Alors voilà. J’ai changé de catégorie de femmes. De fidèle jusqu’au bout des ongles je suis passée dans le groupe des traîtresses adultères. J’ai pas écrit salopes mais je l’ai pensé. Circonstances atténuantes votre honneur, c’est pas moi qui ai commencé : je suis cocue et pas qu’une fois. Mon copain, je l’ai appris il y a peu aime faire ça avec d’autres filles. Bref, après les pleurs, la culpabilisation – après tout c’est sans doute que je suis nulle au lit si il a besoin d’aller jouir ailleurs me suis-je répétée – je me suis fait une raison : les hommes sont ainsi et sans doute surtout les plus sexy. Le seul truc qui m’est pénible c’est que quand il me prend, je me dis qu’il n’est peut-être pas vraiment avec moi mais avec une autre. Bon il y a plus malheureuse que moi. C’est un garçon gentil, intelligent, très attirant (je l’ai déjà dit ?) mais bon, les mecs sont ainsi faits… N’empêche, sans être une féministe acharnée, je me suis quand même sentie lésée. Après tout, pourquoi moi ne pourrais-je pas prendre mon pied avec d’autres hommes. Comme lui quoi: juste pour le sexe, juste pour le plaisir sexuel a****l. Et puis peut-être que ça apaisera nos rapports et que je pourrais imaginer un autre homme entre mes cuisses quand mon homme me pénètre, alors que lui imaginerait baiser sa pute de rousse (oui, je suis pas complètement guérie). Enfin, des tas de questions sans réponse, de la tristesse aussi et mon amour pour lui qui ne me quitte pas.
Voilà de quoi nous conversions avec une amie hier soir dernier dans un café du 14ème arrondissement de Paris.
– T’as pas pensé à te venger ? Franchement ça te ferai du bien, tu sauverais la face.
– Ben si j’y ai pensé. J’ai même eu des occasions figure-toi. A croire que ça rend sexy d’être cocue.
– Vrai ? Raconte. T’as couché ?
– Non j’ai pas « couché » juste un dragueur très lourd et un autre beaucoup plus engageant : on a à peine flirté et pas « couchés » mais debout.
– Ben qu’est-ce qui t’a retenue si tu le trouvais bien le deuxième ?
– Ça m’a foutue la trouille, le vertige même. Au début j’ai trouvé ça très réconfortant de me sentir désirée, c’était très agréable quand il a pris ma main, je suis revenue 10 ans en arrière, insouciante, heureuse même. Puis quelques baisers chastes sur ma joue, mes lèvres, m’ont faite frissonner et puis je sais pas, sa main s’est posée sur mes fesses et j’ai paniqué. Je l’ai plaqué là.
– Ouais, la main au cul c’était un peu tôt c’est sûr m’enfin t’aurais pu lui dire de se calmer. T’es trop à cran avec le cul Charlotte, faut te détendre. T’a regretté après ou pas ?
– Oui, d’être partie comme une voleuse mais pas d’avoir résisté.
– T’avais pas envie ?
– Euh… Je sais pas trop. J’ai repensé à lui après. A ce qu’on aurait pu faire tu vois quoi.
– Oui oui.. Je vois très bien. T’es une cochonne qui s’assume pas, je te l’ai toujours dit. Bon qu’est-ce qu’il fout ce serveur ?
Je cherche aussi du regard le serveur, c’est une façon inespérée de fuir le débat. Je ne le vois pas mais croise le regard d’un homme derrière moi un petit sourire en coin ou alors il est gêné de ce qu’il a entendu. Ou alors il est troublé. En tout cas je l’ai surpris à mater ma poitrine. Ouf, le serveur arrive d’on ne sait où.
– Et 2 moritos pour les jolies dames !
– Plutôt mori-tards … Vous étiez allés cueillir les citrons ?
Je ne sais plus où me mettre. Elle est comme ça la miss, toujours cash. Mais le serveur rigole et elle lui lance un clin d’œil aguichant. Bon, on trinque. A la vie. A l’amour. Aux mecs.
