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j ai trouvé mon maitre

j ai trouvé mon maitre



Je m’appelle Guillaume. J’ai vingt-quatre ans. Depuis six ans j’appartiens à un homme. Eric, mon Maître. Il m’aime, me protège, et me soumet à sa force. J’ai tout appris de lui.
Eric possède mon cœur, ma peau, mes trous, jusqu’au plus infime de mes désirs. Je vis pour lui. Je ne pense qu’à lui. Je mets toute mon ardeur à le satisfaire, à mériter sa puissance. Eric est un homme bon, mais aussi un vrai Mâle, viril, dominateur, vicieux.
Quand il a envie de moi, quand il désigne d’un geste sa braguette, encore plus lourde que d’habitude, la chaleur m’envahit, j’ai l’impression de me dissoudre et de perdre la raison.
Mon Maître alors sait que je ne suis plus en état de réfléchir, que l’excitation m’envahit des pieds à la tête, et qu’il peut faire ce qu’il veut de moi. Il ordonne et moi j’obéis, chienne docile et affamée. Je suis moins fort que lui, plus jeune, plus fragile, plus petit de taille.
J’ai besoin de sentir son emprise pour être heureux. J’ai besoin de savoir qu’il est Tout, qu’il possède tout de moi, que je ne suis plus rien sinon l’objet de son plaisir. J’ai besoin d’être sa maison, ouverte en toute saison, un refuge brûlant pour sa queue de mâle.
J’ai tout de suite compris qu’il m’était supérieur, et qu’avec un peu de chance, il allait me dresser mais aussi prendre ma vie en mains. J’ai eu beaucoup de chance !
Voici mon histoire. Une histoire vraie. Celle de ma soumission. Le récit de ma rencontre avec mon Maître. Il m’a ordonné de l’écrire, pour que d’autres puissent la partager.
Il y a six ans, j’avais tout juste dix-huit ans. J’étais à peu près le même qu’aujourd’hui. Les yeux bleus, cheveux blonds bouclés, visage rieur et fin, lèvres bien dessinées. Mignon dans un genre classique. Oreille gauche minuscule, oreille droite minuscule et décollée ! 1 mètre 69, 58 kilos, à peine trois poils autour des mollets, corps mince, peau douce, et joli cul bombé.
Je ne me rendais pas compte, alors, que je pouvais plaire, et même, que j’étais beau. Mon oreille droite (à présent, je l’aime) avait tendance à m’obséder. Je croyais, dès que j’apparaissais, qu’on ne voyait qu’elle. J’étais timide (je le suis encore), assez phobique (peur de la foule et des lévriers…), vierge, et, je l’avoue, très attiré par les hommes, de préférence virils et plus costauds que moi. Je fantasmais beaucoup sur leurs bites et me voyais passif (ce que je suis à 200%, j’en suis sûr aujourd’hui !).

J’étais gentil, plutôt candide, et passais ma vie à lire.
Pas de télé ni d’ordinateur chez mes parents, mais des livres, des disques, des dictionnaires. Je n’avais pas vraiment d’amis, ça ne me gênait pas tant que ça. J’étais trop occupé à ne rien montrer de mon attirance pour les machos.
Bref, après mon bac, je devais passer une année à Londres, chez une tante, pour parfaire mon anglais. Ca m’angoissait un peu, à cause de ma timidité. Pour combattre le stress, je me suis mis à marcher dans Paris, de long en large, pendant l’été. Ces promenades, après la première heure, calmaient mes ardeurs. Le matin, j’étais en chaleurs, la bite plus ou moins dure, et le cul chaud.
Je marchais sans regarder les passants, par peur de me mettre à rougir en face d’un homme qui me plairait. Parfois, sentant qu’on m’observait, j’accélérais le pas. Mais pas ce jour-ci. Pas ce mardi matin. Je venais d’apercevoir, dans la vitrine d’une boutique, le reflet de mon suiveur.
