Séverine.
– »Oui, mais sur ma main ! Il a bon goût, il n’est pas très fort comme celui que l’on a déjà bouffé ensemble.
Je ne comprends pas tout ce qu’elle disent. Je pense tout de même comprendre qu’elles ont déjà dù, par le passé, partager un homme (et son sperme).
– »Si tu veux le boire, ne tarde pas trop car je sens le jus qui monte ! »
Et Séverine se penche sur moi et embouche soudain ma bite tendue, prête à exploser.
C’est la première fois que je sens la douce chaleur humide d’une bouche gourmande sur mon zizi. L’effet est fulgurant. Sans que je ne puisse prévenir personne, mon sperme jaillit en fusées généreuses que Séverine prend grand soin d’avaler, à l’exception des deux dernières car elle souhaite partager le sperme avec Lucette. Pour cela, elles n’hésitent pas à se rouler une pelle magistrale autant que baveuse devant mon regard surpris, mais fier. Que deux vieilles truies se roulent des pelles afin de se partager ma semence, m’emplit de fierté et m’excite aussi.
Il en faudrait peu pour que je double la mise. Maintenant, l’une et l’autre me caresse négligemment le service trois pièces.
– »Alors, tu vois, je te l’avais bien dit : c’est un bénédiction d’initier ce jeune garçon ».
Je comprends par cette réflexion que la visite de Séverine, juste à cette heure là, n’est pas le fruit du hasard. Putain, les chiennes . . . et elles continuent de me tripoter.
– »Tu m’as bien bouffé les seins, petit cochon. J’ai un peu mal au bout. »
Marre d’ être constamment mené par le bout du nez. Alors, j’ose !
Je me lève, prend ma bite en main et leur dit :
– »Et bien, qu’elle t’embrasse les mamelles avec douceur, cela te fera du bien. Et toi n’hésite pas à lui rendre la pareille. Pendant ce temps, je me branlerai en vous regardant ! »
Séverine approche sa bouche vers la poitrine de son amie. En même temps, elle lui dégrafe le soutif.
Deux globes laiteux apparaissent à mon regard ravi. Tout en commençant à sucer les seins de Lucette, Séverine dégrafe son propre soutif. Deux autres seins s’offrent à ma lubricité, plus volumineux, plus tombants mais excitants. Les deux tribades s’en donnent à cœur joie. Elles se roulent des pelles humides, se bouffent les seins et je vois même des mains baladeuses se glisser sous les jupes.
Moi, je me branle furieusement. Maintenant que j’ai joui une première fois, il m’est plus facile de me retenir. Que me réservent-t-elles encore comme surprise ? Pour l’instant, elles semblent m’avoir oublié.Cependant elles jettent de temps à autre un petit regard dans ma direction.
La première, Séverine se débarrasse de sa petite culotte. Elle s’expose à ma vue, cuisses largement ouvertes, et me dit :
– »Viens me bouffer ! »
Devant mon incompréhension, Lucette vient à mon secours :
– »Nous n’avons pas encore abordé cet aspect des choses. J’ai pour consignes d’aller très lentement dans son initiation pour ne pas l’effaroucher ».
– »Merde, c’est vrai. Alors, à toi de te dévouer ! »
Lucette se met à genoux devant Séverine. Je la vois glisser la tête dans sa fourche et se mettre à lécher, surtout le haut de son minou. Séverine se met à ronronner comme un chaton, commence à onduler du bassin, puis donne des coups de reins de plus en plus violents.
– »Hummmm, je sens bien ta langue sur mon clito. Vivement que Christian soit capable de me sucer. Hummmm, je vais jouir, je vais t’inonder la bouche ».
Je découvrirai plus tard que, non contente d’avoir besoin de parler quand le plaisir monte, Séverine fait partie des rares femmes fontaine que je connaisse.
– »Ah ouiii, continue, suce, suce-moi bien. Et toi, p’tit voyeur, p’tit cochon, branle-toi jusqu’à éjaculer sur mes seins. Toi, ma salope, bois ma mouille. Je veux du foutre, plein de foutre. Je viens ! Tu m’accompagnes, Christian ? Ouuiii, ouuiii, c’est cela, maltraite-toi la bite. Je jouuiiis, je jouuiiis !
De voir cette vieille femme jouir comme une chienne et appeler mon jus de toutes les fibres de son corps, me fait un effet boeuf. Je m’approche, presque à la toucher et à lui envoie tout le sperme que je peux, sur les seins, sur son visage, dans ses cheveux. J’adore la souiller. Elle adore être souillée. Lucette lui ventouse la moule et lui enfonce le plus possible sa langue dans le vagin.
Nous restons tous prostrés comme cela un certain temps. La bouche de Lucette est toujours collée au sexe de Séverine. Séverine, a le visage et les cheveux englués de sperme. Et moi, j’ai toujours la bite en main; je ne prends pas toute la mesure de ce que j’ai vu et entendu.
Munie d’une serviette, Séverine s’essuie sommairement. Lucette lui propose de passer dans la salle de bain mais elle décline l’invitation, préférant garder les traces de sperme sur elle.
– »Comme cela, Frédéric ne pourra pas dire que j’invente . Et toi, ma poulette, tu ne veux pas que l’on te fasse jouir ? »
– »Non, je sais que ce soir je vais avoir droit à une grosse pétée du cul. Je me réserve ! ».
– »Je pense que tu peux, que tu dois continuer son éducation. Il présente de belle dispositions. »
Paroles obscures que je ne cherche pas à approfondir. Moi, c’est la première fois que je suis amené à jouir deux fois de suite, quasiment sans débander, et je me sens vanné.
Je m’approche de Lucette pour l’embrasser afin de lui dire au revoir. Elle prend ma tête entre ses mains et plaque ses lèvres sur les miennes. Je sens même un petit bout de langue se glisser entre mes lèvres. Puis je m’approche de Séverine qui, elle, me dévore la bouche voracement.
– »Je suis sure que le petit va se branler ce soir en pensant à nous, nous qui nous ferons saillir par nos mâles respectifs tout en pensant à lui et à sa jeune bite. Que le sperme coule à flot !
Et sur ces mots, elle disparaît, le visage couvert de sperme, oubliant sa culotte sur le sol. Je ne peux m’empêcher de la ramasser et de la porter à mes narines. Je hume la délicieuse odeur avec délectation.
– »Tu n’as qu’à la garder et la souiller ce soir en te branlant. Je suis sure qu’elle sera heureuse d’apprendre que tu as joui dans sa culotte. »
S’il n’y a que cela pour lui faire plaisir !
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