– Bon qu’est-ce qu’on disait ? Ah oui, tu traines toujours sur les sites de cul ?
Je manque de m’étrangler cette fois. Elle a parlé suffisamment fort pour être entendue alentour. Je lui lance un regard noir et suppliant.
– Ben quoi ? Y’a pas de honte à se faire du bien. Je dirais même que ça ne peut te faire que le plus grand bien et puis comme ça tu apprends des trucs. Bon alors tu y vas toujours dis moi ?
– T’es chiante. Je chuchotte. Oui, je mate des trucs cochons et j’aime ça, t’es contente ?
Ça elle est ravie. Très contente d’elle. Et elle m’offre un si grand et beau sourire que je ne peux pas lui en vouloir. C’est elle qui m’a poussée au vice. Elle qui m’a donné des adresses et expliqué comment effacer les traces. Elle me regarde satisfaite tout en cherchant dans l’assistance un regard complice. Et je crois qu’elle l’a trouvé. L’homme derrière moi. Elle lui lance des regards furtifs avec son petit sourire et ses yeux brillants. Son téléphone sonne. Son mec. Blablabla… J’en profite pour appeler ma mère qui garde mes deux bout’chous. Ils sont mignons, trop craquants, ils ont bien mangé, ils dorment. Je raccroche. Sans m’en apercevoir j’ai déjà fini mon verre. Je suce un glaçon. C’est froid dans ma bouche et chaud dans mon ventre. Elle raccroche enfin.
– Charlotte, désolée mais je vois Carlos ce soir. Il passe me prendre. On se fera une soirée fille bientôt promis.
Je suis super déçue. Je lui montre pas trop. Elle le voit pas souvent son Carlos parce que c’est un homme marié. Alors, il la sonne et elle rapplique aussitôt parce qu’elle est vraiment accroc.
– Ben oui je comprends, pas de souci ma chérie. Tu rebois ? mon verre est vide.
– Elle me sourit pleine d’enthousiasme, les yeux brillants et hurle : deux moritos ! On a soif !
Cette fois je rigole. Je lui prends la main sans rien dire. Juste qu’elle sache que je l’aime. Elle me serre la main en retour : je t’aime aussi. Cette fois le garçon a été rapide comme l’éclair. Et on trinque à nouveau.
– Ça a l’air de bien aller avec Carlos non ?
– Le kif intégral tu veux dire. Jamais connu ça avec un mec. LE mec quoi.
– Le mec marié surtout…
– Ouais ben comme ça je l’ai pas sur le dos. Quand on se voit c’est l’éclate. Et elle me chuchotte : tu veux que je te dise ? Rien que d’y penser, je mouille ma culotte là.
En plus je suis sûre qu’elle est sincère. On boit, j’ai chaud maintenant et la vie paraît plus simple plus douce. Les yeux de ma cop’s furètent derrière moi. Le type qui fait semblant de lire son journal. Je n’ose pas me retourner. En fait j’aime bien le sentir derrière moi et dans le regard bleu azur de ma copine. On discute. Mon verre est vide à nouveau. Et Carlos arrive dans sa mercos blanche décapotée. C’est vrai qu’il a fière allure, beau costar, belles chaussures. Il embrasse sa promise pour la soirée. Je la vois fondre. Devenir une petite chose avec lui. Il ne veut pas boire un verre sans doute trop impatient de la sauter. Bises, bisous. Partis. Je me retrouve seule à la table. Changement d’ambiance. Je me demande quoi faire. Rentrer chez moi. Me masturber gentiment et dodo seule dans mon lit. Me promener au hasard dans Paris. Bon je décide d’aller fumer une clope dehors et en profite pour demander (gentiment) au serveur mon troisième morito. Il fait frais la nuit est tombée, j’adore ce moment et la fumée de ma clope. Mes jambes de coton flageolent un peu mais c’est assez agréable. Mon regard dans le vague croise celui du monsieur assis à la table derrière moi et s’arrête. Un homme. Pas un jeune homme, je ne sais pas lui donner d’âge. Brun, grisonnant sur les tempes, le teint mat. Un visage banal. Pas très beau en fait. Il relève son visage et me regarde. On se regarde quelques secondes. Le serveur pose mon verre sur la table. L’homme me regarde toujours, dans les yeux et aussi ce que cache mon chemisier et ma jupe. Je finis ma cigarette. Retourne dans le café marchant face à lui, il me regarde encore un sourire aux lèvres, je lui souris je crois et m’assois à ma place, lui tournant le dos. Je commence à siroter mon morito en me demandant s’il me regarde. Je cambre mes reins et appuie mes coudes sur la table. Peut-être que je lui plais. Peut-être qu’il va m’aborder, me draguer. Mais non. Le temps s’écoule comme le morito dans mon ventre. Je décide d’aller marcher un peu. Je paye, je me lève en essayant de ne pas montrer que je titube un peu. Un petit sourire au serveur et je sors dans le frais. C’est plus calme. Rue Daguerre, je marche lentement sur les pavés. Je m’arrête, cherche une clope.
