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Adultère sans le savoir

Adultère sans le savoir



Voilà bientôt 10 ans que je suis marié avec ma superbe femme. Toujours très amoureux l’un de l’autre, je dois admettre que nos ébats, même s’ils me donnent toujours autant de plaisir, manquent, à mon goût, d’un peu d’originalité.
Le train-train quotidien, quoi…, missionnaire, la plupart du temps…, levrette et fellation par moment…. Faut pas se plaindre, d’autres ont moins que ça !!!

Laissez-moi vous la décrire en quelques mots ! Elle est assez petite avec son mètre soixante et ses cinquante kilos toute mouillée, mais ses formes sont généreuses et sa trentaine bien entamée ne se voit pas trop…
Ses seins généreux (95C) ont encore un beau maintien et m’excitent tellement que je ne peux m’empêcher de les toucher… Ses fesses, ni trop grosses, ni trop petites, sont plutôt épargnées par la cellulite. Sans oublier son superbe visage, très fin, enfantin par bien des aspects, surmonté par une belle chevelure mi-longue, parfaitement soignée par ses brushings quotidiens.

Bref, ma femme a de quoi et aime plaire. Elle fait encore retourner bien des têtes !
Un jour, peut-être, s’était-elle rendue compte de ma lassitude ou la ressentait-elle aussi, elle m’a proposé de pimenter un peu l’ordinaire. Il faut dire que côté sexe, c’est elle qui mène la danse car elle sait ce qu’elle veut…, et surtout ce qu’elle ne veut pas !
Bref, voila qu’elle m’appela depuis la chambre. Ne me doutant de rien je la rejoignis et la découvris en lingerie transparente vert bouteille allant parfaitement avec sa peau bronzée par ses longues séances au soleil de juin et avec sa chevelure brun-clair.
À côté d’elle, une paire de menottes qu’elle venait juste d’acheter sur un site…, sans me le dire… !
Ni une, ni deux, je la rejoignis et je commençai à la caresser, à embrasser chaque parcelle de sa peau avant de lui proposer de tester notre nouveau jouet. Elle fut évidemment d’accord.
Je l’attachai aux barreaux de notre tête de lit et je menai, pour une fois, la danse en plaçant ma tête entre ses jambes.
Pourtant, pudeur enfantine, peut-être suite à des remarques de sa mère, elle avait toujours été gênée, se trouvant sale par cette pratique.
Elle ne m’avait jamais vraiment laissé explorer cette zone, préférant, disait-elle, aller droit au but… Elle n’est pas marseillaise pour rien !.
Au bout de quelques minutes, elle succomba une première fois à mes coups de langue bien placés sur son clitoris.
J’eus alors l’idée de lui proposer de lui bander les yeux et, à ma grande surprise, elle accepta.
La positionnant en levrette, je me mis alors à la pistonner, mes boules frappant contre ses fesses.
Je ne fus pas long à jouir… ! Je dois admettre que cette séance m’avait beaucoup plu et je sais qu’à elle aussi.

Alors que nous étions dans les bras l’un de l’autre, à nous remettre de nos émotions tout en discutant, la conversation vira naturellement vers les fantasmes.
C’est alors que je lui proposai l’un des miens…, récurrent, et je le sais commun à beaucoup d’hommes…, la voir faire l’amour avec un autre homme !
Sa réaction, très vive, fut sans ambiguïtés ! HORS DE QUESTION !
Seulement voilà… ! L’idée de ce fantasme ne me lâcha pas… !
Quelques jours plus tard, je rendais visite à mon petit frère qui est aussi mon voisin dans le lotissement.
Totalement absorbés par le match France-Irlande, nous profitâmes de la mi-temps pour discuter un peu de la vie et descendre quelques whiskys.
Lui était célibataire depuis deux ans et bien trop timide pour se lancer sur Tinder ou sur une drague plus physique.
C’est le sexe qui lui manquait. Je savais très bien qu’il n’était pas insensible au charme de ma femme.
J’avais pu le remarquer par ses regards un peu trop insistants sur son décolleté !
Un jour, je l’avais surpris en train de la reluquer à travers le brise vue qui séparait nos deux jardinets du rez-de-chaussée !
S’étant abritée sous les balcons qui la surplombaient et se pensant à l’abri des regards indiscrets, elle avait enlevé le haut, ignorant totalement qu’elle avait un admirateur qui n’en ratait pas une miette. Trop absorbé, il ne m’avait pas vu dans le cadre de notre baie vitrée.