Grand, solide et brun, les avants-bras velus, son image m’avait fait sursauter. C’était comme si j’avais reçu un coup de poing dans le ventre. J’avais même voulu fuir, mais… j’ai ralenti, me disant que j’agissais comme le dernier des imbéciles, puis… je me suis assis sur un banc, les yeux dans le vague, à deux doigts de pleurer…
L’homme s’est assis près de moi. Je crus sentir son souffle contre ma nuque. Je n’osais rien faire, j’étais tétanisé. Vingt secondes, une minute, cinq minutes, j’ignore combien s’écoula de temps avant qu’Eric me parle. Mais il me dit, de sa voix douce :
– Tu veux que je m’en aille ? Ce serait dommage, tu sais…  »
J’ai relevé la tête. Il avait la trentaine (trente-cinq en vérité), portait une chemisette blanche, un jean foncé, des chaussures italiennes à bouts pointus. Il semblait musclé, les épaules imposantes. Des poils, noirs, longs, colonisaient ses bras. De même, de larges touffes, plus sombres encore, sortaient du col, ouvert, de sa chemisette.
Il se taisait à présent, l’œil rieur, de plus en plus confiant face à l’évidence de mon trouble. Quant à moi, je crus défaillir tant son visage me plut. Mâchoire carrée, bouche large, nez charnu, presque fort, grands yeux noirs surmontés de sourcils très denses. Barbe de trois jours, cheveux noirs, courts et drus. Deux rides profondes le long du front. L’air irrésistible d’un HOMME, un vrai.
– Quel âge as-tu ?  » demanda-t-il sans préambule.
– Dix-huit ans. « 
– OK… Ca va, petit ? Tu te remets ? « 
Soudain, je sentis sa cuisse droite, lourde, chaude, peser contre ma cuisse gauche. J’en eus des frissons partout, comme si je recevais une décharge électrique. Il s’en aperçut.
– Sensible, dis donc ! A ce point ? « 
– …Oui  » répondis-je tant bien que mal.
– Parfait. C’est un bon départ ! « 
Nous avons parlé de mille choses, de son métier d’imprimeur, de mon amour des livres, de sa passion pour les arts martiaux, de mes parents, de son mariage après l’armée, puis de son divorce trois ans plus tard, de mes longues marches dans Paris…
Nous avons fini par nous présenter, puis Eric m’a demandé si j’étais puceau, et si j’aimais les hommes. Rougissant, je lui ai répondu oui.
– Quel genre d’hommes ? poursuivit-il. Ceux qui font mecs ? « 
– Oui. « 
– Ceux qui font très mecs ? « 
– Oui. « 
– Ceux qui te feraient sentir, au lit, qu’ils sont vraiment des mecs ? « 
– Oui, je crois… « 
– Tu le crois ou tu le sais au fond de toi ? « 
– … Je… je le sais. « 
– Bien. Je peux te faire une confidence ? « 
– Oui. « 
– Tu es charmant, mignon, réservé, tout ce que j’aime ! Mais pas seulement… Je vais être honnête, Guillaume. Si je t’ai suivi, tout à l’heure, c’est pour ton cul… un putain de beau petit cul ! Vois, rien que d’en parler, je bande ! « 
En effet, le renflement de son jean semblait des plus épais. J’étais hypnotisé, la bouche ouverte, l’air idiot.