– Pardon mademoiselle. Vous avez du feu ?
Je lève la tête. C’est lui. L’homme du café. Il est plus petit que moi, ça me fait bizarre. Il a un petit sourire crispé avec sa clope au bec.
– Oui, bien sûr. Je lui tends mon briquet.
– Vous voulez marcher un peu ?
– Euh… oui. Justement j’avais envie
– Par là ?
– Oui par là.
On marche. Il ne dit rien. Je lui demande s’il habite le quartier. Il me dit qu’il habite tout près oui. Je lui dis que j’ai plus de chemin à faire alors il me propose une étape chez lui. Je sais vraiment pas quoi dire parce que si j’accepte c’est pas pour reprendre des forces évidemment. Alors je me demande si j’ai envie de faire l’amour. Non, baiser serait plus juste. Je sais vraiment pas mais d’un autre côté, j’ai pas envie de rentrer chez moi. Alors je lui dis « pourquoi pas » .
Ca le rend nerveux du coup, ou excité peut-être. On y va direct. Hall d’immeuble, il appelle l’ascenseur. On attend en silence. « j’habite au 5ème ». Phrase inutile, je m’en fous, je vais bien voir où il habite. On entre. Néon agressif. Lui toujours plus petit que moi. Il se racle la gorge, on monte sans un regard l’un pour l’autre. On sort enfin, il ouvre la porte. Je passe devant. M’invite dans le salon, il prend mon manteau. Canapé. Je m’assois et là je me demande sérieusement ce que je fous là. J’explore la pièce. De beaux volumes comme dirait un agent immobilier, appartement cossu joliment décoré de photos noir et blanc, une imposante bibliothèque, de jolis meubles. Il me propose un verre ou peut-être que je veux manger, grignoter ? Je n’ai pas froid ? J’accepte un perrier. Lui prendra un verre de vin blanc. Il s’affaire. Je m’installe plus confortablement. Doucement mais surement monte en moi une sensation de vertige, d’excitation aussi. C’est pas désagréable. Je le regarde du coin de l’œil. Il a quitté sa veste. Pull par dessus une chemise, pantalon en toile, jolies chaussures. Il s’assoie en fin à côté de moi. Me tend mon verre. On trinque en se souriant. Nouveau silence un peu gêné. Alors je lui demande ce qu’il aime lire, un peu tout, surtout lquand c’est bien écrit. Il relit cent ans de solitude en hommage à Garcia Marquez disparu quelques jours plus tôt. J’ai aimé ce livre aussi. Je grignote des petits toasts, j’ai faim. Il me regarde me goinfrer amusé. Regarde mon corsage aussi, mes cuisses moulées par ma jupe longue. J’aime beaucoup ses excursions furtives sur mon corps. J’ai à nouveau chaud. Chaud au visage, chaud au ventre. Je me sens un peu tendue aussi. On ne dit plus rien. Il ne sait pas quoi dire alors il me prend la main. Délicatement. Il la caresse de ses doigts et mes doigts en retour étreignent sa paume ses doigts. Il sourit, soupire. J’attends qu’il m’embrasse. Il met du temps à se décider puis approche son visage, dépose un baiser sur ma joue, puis deux et se rapproche du coin de mes lèvres. Je tourne un peu la tête pour que nos lèvres se pressent doucement, puis s’entrouvrent laissant le passage à nos langues qui découvrent leurs douceurs mutuelles, s’enroulent, se lèchent. Il soupire dans ma bouche et je soupire dans la sienne. C’est juste super bon. Il se retire, me regarde les yeux brillants puis replonge à l’assaut plus fougueux. Je me laisse aller sur le canapé passe ma main derrière sa nuque ce qui lui arrache un long gémissement. Ce long baiser est apaisant. Pour moi et pour lui aussi je crois. Sans lâcher ma