Samedi 21 juin.
La fête de la musique va prendre son essort aujourd’hui, il fait très beau et un couple d’amis vient manger à la maison ce midi.
On a passer la matinée à préparrer leur venue, chambre d’amis, salon, salle à manger , apéritif et évidemment le repas.
À onze heure tout est prêt, il ne nous reste plus qu’à nous changer.
Je me met en costume, pantalon noir , veste noire et chemise col mao blanche. Je laisse mes cheveux détachés, le brushing les fait onduler et j’aime bien.
Quand tu parrais devant moi je ne peux qu’être éblouis.
Tu portes une très belle robe corset qui magnifie ta plastique et éclaire ton visage, je n’ai plus une femme devant moi mais une duchesse.
Tu t’es maquillée, juste ce qu’il faut pour me faire fondre.
Je m’approche de toi, prend tes mains, pose un genou à terre
« tu me fais chavirer, et me surprendras toujours. » j’embrasse tes mains « mon amour, je t’aime ».
Tes yeux pétillants me transpercent, tu me fais me relever, pose sur mes lèvres un doux baiser et « aller, hop hop hop, ils ne vont pas tarder à arriver et je dois vérifier la cuisson, de ton côté va vérifier les verres pour l’apéro et les petits gâteaux. aller! hop hop hop! »
Tu tournes sur toi faisant virevolter le tissus de ta robe telle une andalouse danssant le tango et je te vois disparaitre dans la cuisine.
Je m’en vais vérifier ce que tu m’as demandé, tout y est, je n’ai rien à faire.
« Chéri? tu peux venir? »
« oui, j’arrive »
Je me dépêche; si tu m’appelles c’est qu’il y a peut-être un problème à la cuisine et ce n’est pas le moment, ils vont bientôt arriver, ce n’est plus qu’une histoire de minutes.
« tu as un problème? »
« oui, urgent »
j’entre dans la cuisine, je te vois, penchée en avant sur la table, les mains fermement accrochées sur les bords. Ta robe est relevée, découvrant intégralement tes jambes et tes fesses.
« Mais, mais…? »
« j’ai un problème urgent, j’ai envie de faire l’amour mais on n’a pas le temps »
« oui, ils ne vont pas tarder à »
« alors prends moi maintenant »
« mais »
« prend moi »
Sans réfléchir je déboutonne mon pantalon puis mon caleçon, je sors mon sexe et le présente à l’entrée de tes lèvres »
« vas-y! »
Je le fais entrer en toi fermement mais sans heurt, ton foureau est doux et humide je glisse aisément en toi.
« vas-y »
je pose mes mains sur tes hanches, et je vais et viens en toi.
Un klaxon se fait entendre, ils sont atrrivés sur le parking.
« trop tard il faut »
« il faut que tu finisses mon chéri, alors vas-y »
je reprend avec entrain mes vas-et-viens avec vigueur.
Tu pousses de petits cris et grognements, je ne me contrôle absolument plus et jouis rapidemment en toi.
tu te redresses, remets ta robe en place et m’embrasses.
On frappe à la porte.
« aller hop hop hop! »
je remet mes vêtements en place et te rejoins derrière la porte.
Tu l’ouvres.
nous deux : »bonjours, entrez! »
Nous avons manger avec nos amis sans que rien ne transpire de ce qu’il s’est passé quelques secondes avant qu’ils arrivent.
Un instant fugace intense et incontrôlé mais agréable et surprenant.
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