– Ca te fout l’eau à la bouche, hein ? « 
– Euh… oui… « 
– Bien. Tu es franc, j’apprécie !… Donc, t’es mimi et tout et tout, mais moi, j’ai besoin d’une salope… enfin pas seulement, mais surtout !… Ces derniers temps, j’ai sacrément besoin d’une salope, et à haute dose… Ca te choque ? « 
– … Non. « 
– Ca t’excite ? « 
– Oui, mais… « 
– Quoi, Guillaume ? « 
– J’ai aucune expérience… « 
– Je t’apprendrai ! Tu demandes pas mieux, non ? Plus je dis le mot ‘salope’ et plus ça te fout la trique… Hein, ma salope, ma pute, mon joli petit pédé ! « 
Soudain, la peur m’envahit. C’était trop pour moi ! Trop beau, trop dingue, trop étrange. Eric le sentit, qui me prit les mains dans les siennes (immenses !) et murmura :
– N’aie pas peur, Guillaume, je m’emporte, là, parce que tu me plais vraiment ! J’ai le flair pour ces choses, crois-moi ! Mais si tu aimes mieux, parlons bouquins. « 
– Non, c’est bon… je… Vous me plaisez vraiment, vous aussi, je le jure !… Et… « 
– Oui ? « 
– A vrai dire, j’ai bien envie d’être une salope ! « 
Il rit aux éclats.
– MA salope ? « 
– Ben… oui. « 
– Dis-le ! « 
– J’ai envie d’être une salope… Votre salope. « 
– T’en meurs d’envie ? « 
– Oui. « 
– Dis-le. « 
– J’en meurs d’envie ! « 
J’avais failli crier. La honte me submergea.
Eric, tendrement, se pencha vers moi. Il murmura à mon oreille :

– Chut, bébé, chut… Je suis là, tout va bien… Ton mec est là pour te protéger… Oui, ton mec, bébé, car tu vas devenir ma pute, et tu le sais !… A propos, j’ai une énorme queue ! « 
Hilare, Eric broya littéralement mes mains dans les siennes. Et je ne pus m’empêcher, la gorge sèche, de rêver à ces mots magiques…  » une énorme queue « … « une énorme queue »… Je sentis une bouffée de chaleur à l’intérieur de moi. Puis l’envie, folle, incontrôlable, de me faire défoncer par Eric, d’avoir le cul rempli par son énorme queue, me foudroya par surprise.
– Viens chez moi, salope !  » ordonna-t-il.
Durant le trajet, l’émotion me fit trébucher trois fois. Eric me rattrapa trois fois, riant de ma maladresse, me soufflant qu’avec lui je marcherais bientôt droit, ou plutôt non, car ses assauts me laisseraient sur les rotules !
Il me scrutait d’un air amusé, tout en glissant, de temps à autre, la main sur son paquet. Il était grand (1 mètre 88) et costaud (autour de 100 kilos, mélange de muscles et de graisse). Ses cuisses, en particulier, semblaient volumineuses. On aurait dit un rugbyman.
Le souffle coupé, je le trouvais splendide. Il ne cessait de parler de mon cul, qu’il devinait petit, mais ferme et bien rond, certainement serré, bientôt gourmand, insatiable quand il en aurait pris possession, quand je me serais fait à l’épaisseur de sa bite.
Une telle perspective m’effrayait, mais surtout m’excitait. D’après Eric, je roulais un peu du cul, juste ce qu’il fallait pour un minet de mon genre, pédé à mort mais non efféminé. Lui seul, mâle spécialiste de la question, devinait ma nature de lope, mon besoin criant de bite, l’état bouillant de mon trou du cul. Ses paroles, crues, dites d’une voix charmeuse, me mettaient en apesanteur. Il y avait tant de douceur, tant d’autorité dans cette voix !
J’étais déjà vaincu, je le savais. Cet homme abuserait de moi comme il le souhaiterait, ferait de moi son esclave. En vérité, même si, d’une certaine manière, je voulais rebrousser chemin, je n’avais plus la force de repartir. Ma volonté m’avait en quelque sorte abandonné. Elle était devenue la volonté d’Eric, mâle dominateur et sexy.
Dans l’ascenseur de son immeuble, il se frotta contre mon cul, me forçant à me cambrer pour mieux sentir sa braguette enflée. Tandis que ses bras entouraient ma nuque, il susurra :
– Tu m’appartiens, pédale, tu as trouvé ton maître ! »
Puis, il me traita, dans le creux de l’oreille, de sac à foutre, d’ordure, de chienne en chaleurs, de garage à bite, et me demanda si j’aimais ces noms.