bouche, il vient se coller un peu plus contre moi, passe sa main sur mon épaule, sur mon cou et glisse sous mon chemisier caressant mon épaule nue. Je frissonne et affermie ma main dans son cou. Sa paume tremblante descend dans mon chemisier le long de la bretelle de mon soutif et frôle mon sein puis mon téton déjà ferme. Il s’y attarde en effleurant le tissu qui se tend vers cette caresse. Longue caresse, trop longue, mon bout de sein m’électrise jusqu’au creux de mes reins et je me raidis. Il recule son visage et retire sa main inquiet mais je lui souris et posant ma main sur la sienne, j’appuie pour qu’il presse mon sein fermement. Il le masse doucement en me regardant. Je préfère fermer les yeux encore trop timide et me laisse aller glissant un peu plus sur le canapé pour lui offrir le loisir de découvrir mon corps. J’écoute son souffle plus fort tandis qu’il dégrafe les boutons un à un. Je serre les cuisses et pousse un gémissement de plaisir. Je sens mon chemisier s’ouvrir. Il s’arrête et j’entrouvre mes yeux. Il regarde immobile mes seins pas très imposants mais peut-être surtout mes tétons larges et très bruns qui bandent pour lui en transparence. Depuis ma grossesse et mes deux petits voraces que j’ai allaités, mes tétines ont bruni et doublé de volume. Je brise sa contemplation.
– Je prendrais bien un peu de vin finalement.
– Ah oui, oui bien sûr, oui, je vais chercher un verre
Il se précipite hors du salon. Je souffle un peu. Toujours aussi partagée entre la gêne et l’excitation que je sens jusque dans mon ventre maintenant. Je dois avoir l’air bien gourde chemisier dégrafé. Je devrais me rhabiller ou carrément me mettre à poil. Il revient toujours en hâte. Il a l’air hagard aussi troublé que moi je me dis. Oups, je vois qu’il bande dans son pantalon. Il a été tellement doux que j’en ai presque oublié que les mecs ont une queue. N’empêche ça me fait serrer les cuisses. Glouglou du vin, il me tend le verre. Je lui dis merci. Il se rassoie. J’avale une rasade de vin. Je sais que j’ai trop bu mais cette ivresse est délicieuse. Il me regarde. Mes yeux, ma bouche, mon soutif, ma jupe. Silence immobile. Je me redresse et fait glisser mon chemisier. Lui ôte mon soutif et un frisson me parcourt le dos. Ses mains viennent se poser sur mes seins, les caressent puis les pressent. Je ronronne de plaisir. Mes tétons durcissent. Il les caresse du bout de ses doigts puis se penche pour les lécher l’un après l’autre et enfin les téter entre ses lèvres. Je ferme les yeux toute à ces caresses et pose une main dans ses cheveux. Il se relève les yeux brillants. J’en profite pour boire une gorgée et manger un toast comme si de rien n’était. Il caresse mon ventre sous mes seins au dessus de ma jupe. Je finis mon verre. Je me sens mieux parce que je sais maintenant que je vais me donner à lui. Il me propose d’aller dans sa chambre. J’acquiesce. J’en ai terriblement envie. Je retire mes ballerines. Essaye de me lever, titube un peu me raccroche à lui. Il me prend la taille et le bras, se lève avec moi et m’enlace. Je lui tends mes lèvres et il m’embrasse avec plus de fougue, sa langue plantée dans ma bouche. Il caresse mon dos mes reins, mes fesses sur ma jupe. Mes mains se glissent sur mes reins et glissent la fermeture éclair. Ma jupe tombe à mes pieds. Ses mains glissent tout de suite sur ma culotte, il caresse mes fesses en soupirant. Se colle à