C’est alors que, un peu chauffé par les quelques verres, bien tassés je dois dire, je lâchai que s’il voulait, il pourrait facilement assouvir ses fantasmes sur ma femme.
Complètement surpris par ma supposition, il me demanda de répéter. Je développai :

« Tu sais, ma femme et moi, on a le fantasme de la voir faire l’amour avec un autre, mais elle n’assume pas !
.. Elle est assez fan des menottes et bandeaux et à cette occasion, tu pourrais la prendre !
– T’es sûr ? Elle serait d’accord ?
– Pas de problème, mais tu devras faire comme si c’était moi…, pas un mot…, rien d’autre que missionnaire, levrette et pipe… ! Ok… ?
– Ouais… !
– Et une fois fini, tu devras partir le plus discrètement possible… !
– Ouais, mais elle va gauler que ce n’est pas toi !
– Peut être pas…, tu sais, on fait le même gabarit et on s’est retrouvé suffisamment bourrés et à poil tous les deux dans les piscines en soirée pour que je sache qu’il y a pas trop de différences, niveau équipement !
.. Et puis, si elle s’en aperçoit, ça ne sortira pas de la famille !
– Si t’es OK…
– Je te bipe le jour où on le fait ! »

Quelques jours plus tard, ma femme, en pleine après midi, se mit à être de plus en plus coquine.
Le message était suffisamment clair et j’en profitai pour envoyer un SMS à mon frangin pour qu’il se tienne prêt, derrière notre porte. Alors que nous avions bien entamé les préliminaires, ma femme sursauta soudain en disant qu’elle n’avait pas fermé la porte de l’appartement à clé. Voilà l’occas…. !
Je me précipitai pour corriger cela et en profitai pour faire entrer discrètement mon frère qui se posta à l’entrée de la chambre, à l’abri du regard de ma femme, mais profitant de la vue grâce au grand miroir sur le mur en face de notre lit.

Après lui avoir fait l’amour quelques minutes, lui ayant arraché un orgasme très intense, je lui proposai, pendant qu’elle reprenait son souffle, de retenter le coup des menottes et du bandeau sur les yeux. Elle accepta sans discuter… !
La voilà à quatre pattes, les genoux au bord du lit, les yeux bandés, les mains attachées au barreau central du lit, posée en équilibre sur ses avant-bras parallèles.
Mon pote entra tout doucement. Il était déjà à poil et s’était déjà bien branlé, si bien que sa queue était toute luisante.

Alors que je m’écartai, je sortis mon Smartphone pour filmer la scène…
Pendant ce temps. il approcha son sexe de la bouche de ma femme.
Butant sur ses lèvres, elle comprit vite et lui fit bon accueil l’avalant goulûment, caressant ses boules.
Son sexe était semblable au mien et elle n’y vit que du feu.
Il se retira au bout d’une ou deux minutes et rejoignit le pied du lit. Là, il s’empala doucement dans le sexe béant de ma femme et commença ses va-et-vient…
Je n’en perdais aucune miette, multipliant les plans serrés sur leurs sexes qui coulissaient l’un dans l’autre.

Ma femme commença à gémir, d’autant plus que le rythme et l’intensité des coup de boutoir augmentaient.
Je centrai sur son visage qui commençait à être déformé par le plaisir jusqu’à l’orgasme, qui se révéla encore plus intense que le premier.
Elle se cambra et il en profita pour lui att****r les seins et lui pincer et rouler ses tétons, ce qui la fit hurler de plaisir. Elle s’écroula sur le lit, les fesses en l’air.
Mon frangin avait un peu ralenti le rythme, mais soudain, elle s’avança légèrement et lui attrapa la base du sexe pour le faire coulisser hors du sien.
Mon frère eut l’air déçu une seconde parce que, lui, n’avait pas encore joui… !
Elle présenta alors son gland à l’entrée de son petit trou vierge ! Le regard du frangin s’illumina.

Moi j’étais un peu dégoûté car elle me l’avait toujours refusé. Mais je ne voulais pas en perdre une miette…
Il la saisit fermement par les hanches, mais c’est elle qui donna le rythme.
Petit à petit, en reculant son bassin, le sexe de mon frère disparut dans l’anus déformé de ma femme.
Après quelques secondes de pause nécessaire pour se remettre de la douleur, elle commença à bouger son bassin et ce fut le signal pour mon frangin pour commencer ses va-et-vient.
Au bout de moins d’une minute, le voilà qui s’en donnait à cœur joie, pistonnant le cul de ma femme dont les râles de douleur furent vite remplacés par du plaisir, gémissant à chaque coup.
Mon frère n’y tenant plus, il se retira du cul de ma femme, présentant son sexe à l’entrée de sa bouche.
Elle ne le goba pas. Sans doute l’odeur était trop forte pour elle. Mais elle tira la langue pour accueillir son sperme.
Mon frère allait exploser et, par chance, moi aussi et alors qu’il retenait tout bruit sortant de sa bouche, je me rapprochai et éjaculai en même temps que lui, mais pas sur ma femme… !

Il se retira le plus discrètement et rapidement possible sans claquer la porte.
Je retirai le bandeau de ma femme. Elle était comblée. Je la remerciai pour tout, même si ce n’est pas moi qui en avait le plus profité.
Au cours de notre traditionnelle discussion d’après, le sujet repartit sur les fantasmes.
Elle m’avoua alors qu’après cette partie de baise mémorable, la plupart de ses tabous étaient tombés et elle se laisserait bien tenter par une partie à trois.
Mais alors avec quelqu’un qu’elle connaissait bien et qui ne risquerait pas d’aller colporter sa bonne fortune… C’est alors que je lui proposai mon frère, par exemple.
Elle m’avoua qu’elle y avait pensé depuis quelques temps et qu’elle trouvait que son abstinence avait assez duré. Si elle savait !!!!

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