– Oui.  » lui répondis-je, ému.
– Ca tombe bien, parce que c’est toi, mon chéri, c’est ce que tu es ! « 
Dans l’entrée de son appartement, il me plaqua contre le mur, m’écrasa du poids de son corps, et me roula une pelle d’enfer. D’abord, je ne sus que faire, puis, vite, la pression de ses lèvres, la force et la mobilité de sa langue, l’humidité du contact se firent contagieux. Avec fougue, je lui rendis son baiser. J’eus l’impression de fondre. C’était un échange bouleversant, long, très sensuel.
Evidemment, mon Maître menait les opérations. Sa langue, ses lèvres possédèrent peu à peu ma bouche.… Quand il fut clair qu’il m’avait terrassé, que je jouissais pleinement de sa domination, il décolla ses lèvres des miennes, me prit par la main, et dit :
– Tu embrasses bien, bébé, tout en restant à ta place. J’aime ça. « 
Dans le salon, il se laissa tomber sur un fauteuil, les jambes écartées, la queue plus que visible sous son jean. Il m’ordonna de me déshabiller, debout, face à lui. Un peu tremblant, je m’exécutai.
– Waouh ! fit-il, admiratif. Un vrai minet comme j’aime ! Pas un poil sur le corps, de bonnes jambes solides, un cul à damner un saint ! Tu sais que t’es mignon, Guillaume, une salope de rêve ! « 
Il se caressa l’entrejambe, et rit de voir ma queue se dresser dans la seconde.
– Toi, tu aimes la bite, ça crève les yeux ! Si tu me conviens, tu vas en bouffer, crois-moi ! Tu vas en bouffer tous les jours et par tous les trous ! Mais chaque chose en son temps… « 
Mon maître se leva, s’approcha de moi, commença de m’ausculter, comme si j’étais un cheval qu’il voulait acquérir. Ma dentition lui sembla saine, mes tétons bons à développer, mes oreilles bonnes à mordiller, mon cou parfait pour un collier de chien, mon regard docile, ma queue ni trop large ni trop longue, mes couilles jolies pour un teenager, et mon cul vraiment sublime.
– Avec un cul pareil, ton destin de salope est tracé d’avance ! S’il est aussi bon qu’il en a l’air, j’y passerai ma vie, autant te prévenir ! Maintenant, à genoux, le cul en l’air, et bien cambré, la pute ! »
Il s’accroupit derrière moi, puis, après avoir joué, du bout des doigts, le long de ma rondelle, entreprit soudain de fourrer son visage contre mon cul, et d’y enfourner la langue, tout en râpant mes fesses avec ses joues. Insensiblement, je commençai de m’ouvrir, envahi de picotements plus délicieux les uns que les autres. Et je ne pus m’empêcher de gémir, surpris par l’étrangeté, la nouveauté d’une telle jouissance.

Eric finit par lever le nez de mon cul, puis me dit :
– Putain, quelle bonne chatte de femelle ! Je te dilate à peine le trou, tu couines déjà comme une chienne ! « 
Il me donna deux claques, une sur chaque fesse, bien appuyées, bien sonores, puis m’étendit sur le dos. Il me recouvrit alors de tout son corps, puissant, lourd, et planta ses yeux dans les miens. Subjugué, je finis par baisser le regard. Attendri, mon Maître me dit :
– Guillaume, je veux ton bonheur, tu le sais. Je ne suis pas cruel. Mais j’ai besoin d’une pute pour mon équilibre. Une pute hyperdocile et gentille, mais une pute dans l’âme. Je te protègerai, tu verras, je t’aimerai, mais je ferai de toi ma lope, ma chienne perso. Je te ferai découvrir ce que tu es vraiment, je te cajolerai, je te casserai la chatte !… Une rencontre comme la nôtre, bébé, ça tient du miracle… Tu en as conscience ? Tu veux aller plus loin ? Vraiment ? « 
– Oui.  » répondis-je en un souffle.