moi. Je sens son sexe dur contre mon pubis. Je l’enlace pour me serrer et onduler contre lui. Il pétrit doucement mon cul. J’ai envie de sentir son torse alors je remonte son pull. Il m’aide puis enlève sa chemise. Il est très poilu, des poils blancs, un torse large, un peu de ventre. Je colle ma poitrine contre lui, frotte mes tétons durs à éclater. Il grogne ses main sur mes fesses mes hanches, ses doigts glissent sous ma culotte. Je gémis et cherche le contact de sa queue contre ma culotte, écarte un peu les cuisses pour la sentir palpiter contre ma vulve.
Il m’entraine dans la chambre par la main. Je m’assois sur le bord du lit, le regarde retirer ses chaussures, chaussettes. Il se lève face à moi et dégrafe son pantalon. Garde son slip tendu comme une toile de tente. Il me bascule doucement sur le lit, et a moitié allongé sur moi, m’embrasse en caressant mes seins mon ventre puis ma culotte côté face cette fois, contre ma vulve gonflée de désir qu’il masse doucement en grognant. Je le sens encore plus dur et palpitant contre ma cuisse. Après ces longues caresses, il se lève et vient à genoux entre mes jambes. Il caresse mes cuisses jusqu’au tissu de ma culotte, je cherche un oreiller pour ma tête et lui, toujours aussi prévenant m’en glisse deux et m’installe confortablement. J’ai compris qu’il allait me lécher, je veux être bien installée et ainsi je peux voir son visage qui s’approche de mes cuisses, il les embrasse en remontant puis frôle ma culotte et presse son nez, ses lèvres contre mon pubis bombé. Il fait glisser ma culotte à mes chevilles et reste un long instant à mater ma chatte comme hypnotisé. Je ne m’épile pas et ça n’a pas l’air de le gêner. Au contraire, il fouille dans mes poils avec son nez en grognant de plaisir puis lèche et embrasse. J’écarte mes cuisses et lui me les relève pour dégager toute ma fente. Il commence à me lécher. Je sens que ma vulve est gorgée de mouille et il me lape entre les lèvres avec sa langue. Je me laisse aller. Il s’y prend bien en alternant entre de petits coups de langue sur mon clitoris et de profondes léchouilles dans ma fente. Je suis lente à jouir mais je sais qu’il ne s’arrêtera pas en route. Mes doigts agacent mes tétons de temps en temps et je laisse les vagues monter de mon ventre. Je commence à gémir, à onduler le bassin. Il pétrit doucement mes fesses en même temps. Je sens que je vais jouir et il le sait aussi. Il me finit la langue sur le clito. Mes mains pressent ses cheveux et pressent son visage contre ma vulve. Je jouis bruyamment avec des spasmes violents de mon vagin. Lui reste immobile entre mes cuisses en appuyant sa langue sur mon clito qui palpite. Petit à petit je relâche ma pression sur sa tête, reprend mes esprits. Il lèche délicatement mes grandes lèvres recueillant ma mouille mêlée de sa salive, lisse mes poils. Il relève la tête son visage est trempé. Je m’assois sur le lit, lui est toujours à genoux devant le lit j’essuie la mouille de son visage avec ma main, me penche pour embrasser sa bouche. Je lui dis que c’était divin. J’ai envie de son plaisir maintenant. A ce moment j’entends mon portable sonner. Un SMS. Je pense immédiatement à mes deux bout’chous. Je m’excuse et vais prendre mon portable dans le salon. Ce n’est pas ma mère. C’est ma copine. Coucou désolée de t’avoir laissé en plan. Apelle-moi si tu veux. Bises. Je ne résiste pas à lui répondre : pas