Eric me sourit de toutes ses dents, un sourire ensorcelant, et m’embrassa tendrement, langoureusement. Puis, il cracha dans ma bouche, et me dit :
– Prends, salope, bouffe la salive de ton mec !  »
J’avalai sa salive, tiède, un peu salée. Il me lécha le visage, me serra dans ses bras, de telle sorte que je me sentis minuscule, un tout petit bonhomme à la merci d’un géant. Sa tête dépassait la mienne, son torse, son bassin, ses jambes m’écrasaient, ses pieds dépassaient les miens. J’étais heureux, je faillis pleurer.
J’eus la sensation, vertigineuse, d’être enfin à ma place, de me trouver à l’endroit précis qui me correspondait, d’y être avec l’homme de ma vie ! Ca semblait fou !
Eric mordit le lobe de mon oreille gauche, le titilla, tout en m’empoignant par les cheveux. Je crus que j’allais jouir.
Mon Maître, bientôt, se redressa, droit au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma poitrine. Il me fit lécher le cuir de ses chaussures. Puis s’agenouilla, enserrant mes épaules de ses cuisses musclées.
A trente centimètres de mon visage, sa braguette boursouflée se mit à m’obséder. Il la déboutonna, libérant une odeur poivrée, mélange de sueur et d’épices. La plus savoureuse odeur du monde. Le parfum de sa bite.
– Pas touche ! dit-il. Profite, admire ! »
Comme par magie, sa bite surgit du jean. Elle me stupéfia. Sa largeur, extraordinaire, me fit peur tout en m’alléchant. J’eus l’impression de me trouver face à la force pure, face à un bloc de puissance qui me faisait défaut. Je pris conscience de ma faiblesse, et du vide en moi, de ce manque d’Homme qu’il me fallait combler.
Je sus dans l’instant que cette queue, ce morceau de chair énorme, impérieux, veiné, deviendrait le centre de mon existence, et que je ne pourrais plus vivre sans le vouloir en moi, sans être rempli, de toutes les façons possibles, par lui !
Je déglutis.
– Belle bête, hein ?  » fit Eric, fier comme un petit garçon.
Trop ému, trop excité pour pouvoir répondre, je parvins à opiner du chef.
Mon Maître, sourire en coin, avança le bassin, puis frappa mon visage avec sa queue. D’abord avec tendresse puis avec sauvagerie. C’était comme s’il me baptisait, comme s’il me gratifiait de sa bénédiction. J’étais au paradis, totalement soumis, totalement heureux ! Ma langue frétillait à l’intérieur de ma bouche. Elle rêvait de frôler, de toucher, de lécher la queue d’Eric. Mais il se redressa, remballant sa marchandise, et me tendit la main.
Je me relevai.
– Défais ma chemise, femelle ! « 
Nerveux, je m’y pris à plusieurs reprises pour la déboutonner.
– Pose-la sur une chaise. « 
J’obéis.
Son torse, athlétique, était recouvert d’une toison noire, incroyablement fournie. Les poils naissaient au-dessus du nombril, et montaient jusqu’aux épaules. Il ressemblait à un gorille. Je n’en croyais pas mes yeux, c’était presque irréel !
– Vois, dit-il, ton corps de salope et mon corps de mec. On dirait deux pièces d’un puzzle, faites pour s’emboîter ! « 
Il m’ordonna de lui caresser le torse. Mes doigts se perdirent sous la forêt de poils. J’avais la chance folle de toucher un mâle, de sentir sa chair, ferme et virile !
Eric s’assit sur un fauteuil. Il me posa sur lui, le dos contre son torse, le cul bien calé sur sa braguette. Il m’enserra de ses bras, mordilla ma nuque. Il me parla, tripotant mes tétons, ma bouche, les boucles de mes cheveux, l’orifice de mon cul…
Il évoqua notre vie à deux, comme s’il était évident que nous allions vivre ensemble. Il fut tendre et bon, curieux de mes centres d’intérêt, de mes envies. Auprès de lui, je n’aurais plus à me soucier de rien, puisqu’il prendrait toutes les décisions, lui, l’HOMME, le Maître, seul à savoir trancher dans le vif.
Mon unique problème serait d’apprendre à gérer l’intensité de mon désir pour lui. Du reste, il me protègerait, m’aimerait tendrement, prendrait soin de moi, galant homme, amoureux, complice, mais aussi me baiserait si fort que j’en serais chancelant des heures durant. Il choisirait mes vêtements, déciderait de ma coupe de cheveux, soucieux d’avoir une jeune pute à ses pieds, décorative et bandante.
Je ne devais d’ailleurs pas m’inquiéter, il ne serait pas du genre à me déguiser. Le changement majeur qu’il m’imposerait serait de porter des pantalons moulant mon cul. Tous mes pantalons, sans exception, quels que soient leurs styles, seraient bientôt repris par son tailleur afin de mettre en valeur mon  » putain de cul de salope  » ! Disant cela, il se mit à bander fortement, puis, caressant mes lèvres, il murmura :
– T’es vraiment un bon petit ! « 
Sans un mot, il posa ses mains sur mes épaules, et me fit glisser vers le sol. A présent, j’étais à genoux, le souffle court, entre ses jambes. La bosse de son jean semblait une montagne devant mes yeux.
– Tu vas me pomper, je vais t’apprendre ! « 
Il ressortit sa queue, décidément énorme, et d’une bonne longueur. Elle dégageait une odeur boisée. Je me demandais comment elle pourrait tenir dans ma gorge, mais j’étais surtout fou d’excitation. Les couilles d’Eric, bien rondes, bien velues, me donnaient également faim.
Mon Maître, alors, fit preuve de délicatesse. Il ne força pas ma bouche comme il le ferait, par la suite, des centaines de fois. Il n’usa pas de moi comme on use d’un trou, comme aujourd’hui, j’aime être utilisé. Non.
Il m’apprit à laper son gland, sa bite, à donner de légers coups de langue, à faire de mes lèvres une sorte d’aspirateur, à baver pour améliorer la succion, à titiller son prépuce, à lécher ses couilles, bref, à lui procurer du plaisir de mille façons, douces, humides, et dignes d’une bonne salope.
Néanmoins, pour me donner une idée de ce qui m’attendrait, plus tard, quand je serais devenu un pompeur de choc, mon Maître poussa, trois fois, sa bite au fond de ma gorge, m’obligeant à ouvrir grand la bouche, et m’étouffant presque. A vrai dire, je ne demandais pas mieux ! L’emprise d’Eric était déjà totale sur moi. Je ressentais pour lui de la vénération, une soumission profonde, ainsi qu’un désir irrépressible.
J’étais amoureux !
Mon Maître me donna l’ordre de lui ôter chaussures, chaussettes, pantalon, slip. J’obéis, découvrant ses très longs pieds, ses fines chevilles, et ses cuisses massives, absolument renversantes. Il me fit lécher ses doigts de pieds, face contre le sol, cul en l’air, bien cambré. Il en profita pour me fesser, pour bien me rougir le cul, pour me le chauffer.

Mon Maître, à présent debout, me souleva comme si je ne pesais rien, me porta dans ses bras, m’emmena dans sa chambre. Il me jeta sur son vaste lit, puis me retourna, de sorte que mon cul s’offrit à lui, tout frémissant.
Eric s’allongea sur moi, me couvrit de son corps puissant. Je sentis sa bite contre mon cul, contre la raie de mon cul, je sentis sa pression, sa vigueur irrésistible. Ses mouvements prirent de l’ampleur. Il allait me défoncer ! Moi, je bandais, j’étais brûlant.