de souci ma belle, tout va bien je viens de me faire lécher par un mec. Hummmm. Biz. Je rigole toute seule. Mon amant me rejoint. Tout va bien ? Je le rassure. Oui, très bien. Je peux fumer ? Il m’apporte un cendrier. Je ne m’assois pas avec ma chatte trempé sur le beau canapé. Je le regarde, toujours son slip sur lui. Il est debout aussi. Je l’embrasse entre deux taffes, caresse son dos puis m’enhardis en caressant son ventre, ses fesses, puis entre ses cuisses. Son désir mouille le tissu de son slip que je caresse du bout des doigts. Sa queue se spasme, il gémit. Enfin je baisse son slip et découvre sa queue. Surprise parce qu’elle est très brune. Pas très longue mais un gland imposant gonflé à craquer. Chaude sous mes doigts mais surtout très dure. Ça ravive mon désir. Je le caresse doucement dans ma main. Elle tressaute dans ma paume. Je passe mon doigt sur le prépuce épais et dur, un cuir sombre qui enserre son gros gland rouge violacé et trempé. Il gémit immobile, respire fort dans mon cou. Ma main descend et empaume deux belles couilles poilues, lourdes. Je les caresse et sa queue palpite à nouveau. J’avais oublié combien c’était bon de branler un homme. Je sens mon ventre brûler à nouveau. Mon vagin a envie de cette bite. Terriblement. Je retire ma main et viens presser sa verge dure contre mes poils, je me frotte langoureusement mes main sur ses fesses. Interrompue par un nouveau SMS. Je degage mon étreinte. Toujours ma copine qui m’écrit : Salope. C’est le type du café ? Le vieux qui était derrière toi ? Eclate-toi ma chérie. Pleins de bisous. Putain mais comment elle a pu deviner ça ? Je range mon portable. Lui intrigué. Je ne dis rien évidemment. Le vieux… Je lui dis juste : j’ai envie de toi. On retourne dans la chambre. Je m’allonge sur le dos, j’ai envie de le sentir sur moi. Il vient à genoux entre mes cuisses, je lui met une capote. Il présente sa bite entre mes lèvres et me pénètre lentement mais entièrement. Il râle, je gémis. J’ondule le bassin, je le sens bien. Il bouge doucement et souffle bruyamment. Puis s’arrête. Reprends un peu, à peine deux aller-retours dans ma chatte et s’arrête à nouveau le visage crispé. Oui il y a un truc qui cloche. Je lui demande si ça va. Et honteux il m’avoue qu’il jouit très vite en général et que là… ça m’attriste pour lui pas pour moi. Je lui souris et lui dit que j’ai envie qu’il jouisse vite ou pas vite. Je pose mes mains sur mes cuisses et les presse fermement presque brutalement en ouvrant mes cuisses en grand. Je lui dis : fais toi du bien, ne pense qu’à ton plaisir, j’ai envie de ça. Il a l’air soulagé et heureux. Alors il recommence à aller et venir, doucement puis très vite il accélère. Je l’aide à me pilonner à fond en appuyant sur ses fesses. Je gémis à chacun de ses coups de bite. Il se raidit et gémit fort, sa queue palpite en moi. Il jouit les yeux hagards au fond de mon vagin en gémissant, c’est bon, c’est bon. Je le serre contre moi, il s’affale épuisé, je lui embrasse le visage. A peine trente secondes de baise mais putain ce que je suis bien. Il ramollit en moi, ouvre les yeux et me sourit. Il se retire doucement. Il revient de la salle de bain. Je me glisse sous les draps il me rejoint. Je crois que je m’endors assez vite contre lui.
Il y eut d’autres trucs cochons cette nuit là mais la suite au prochain numéro.
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