Tout en accentuant sa pression, mon Maître me dit :
– C’est le moment, salope ! Tu vas t’en prendre plein le cul ! Je vais t’exploser la chatte, je vais te faire un bien fou ! « 
Eric tendit le bras sous le sommier, y prit un pot de crème, une préparation pharmaceutique dont j’ignore, aujourd’hui encore, la composition, mais dont il continue, les grands jours, d’user avec moi. Il mit une noisette de crème au bout de son index, et fit pénétrer l’index dans mon cul.
Avec douceur, il tapissa de crème l’intérieur de mon trou, le malaxa, puis retira le doigt. Il se frotta contre moi, tout en mordillant ma nuque. Ses mains se saisirent de mes tétons, les palpèrent, les triturèrent, jusqu’à les faire devenir tout durs. Je m’entendis pousser deux cris, sans reconnaître ma voix.
– Putain, quelle salope !  » fit Eric.
Soudain, par surprise, des milliers de picotements prirent mon cul d’assaut. J’eus l’impression de spasmes, de vagues minuscules, mais brûlantes ! C’était si bon, si nouveau que j’en frissonnai. Mon Maître sut que j’étais prêt, que la crème avait rempli sa fonction, démultipliant l’excitation de ma chatte. Alors, je compris, pour la première fois de ma vie, ce qu’être en chaleurs signifiait vraiment.
Il me fallait, de toute urgence, me faire sauter, rien d’autre ne comptait pour moi! Dieu merci, Eric, par poussées successives, m’ouvrait à présent le cul, faisait pénétrer, centimètre par centimètre, son énorme engin, si large qu’il prenait, d’office, tout l’espace libre.
J’eus mal, oui, je l’avoue, mais mon désir était si fort, mon excitation si folle, qu’ Eric (incroyable !) fut vite au fond, tout entier dans mon cul.
Durant de longs instants, pour m’aider à me remettre, il resta immobile à l’intérieur de moi, immobile mais ô combien présent, tellement dur et massif que j’en perdis le souffle.
– Calme-toi, bébé, respire, me dit-il à l’oreille… Bah, c’est normal, tu te prends du XXL ! Mais tu es fait pour ça… « 
Quand je fus à nouveau calme, il commença de remuer la queue, latéralement, pour mieux me dilater. Puis fit deux va-et-vient, lents, douloureux, mais pas tant que ça. Du reste, je bandais toujours. Ses allées, ses venues devinrent alors plus fortes, et légèrement plus rapides. J’aimais sa bite, j’aimais ce qu’elle me faisait.
– Ca te plaît, pédale, hein ? Je le sens ! »
Je ne pus répondre. Je n’étais plus en état de parler, foudroyé par la montée du plaisir. Les coups de bite, insensiblement, devinrent coups de boutoir. Après chaque secousse, la queue d’Eric sortait presque de ma chatte, et m’emplissait le cul, me défonçait avec une rage, une v******e exceptionnelles.
Je ne pouvais faire autrement que gémir, et de plus en plus fort, ce qui décupla sa rage. Il me bourra longtemps, me traitant de pute, de sacré bon trou, de femelle à casser. Il était endurant. Je découvris que je l’étais aussi. Je découvris, également, cette chose étonnante, et qui changea ma vie : tandis que mon Maître me limait, je profitais, naturellement, de sa bite et de sa domination, mais j’étais ébloui, surtout, par mon plaisir, par toutes les sensations qui irradiaient mon cul. Je n’étais qu’un trou, ce trou me faisait jouir.
Puis, soudain, le bonheur d’être plein, la joie de sentir en moi cette énorme queue, firent qu’ELLE SEULE, la queue d’Eric, eut de l’importance. Je sus, dorénavant, que je n’aurais de consistance, de présence réelle, qu’à l’instant où la bite de mon Maître envahirait mon cul, à l’instant où mon esprit ne penserait qu’à elle, la BITE, la BITE, la BITE !
Après qu’il eut joui, Eric finit par se retirer, puis, toujours étendu sur moi, dit :
– Ca y est, tu m’appartiens. Je t’ai fécondée, salope ! « 
Il me retourna, vit que je bandais encore, me fit ouvrir la bouche.
– J’ai du foutre sur la queue. Nettoie, Guillaume, et bois ma pisse ! « 
Il mit sa queue devant mes lèvres, m’observa la nettoyer. Puis, la glissant dans ma bouche, il m’abreuva de pisse, chaude et salée. Ce ne fut pas abondant, pas cette première fois, mais j’étais si fier !
Il me tapota les joues, quitta ma bouche, et m’ordonna de me branler, ce qui prit deux secondes. Il me suffit d’une infime pression de la main pour jouir.
Bien sûr, j’ai un peu reconstruit ma rencontre avec Eric. Même si je me souviens précisément de tout, décrire les faits revient à les mettre en scène, à les revivre avec un regard neuf, celui que j’ai acquis après six ans de soumission. Six ans d’amour et de joie.
Six ans de tension sexuelle, toujours aussi forte en ce qui me concerne. Je suis né le jour où Eric m’a choisi. Je n’appartiens qu’à Lui, totalement, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, à chaque instant de ma vie. Une telle appartenance est possible car il est tendre, Eric, tendre et drôle, sensible et cultivé. Je lui appartiens car nos échanges sont riches de mille autres choses que notre passion charnelle.
Je lui appartiens car il me laisse me nourrir de livres, de musique, et des proches qui me sont chers. Je lui appartiens car il me protège, et fait montre à mon endroit d’attentions délicates, invisibles croit-il, mais qui me bouleversent. C’est une joie immense, d’être la propriété d’un homme aussi bon, macho de surcroît, bête de sexe, et si profondément dominateur. A vrai dire, je lui appartiens au sens premier du terme.
Il me possède comme il possède une table, une chaise, ou tout objet utile, créé pour lui donner entière satisfaction. Je suis un objet chaud, recouvert de peau, tout vibrant de désir, un objet séduisant mais incomplet sans LUI, mon Maître. Je n’ai de réalité qu’en sa présence, je ne suis tout à fait moi que s’il pose une main sur ma nuque, s’il m’injurie, s’il me pelote le cul, s’il me fait boire sa pisse, sa salive, son foutre, s’il me tient en laisse, si je porte les vêtements qu’il a choisis pour moi, s’il me doigte le trou devant ses meilleurs potes, s’il me traite en pute soumise et amoureuse.
Il me connaît par cœur, il devine tout de mes états d’âme. Il possède le remède magique, celui qui, chez moi, tue l’angoisse. Quand je suis trop stressé (parfois, cela m’arrive, sans raison particulière), il sait me recentrer, me remettre les idées en place.
Alors, il arrache mon jean, me plaque contre un mur, et, sans précaution, me défonce avec v******e. La douleur me ramène à la raison, me signifie combien j’aime la bite, combien j’ai besoin qu’on me remplisse, encore et toujours, combien j’ai besoin d’être explosé par mon Maître. Le plaisir ne tarde jamais à venir (d’une certaine manière, je jouis vraiment du cul), et l’angoisse meurt. A nouveau, je sais pourquoi j’existe : pour subir la Loi, implacable, de la queue d’Eric.
Voilà, j’ai écrit le récit ma rencontre avec Eric. J’ai fait, le plus honnêtement du monde, ce qu’il m’a ordonné de faire.
Une dernière chose, néanmoins. Mon Maître, parfois, voudrait me partager avec un inconnu. Il m’assure que j’aurai du plaisir à ramper devant deux mâles, à leur offrir mes trous, gourmands et humides.
Quoi qu’il advienne, quoi que décide Eric, ce sera parfait. Ses désirs sont sacrés. Mon Maître exige et moi j’obéis. Je n’y peux rien, c’est ma nature. Je suis une lope, dressée à coups de bite. Un objet sexuel. Une femelle en chaleurs. Et j’aime ça !

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